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La Saussaye

La Saussaye est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

La Saussaye
La Saussaye
La porte des Chanoines.
Blason de La Saussaye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Didier Guérinot
2020-2026
Code postal 27370
Code commune 27616
DĂ©mographie
Gentilé Saulcéens
Population
municipale
1 889 hab. (2020 en augmentation de 2,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 535 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 15â€Č 30″ nord, 0° 58â€Č 55″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 149 m
Superficie 3,53 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Saussaye
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Grand Bourgtheroulde
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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La Saussaye
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La Saussaye

    Les habitants sont appelés Saulcéens.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La Saussaye est situĂ©e Ă  3,7 km d'Elbeuf et Ă  21,5 km de Rouen.

    Hydrographie

    La commune est traversée par l'Oison[3].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 785 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Canappeville », sur la commune de Canappeville, mise en service en 1960[10] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 744 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et Ă  22 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    La Saussaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La Saussaye, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[20] et 3 434 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (44,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (35,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (44,8 %), prairies (25,4 %), forĂȘts (18,7 %), terres arables (11,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Dans les actes anciens, le hameau de la Saussaye est mentionnĂ© sous plusieurs appellations : Salecia et Salceia en 1307 (la Roque), La Sauchoie en 1310 (cartulaire de Bonport), Saulceye et Salceya en 1311 (lettres patentes de Philippe le Bel), La Sausaye en 1319 (charte de Guill. d’Harcourt), Saucheia en 1327 (cart. de Bonport), Saint Loys de la Sauchoie en 1345 (ch. de Blanche d’Avaugour), La Sauchie au XIVe siĂšcle (vitraux de la cathĂ©drale d’Évreux), La Saussoye au XVe siĂšcle (manuscrit de Saint-Victor ; rouleaux des morts, publiĂ©s par la SociĂ©tĂ© de l’histoire de France), La Chaussaye au XVIe siĂšcle (comptes de l’archevĂȘchĂ© de Rouen), La Saulsaie en 1598 (dĂ©claration du chapitre), La Saussay en 1782 (Dictionnaire des postes)[27].

    La saussaie, du latin salis, suffixĂ© au fĂ©minin, est un nom plus que frĂ©quent en toponymie, les saussaies sont des lieux humides, oĂč prospĂšrent les saules[28].

    Histoire

    Origine du nom et du hameau

    Dans les actes anciens, le hameau de la Saussaye est mentionné sous plusieurs appellations : la Saucée, la Saulcée, la Chaussaye, parfois la Saucoye
 Il est probable que le village doive son nom à la présence de nombreux saules qui ont toujours poussé spontanément dans ses terres humides et argileuses.

    Quant Ă  l'origine du hameau lui-mĂȘme, l'examen d'objets et de vestiges divers remontants Ă  l'Ă©poque gauloise permet de penser que les premiers habitants seraient venus d'Elbeuf-sur-Seine[29].

    À la hauteur du chĂąteau d'eau existait un petit village appelĂ© Saint-Nicolas du Bosc Asselin, de part et d'autre de la rue FrĂ©dĂ©ric-Raux, mais surtout au sud. Vers le nord, et dĂšs l'Ă©poque celte, on trouvait un groupement de foyers appelĂ© depuis toujours le Canoel ou Canouel (Cann dĂ©signant un lieu humide garni de roseaux et EL signifiant l'eau en celtique). Au sud de Saint-Nicolas du Bosc Asselin, un troisiĂšme hameau s'Ă©tait Ă©tabli : Saint-Martin la Corneille. Dans les anciens titres, cette paroisse Ă©tait appelĂ©e la « Carnaye » et mĂȘme la « Carnage ». On y dĂ©couvrit de nombreux tombeaux et dĂ©bris humains, ce qui valut au village voisin le nom de Saint-Pierre-des-Cercueils. Vers l'est, en partant de Saint-Martin la Corneille, on trouve un autre groupe de maisons, de constitution rĂ©cente : le hameau de Villeneuve. On peut y voir, dans un vallon boisĂ©, la plus jolie mare de La Saussaye : la « Mare au Vivier ». À l'est encore, depuis la mare et depuis le labour des « Vingt Acres », s'Ă©tend la forĂȘt d'Elbeuf-sur-Seine. Lors de l'apparition de la province appelĂ©e Normandie, elle s'appelait la forĂȘt des Monts Le Comte et faisait partie du domaine ducal que Rollon se rĂ©serva Ă  la suite de la conquĂȘte de la Neustrie. La Neustrie occidentale prit le nom de Normandie lorsque fut ratifiĂ© le traitĂ© de Saint-Clair-sur-Epte signĂ© par Rollon, 1er duc normand et Charles III le Simple, roi de France en 911.

    En 1808, la commune est absorbée par celle voisine de Saint-Martin-la-Corneille[30].
    Le , le chef-lieu de la commune est transféré à La Saussaye et la nouvelle commune absorbe celle de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin[30] ; cette derniÚre porta provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Bosc-Asselin[31].

    Anciennes voies d'accĂšs

    À l'Ă©poque, on montait d'Elbeuf-sur-Seine vers la forĂȘt et vers La Saussaye par la « cavĂ©e » (chemin) du tapis vert. Aujourd'hui, la rue du Tapis-Vert dĂ©bouche encore sur la « route du Bas » ou « petite cĂŽte » pour la mĂȘme destination. Une autre voie montait d'Elbeuf-sur-Seine vers Le Neubourg. Il s'agit d'une voie ancienne datant des empereurs romains Domitien et Vespasien d'aprĂšs des monnaies trouvĂ©es sur son tracĂ© en 1832. Elle quittait Elbeuf-sur-Seine par la rue des Échelettes (actuel quartier de l'hĂŽpital), grimpait dans la forĂȘt et gagnait tout droit Saint-Pierre-des-Cercueils (appelĂ© depuis 1924, Saint-Pierre-des-Fleurs). On peut encore la suivre au milieu de la plaine, en partant du chĂąteau d'eau, tout droit, vers Saint-Pierre.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 mars 2008 Jean-Marie Dransart
    mars 2008 En cours Didier Guérinot SE Agent technique
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 1 889 habitants[Note 8], en augmentation de 2,11 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    595746777702708681744715
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    708657630597503491490475484
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    4554594154635507731 3701 5421 502
    1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 - -
    1 8401 9541 9321 9281 8601 8831 889--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La collĂ©giale Saint-Louis (fondĂ©e aux XIVe, XVIe et XIXe siĂšcles, reconstruite aprĂšs l'incendie de 1875) ;
    • Le puits des Chanoines et la maison du Sonneur (place du CloĂźtre) ;
    • Le manoir des Saules (ancienne auberge datant de 1922) ;
    • L'Ă©glise Saint-Martin ;
    • La maison d'AndrĂ© Maurois (manoir Saint-Nicolas).

    Site classé

    • L'if sur la propriĂ©tĂ© de M. Picard, en bordure du chemin de Saint-Martin-la-Corneille Ă  Saint-Cyr-la-Campagne, Logo des sites naturels français Site classĂ© (1928)[35].

    Site inscrit

    Patrimoine historique (sauvegarde)

    L'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Saulcéen (A.S.P.S.) a pour but de contribuer, avec les moyens qui sont les siens, à la sauvegarde et à la valorisation du Patrimoine immobilier, mobilier, culturel et environnemental de la commune de La Saussaye [37].

    Manifestation culturelle

    Le salon du livre de La Saussaye se tient chaque année depuis 2010. Organisé par l'association locale « Mieux Vivre », il se tient, en principe, en mars[38].

    HĂ©raldique

    Les armoiries de La Saussaye se blasonnent ainsi :
    CoupĂ© de un parti de trois : au I fascĂ© d'argent et de gueules de huit piĂšces, au II d'azur semĂ© de fleurs de lis d'or brisĂ© en chef d'un lambel de gueules, au III d'argent Ă  la croix potencĂ©e d'or et cantonnĂ©e de quatre croisettes du mĂȘme, au IV d'or Ă  quatre pals de gueules, au V d'azur semĂ© de fleurs de lis d'or, Ă  la bordure de gueules, au VI d'azur au lion contournĂ© d'or Ă  la queue fourchue, armĂ©, lampassĂ© et couronnĂ© de gueules, au VII d'or au lion de sable, armĂ© et lampassĂ© de gueules, au VIII d'azur semĂ© de croisettes recroisetĂ©es au pied fichĂ© d'or, Ă  deux bars adossĂ©s du mĂȘme brochants, sur le tout d'or Ă  la bande de gueules chargĂ©e de trois alĂ©rions d'argent. [Armes pleines de Lorraine]; au lambel de gueules brochant; le tout enfermĂ© dans une bordure de gueules chargĂ©es de huit besants d'or.

    Personnalités liées à la commune

    • Alexandre Le Bienvenu du Busc Rabasse (1781-1852)[39], aide de camp (alias Ferdy) d'Hingant de Saint-Maur, pendant la chouannerie normande, y est mort le .
    • L'abbĂ© François-Marie-Alfred Blanquart, curĂ© local Ă©rudit, membre Ă©minent de la SociĂ©tĂ© des amis des arts du dĂ©partement de l'Eure au dĂ©but du XXe siĂšcle[40].
    • Émile Herzog alias AndrĂ© Maurois (1885-1967), l'Ă©crivain et industriel vĂ©cut Ă  La Saussaye dans les annĂ©es 1920.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Oison (H5009000) ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Canappeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre La Saussaye et Canappeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Canappeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre La Saussaye et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de La Saussaye », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 209 (lire en ligne sur DicoTopo)
    28. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
    29. Histoire de La Saussaye, document rédigé par Bernard Plumey pour la mairie de la Saussaye.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « L'if à La Saussaye », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    36. « La place de la Saussaye avec l'église,le cimetiÚre », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    37. « Association de Sauvegarde du Patrimoine Saulcéen ».
    38. http://www.mieux-vivre-lasaussaye.org/notre-salon-du-livre/
    39. « Souvenirs du chevalier LE BIENVENU DU BUSC, aide de camp du comte Hingant de Saint-Maur », sur http://shenandoahdavis.canalblog.com (consulté le ).
    40. Voir son exposé en 1903 relatif à la chapelle de Bethléem (Aubevoye).
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