Georges Yoram Federmann
Georges Yoram Federmann, né le à Casablanca au Maroc, est un médecin psychiatre français établi à Strasbourg. Il est le fondateur, en 1997, du cercle Menachem-Taffel.
Naissance |
Casablanca |
---|---|
Nationalité | Française |
Profession | MĂ©decin et psychiatre |
---|
Biographie
Famille et formation
Originaire de Casablanca, sa famille arrive en France en 1963, avant d'ĂȘtre naturalisĂ©s français et de s'installer Ă Paris, rue de Lancry, puis Ă Avignon oĂč il Ă©tudie Ă l'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Jean-Henri Fabre, de 1963 Ă 1966. AprĂšs deux ans Ă NĂźmes, scolarisĂ© au collĂšge Jean-Henri Fabre, ils s'Ă©tablissent Ă Marseille, jusqu'en 1972 puis Ă Strasbourg.
AprÚs des études de médecine, il se spécialise en psychiatrie, et se consacre aux soins des invalides de guerre (dont les "malgré-nous" ou incorporés de force), des toxicomanes et des étrangers sans-papiers[1] - [2].
CarriĂšre
Juif militant, il se situe Ă lâextrĂȘme-gauche et milite pour la dĂ©fense des marginalisĂ©s, et pour la reconnaissance du droit Ă lâexistence de lâĂtat dâIsraĂ«l, tout en dĂ©fendant la cause palestinienne[1].
Avec le cercle Menachem-Taffel[3], association qui milite pour la reconnaissance et la mémoire des atrocités commises à Strasbourg par le professeur August Hirt à la faculté de médecine nazie, il a contribué à redonner une identité aux 86 juifs victimes de ces crimes[4]. En 2011, en hommage aux victimes, une partie du quai Pasteur à Strasbourg a été rebaptisée quai Menachem Taffel, du nom du premier cadavre identifié[5].
En 2015, le documentaire de cinéma Le Divan Du Monde (réalisé par Swen De Pauw) suit ses consultations de psychiatrie, à visages découverts[4].
En 2019, Georges Federmann expose les détails politiques et philosophiques de son engagement humaniste dans le documentaire Comme Elle Vient, tourné en une nuit face caméra (à nouveau réalisé par Swen De Pauw)[6] - [7] - [8] - [9].
Il se marie à Véronique Dutriez en 1980, institutrice et militante associative engagée, avec qui il a eu trois enfants[10].
La mort de Véronique, tuée par un patient, survient brutalement le 16 novembre 2005[4].
Il se remarie en 2007 à Anja Vogel, journaliste à Radio France, spécialiste de l'Europe, avec qui il conçoit deux enfants[1].
Pratique de la médecine
Georges Federmann étudie à la faculté de médecine de Strasbourg de 1975 à 1987. Il s'installe en 1987 en cabinet de psychiatrie privé.
Lâaccueil des patients fragiles[11]
Sa thÚse de médecine « La lecture en hÎpital psychiatrique. Son usage, sa place, ses fonctions » soutenue en 1985, dessine les contours de la « Bibliothérapie ».
D'aprÚs Françoise Alptuna dans le Bulletin des BibliothÚques de France « Le Docteur Georges Federmann a bien été le premier médecin à découvrir et analyser l'importance du livre en milieu psychiatrique en France »[12].
EngagĂ© auprĂšs des plus dĂ©munis "en prise directe avec le mal-ĂȘtre et les espoirs contemporains"[13] ("des blessĂ©s de guerre, des toxicomanes et des personnes en situation irrĂ©guliĂšre"[11]), Georges Federmann a dĂ©veloppĂ© une pratique de la psychiatrie particuliĂšre, recevant ses patients "sans rendez-vous"[14].
La posologie prescrite va au plus prÚs de la demande et des besoins du patient que Federmann considÚre comme le véritable expert de sa souffrance[15] - [16] - [17].
En 2005 il porte plainte auprĂšs de lâOrdre des MĂ©decins contre les Docteurs Jean-François Mattei et Philippe Douste-Blazy, successivement ministre de la SantĂ© des gouvernements Raffarin 1 et 2 en 2002 et 2004, pour avoir participĂ© Ă compliquer, selon lui, lâaccĂšs aux soins pour les bĂ©nĂ©ficiaires de lâAME (Aide MĂ©dicale dâĂtat)[18].
Georges Federmann anime le pĂŽle mĂ©dical dâAmnesty International alsacien depuis 2008[19].
Son rapport au JudaĂŻsme
NĂ© d'une famille juive marocaine (dont la branche paternelle est d'origine galicienne, via la Palestine ottomane, puis britannique), câest au dĂ©but de ses Ă©tudes de mĂ©decine Ă Strasbourg que Georges Federmann questionne son rapport au judaĂŻsme. Il trouve dans le champ de la mĂ©decine lâopportunitĂ© de dĂ©passer la dimension communautariste de toute religion. Il dĂ©clare alors ĂȘtre « nĂ© juif puis s'ĂȘtre converti Ă lâexercice de la mĂ©decine » par essence universaliste[14]. Il se dit « militant de la reconnaissance du droit Ă lâexistence de lâĂtat dâIsraĂ«l, mais aussi un militant de la cause palestinienne dont les droits sont bafouĂ©s. »[14] Il estime que le judaĂŻsme est, en Occident, une fonction politique, anthropologique et sociale, tĂ©moin d'une forme d'engagement utopique, universaliste et bouc-Ă©missaire, tour Ă tour pris comme exemple ou stigmatisĂ©[20].
MalgrĂ© les foudres qu'il a pu subir d'une partie de la communautĂ© juive de Strasbourg vis-Ă -vis de ses positions politiques, la permanence de son engagement pour la mĂ©moire du judaĂŻsme a fini par ĂȘtre reconnue unanimement, comme en tĂ©moigne son rĂ©fĂ©rencement sur le site « JudaĂŻsme Alsacien », reconnu dans tout l'espace juif francophone[21].
En tĂ©moignage de son judaĂŻsme sans frontiĂšre, il multiplie depuis 30 ans les interventions et les cĂ©lĂ©brations ĆcumĂ©niques (notamment Ă la chapelle catholique de l'hĂŽpital de Hautepierre chez son ami et prĂȘtre Denis Ledogar), ainsi que les combats associatifs, aux cĂŽtĂ©s de pasteurs, de prĂȘtres, et d'imams, soulignant son attachement aux actions de terrains inter-religieuses[22].
La ville de Strasbourg lui confie la rĂ©daction de la page novembre du calendrier interreligieux 2019 oĂč sa contribution cĂŽtoie celles du Pape François, de Monseigneur Ravel (ArchevĂȘque de Strasbourg) et de Christian Krieger (Vice prĂ©sident de l'UEPAL)[23] - [24].
L'agression de 2005
Le , il est agressé avec son épouse, Véronique Dutriez, par un patient à son cabinet à Strasbourg. Véronique décÚde le lendemain à l'ùge de 51 ans[25], lui, blessé de 4 balles tirées à bout portant, se rétablit aprÚs plusieurs mois de convalescence.
Un an aprĂšs, il crĂ©e le prix VĂ©ronique Dutriez, en sa mĂ©moire, dĂ©cernĂ© chaque annĂ©e au mois d'avril Ă un travail artistique, historique ou sociologique, pour encourager le travail de MĂ©moire et de Connaissance des gĂ©nocides et des totalitarismes. Il a Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© Ă l'Ă©crivain Boris Pahor pour l'ensemble de son Ćuvre autour des dĂ©portations et des camps de la Seconde Guerre mondiale (notamment son roman PĂšlerin parmi les ombres paru en 1996 chez La Table Ronde[26]) ; puis Ă l'Ă©conomiste et sociologue Bernard Friot pour son ouvrage sur la fonction rĂ©volutionnaire de la SĂ©curitĂ© sociale, Puissances du salariat[27].
Engagements
- Ras l'Front-Strasbourg : il est à l'origine de la création de l'antenne strasbourgeoise de Ras l'Front, aux cÎtés des instituteurs Michel Kraft et Véronique Dutriez, et des sociologues Roland Pfefferkorn et Alain Bihr, en 1990. Il en sera président de nombreuses années et en reste un des membres actifs[28].
- Un soutien de Jacques Gaillot: Il a organisé depuis 1995 de nombreuses rencontres entre Jacques Gaillot et les acteurs locaux de l'action sociale, et a notamment participé à une marche internationale de soutien à la Palestine[29] - [30].
- Les Roms de Zamoly: à l'été 2000, le journaliste Israélien Michel Warschawski prévient Georges Federmann de l'arrivée imminente d'un groupe de Roms à Strasbourg, que la presse désignera sous le nom des « 52 roms de Zåmoly »[31]. Ces Roms sédentaires de la ville de Zåmoly (Hongrie) fuiraient des persécutions raciales et demandent le droit d'asile à la France[32]. Il mÚnera ce combat aux cÎtés de citoyens et d'avocats engagés dans la défense des droits de l'homme. Aux cÎtés de Richard Moyon, Michel Bombola, Janos Borovi, Véronique Dutriez et Christine Mengus, ils obtiendront le droit d'asile d'une grande partie du groupe en 2003 octroyé par la Cour nationale du droit d'asile (CNDA)[33].
- Siné Hebdo: il collabore à la revue Siné Hebdo, dÚs son lancement en 2008 par Siné[34].
- Citoyens du Monde: inspirĂ© par le militant pacifiste Garry Davis qui crĂ©a le mouvement des Citoyens de Monde en 1948, il devient membre de l'association dans les annĂ©es 90, avant d'ĂȘtre Ă©lu « dĂ©lĂ©guĂ© » par le CongrĂšs des Peuples en 2010 pour un mandat de 9 ans[35].
- Le MRAP: il est président du Comité de Strasbourg du MRAP depuis 2016 (succédant à Alfred Zimmer)[36]. Il a participé à la création de cette antenne en 1998, avec notamment son épouse Véronique Dutriez (qui en a été la premiÚre présidente)[32].
- Le Cercle Menachem Taffel: en 1997 Federmann s'associe au psychiatre allemand Roland Knebusch (exerçant dans la ville de Kehl) pour crĂ©er le Cercle Menachem Taffel, en partie pour marquer son hostilitĂ© Ă la tenue du congrĂšs du Front national Ă Strasbourg[37], et en appelant Ă une rĂ©habilitation mĂ©morielle des 86 victimes juives du docteur Hirt, mĂ©decin nazi exerçant Ă lâInstitut dâanatomie de Strasbourg[38]. Avec l'aide des adhĂ©rents du Cercle Menachem Taffel, les Docteurs Federmann et Knebusch s'interrogent sur les mĂ©canismes qui ont poussĂ© l'une des meilleures mĂ©decines occidentales (techniquement et scientifiquement | de 1901 Ă 1939, sept prix Nobel sont dĂ©cernĂ©s Ă des scientifiques et mĂ©decins allemands) Ă adhĂ©rer spontanĂ©ment au nazisme[6]. La rĂ©flexion menĂ©e par Federmann et Knebusch s'Ă©tend jusqu'Ă la question de la place du mĂ©decin dans la sociĂ©tĂ© d'aujourd'hui, qui doit rĂ©pondre de la responsabilitĂ© d'offrir un accueil inconditionnel Ă tous les patients, pour ne surtout pas reproduire le schĂ©ma d'exclusion ayant frappĂ© les "indĂ©sirables" d'hier (juifs, homosexuels, tziganes, malades mentauxâŠ)[6].
- La commĂ©moration de la Saint-Valentin: le 14 fĂ©vrier 1349, les Juifs de la ville de Strasbourg sont brĂ»lĂ©s en place publique (Ă l'endroit actuel de la place de la RĂ©publique). Tous les ans, avec le Cercle Menachem Taffel, Georges Federmann tient une cĂ©rĂ©monie commĂ©morative, en revĂȘtant le monument aux morts d'un voile noir, et en faisant le lien entre ces Juifs et d'autres personnes dont l'actualitĂ© rapporte la stigmatisation[39] - [40].
- Le destin des sept résidents juifs de la Fondation Sonnenhof: en juillet 1940, et sous la surveillance de la Gestapo, sept résidents juifs de la maison de santé de l'institution psychiatrique Sonnenhof à Bischwiller, sont enlevés et disparaissent à jamais. Georges Federmann participe à rendre les faits publics, prÚs de 50 ans aprÚs qu'ils sont survenus[41].
- Les Stolpersteine Ă Strasbourg: en 2006 le cercle Taffel lancent l'idĂ©e d'Ă©tendre les Stolpersteine Ă la ville de Strasbourg. En 2015 un groupe de travail est enfin constituĂ© autour de personnalitĂ©s comme les historiens Fabienne Regard et Eckhard Wirbelauer, le plasticien et historien dâart Richard Aboaf, l'astronome Bertrand Goldman, et Georges Federmann[42]. Le projet des "PavĂ©s de la MĂ©moire" est destinĂ© Ă honorer les victimes locales du nazisme, et voit le jour le .
Vidéographie
- Comme elle vient documentaire de Swen de Pauw, 102 min. Production Projectile, RĂ©pliques, 2018[6] - [7] - [8] - [9]
- Le Divan du Monde, documentaire de Swen de Pauw, 95 min. Production Seppia, distribution Shellac, 2015[43] - [44].
- AprĂšs la Guerre LâAlsace Moselle, câest la France, documentaire de Hubert Schilling et Michel Favart, SĂ©pia- France TĂ©lĂ©visions, 2015.
- Le nom des 86, documentaire réalisé par Emmanuel Heyd et Raphael Toledano, durée 63 min. Production dora films sas - Alsace 20 - Télébocal - Cinaps TV, 2014[45].
- Au nom de la science et de la race - Strasbourg 1941-1944, documentaire réalisé par Sonia Rolley, Axel et TancrÚde Ramonet, durée 55 min. Production France 3 - Temps noirs, .
- Il Ă©tait une fois lâEurope, film collectif rĂ©alisĂ©s par les Ă©tudiants du CollĂšge AndrĂ© Malraux de Paron, 2013>
- On remuait les lĂšvres mais on ne disait rien, de Gabriele Schaal, Supermouche Productions, 2012
- Paroles de DAL. Retour sur 10 ans de lutte dans le 68, de JĂ©rĂŽme Champion, Filfil Films et La FlĂšche Production, 2006
- Crimes contre lâHumanitĂ© 1 / 1933-1945, film collectif rĂ©alisĂ©s par les Ă©tudiants du CollĂšge AndrĂ© Malraux de Paron, 2005
- Un racisme à peine voilé, de JérÎme Host, 2004
- Le cimetiĂšre des fous, de Monique Seeman, 2004
Galerie
- Georges Yoram Federmann et Boris Pahor Ă Strasbourg en juin 2015.
- Georges Federmann, en 2005.
- Georges Federmann et sa premiĂšre Ă©pouse VĂ©ronique Dutriez, dans le quartier de la Robertsau Ă Strasbourg, 2003.
- Georges Federmann, chez Mahmoud, avril 2005.
- Georges Federmann, à l'UPQ (Université Populaire du Quartier), rue Edouard Teutsch à Strasbourg, octobre 2002.
- Georges Federmann, place de la République à Strasbourg, décembre 2002.
- Georges Federmann, devant la synagogue de Strasbourg, septembre 2002.
- Georges Federmann, rue Lauth Ă Strasbourg, octobre 2002.
Bibliographie
- Georges Federmann, Le Divan du monde, Paris, Golias, coll. « Itinerances », , 264 p. (ISBN 978-2-35472-229-6 et 2-35472-229-X)
Ouvrages Collectifs
- Multiculturalisme, Métissage et Démocratie, sous la direction de Henri Vaugrand Textes rassemblés par Henri Vaugrand | Textes de Michel Wieviorka, François Laplantine, Jacques Ardoino, Jean-Pierre Bailly, Georges Yoram Federmann et Nathalie Vialaneix, L'Harmattan, 2012[46]
- La ville 24/24, de Luc Gwiazdzinski, LâAube/Datar, 2003, page 145 Ă 152 « FidĂ©litĂ© au Serment dâ Hippocrate »[47]
- La psychiatrie Ă lâheure de la santĂ© mentale, de la page 291 Ă 308 « Le livre : sa place, son utilisation et ses fonctions Ă lâhĂŽpital psychiatrique ». Ouvrage sous la direction de Pierre-François Chanoit et Jean De Verbizier, ErĂšs, 1994
Préfaces
- Rédaction de la note de programme de l'album de musique électroacoustique « Mistpouffers » du musicien marseillais eRikm, paru en 2018 chez Empreintes Digitales.
- « L'impossible retour de Tambov », de Michel Henry, Paraiges, 2016 (ISBN 978-2-37535-008-9)[48]
- « Les Auschwitz : tĂ©moignages », de Georges Snyders, Jacqueline Fleury & Walter Spitzer, RodĂ©o d'Ăme, 2012, (ISBN 978-2-9529128-9-1)[49]
- « Péché Mortel », bande dessinée de Béhé et Toff, collection « Les Intégrales », Vent d'Ouest, 2010, (ISBN 978-2-7493-0533-2)[50]
Publications dans des revues sociologiques & politiques
- "X-Alta" n° 2/3, "Multiculturalisme", , pp. 141-154. « Le parti pris de lâĂ©tranger » (ISBN 2-913-998-00-3)
- "Quasimodo" n°9, "Corps en guerre. Imaginaires, idĂ©ologies, destructions", Printemps 2005. « L âhorreur de la mĂ©decine nazie. Struthof, 1943 : qui se souviendra de Menachem Taffel ? », Quasimodo No 9, pp. 109-125, (ISSN 1279-8851)[51] - [38]
- "Mortibus" n°10/11, "Masses et moi", Automne 2009, « Médecine et crimes de masse », pp 241 à 260. (ISSN 1950-3237)
Psychiatrie Française
- Volume 30 n°3, "Imprévus", article "Des-livres-nous-du-mal" pages 63 à 72, . (ISSN 0755-9755)
- Volume 27 n°3, "Qu'est-ce que la Santé mentale ?", article "Que reste-t-il de nos souffrances ?", pages 104 à 109, , (ISSN 0755-9755)[52]
- Volume 26 numéro spécial, "Des limites de la psychiatrie", article "La Nef des Fous", pages 155-157, , (ISSN 0755-9755)
- Volume 25 n°3, "Psychiatrie en mĂ©decine", article "Mais quâallonsânous faire dans cette galĂšre ?", , pages 74 Ă 80, (ISSN 0755-9755)
Psychiatrie
- N°163 « Emprises. Quand ça pense pour moi », article « Accueillir des Ă©trangers malades, lâexpĂ©rience du dĂ©partement du Bas-Rhin », , pages 245 Ă 252.
Notes et références
- Alvezio Buonasorte, « Georges Federmann, psychiatre engagĂ© », LâAlsace, 7 septembre 2015.
- ClĂ©ment Ghys, « Un cabinet filmĂ© de lâintĂ©rieur », LibĂ©ration, 15 mars 2016.
- « Victimes du Pr Hirt : des restes retrouvĂ©s Ă l'Institut de mĂ©decine lĂ©gale de Strasbourg », DerniĂšres nouvelles dâAlsace, 19 juillet 2015.
- Pierre France, « Dans la profondeur infinie du divan de Georges Federmann», rue89strasbourg.com, 11 mars 2016.
- « :Quai_Menachem_Taffel_(Strasbourg) », sur www.archi-wiki.org (consulté le )
- « « Comme elle vient » : la parole Ă Georges Federmann, psychiatre militant », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « L'Obs | Les films à voir cette semaine », sur L'Obs (consulté le )
- « Comme elle vient de Swen de Pauw - (2018) - Film - Film documentaire » (consulté le )
- « Comme elle vient », sur Zibeline, (consulté le )
- VĂ©ronique Federmann-Dutriez & Georges Federmann, « Ătrangers : le mĂ©decin et les traumatismes de la peur. To go or not Togo. », sur CAIRN.INFO, (consultĂ© le )
- « « Comme elle vient » : la parole Ă Georges Federmann, psychiatre militant », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- Françoise Alptuna, « Qu'est-ce que la bibliothérapie ? », sur bbf.enssib.fr, (consulté le )
- « Le Divan du monde, conte d'un psychiatre extraordinaire », sur LEFIGARO (consulté le )
- « Le Portrait du lundi. Georges Federmann, psychiatre engagé », sur www.lalsace.fr (consulté le )
- Federmann, « Le patient souffre comme il le dit », sur pratiques, (consulté le )
- « Ces médecins allemands qui gazaient des juifs en Alsace. Dialogue avec le psychiatre Georges Federmann », sur Jewpop, (consulté le )
- « Georges Federmann Un psychiatre engagé », sur TEDxAlsace, (consulté le )
- Tonino Serafini, « Deux médecins aux cÎtés des sans-papiers », sur Libération (consulté le )
- « Le divan du monde : analyse d'une relation salvatrice », sur L'Humanité, (consulté le )
- « "Mon judaïsme est messianique" : Le psy qui soigne la veuve et l'orphelin, avec Georges Yoram Federmann, actualité 2018-19 », sur www.akadem.org (consulté le )
- « Georges Yoram FEDERMANN », sur judaisme.sdv.fr (consulté le )
- « 5 questions au psychiatre Georges Federmann », sur Regards protestants, (consulté le )
- « LâĂ©dition 2019 du calendrier interreligieux est disponible », sur www.strasbourg.eu (consultĂ© le )
- « Calendrier des religions 2019 - Strasbourg.eu », sur calameo.com (consulté le )
- « A Strasbourg, un dĂ©sĂ©quilibrĂ© tue la femme d'un psychiatre rĂ©putĂ© », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- Pahor, Boris, 1913- et Impr. Sagim), PÚlerin parmi les ombres : récit, La Table ronde, (ISBN 2-7103-0709-X et 9782710307099, OCLC 409745785, lire en ligne)
- Friot, Bernard, (1946- ...).,, Puissances du salariat, Paris, La Dispute, impr. 2012, cop. 2012, 437 p. (ISBN 978-2-84303-226-4 et 2843032261, OCLC 834976931, lire en ligne)
- « A Strasbourg, un dĂ©sĂ©quilibrĂ© tue la femme d'un psychiatre rĂ©putĂ© », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Un imam, un rabin et un Ă©vĂȘque soutiennent une marche pour Gaza », sur L'Orient-Le Jour, (consultĂ© le )
- « Gaza. Un imam, un rabin et un Ă©vĂȘque soutiennent une marche en Palestine », sur Le Telegramme, (consultĂ© le )
- Nicole GAUTHIER, « Roms réfugiés à Strasbourg. », sur Libération (consulté le )
- « A Strasbourg, un dĂ©sĂ©quilibrĂ© tue la femme d'un psychiatre rĂ©putĂ© », Le Monde.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- _Archives_>_Roms_de_Zamoly_:_un_statut_de_rĂ©fugiĂ©_pour_une_premiĂšre_famille2001">Accueil > Archives > Roms de Zamoly : un statut de rĂ©fugiĂ© pour une premiĂšre famille, « Roms de Zamoly : un statut de rĂ©fugiĂ© pour une premiĂšre famille », sur Ligue des droits de lâHomme, (consultĂ© le )
- « Les souvenirs du Strasbourgeois Georges Federmann aprÚs la disparition de Siné », sur France Bleu, (consulté le )
- « Elus CDP », sur www.recim.org (consulté le )
- « Courrier des lecteurs. Ă propos de lâarrĂȘtĂ© », sur www.dna.fr (consultĂ© le )
- « Le Portrait du lundi. Georges Federmann, psychiatre engagé », sur www.lalsace.fr (consulté le )
- Maud Joly, « « Corps en guerre. Imaginaires, idĂ©ologies, destructions », Quasimodo, n°8 et n°9, Printemps 2005. », Clio. Femmes, Genre, Histoire, no 30,â (ISSN 1252-7017, lire en ligne, consultĂ© le )
- (de) Eurojournalist Strasbourg, « La Saint-Valentin en 1349 », sur Eurojournalist(e), (consulté le )
- « Strasbourg. CommĂ©moration: lâautre Saint-Valentin, triste 14 fĂ©vrier 1349 », sur www.dna.fr (consultĂ© le )
- Olivier, Philippe, 1952-, Jean Kahn, une biographie : 1929-2013, Paris, Hermann, 621 p. (ISBN 979-10-370-0082-8, 978-979-1037-00-6 et 979-1037-00-0, OCLC 1096486356)
- « Le projet de pavés de la mémoire est relancé », sur www.dna.fr (consulté le )
- Denis Durand de Bousingen, « âLe Divan du Mondeâ, un film sur les patients du Dr Georges Federmann », Le Quotidien du mĂ©decin, 19 mars 2016.
- Arnaud Schwartz, « âLe Divan du mondeâ, un fil retendu », La Croix, 16 mars 2016.
- « LE NOM DES 86 | dora films », sur www.lenomdes86.fr (consulté le )
- Vaugrand, Henri. et Impr. Corlet numérique), Multiculturalisme, métissage et démocratie, Paris, L'Harmattan, dl 2012, 157 p. (ISBN 978-2-296-96336-8 et 2296963366, OCLC 795441746, lire en ligne)
- Gwiazdzinski, Luc, 19.-, Zeldin, Theodore, 1933- et Emmanuelli, Xavier, 1938-, La ville 24 heures sur 24 : regards croisés sur la société en continu, La Tour d'Aigues/Paris, Ed. de l'Aube, , 253 p. (ISBN 2-87678-843-8, 9782876788435 et 2876788438, OCLC 402149495, lire en ligne)
- Henry, Michel-F. (1942-....)., L'impossible retour de Tambov : un incorporĂ© de force raconte, Metz, Ăditions des Paraiges, 115 p. (ISBN 978-2-37535-008-9 et 2375350081, OCLC 982736361, lire en ligne)
- Snyders, Georges, (1917-2011). et Spitzer, Walter, (1927- ...)., Les Auschwitz : témoignages, Rodéo d'ùme, impr. 2012, 76 p. (ISBN 978-2-9529128-9-1 et 2952912890, OCLC 862782100, lire en ligne)
- Béhé, Toff., Péché mortel, Grenoble, Vents d'ouest, , 222 p. (ISBN 978-2-7493-0533-2 et 2749305330, OCLC 717618825, lire en ligne)
- « Lien vers l'article dans son intégralité | page web PDF », sur www.revue-quasimodo.org (consulté le )
- « Que reste-t-il de nos souffrances ? », sur Les Malgré-Nous, (consulté le )
- Humainitaire, humanitaireries, ĂrĂšs, , 184 p. (ISBN 2-86586-882-6 et 9782865868827, OCLC 491054888, lire en ligne)
- « Article complet tiré de la revue Sud/Nord 2002/2 (no 17) », sur CAIRN.info
Liens externes
- Le Cercle Menachem Taffel, Site du judaĂŻsme dâAlsace et de Lorraine.