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Artemps

Artemps est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Artemps
Artemps
La mairie-Ă©cole.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Jean-Claude Dusanter
2020-2026
Code postal 02480
Code commune 02025
DĂ©mographie
Gentilé Artempois
Population
municipale
367 hab. (2020 en augmentation de 0,27 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 58 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 45â€Č 57″ nord, 3° 11â€Č 26″ est
Altitude 77 m
Min. 62 m
Max. 93 m
Superficie 6,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Ribemont
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Artemps
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    GĂ©ographie

    Situation

    Représentations cartographiques de la commune
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    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

    Communes limitrophes

    Le village d'Artemps est situé sur la rive gauche de la Somme, au nord-ouest de Laon et au sud de Saint-Quentin, localisé à une dizaine de kilomÚtres au sud de Saint-Quentin et à trois kilomÚtres du bourg de Saint-Simon.

    Hydrographie

    Le canal de Saint-Quentin et du fleuve Somme traverse le village d'Artemps.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 711 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Clastres », sur la commune de Clastres, mise en service en 1961[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 731,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933 et Ă  km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Artemps est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (67,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (16,3 %), forĂȘts (10,6 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Artemps, Arten en 1049 et en 1090 Artemium.

    Histoire

    Artemps est un village trĂšs ancien ; il en est question dĂšs le IXe siĂšcle. Baudoin, Ă©vĂȘque de Noyon, en donna l'autel Ă  l'abbaye de Saint-Eloi, en 1049, et en 1090, Ermentrude de Ham en donna le terroir Ă  l'abbaye du Mont-Saint-Quentin.

    Jean d'Artemps, abbé de Saint-Eloi de Noyon en 1420, était né à Artemps ; il avait été nommé abbé d'Alchiacum en 1407, par l'anti-pape Pierre de Lune, et s'en démit trois ou quatre ans aprÚs. Ce village est encore le lieu de naissance de Nicolas Desjardins, célÚbre professeur du XVIIIe siÚcle, principal du collÚge de Saint-Quentin.

    Des anciens seigneurs d'Artemps, un seul nous est connu ; il vivait en 1248, se nommait Jean d'Artemps, et avait pour femme AgnĂšs. En dernier lieu la seigneurie de ce village Ă©tait dans les mains du comte de Laval-Montmorency[21]

    • La rue du Canal autrefois.
      La rue du Canal autrefois.
    • Une ancienne photo du bistrot dans la rue du Canal.
      Une ancienne photo du bistrot dans la rue du Canal.

    Circonscriptions d'Ancien RĂ©gime

    Village de l'ancien Novonnais, autrefois de la généralité de Soissons, du bailliage de Saint-Quentin, élection et diocÚse de Noyon.

    Politique et administration

    La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Simon[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Ribemont.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Simon (C32S), créée fin 1994.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous rĂ©serve de certaines dĂ©rogations bĂ©nĂ©ficiant aux territoires de trĂšs faible densitĂ©), le prĂ©fet de l'Aisne a adoptĂ© un nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale par arrĂȘtĂ© du 30 mars 2016[23] qui prĂ©voit notamment la fusion de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon et de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[24]

    Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 En cours
    (au 12 mai 2014)
    Jean-Claude Dusanter DVD Retraité agricole
    PrĂ©sident du syndicat d’adduction d’eau et d’assainissement
    de la vallĂ©e de la Somme[26] (SAEAVS) ( ? → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[27] - [28] - [29]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 367 habitants[Note 8], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    325338359377453471478497522
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    526570525534540541509489422
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    416445384258278248253255288
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    264289292297347338354356360
    2017 2020 - - - - - - -
    371367-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Pont du canal de Saint-Quentin.
      Pont du canal de Saint-Quentin.

    Habitants d'Artemps décorés de la Légion d'honneur

    • Louis Alexandre Duplaquet (12/08/1796) ;
    • Albert Alfred Galopin (02/04/1879) ;
    • Heracleonas Urbain Lobbe (25/10/1802).

    NĂ© Ă  Artemps

    • Nicolas Desjardins (1682-1738) et François Desjardins (1697-1773), chanoines de l'Ă©glise royale et principaux du collĂšge de Saint-Quentin, oncles de Louis Hordret ;
    • Louis Hordret (1714-1789) (neveu des prĂ©cĂ©dents), avocat au conseil du roi, auteur de l'Histoire des droits anciens et des prĂ©rogatives et franchises de la ville de Saint-Quentin.
    • LĂ©on Garet (1840-1912), directeur d'assurances de la Compagnie Urbaine d'Amiens et un des principaux fondateurs de Paris-Plage qui devient le Touquet-Paris-Plage lors de son Ă©rection en commune en 1912.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Clastres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Artemps et Clastres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Clastres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Artemps et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Dictionnaire historique de l'Aisne de Melleville (tome1)
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    23. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2016 portant SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, PrĂ©fecture de l'Aisne (consultĂ© le ).
    24. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
    25. PrĂ©fecture de l'Aisne, « ArrĂȘtĂ© n°2016-1077 en date du 15 dĂ©cembre 2016 portant fusion de la communautĂ© d’agglomĂ©ration de Saint-Quentin et de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture de l'Aisne du mois de dĂ©cembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur http://www.aisne.gouv.fr/, (consultĂ© le ), p. 55-59.
    26. Les communes adhĂ©rant au Syndicat d'adduction d'eau et d'assainissement de la vallĂ©e de la Somme en 2016 sont Artemps, Bray-Saint-Christophe, Dallon, Dury, Fontaine-lĂšs-Clercs, Happencourt, Ollezy, Seraucourt-le-Grand, Sommette-Eaucourt et Tugny-et-Pont (« Le syndicat d’eau va investir dans une sĂ©rie de rĂ©novations », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne)).
    27. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    28. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    29. « Et de dix mandats pour Jean-Claude Dusanter, maire d’Artemps », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consultĂ© le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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