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Saint-Pierre-des-Fleurs

Saint-Pierre-des-Fleurs est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Saint-Pierre-des-Fleurs
Saint-Pierre-des-Fleurs
Blason de Saint-Pierre-des-Fleurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Roumois Seine
Maire
Mandat
Bruno Germain
2020-2026
Code postal 27370
Code commune 27593
DĂ©mographie
Gentilé Saint Pierrais
Population
municipale
1 634 hab. (2020 en augmentation de 7,5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 586 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 15â€Č 05″ nord, 0° 58â€Č 00″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 163 m
Superficie 2,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Saussaye
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Grand Bourgtheroulde
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    Entourée par les communes de La Saussaye, Le Bec-Thomas et Le Thuit-Signol, Saint-Pierre-des-Fleurs est situé à 5 km au sud-ouest d'Elbeuf, la plus grande ville à proximité. La commune est distante de 12 km du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    GĂ©ologie et relief

    La commune s'Ă©tend sur 2,8 km2 et se situe Ă  150 mĂštres d'altitude.

    Hydrographie

    La riviĂšre l'Oison est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Saint-Pierre-des-Fleurs[3].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 778 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Canappeville », sur la commune de Canappeville, mise en service en 1960[10] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 744 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et Ă  23 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-des-Fleurs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La Saussaye, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[20] et 3 434 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (63,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (36,1 %), terres arables (27,5 %), forĂȘts (16,6 %), prairies (13,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Sanctus Petrus de Sarqueiis en 1257, Sanctus Petrus de Sarquieux en 1274[27], Saint Pierre de Sarquiez en 1390[28], Saint Pierre des Cerqueils en 1317 (lettres de fondat. de la Saussaye), Saint Pierre d’Escherqueulx au XVe siĂšcle (dĂ©n. de la vic. de Conches), Sainct Pierre de Cercleux en 1562 (arriĂšre-ban), Saint Pierre des Cerqueux en 1615, Saint Pierre des Serqueils, en 1756 (aveu), Saint Pierre des Cerquieux en 1777 (notariat de Tourville-la-Campagne)[28], Saint-Pierre-des-Cercueils[29], appellation en usage jusqu'en 1924 date Ă  laquelle lui fut substituĂ© le nom actuel[27], moins macabre sans doute , mais aussi moins riche de passĂ©[30].

    Saint-Pierre est un hagiotoponyme faisant référence à l'église Saint Pierre dédiée à Pierre (apÎtre).

    La forme mĂ©diĂ©vale sarquieux « cercueils Â» a Ă©tĂ© Ă©vincĂ©e par la forme moderne vers la Renaissance. Le mot sarqueu / serqueu Ă©tait le seul d'emploi courant au Moyen Âge. On trouve des formations analogues en Seine-Maritime : Saint-Aubin-des-Cercueils (Sanctus Albinus de Sarkieous en 1248), ancienne paroisse rĂ©unie Ă  Saint-Aubin-Routot et Serqueux[31].

    A la fin du XXe siÚcle les gens du voisinage l'appelaient encore « Saint-Pierre-des-Cercueils »[32].

    C'est une allusion probable à une nécropole antique ou à un cimetiÚre médiéval.

    Histoire

    Généralités

    « Les rois de Neustrie aimaient Ă  sĂ©journer au cƓur de leur royaume pourvu de forĂȘts giboyeuses, prĂšs desquelles ils avaient amĂ©nagĂ© des rĂ©sidences royales .» Ă©crit Marcel Baudot dans ses recherches sur les origines de l'Eure.
    Le palais du Vaudreuil Ă©tait l'une de ces rĂ©sidences qui virent se succĂ©der : ChilpĂ©ric, Clotaire II, Dagobert, Carloman. Les forĂȘts oĂč ils chassaient Ă©taient les forĂȘts de Bord, de Louviers et d'Elbeuf-sur-Seine et celle qui bordait l'Oison sur toute sa longueur.
    Trente-huit nĂ©cropoles mĂ©rovingiennes ont Ă©tĂ© repĂ©rĂ©es dans l'Eure au cƓur de ces forĂȘts, vingt-deux dans le Vexin, les autres Ă  Bueil, Saint-Pierre-des-Fleurs, Tournedos-sur-Seine, Martot, Saint-Pierre-du-Vauvray...

    C'est vers les VIIIe, IXe et Xe siĂšcles, que le catholicisme pĂ©nĂ©tra dans nos campagnes, quoique faisant peu d'efforts pour se mettre Ă  la portĂ©e des ruraux abandonnĂ©s Ă  eux-mĂȘmes et vivant de superstitions.
    La constitution d'une paroisse était difficile. Il fallait un groupement important d'individus, une église ou un oratoire entretenu par un propriétaire aisé. Le curé, nommé était souvent illettré.

    Archéologie

    Dans le cadre de fouilles archĂ©ologiques effectuĂ©es en 2007, le premier trĂ©sor de monnaies vikings trouvĂ© en France, a Ă©tĂ© exhumĂ© sur le territoire de la commune. Il est constituĂ© de 2 monnaies carolingiennes (dont un denier d'Eudes 888 - 889, frappĂ© Ă  Beauvais), neuf piĂšces anglaises de facture scandinave (Danelaw, imitation du numĂ©raire d'Alfred le Grand), une monnaie arabe et neuf fragments de lingots. Les monnaies avaient Ă©tĂ© pliĂ©es et testĂ©es Ă  coups de couteaux, pratique commune chez les Vikings en vue de vĂ©rifier leur qualitĂ©. Il a dĂ» ĂȘtre enfoui vers 890 - 895[33] - [34].

    HĂ©raldique

    Armes de Saint-Pierre-des-Fleurs

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    d'azur aux deux clefs d'or passées en sautoir, au chef d'argent chargé de trois roses de gueules.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Jean Marie
    mars 2001 2014 Christian Gréboval
    mars 2014 juin 2018
    (démission)
    Gaby Lefebvre SE-DVG puis LREM ConseillÚre départementale (2015-2021)
    juin 2018 En cours Bruno Germain DVG
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 1 634 habitants[Note 8], en augmentation de 7,5 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    342390410435434469420386376
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    406411406396379328299310334
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    302237199203234254241266289
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2694676681 1101 1321 2491 3141 2691 289
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 5201 6141 634------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre

    Peu aprĂšs l'an mil, lorsque le territoire de Saint-Pierre devint une paroisse, il fallait bien qu'il y eĂ»t une chapelle. Elle Ă©tait peut-ĂȘtre bĂątie Ă  l'emplacement de l'Ă©glise actuelle, sur un des points hauts du territoire et Ă  la croisĂ©e de plusieurs voies antiques gauloises puis romaines. L'Ă©glise paroissiale qui lui a succĂ©dĂ© est un Ă©difice cruciforme orientĂ© ouest-est comme les Ă©glises primitives. Cet Ă©difice est terminĂ© par une abside en hĂ©micycle qui est la partie la plus ancienne de la construction et date du XIVe siĂšcle ; elle est Ă©paulĂ©e par trois contreforts romans.

    La nef du XVe siĂšcle est limitĂ©e par une façade en pierres taillĂ©es provenant de la vallĂ©e de la Seine ; cette nef a Ă©tĂ© remaniĂ©e plusieurs fois. Le clocher carrĂ© en charpente et sa flĂšche octogonale dateraient du XIIe siĂšcle et Ă©taient, Ă  l'origine couverts par des « essentes Â» de chĂątaignier, bois qui chasse les araignĂ©es et rĂ©siste Ă  la pluie, mais pas Ă  l'incendie. En 1743, on remplace le toit de chĂątaignier par un toit d'ardoises. Dans le chevet se trouvent deux trĂšs beaux vitraux, l'un dĂ©diĂ© Ă  la « PĂȘche Miraculeuse », l'autre au « Martyre de saint Pierre ».

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Oison (H5009000) ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Canappeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Fleurs et Canappeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Canappeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Fleurs et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de La Saussaye », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 186.
    28. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 205.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Cahiers Léopold Delisle : Recueil d'études normandes en hommage au docteur Jean Fournée, vol. 27 à 28, Société parisienne d'histoire et d'archéologie normandes, , p. 54.
    31. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 133.
    32. Vie et langage, vol. 46 Ă  57, Larousse, , p. 433.
    33. Thibault Cardon, en collaboration avec Jens-Christian Moesgaard, Richard Prot et Philippe Schiesser, Revue Numismatique, vol. 164, 2008, p. 21-40.
    34. Élisabeth Ridel, les Vikings et les mots : L'apport de l'ancien scandinave Ă  la langue française, Ă©ditions errance, Paris, 2009, p.52 - 53.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

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