Accueil🇫🇷Chercher

Gazeran

Gazeran est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Gazeran
Gazeran
La mairie.
Blason de Gazeran
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA Rambouillet Territoires
Maire
Mandat
Emmanuel Salignat
2020-2026
Code postal 78125
Code commune 78269
DĂ©mographie
Gentilé Gazeranais
Population
municipale
1 295 hab. (2020 en augmentation de 1,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 38′ 05″ nord, 1° 46′ 28″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 171 m
Superficie 25,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rambouillet
LĂ©gislatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gazeran
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gazeran
GĂ©olocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Gazeran
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
Voir sur la carte administrative d'ĂŽle-de-France
Gazeran
Liens
Site web https://www.mairie-gazeran.fr/

    GĂ©ographie

    Position de Gazeran dans les Yvelines.

    Description

    Vaste commune rurale, largement boisée, Gazeran est incluse dans le massif forestier de Rambouillet et au commencement de la riche région agricole de la Beauce et à km de Rambouillet.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Guéville, petite rivière, affluent de la Drouette, qui prend sa source dans le parc du château de Rambouillet et qui se jettera plus tard dans l'Eure (rivière)

    Communes limitrophes

    Transports et voies de communications

    Le chemin de Guéville.

    RĂ©seau routier

    Gazeran est traversée par la l'ancienne route nationale 306 (actuelle RD 906) un axe important reliant Rambouillet à Épernon.

    Desserte ferroviaire

    La commune dispose de la gare de Gazeran qui est située sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest desservie par des trains omnibus du réseau TER Centre-Val de Loire, circulant entre Paris-Montparnasse et Chartres .

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 20, 24, 30 et 89 de l'établissement Transdev de Rambouillet, par la ligne Express 60 de l'établissement Transdev de Houdan et par la ligne B du réseau de bus Rbus.

    Autres

    Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Rambouillet à l'est jusqu'à Poigny-la-Forêt au nord-ouest.

    Urbanisme

    Typologie

    Gazeran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[4] - [5].

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 93,42 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,77 % d'espaces ouverts artificialisés et 3,81 % d'espaces construits artificialisés[6].

    Occupation des sols détaillée

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,8% 99
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,7% 44
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 47,6% 1225
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,5% 13
    ForĂŞts de feuillus 43,1% 1111
    Forêts de conifères 1,7% 45
    Source : Corine Land Cover[7]

    Hameaux de la commune

    • Le Gâteau, l'Essart, Batonceau, GuĂ©ville, Cutesson.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Waswing, Waswinganum, Wasiringus en 885[8] dans une charte du comte Eudes, fils de Robert le Fort[9], Wasiringo au XIe siècle, Gazezrannum, Gazerannum, Gaseren[10], Gaserent[10], Gasserent, Gasserend, Gaseran en 1201[11], et enfin Gazeran en 1793[12].

    Il s'agit d'un type toponymique germanique en –ing[13] - [9]. Ce suffixe a régulièrement évolué vers la terminaison -an en français (exemples : chambellan ; cormoran ; paysan ; etc.).

    Selon Marianne Mulon, le premier élément Gazer- représente le nom de personne germanique Gashari[9], alors qu'Albert Dauzat propose sans conviction l'anthroponyme germanique Wasuger[14].

    Remarque : aucune de ces deux hypothèses n'est réellement satisfaisante sur le plan phonétique : les formes les plus anciennes montrent que le toponyme initial commence par W-, or il ne peut procéder de G-, dans l'histoire de la phonétique française, c'est l'inverse (exemple : verbes *war-ôn > gar-er; *ward-ôn > gard-er; etc., substantifs *wrakjo > gars, garçon; etc., anthroponymes Warinhari > Garnier, etc. Quant à l'hypothèse Wasuger, les formes en Wasw- Wasir- ne permettent pas de confirmer la présence d'un [g].

    Histoire

    Les seigneurs de Gazeran sont connus dès le commencement du XIe siècle dans la personne d'Adelilme. Ce dernier fit élever son fils Amaury par les moines de Saint-Évroult (Saint-Chéron) sur le prix de la dîme de Puseolis. Ce fils, devenu prêtre, donna, à sa mort en 1076, cette dîme à Sainte-Marie de Maule, aux dires d'Orderic Vital.

    Thierry de Gazeran, l'un des plus grands seigneurs de son temps à la cour du roi Louis VII le Jeune, signa, avec Guy le Bouteiller de Senlis et Anseau de l'Isle, la charte de commune accordée à la ville de Compiègne.

    Simon de Gazeran figura en 1181 comme témoin des deux chartes du prieuré de Brethencourt, délivrées par Simon III de Montfort. Il signa jusqu'en 1213 beaucoup de chartes de Simon III. Sa fille se fit religieuse à Yerres et il donna à l'abbaye le moulin de Gazeran comme dot.

    En 1209, Mainier de Gazeran (mort avant 1226) prend comme cens de l'abbaye d'Yerres ce même moulin de Gazeran, pour six muids de seigle et redevance annuelle et 20 sous parisis par an. Il notifie aussi que son fils Simon de Gazeran, chevalier, et son épouse ont ratifié la donation faite aux Vaux de Cernay par Mathilde, femme de Mainier d'un muid de blé à prendre sur sa grange d'Ossonville ou Ouarville (Eure-et-Loir). Mainier donna aux Moulineaux (ancien prieuré de Poigny) un muid de blé sur le moulin de Gazeran.

    Simon de Gazeran, chevalier, donna aux Vaux de Cernay un demi-muid de blé à prendre annuellement sur sa grange d'Ossonville à la Toussaint de chaque année. Simon de Gazeran fut le bienfaiteur d'un grand nombre d'abbayes et de prieurés. Il se croisa avec le roi Saint Louis et mourut comme lui en Terre Sainte en 1270.

    En 1307, le châtelain de la maison de Saint-Priest (Eure-et-Loir), propriétaire de vastes domaines près de Tours, encourut la disgrâce du chapitre de Notre-Dame de Chartres pour avoir appréhendé au corps un homme que les chanoines disaient de la famille Simon de Gazeran.

    Vers la fin du XIVe siècle, l'héritier de Gazeran porta cette châtellenie avec celle d'Ouarville à la maison de Prunelay ou Prunelé (ancien château disparu d'Eure-et-Loir), originaire des Portes, près d'Étampes.

    La famille de Prunelay a possédé Gazeran jusqu'en 1706 et Ouarville jusqu'à la fin du XIXe siècle. En 1708 le château devient propriété du comte de Toulouse, mais qui cesse de l'habiter, le démolit et en utilise les pierres à Rambouillet.

    Au début du XIXe siècle, la famille Hache bâtit sur les ruines le château actuel [15].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rambouillet de Seine-et-Oise puis des Yvelines[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Rambouillet

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.

    Intercommunalité

    Gazeran faisait partie de la communauté de communes Plaines et Forêts d'Yveline, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité devient une communauté d'agglomération en 2015 sous le nom de Rambouillet Territoires communauté d’agglomération Rambouillet Territoires (RTCA).

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec la petite communautĂ© de communes ContrĂ©e d'Ablis-Porte des Yvelines et la communautĂ© de communes des Étangs pour former, le , la communautĂ© d'agglomĂ©ration dĂ©nommĂ©e Rambouillet Territoires dont la commune est dĂ©sormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? ? M. Combet
    ? octobre 2009 [17] Bernard Bataille
    (décédé en fonction)
    Président de la CC Plaines et Forêts d'Yveline (2003 → 2009)
    décembre 2009[18] En cours
    (au 12 mars 2021)
    Emmanuel Salignat Vice-président de la CA Rambouillet Territoires (2017 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[19]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2020, la commune comptait 1 295 habitants[Note 3], en augmentation de 1,17 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    682618670826896684645679683
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    660660630645650644618684651
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    640673664635631626591536557
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5205806738129401 1561 1761 1621 238
    2015 2020 - - - - - - -
    1 2871 295-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 622 hommes pour 663 femmes, soit un taux de 51,60 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    5,2
    7,6
    75-89 ans
    11,3
    19,8
    60-74 ans
    17,1
    25,2
    45-59 ans
    24,4
    15,5
    30-44 ans
    15,0
    12,6
    15-29 ans
    11,4
    17,9
    0-14 ans
    15,6
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    La commune possède ses propres maternelle et école primaire. Les études à partir du collège doivent être effectuées à l'extérieur, le plus souvent à Rambouillet ; un service de ramassage scolaire payant est mis à disposition par la société Transdev rambouillet dans le cadre du réseau d'autobus francilien.

    Sports

    La commune dispose d'un terrain de football et de deux courts de tennis, et il existe une association gazeranaise de football.

    Économie

    L'économie de la commune repose principalement sur l'agriculture et le maraîchage.

    La commune dispose aussi d'un centre commercial, Le Brayphin, en limite de la ville de Rambouillet, qui propose 17 enseignes dont 2 restaurants[25].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château-fort Saint-Antoine : construit au XIe siècle dont il ne reste que l'ouvrage d'entrĂ©e muni d'un pont-levis.
    • Église Saint-Germain-l'Auxerrois : Ă©glise du XIe siècle, remaniĂ©e au XVIIe et restaurĂ©e en 1856.
    • Château de GuĂ©ville : Ă©difice de style Renaissance datant de la fin du XIXe siècle.

    Galerie

    • Le château de GuĂ©ville.
      Le château de Guéville.
    • L'Ă©glise Saint-Germain-l'Auxerrois.
      L'Ă©glise Saint-Germain-l'Auxerrois.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • La salle des fĂŞtes et le lavoir de Gazeran.
      La salle des fĂŞtes et le lavoir de Gazeran.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Gazeran Blason
    Le blason de Gazeran se présente ainsi : De gueules à six annelets d'or posés 3, 2 et 1, au chef d'azur semé de fleurs de lis d'or, à deux cotices ondées d'argent brochant sur le tout du chef.
    DĂ©tails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Gazeran », p. 722–725

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    7. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    8. Les noms de lieu de la France, 1920.
    9. Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
    10. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, page 239..
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 313.
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    15. « Historique | Site officiel de la commune de Gazeran » (consulté le )
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Christine Boutin, « Triste nouvelle », sur https://cboutin.wordpress.com, (consulté le ).
    18. Christine Boutin, « Élection d’Emmanuel Salignat comme Maire de Gazeran », sur https://cboutin.wordpress.com, (consulté le ).
    19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gazeran (78269) », (consulté le ).
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    25. (fr)« Centre Commercial Brayphin », sur mairie-gazeran.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.