Golancourt
Golancourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Golancourt | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays Noyonnais | ||||
Maire Mandat |
David Louvrier 2020-2026 |
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Code postal | 60640 | ||||
Code commune | 60278 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Golancourtois, Golancourtoises | ||||
Population municipale |
406 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 98 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 42′ 24″ nord, 3° 03′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 92 m |
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Superficie | 4,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Ham (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Noyon | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.golancourt.fr.sitew.com/ | ||||
Géographie
Description
Golancourt est un village rural du Noyonnais dans l'Oise; limitrophe du département de la Somme et proche de celui de l'Aisne situé à 5 km au sud de Ham, 20 km à l'est de Roye, 15 km au nord de Noyon et à 45 km au nord-ouest de Laon. Il est desservi par l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 932).
Le village est traversé par le sentier de grande randonnée GR 655.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 53, Roye - Esmery-Hallon - Ham)[1].
En 1850, Louis Graves indiquait que son territoire formait « une plaine élevée et découverte qui incline au nord vers le bassin de la Somme. Le chef-lieu, bâti dans la partie déclive, consiste surtout en une grande rue traversée par la route de Paris à Saint-Quentin ».
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clastres », sur la commune de Clastres, mise en service en 1961[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 731,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Golancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ham dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,5 %), zones urbanisées (7,4 %), forêts (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 168, alors qu'il était de 161 en 2013 et de 159 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 90,8 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Golancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Projets d'aménagement
La création d'une voie douce reliant Golancourt vers la zone commerciale de Muille-Villette et la gare de Ham est souhaitée par la Commune durant le mandat municipal 2020-2026, afin de faciliter le déplacement des habitants tout en créant une nouvelle offre sportive aux habitants de Muille-Villette[22] - [23].
Toponymie
La localité a été dénommée Golencourt, Gollancourt, Goulancourt[24]
Histoire
Sous l'Ancien Régime, Golancourt faisait partie du marquisat de Guiscard[24]. Elle relevait du bailliage de Chauny, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons[25].
L'ancien château dei Golancourt, situé à l'ouest du village, n'était pls, en 1850, qu'une ferme qui avait conservé le pigeonnier signeurial[26]. A cette époque, on fabriquait beaucoup de mouchoirs de coton dans la commune, où l'on comptait une cendrière et un moulin à vent[24].
Golancourt a disposé de 1895 à 1955 d'une gare sur la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique de Noyon à Ham des chemins de fer départementaux de l'Oise, exploitée par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny. Dans la commune, la ligne suivait approximativement la route nationale 32.
- La place, la mairie et l'école.
- La route nationale.
Durant la Première Guerre mondiale, le village est notamment concerné par la bataille de Noyon, et, le , Golancourt est pris par l'armée allemande. La population civile et des soldats britanniques et français se replient alors dans Noyon.
À la fin de la guerre, le village a subi des destructions[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [28].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Guiscard[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Noyon.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais (ex-CCHVO), qui succède à un SIVOM créé en 1970 et à un district créé en 1994[30].
Elle souhaite quitter cette intercommunalité pour rejoindre en 2023 la communauté de communes de l'Est de la Somme après qu'une consultation publique organisée le 21 mai a établi que 89,26 % des électeurs émettent un avis favorable au changement d’intercommunalité, critiquant les choix notamment fiscaux faits par le Pays Noyonnais et compte tenu de l'influence pour Golancourt du bassin de vie de Ham ainsi que la zone commerciale de Muille-Villette[31] - [32] - [33].
Liste des maires
Équipements et services publics
Un tiers-lieu culturel a été ouvert en mars 2022 par le Comité citoyen entre Oise et Matz dans les locaux de l'ancienne mairie située rue verte. Le lieu accueille une bibliothèque pour le grand public et les scolaires, une salle d'exposition, un point de retrait de paniers de fruits et légumes commandés, des clubs (lecture, radio et jeux) et des événements (fête rurale, soirée celtique etc.)[44] - [45].
La commune dispose d'une salle polyvalente, d'un terrain de tennis utilisé par le Tennis club, d'un terrain de football où joue le F.C Golancourt et d'une sente piétonne (chemin arboré) où un terrain de pétanque et une aire de jeux sont présentes.
L’association Fêtes et loisirs organise la majorité des festivités communales (brocante, fête des sports etc.) [46].
En 2021, afin de sauver le dernier commerce de proximité de la commune, le bar Chez Sam, la municipalité a distribué une monnaie locale (le "golan") qui n'est utilisable qu'au sein du café[47]
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Villeselve, Berlancourt et du Plessis-Patte-d’Oie dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[46].
L'école de Golancourt, la plus grande du RPI, accueille des écoliers des niveaux CE et CM, une restauration scolaire et un périscolaire.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].
En 2020, la commune comptait 406 habitants[Note 8], en augmentation de 7,98 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 200 hommes pour 198 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
L'Association Fêtes et Loisirs organise les diverses animations de la commune : brocante, fête de Mai, Feu de la Saint-Jean, repas dansant le et jeux le , journée des enfants, course pédestre.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Rémi, du XVIIIe siècle. Le vaisseau central de la nef et le chœur à chevet plat est la partie la plus ancienne datant de 1759. Les bas-côtés ont été refaits en 1772. La façade est en grès.
A l'intérieur se trouve les fonts baptismaux avec leur gros fût central flanqué de quatre colonnettes décoré d’arcatures aveugles, provenant de l'édifice précédent. Le très beau maître-autel de style classique est réputé provenir de l’abbaye Saint-Barthélemy de Noyon[53] - [24]. - Monument aux morts[54].
- L'église.
- Les fonts baptismaux au début du XXe siècle
- Le monument aux morts.
Héraldique
Blason | D'or au croissant de gueules accompagné de huit merlettes du même ordonnées en orle[55]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- A. Ponthieux, « Golancourt avant 1790 », Comptes rendus et mémoires lus aux séances / Comité archéologique de Noyon, t. XIII,‎ , p. 3-62 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica..
- Michel Louvrier : Golancourt, un Village sous les reflets de l'Histoire
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Golancourt (60278) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Golancourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Golancourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Golancourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Golancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Golancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Clastres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Golancourt et Clastres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Clastres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Golancourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ham », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Vincent Fouquet, « Tout le monde dit oui à la voie mixte entre l’Oise et la Somme au sud de Ham : Les élus samariens et Oisiens se sont retrouvés dimanche matin à la frontière des deux départements pour lancement du projet de voie mixte, destinée aux véhicules non motorisés, entre le bassin de Golancourt et la zone commerciale de Muille-Villette, la gare de Ham. Un projet qui séduit les élus des deux départements », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Stephane Lebarber, « 2022, année décisive pour le projet de voie douce entre Golancourt et la Somme », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 45-46, sur Google Books.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l’arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 137-138, sur Gallica.
- Marcel Maillard, « Photographie : Ancien château à Golancourt : [colombier carré, pans de bois] », (consulté le ), sur Gallica.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Communauté de Communes du Pays Noyonnais - Qui sommes-nous ? », sur www.paysnoyonnais.com (consulté le )
- Paul Abran, « À Golancourt, les habitants du petit village de l’Oise votent pour un rattachement à la Somme : Quitter leur intercommunalité de l’Oise pour une autre dans la Somme. Les habitants de Golancourt, à la frontière entre les deux départements, sont pour. Le village oisien espère entrer dans son nouvel établissement public de coopération intercommunale (EPCI) au 1er janvier 2023 », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « {{{1}}} ».
- « La communauté de communes de l’Est de la Somme «favorable» à accueillir la commune de Golancourt : Son président, José Rioja se dit « favorable » à l’accueil du village dont les habitants voteront le 21 mai en faveur ou contre le projet de départ de la communauté de communes du Pays noyonnais pour rejoindre la communauté de communes de l’est de la Somme (CCES). », Le Courrier picard,‎ .
- Ludovic Lascombe, « Golancourt se rapproche un peu plus de l’Est de la Somme : Lors du conseil communautaire, lundi 13 juin 2022 à Nesle, les élus ont voté majoritairement en faveur de la demande d’adhésion de cette commune de l’Oise », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Registres des délibérations de la Commune
- « Paul-Edouard Vasseux (1860 - 1953) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- Pierre Laval, « Arrêté ministériel portant nomination au Conseil départemental de l'Oise », Journal officiel de l’État français,‎ , p. 604 (lire en ligne) sur Gallica.
- L. G., « Le village risque de revoter », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cas d'école à Golancourt. Cette commune de moins de 3 500 habitants est le seul village de l'Oise où aucune candidature n'a été enregistrée aux municipales (...) Dimanche, chacun a donc voté pour celui qui lui semblait le plus apte à siéger au conseil ».
- L.G., « Les habitants ne retourneront pas voter », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La gestion de la commune de Golancourt ne contraindra pas ses électeurs à retourner aux urnes pour un troisième tour des élections municipales. Après un scrutin classique en deux tours où jamais aucun candidat ne s'était présenté (« Le Parisien » du 20 mars) , onze personnes dont les noms avaient recueilli le plus de voix au second tour, ont été élus ».
- Arnaud Brasseur, « Le maire passe la main à son premier adjoint », Le Journal de Ham, no 54,‎ , p. 7 « Après quasi 17 ans de mandat de maire, j’ai décidé de passer la main en douceur et d’accompagner en tant que conseiller les deux dernières années du mandat. » Élu maire en 2001, le maire n’ira donc pas au bout de son troisième mandat à la tête de l’exécutif local. Une décision prise en fin d’année dernière : « Le 26 décembre, monsieur le Préfet m’a notifié son accord pour ma démission, l’intérim est désormais assuré par mon premier adjoint David Louvrier ».
- « Golancourt Le maire Alain Carrière présente sa liste : Il vise un troisième mandat. Alain Carrière, maire de Golancourt (Oise), repart en campagne avec une partie de l’équipe municipale actuelle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Stephane Lebarber, « Au Pays noyonnais, les élus frondeurs échouent à prendre le contrôle de la communauté de communes : L’ancien premier vice-président de Sandrine Dauchelle, David Louvrier, n’est pas parvenu à coiffer la maire de Noyon dans la course à la présidence de la communauté de communes, battu de 19 voix. Il dénonce des « menaces » de la part des ténors de la droite oisienne sur des votants. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « À Golancourt, quatre nouveaux candidats aux côtés du maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « David Louvrier, élu maire en février 2018 après le départ d’Alain Carrière, a décidé de briguer un nouveau mandat ».
- « Golancourt 60640 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr/ (consulté le ).
- Stephane Lebarber, « À Golancourt, déjà trois services disponibles dans le nouveau tiers-lieu : Le Comité citoyen Oise et Matz propose déjà plusieurs services dans son premier « mini tiers-lieu », à Golancourt. Un point de retrait des paniers de fruits et légumes commandés devrait s’y ajouter dans les semaines à venir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Comité citoyen entre Oise et Matz | Tiers-lieu Étage 465 » (consulté le )
- Stephane Lebarber, « Des panneaux solaires sur l’école de Golancourt en 2022 : L’énergie ainsi produite sera vendue au concessionnaire local pour la distribution et la fourniture d’électricité. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Stéphanie Forestier, « Pour sauver son unique commerce, un village de l’Oise a créé sa propre monnaie : A Golancourt, dans le Noyonnais, les habitants peuvent payer dans leur bar… en Golans. Le maire a lancé ces «bons d’achat» et en a offert à ses administrés pour les encourager à consommer local. Face au succès de l’opération, de nouveaux Golans seront réédités au printemps », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Golancourt (60278) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Golancourt, église Saint-Rémi : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Martine Aubry, « Golancourt (60640) », sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France-Belgique-autres pays, (consulté le ).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).