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Glatigny (Moselle)

Glatigny [glatiÉČi] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Moselle Ă  douze kilomĂštres au nord-est de Metz. Elle possĂšde pour annexe BĂ©ville et la ferme de La BruyĂšre.

Glatigny
BĂ©ville
Glatigny (Moselle)
Blason de GlatignyBĂ©ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
Maire
Mandat
Victor Stallone
2020-2026
Code postal 57530
Code commune 57249
DĂ©mographie
Population
municipale
259 hab. (2020 en augmentation de 3,6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 08â€Č 49″ nord, 6° 20â€Č 06″ est
Altitude Min. 215 m
Max. 298 m
Superficie 6,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays messin
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Glatigny
BĂ©ville
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Glatigny
BĂ©ville
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Glatigny
BĂ©ville
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Glatigny
BĂ©ville

    GĂ©ographie

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Vallieres et le ruisseau de la Rigole[Carte 1].

    Le ruisseau de Vallieres, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans un bras mort de la Moselle Ă  Saint-Julien-lĂšs-Metz en limite avec Metz, aprĂšs avoir traversĂ© neuf communes[1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Glatigny.

    La qualitĂ© des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de ValliĂšres, peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Glatigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (81,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), forĂȘts (18,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Glatignei en 1192[9] - [10] ; Gletinei au XIIIe siÚcle ; Gletigney en 1206, Glatigney, Glaiteney en 1339 ; Glaitigney en 1404 ; Glaitegney en 1514 ; Glattigney en 1516.

    La prononciation dialectale en lorrain roman est « Guiaitni »[11].

    Il s'agit d'un toponyme formĂ© avec le suffixe gallo-roman -(I)ACU ou -IN-IACU, autrement notĂ© -(i)-acum. Le premier Ă©lĂ©ment est gĂ©nĂ©ralement expliquĂ© par un anthroponyme par les spĂ©cialistes. On a ici affaire Ă  un type toponymique extrĂȘmement rĂ©pandu dans le Nord de la France (par exemple, on compte prĂšs de 40 lieux portant ce nom en Normandie, dont Glatigny, Manche, Glatigneio vers 1170. On note aussi des variantes comme Glatiney (Eure), GlatignĂ© (Mayenne), jusqu'au sud ouest comme en tĂ©moigne Glatignat (Haute-Vienne), etc.). La forme initiale de ce type toponymique devait ĂȘtre *GLATTINIACU.

    Xavier Delamarre citant François Falc'hun envisage, pour Glatigny (Manche), une explication par le gaulois *Glasso-tanno, chĂȘne vert (cf. vieux cornique glastannen)[12]. On retrouve une explication analogue chez Albert Dauzat et Charles Rostaing qui envisagent, pour Glatigny (Manche), un nom de personne gaulois Glastinus sur *glas-to « vert » aussi suivi du suffixe (-i)-acum[13].

    François de Beaurepaire, pour Glatigny (Manche), propose un composĂ© de ce mĂȘme suffixe (-i)-acum, prĂ©cĂ©dĂ© du nom de personne germanique *Glattinus, hypocoristique de l'anthroponyme *Glatto, postulĂ© par le nom de personne germanique dĂ©rivĂ© Glatoldus, citĂ© par Marie-ThĂ©rĂšse Morlet et le toponyme Glatens, suivi du suffixe germanique -ing(-os)[14]. En outre, certains noms en (-i)-acum sont basĂ©s sur un anthroponyme germanique, surtout dans le domaine de la langue d'oĂŻl, ainsi trouve-t-on Botto / Bottinus dans Boutigny, Brekko / Brekkinus dans BrĂ©cquigny ou Iso / Isinus dans Isigny[15].

    Les explications de X. Delamarre et A. Dauzat, phonĂ©tiquement possibles, se heurtent Ă  une double difficultĂ© : l'absence d'attestation d’un [s] (c'est-Ă -dire *Glasteniacum). En effet, aucune des formes anciennes pour les diffĂ©rents Glatigny ne tĂ©moigne de la prĂ©sence de cette consonne. En outre, les formations de ce type sont plutĂŽt typiques du domaine d'oĂŻl, ainsi, la signification d'« endroit oĂč pousse des chĂȘnes verts » ne correspond pas Ă  la zone de diffusion de cette essence qui ne croĂźt (croissait) pas au-delĂ  du Sud de la rĂ©gion parisienne.

    L'argumentation de F. de Beaurepaire n'est guÚre plus solide : il est improbable qu'un anthroponyme germanique, non attesté, ne se retrouve qu'en composition avec le suffixe (-i)-acum dans un type toponymique par ailleurs fréquent.

    Par contre, Michel Roblin y a vu un ancien radical *glat(t)- « collant »[16], dont on peut retrouver de nombreux dĂ©rivĂ©s attestĂ©s dans l'aire d'extension du toponyme Glatigny et ses variantes : ainsi, une terre compacte est dite glatte ou glette en Indre-et-Loire et dans le Sud-Est de l'Orne[17]; dans une zone plus large encore, ce terme ou l'une de ses variantes (glat, glarde
) dĂ©signe une « terre durcie », une « terre collante ». La forme glette est aussi attestĂ©e dans l'Eure en tant que substantif pour dĂ©signer une substance cartilagineuse, gluante et grasse, semblable Ă  de la gĂ©latine. Plus au sud (VendĂ©e, Vienne, Centre), le terme glas, glat (fĂ©minin glatte) prend le sens de « (pain) non levĂ©, compact »[18] - [19].

    Michel Roblin propose donc pour *GLATTINIACU, un « lieu caractĂ©risĂ© par une terre collante ou durcie ». La racine *glatt- remonterait au bas-latin *glatidus (d'oĂč le gallo-roman *GLATTU), dĂ©rivĂ© du substantif glatia « glaise »[20] - [21].

    Histoire

    La commune est située sur la voie romaine reliant Metz à Worms. Elle appartient au territoire de la principauté épiscopale de Metz suivant le don fait en 1018 par le roi allemand Henri II de la « réserve royale » comprise entre la Seille et la Nied allemande.

    Plus tard, Ă  partir du XIIe siĂšcle, le pouvoir dans la citĂ© de Metz Ă©tait passĂ© des mains de l'Ă©vĂȘque Ă  celles des riches patriciens constituĂ©s en groupes de familles apparentĂ©es, appelĂ©es pour cela les paraiges. La citĂ© Ă©tait divisĂ©e en cinq mairies et un maĂźtre Ă©chevin dirigeait tout ce collĂšge. Village du Pays messin, Glatigny, comme Sainte-Barbe, Hayes et Vry, est situĂ©e sur le territoire appelĂ© Haut Chemin qui est rattachĂ© au paraige messin de la Porte Mazelle.

    Glatigny est partagée en trois bans :

    • le ban Saint-Vincent, appartint Ă  l’abbaye Saint-Vincent puis aux moines Trinitaires ;
    • le ban Paragon fut engagĂ© Ă  Jean Drouin puis aux familles de Heu, Baudoche, Vigneulles et le Goullon ;
    • le ban de Villers, oĂč se trouvait le vieux chĂąteau appartint Ă  la seigneurie de Villers-Laquenexy dont les maĂźtres furent entre autres Nicole Louve et la famille de Qouray.

    La ferme de la BruyĂšre Ă©tait la propriĂ©tĂ© de la seigneurie des Étangs.

    Au XVIe siĂšcle, la seigneurie de Glatigny est aux mains de Blaise ou Saint-Blaise. Daniel de Saint-Blaise, marchand, ayant obtenu le titre de sire en , avait Ă©pousĂ© Marthe Rollin dont le pĂšre Philippe Rollin Ă©tait receveur de la citĂ©. Leur fils, Daniel II, aman et l'un des Treize en 1642, dĂ©putĂ© de Metz en 1645, lui succĂ©da et prit le titre de seigneur de Glatigny. Il avait Ă©pousĂ© en 1697 Marie de Montigny ; puis, devenu veuf, Jacqueline Charpentier. À sa mort la seigneurie fut divisĂ©e en deux, Ă  Anne l'hĂ©ritiĂšre de Marie de Montigny Ă©chut une moitiĂ©, aux hĂ©ritiers de Jacqueline Charpentier l'autre moitiĂ©. Au XVIIIe siĂšcle, la seigneurie est aux mains de la famille Le Goulon[22].

    Le , un petit enfant du village, Didier Le Moyne, disparaĂźt alors qu'il accompagnait sa mĂšre Ă  la fontaine. Un Juif de Boulay qui se rendait Ă  Metz le mĂȘme jour est accusĂ© Ă  tort d'avoir enlevĂ© l'enfant Ă  des fins de "meurtre rituel". Il est condamnĂ© Ă  ĂȘtre brĂ»lĂ© vif par le Parlement de Metz et subit ce supplice Ă  Metz le . Depuis ce jour le village de Glatigny est un village maudit ("geĂ€ssert") pour les Juifs qui doivent Ă©viter de s'y rendre et le contourner en hiver dĂšs la tombĂ©e du jour. Mais le , 344 ans aprĂšs ce double drame, une plaque est inaugurĂ©e dans le village Ă  la mĂ©moire de RaphaĂ«l LĂ©vy, en prĂ©sence du maire, des autoritĂ©s rabbiniques et consistoriales et de reprĂ©sentants de l'État. Par suite de cette reconnaissance officielle de l'innocence de RaphaĂ«l LĂ©vy, Glatigny cesse d'ĂȘtre un village "maudit" pour les Juifs et devient un symbole de la bonne entente et du dialogue entre les diffĂ©rentes confessions[23].

    En 1844, on y trouve 282 individus et 38 maisons. L'école est fréquentée par 29 garçons et 12 filles. Territoires : 597 hectares dont 219 en bois et 29 en friches (un four à chaux appartenant à M. Joinville).

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur Ă  une ancre d‘or posĂ©e en barre mouvant d'une mer d‘argent et accompagnĂ© en chef d'un triangle accostĂ© de deux Ă©toiles, le tout aussi d‘argent.
    Commentaires : Ce sont les armes de la famille messine Blaise qui a possédé la seigneurie de Glatigny au XVIIe siÚcle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977 Louis Houzelle
    mars 1977 mars 1995 Henri Pierron
    mars 1995 mars 2001 Jean-Luc Winkel
    mars 2001 mars 2008 Fabrice Guibert
    mars 2008 En cours Victor Stallone
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[25].

    En 2020, la commune comptait 259 habitants[Note 3], en augmentation de 3,6 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    195191220237250282242239200
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    192197187189182160170147144
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    13110711785114858994195
    1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 - -
    220253276282256261259--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Ferme-chĂąteau, donjon du XVIIe siĂšcle, pigeonnier.
    • Ferme de BĂ©ville[28]
    • Ferme de la BruyĂšre
    • Passage d'une voie romaine[29]
    • La croix Ă  l'entrĂ©e du village
    • Salle des fĂȘtes
    • Lavoir, sources.

    Édifice religieux

    • Commune sans Ă©glise[30].

    Personnalités liées à la commune

    • Émile Job (1874-1932), mĂ©decin colonel, chevalier de la LĂ©gion d’honneur (1915), nĂ© Ă  BĂ©ville[31].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

    • Verronais, DĂ©partement de la Moselle, 1844 (rĂ©Ă©dition Res Universis, 1992).Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Glatigny » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « QualitĂ© des eaux de riviĂšre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consultĂ© le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenĂȘtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « le ruisseau de Vallieres »
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    10. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 560.
    11. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
    12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Ă©ditions errance 2003. p. 288.
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Ă©ditions Larousse 1968. p. 322.
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing qui proposent *Glatto dans ce cas précis également in Op. cit. p. 322.
    15. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986.
    16. Michel Roblin, Le Terroir de Paris aux Ă©poques gallo-romaine et franque : peuplement et dĂ©frichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), Ă©d. A. et J. Picard, Paris, 1951; thĂšse soutenue Ă  l’UniversitĂ© de Paris, p. 115.
    17. Marie-Rose Simoni-Aurembou, Atlas Linguistique de l’Île-de-France et de l’OrlĂ©anais, CNRS, Paris, vol. I, 1973, carte n° 17.
    18. Walther von Wartburg, puis Jean-Pierre Chambon, Französisches etymologisches Wörterbuch, BĂąle, 1928-
, t. IV, p. 157a et 830a, s.v. glÄ­ttus.
    19. Wikimanche Glatigny
    20. Michel Roblin, Op. cit.
    21. Cette analyse est reprise et dĂ©veloppĂ©e dans Dominique Fournier, La variation microtoponymique en Normandie, Étude microtoponymique de l’interfluve dĂ©fini par les vallĂ©es de la Dives et de la Vie, thĂšse de Doctorat en Sciences du Langage, UniversitĂ© Paris XIII, 1990, p. 134, § 60.
    22. Jean-Paul Philips, Patrimoine rural en Pays messin, Éditions Serpenoise, 2007.
    23. Bérénice Rocfort-Giovanni, « Le juif et le village maudit », Le Nouvel Observateur n°2575, semaine du 13 mars 2014, pages 82.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Jardin de la ferme de Béville - Glatigny 57 - Journées du patrimoine - Lorraineaucoeur
    29. « Glatigny (Moselle) - Fiche - Quid.fr »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    30. « Pays messin. Savez-vous quelles communes n’ont pas d’église (mais oĂč les cloches dĂ©posent tout de mĂȘme des chocolats aux enfants pour PĂąques) ? », sur www.republicain-lorrain.fr (consultĂ© le )
    31. http://www.genealogie-metz-moselle.fr/pays-messin/personnages/job-emile.pdf
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