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Gerville

Gerville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Gerville
Gerville
Vue de la mairie vers l'Ă©glise.
Blason de Gerville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté d'agglomération Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Estelle Guénot
2020-2026
Code postal 76790
Code commune 76300
DĂ©mographie
Gentilé Gervillais, Gervillaises
Population
municipale
439 hab. (2020 en augmentation de 14,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 146 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 41â€Č 48″ nord, 0° 19â€Č 49″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 125 m
Superficie 3,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FĂ©camp
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Gerville
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Gerville

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Gerville
    Froberville
    Les Loges Gerville Maniquerville
    Fongueusemare

    Le village dispose d'un bois partagé avec la commune des Loges, une partie de celui-ci est en domaine privé. Un ancien chemin permettait de relier les hameau du Mont RÎti à la ferme du Coquet (propriétaire Antoine Debris). On dit que Gerville était situé sur une ancienne voie romaine, le village étant trÚs ancien.

    Le GR 21 traverse une partie du village.

    La commune comprenait plusieurs hameaux :

    • la Mare Chanseuse (Sanseuze, Sausseuze ? Dans ce cas, comme pour Sausseuzemare-en-Caux, Salicosa mara 1080, il s'agit de la « mare aux saules » du vieux français saus / sauce, saule. Cf. Sauchay, La Saussaye, Sausseuse, etc.[1])
    • le Bihorel (homonymie avec Bihorel, du nom du bihoreau ?)
    • la HĂȘtrĂ©e
    • le Parlement
    • le Beau Soleil
    • Vue-du-Coquet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 986 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  72 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Gerville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (99,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,2 %), prairies (0,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village est mentionnĂ© sous les formes Geyrivilla vers 1040[22], latinisĂ©e Girae villa entre 1057 et 1067 et semi-latinisĂ©e Guirevilla au XIVe - XVe siĂšcle, avec [g] dur du dialecte cauchois[23]. La forme du français central avec [ʒ] a prĂ©valu.

    Il s'agit d'un nom en -ville caractéristique (cf. Toponymie normande), au sens ancien de « domaine rural ».

    Il est précédé du nom de personne de type germanique Gero ou Giro pour François de Beaurepaire[24], idem pour René Lepelley[25] ou du nom de personne norrois Gerri pour Albert Dauzat et Charles Rostaing[26] qui l'associent à Guerville (Guerrevilla XIIe siÚcle), autre commune de Seine-Maritime. Il faut sans doute comprendre Geri, car *Gerri n'est pas attesté en vieux norrois.

    Wolfgang Laur cite le nom norrois Geri Ă  propos de Gereby (de) (Allemagne, Schleswig-Holstein). C'est celui-lĂ  qui pourrait ĂȘtre contenu dans Gerville-la-ForĂȘt (Manche), car il prĂ©sente au contraire des formes anciennes plus compatibles avec cette explication : Gerivilla en 1080 et Gerevilla en 1146. Geri est la forme vieux danois du nom de personne vieux norrois GĂŠiRi (variante Geiri)[27]. De la mĂȘme maniĂšre, Gerville (Criquetot-le-Mauconduit, Geyrivilla vers 1040) contient manifestement la variante vieux norrois Geiri / GĂŠiRi.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Les Sans-Culottes-de-la-Manche[28].

    Histoire

    Sous la RĂ©volution, il existait un club rĂ©volutionnaire nommĂ© les Sans-Culottes-de-la-Manche. Ses membres devaient jurer « 'ĂȘtre fidĂšle Ă  la Nation, d'obĂ©ir Ă  ses lois, de maintenir tout son pouvoir Ă  la RĂ©publique, de dĂ©noncer les traĂźtres, les royalistes et les fanatiques ». Ils avaient enlevĂ© trois livres d'argenterie Ă  l'Ă©glise - datant Ă  l'Ă©poque du XIIIe siĂšcle. Au XVIIIe siĂšcle, le village avait 600 habitants mais en 1850, on ne dĂ©nombrait que 500 Ăąmes et 573 dĂ©nombrĂ©s en 1895. La premiĂšre pierre de l'Ă©glise actuelle fut posĂ©e en 1879 et le se dĂ©roula la bĂ©nĂ©diction de l'Ă©difice par le cardinal Henri de Bonnechose. Un pensionnat renommĂ© (3 classes) fonctionna jusqu'en 1899. La crĂ©ation du chemin de fer d'Étretat en supprimant les diligences et en rendant ainsi difficiles les relations avec Gerville, serait Ă  l'origine de sa fermeture. Le chĂąteau ayant appartenu Ă  Camille Albert, architecte rĂ©putĂ© Ă  FĂ©camp, a Ă©tĂ© dĂ©truit le par un incendie. Un centre de jeunesse y avait Ă©tĂ© Ă©tabli avant que les Allemands n'occupent la propriĂ©tĂ©.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Émile Lebreton
    1923 1940 Jean Basille
    1959 1976 Marcel Gruchy
    1976 1978 Michel Auger
    1978 1987 Roger Paris
    1988 Josette Gautier
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Christiane Fréger
    mars 2008 mai 2020 Thierry Masurier ÉCO ChargĂ© de mission au ministĂšre des collectivitĂ©s territoriales
    Vice-prĂ©sident de la CA FĂ©camp Caux Littoral AgglomĂ©ration (2017 → 2020)
    mai 2020[29] En cours
    (au 10 août 2020)
    Estelle Guénot Secrétaire de mairie
    Vice-prĂ©sidente de la CA FĂ©camp Caux Littoral AgglomĂ©ration (2020 → )

    Anciens maires : Gilbert Delahais, Josette Gautier, Roger Paris, Michel Auger, Marcel Gruchy, etc.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 439 habitants[Note 8], en augmentation de 14,32 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490550546455491466473635592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    608625654534500443432425419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    378363384317329311319320305
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    309272235250351381409413377
    2017 2020 - - - - - - -
    424439-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise

    L'Ă©glise.

    L'Ă©glise de Saint-Michel de Gerville dont le chƓur datait du XIIIe siĂšcle comptait quatre-vingt paroissiens et 51 feux en 1758. Le clocher fut ruinĂ© par les ouragans en 1708, et l'archidiacre fit rĂ©Ă©difier la tour. Au bout de la nef, on voyait encore en 1895 plusieurs grandes pierres tombales qui semblaient recouvrir les cendres des seigneurs de ce lieu. Les inscriptions Ă©taient presque effacĂ©es.

    La mairie

    La mairie.

    La mairie a été rénovée, la pierre a été mise en valeur, quelques drapeaux ont été ajoutés récemment. Cette maison qui jouxtait l'ancienne boulangerie-café-hÎtel, tenue par madame Paris, était dans le passé beaucoup moins typique. Dans la partie « bibliothÚque municipale » logeaient les instituteurs (M. et Mme Escarieux). Ce dernier a occupé les fonctions de secrétaire de mairie.

    Le bourg, centre du village

    Dans le passé, il y avait une boucherie, deux épiceries dont une avec débit de tabac, deux cafés, un coiffeur, un hÎtel restaurant, et le village était bien différent. Aujourd'hui, c'est un lieu de quiétude, la vie des riverains a changé, chacun possédant une voiture et les activités sont différentes d'autrefois. Plusieurs fermes existaient : l'entrepreneur agriculteur Delahaie, les agriculteurs Debris, Bouillon, Golin, Lebreton, Foubert et d'autres.

    Le bourg Ă©tait particuliĂšrement vivant les dimanches aprĂšs la messe, Ă  cĂŽtĂ© de la forge, il y avait face Ă  l'Ă©glise le cafĂ© oĂč se rĂ©unissaient les Gervillais de l'Ă©poque.

    L'ancienne forge

    Elle a appartenu Ă  monsieur Roland Saunier, puis monsieur Jacobet. Ce dernier ne l'utilisait plus comme telle, son Ɠuvre Ă©tait des reproductions miniatures, il semble qu'il avait rĂ©alisĂ© une miniature du palais BĂ©nĂ©dictine de FĂ©camp, qui serait exposĂ©.

    L'Ă©cole communale

    L'école, à l'origine, avait un arbre dans la cour, à gauche sur la photo et proche du grillage. Les deux préaux séparaient les garçons et les filles. Cette école est toujours en activité aujourd'hui, mais il y a un regroupement de communes pour que l'établissement demeure une enceinte scolaire.

    Le chĂąteau

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Tallebot, dĂ©cĂ©dĂ© le , sieur de Gerville, conseiller et procureur du roi. InhumĂ© dans l'Ă©glise de Criquetot.
    • Camille Albert (1852-1942), architecte (LĂ©gion d'honneur).
    • Maurice Jules Calixte Delamare, nĂ© le Ă  Gerville (LĂ©gion d'honneur).

    HĂ©raldique

    Armes de Gerville

    Les armes de la commune de Gerville se blasonnent ainsi :
    d’argent Ă  la bande d’azur chargĂ©e de trois molettes d’or, accompagnĂ©e de deux bonnets phrygiens de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. François de Beaurepaire, op. cit..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Gerville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Gerville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) [article], page 149.
    23. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    24. ibidem
    25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, éditions PUC, 1996, p. 133b.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Librairie Guénégaud, Paris 1978.
    27. Site de Nordic Names : nom de personne Geri
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. « Municipales 2020. Estelle GuĂ©not devient maire de Gerville : Elle Ă©tait secrĂ©taire de mairie de ce petit village, situĂ© prĂšs de FĂ©camp. La nouvelle Ă©lue succĂšde Ă  Thierry Masurier », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Depuis 2003, elle Ă©tait secrĂ©taire de mairie Ă  Gerville. Estelle GuĂ©not est devenue maire du village samedi 23 mai, succĂ©dant Ă  Thierry Masurier ».
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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