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Clastres

Clastres est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Clastres
Clastres
Mairie, Ă©coles.
Blason de Clastres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Jean-Louis Gasdon
2020-2026
Code postal 02440
Code commune 02199
DĂ©mographie
Gentilé Clastrois(es)
Population
municipale
597 hab. (2020 en diminution de 6,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 72 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 44â€Č 46″ nord, 3° 13â€Č 58″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 95 m
Superficie 8,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Ribemont
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Clastres
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Clastres
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Clastres
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Clastres

    GĂ©ographie

    Situation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    Communes limitrophes

    Entrée de Clastres.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 694 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1961 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records CLASTRES (02) - alt : 75 m 49° 44â€Č 30″ N, 3° 13â€Č 42″ E
    Records établis sur la période du 01-01-1952 au 31-12-2011
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,5 0,3 2,6 4,2 7,9 10,4 12,4 12,1 9,6 7 3,5 1,3 6
    Température moyenne (°C) 3,4 3,9 7,2 9,7 13,7 16,4 18,7 18,5 15,2 11,5 6,8 3,9 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,4 11,7 15,3 19,4 22,4 25 24,9 20,8 16 10,1 6,6 15,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21
    17.01.1985
    −16,5
    21.02.1956
    −12
    08.03.1971
    −5,5
    01.04.1968
    −2,6
    12.05.1955
    0
    05.06.1991
    4
    03.07.11
    3
    24.08.1980
    0
    19.09.1977
    −4,5
    29.10.03
    −10
    24.11.1998
    −16
    31.12.1970
    −21
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16
    30.01.1957
    19,5
    24.02.1990
    25
    30.03.1968
    30
    20.04.1968
    34
    08.05.1976
    36
    27.06.11
    40
    03.07.1976
    40,5
    12.08.03
    34
    04.09.1973
    28
    01.10.11
    20,5
    04.11.1994
    21
    13.12.1952
    40,5
    2003
    Précipitations (mm) 63,1 49,5 62,4 50,5 64,6 58,6 62,6 66,4 54 67,1 61,9 70,4 731,1
    Source : « Fiche 02199001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Clastres est une commune rurale[Note 4] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (81,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (80,5 %), zones urbanisĂ©es (8 %), forĂȘts (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Politique et administration

    Carte postale de la mairie en 1905.
    La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Simon[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Ribemont.

    Intercommunalité

    La commune était le siÚge de la communauté de communes du canton de Saint-Simon (C32S), créée fin 1994.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous rĂ©serve de certaines dĂ©rogations bĂ©nĂ©ficiant aux territoires de trĂšs faible densitĂ©), le prĂ©fet de l'Aisne a adoptĂ© un nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale par arrĂȘtĂ© du 30 mars 2016[15] qui prĂ©voit notamment la fusion de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon et de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[16].

    Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[17].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 mars 2008 René Bore Exploitant agricole
    mars 2008[18] 2009 ArchimĂšde Fecchio
    2009[19] avril 2018[20] Pierrette Swiechowiez SE Retraitée
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2014-2020[21]
    juin 2018[22] En cours
    (au 24 mai 2020)
    Jean-Louis Gasdon[23] Ancien cadre
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[25].

    En 2020, la commune comptait 597 habitants[Note 6], en diminution de 6,86 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    619625629659746722766801808
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    751816837845886757774666613
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    515502533258362394384418465
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    482529447534559509507514607
    2014 2019 2020 - - - - - -
    641601597------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise vers 1870.
    Dessin de Joachim Malézieux (1851/1906)
    • Ancien puits public sur le mur de l'Ă©glise.
      Ancien puits public
      sur le mur de l'Ă©glise.
    • L'Ă©glise Saint-Sulpice.
      L'Ă©glise Saint-Sulpice.
    • Église Saint-Sulpice.
      Église Saint-Sulpice.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Monument du Souvenir.
      Monument du Souvenir.

    HĂ©raldique

    Blason de Clastres Blason
    D'or à dix losanges d'azur ordonnés 3, 3, 3 et 1.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    8. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le )
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    15. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2016 portant SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, PrĂ©fecture de l'Aisne (consultĂ© le ).
    16. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
    17. PrĂ©fecture de l'Aisne, « ArrĂȘtĂ© n°2016-1077 en date du 15 dĂ©cembre 2016 portant fusion de la communautĂ© d’agglomĂ©ration de Saint-Quentin et de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture de l'Aisne du mois de dĂ©cembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur http://www.aisne.gouv.fr/, (consultĂ© le ), p. 55-59.
    18. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    19. « Un second mandat en vue pour Pierrette Swiechowiez Ă  Clastres », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Maire depuis 2009, Pierrette Swiechowiez repart avec une liste fortement renouvelĂ©e avec neuf nouvelles tĂȘtes. Comme l’indique le nom de celle-ci, baptisĂ©e « Liste d’entente communale », elle veut reprĂ©senter la population du village qui a fortement augmentĂ© et s’est modifiĂ©e depuis quelques annĂ©es ».
    20. « Le maire de Clastres dĂ©missionne pour raison de santĂ© », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
    21. « Clastres : le conseil renouvelĂ© Ă  plus de 50% : C’est une liste renouvelĂ©e Ă  plus de 50% qui a Ă©tĂ© Ă©lue Ă  Clastres. En effet sur une liste de 15, il y a 9 nouveaux conseillers », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
    22. « Jean-Louis Gasdon Ă©lu maire de Clastres », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
    23. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le )
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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