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Berlancourt (Oise)

Berlancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Berlancourt
Berlancourt (Oise)
Église de Berlancourt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Joël Cottart
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60062
Démographie
Gentilé Berlancourtois
Population
municipale
316 hab. (2020 en diminution de 5,39 % par rapport à 2014)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 19″ nord, 3° 04′ 11″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 102 m
Superficie 7,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Berlancourt
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Berlancourt
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Berlancourt
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Berlancourt

    Géographie

    Description

    L'entrée du village.

    Berlancourt est un village de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, qui se situe à mi-chemin entre Noyon et Ham. Le village est traversé par la route départementale RD91 et est aisément accessible depuis l'ancienne Route nationale 32 (actuelle RD 932).

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 53, Roye - Esmery-Hallon - Ham)[1].

    Louis Graves indiquait au milieu du XIXe siècle que « le territoire de cette commune est formé d'une plaine traversée de l'est à l'ouest par le vallon de la Verse, auquel se réunit un ravin venant du Plessis-Patte-d'Oie[2] »

    L'église perchée sur les hauteurs du village.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Berlancourt
    Flavy-le-Meldeux Le Plessis-Patte-d'Oie Villeselve
    Fréniches Berlancourt Guiscard
    Hameau de Beines
    Guiscard Guiscard

    Hydrographie

    La commune est drainée par la rivière La Verse, qui prend sa source à La Neuville-en-Beine et continue ensuite vers Guiscard.

    La Verse est un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.

    Afin de lutter contre les inondations de la Verse en aval, notamment à Noyon, l'établissement public l’Entente Oise-Aisne souhaite réaliser Berlancourt l'un des deux bassins de retenue prévus par le Plan d’actions et de prévention des inondations (PAPI) de la Verse, entraiant des inquiétudes sur le risque d'inondations que cela pourrait générer aux abords de ces ouvrages[3] - [4] - [5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 707 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 724,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 19 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,3 °C pour 1981-2010[17], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Berlancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Au nord-est du territoire, le hameau de Collezy est rattaché à la commune.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 137, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 120 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,6 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Berlancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Berlancourt en 2018.
    Typologie Berlancourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 91,5 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,7 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Bertencourt; Berlancour[2].

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, Berlancourt était compris dans le marquisat de Guiscard[2].et faisait partie du baillage de Chauny, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons. La paroisse relevait du doyenné de Nesle et du diocèse de Noyon[26]. L'Abbaye Saint-Pierre de Corbie, par suite d'un échange fait avec l'Abbaye Saint-Nicolas d'Arrouaise, possédait le tiers des grosses dîmes de Berlancourt, de Flavy-le-Meldeux et de Plessis-Patte-d'Oie ; mais elle était tenue au tiers des grosses réparations à faire au chœur des églises de ces trois paroisses. Les deux autres tiers appartenaient au chapitre de la cathédrale de Noyon[26].

    Au milieu du XIXe siècle, la commune disposait d'une école, d'un presbytère. Une partie de la population était occupée à la fabrication de rouennerie[2].

    Horaires de la ligne Noyon-Ham en 1936.

    La commune a disposé de 1895 à 1955 de la gare de Plessis-Flavy-Berlancourt sur la ligne Noyon - Ham des chemins de fer départementaux de l'Oise exploitée par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Berlancourt est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1880 1888 Charles Lhérondelle Cultivateur
    1888 1890 Alfred Ponthieux Propriétaire exploitant
    1890 1892 Nestor Legrand Cultivateur
    1892 1896 Clovis Falour
    1896 1913? Alfred Ponthieux Propriétaire exploitant
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 1989 Jean Fontaine Agriculteur
    mars 1989 1995 Jacques Landa Routier
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Guy Laguerre DVD[29]
    mars 2008 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Joël Cottart Exploitant agricole
    Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2014 → 2021)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30] - [31]

    Équipements et services publics

    La commune a racheté le Bar du Village en 2017. Renommé le café La Fabrique, celui-ci est désormais exploité avec le concours de la commune, ainsi que de la chambre de commerce et d’industrie (CCI), du Pays noyonnais et du Pays de Sources et vallées, par deux gérants qui prévoient de postuler au label Bistrot de pays, et assurent également un dépôt de pain et de gaz, bureau de tabac et la vente de journaux[32] - [33].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Villeselve, Golancourt et du Plessis-Patte-d’Oie dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[34].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 316 habitants[Note 8], en diminution de 5,39 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    242394458460480490464438379
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    356342343324303257258233232
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    211212216166166155147210205
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    176179156185245283301295331
    2014 2019 2020 - - - - - -
    334319316------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 170 hommes pour 155 femmes, soit un taux de 52,31 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    4,2
    75-89 ans
    2,6
    13,8
    60-74 ans
    13,2
    24,0
    45-59 ans
    21,7
    19,2
    30-44 ans
    23,7
    21,6
    15-29 ans
    15,8
    17,4
    0-14 ans
    23,0
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Associations

    La commune est animée depuis 1989 par l'association Village et Loisirs[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin de Berlancourt, édifiée sur un site dominant; est un vaste bâtiment de brique aux ouvertures de style roman. Le clocher en pierre flanque le côté nord de l'édifice. La partie basse du clocher semble dater du XIIe siècle. La façade est probablement d'époque médiévale, et le chÅ“ur a été remanié au XVIe ou au début du XVIIe siècle. Le bas-côté en briques et pierre date du XVIIIe siècle esud de la nef date du XIXe sièclet le mur sud de la nef, percé de grandes fenêtres en plein cintre.
      Le mobilier comporte une cuve baptismale du XIIe siècle, une grande Vierge à l’Enfant, en pierre, du XVIe siècle et une chaire ainsi qu'un baldaquin du XVIIIe siècle[41].
    • Monument aux morts, inauguré en 2003[42].
    • La façade de l'église.
      La façade de l'église.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Vieux canon érigé en monument.
      Vieux canon érigé en monument.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 37-38, sur Google Books.
    3. S.L.B., « Dans le Noyonnais, un accord pour les deux barrages sur la Verse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    4. Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, l’eau des barrages affole le voisinage : Deux hameaux de Guiscard redoutent d’être exposés aux crues lorsque seront créés des bassins prévus pour protéger une large zone des colères de la Verse. Un paradoxe contredit par des experts », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    5. « Deux hameaux s’estiment « sacrifiés » pour protéger Noyon des eaux de la Verse : Ce soir, vendredi 29 octobre, s’achève l’enquête publique sur le projet de barrages à Berlancourt et Beaugies-sous-Bois, destinés à mettre à l’abri la cité de Calvin des effets de la réouverture de la rivière, en 2019, à Guiscard. Deux hameaux s’estiment mis en danger au profit des Noyonnais. Décryptage », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    12. « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Berlancourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Berlancourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 126, sur Gallica.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « Archives départementales de l'Oise », pour les maires avant 1900..
    29. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
    30. « Le maire de Berlancourt vise un troisième mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Joël Cottart, 72 ans, a décidé de se représenter. C’est en 2008 qu’il avait été élu maire la première fois, après avoir effectué deux autres mandats de conseiller municipal ».
    31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    32. « Deux nouveaux gérants relancent le bar communal de Berlancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Joël Cottart, à l’origine de l’achat public, se réjouit de cette reprise : le départ du précédent tenancier, Alexandre Godard, n’a engendré aucune fermeture provisoire. « Nous avons la volonté d’aider ces jeunes commerçants pour que ce soit une complète réussite, plaide l’élu ».
    33. « À Berlancourt, bientôt un restaurant dans les locaux communaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. Stephane Lebarber, « Des panneaux solaires sur l’école de Golancourt en 2022 : L’énergie ainsi produite sera vendue au concessionnaire local pour la distribution et la fourniture d’électricité. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Berlancourt (60062) », (consulté le ).
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