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GĂ©rald Collot

Gérald Collot est un peintre, lithographe abstrait et historien de l'art français né le à Paris et mort le à Plaisir (Yvelines)[1] - [2].

GĂ©rald Collot
Portrait présumé de Gérald Collot,photographie anonyme.
Naissance
Décès
Nom de naissance
Gérald Émile Eugène Collot
Nationalité
Activités
Autres activités
Conservateur du musée de Metz, professeur de peinture à l'École des arts appliqués de Metz, créateur de vitraux
Formation
Études supérieures d'archéologie et d'histoire de l'art, université de Nancy
Maître
Mouvement
Père
Ernest-René Collot, peintre et critique d'art
Conjoint
Marthe Hamue, artiste peintre
Enfant
Jean-Pierre Collot, pianiste
Distinction

Il fut conservateur du musée de Metz de 1957 à 1987, puis vécut à Courquetaine.

Biographie

Gérald Collot est le fils du peintre Ernest-René Collot (1904-1955), installé au 63, rue d'Angoulême dans le 11e arrondissement de Paris, cité avec Jacques Busse, Jean Cortot et Michel Patrix parmi les élèves d'Émile Othon Friedz[3] qui autour de 1942 constituèrent le Groupe de l'échelle[4], également critique d'art dans les colonnes du Figaro et auteur d'un livre sur les peintres de l'École de Pontoise[5]. De mère lorraine, bachelier en mathématiques puis étudiant jusqu'à la licence de lettres en 1950 à l'université de Nancy — ville où il a grandi —, Gérald Collot commence simultanément, influencé dans ce premier temps par Georges Rouault, à pratiquer la peinture de façon autodidacte en 1946 - « elle va devenir sa passion et l'affaire d'une vie »[6] - et connaît sa première exposition à Nancy en 1954[3]. Il effectue eu 1954-1955 un séjour au Sanatorium des étudiants de France de Saint-Hilaire du Touvet qui lui offre d'être fasciné par « la beauté à la fois picturale et plastique des reliefs alpestres. Les paysages enneigés de la région de Grenoble connaîtront une résurgence tardive dans son œuvre sous la forme de paysages d'hiver profondément récomposés »[6].

C'est en 1955 qu'avec un mémoire consacré au peintre et graveur lorrain Étienne Cournault Gérald Collot obtient son diplôme d'études supérieures d'archéologie et d'histoire de l'art[7]. En même temps, ses liens avec Alfred Manessier et Roger Bissière, son exposition à la galerie du Haut-Pavé que vont suivre ses participations aux salons parisiens, situent Gérald Collot au cœur du monde des artistes de l'École de Paris[7] : il est là, perçoit Raphaël Mariani, « un historien de l'art germanophone doublé d'un jeune peintre confirmé et familier des tendances actuelles », et le musée de Metz va « lui permettre d'unir son amour de la peinture à son goût pour l'érudition universitaire »[6].

Entré en en tant que jeune conservateur stagiaire au musée de Metz (actuel musée de la Cour d'Or), puis, au départ à la retraite d'André Bellard en 1957, nommé conservateur pour le demeurer trente années durant[7], Gérald Collot y reste apprécié comme « un homme marquant qui donne un élan formidable au musée en faisant réaliser trente-cinq nouvelles salles »[8], « prenant conscience, restituera l'architecte Jean-Louis Jolin (1935-2015) qui œuvre alors avec lui, qu'entre les thermes antiques, le rempart du IIIe siècle, la tour patricienne de la cour du carmel et le grenier de Chèvremont, il y a de quoi présenter, in situ et suivant une chronologie continue, l'évolution de Metz depuis l'époque romaine jusqu'au rattachement à la France. Son idée est "un musée dans le musée, mêlant contenant et contenu" »[9]. « Devancier, original, il déploie ainsi les collections et marque véritablement la muséographie française par des choix très audacieux »[8], agissant simultanément dans les domaines de l'archéologie[10], de la peinture abstraite des décennies 1950-1960 (Olivier Debré, Mario Prassinos, Robert Wogensky, Zao Wou-Ki…), son propre courant au sein de l'École de Paris[11], mais aussi de la peinture figurative (André Minaux, Édouard Pignon, Henry de Waroquier). C'est ainsi avec les dessins et maquettes de Jacques Villon et Roger Bissière pour les vitraux de la cathédrale Saint-Étienne de Metz, témoignages de l'introduction de l'art moderne dans une ville de Metz appelée à être reconstruite autrement au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, que Gérald Collot inaugure en 1957 sa politique d'acquisitions.

En 1970, Gérald Collot est nommé conseiller artistique délégué à la création artistique pour la Lorraine[12] et sera ainsi chargé, jusqu'en 1977, de l'application du 1% de l'État aux constructions scolaires et universitaires, suggérant les stèles et la mosaïque de Raoul Ubac à la cité scolaire de Tomblaine, la mosaïque de Jean Le Moal au lycée d'Uckange, celle de Jean Bazaine à la Faculté des sciences de l'Université de Metz[6]. Il accompagne Pierre Tal Coat au Japon en avril 1975 afin d'en présenter les rétrospectives au Musée royal d'Ueno à Tokyo et au musée en plein air de Hakone[6].

En 1987, Jean Bazaine s'entoure de neuf autres artistes dont Gérald Collot, Alfred Manessier, Geneviève Asse, Elvire Jan, Claire de Rougemont, Jean Le Moal et Lucien Lautrec pour la réalisation, sur le thème Mort et résurrection, des vitraux des 53 baies de la cathédrale Saint-Dié de Saint-Dié-des-Vosges[13] - [14].

Avec son épouse née Marthe Hamue (1925-2015), également artiste peintre[6], Gérald Collot s'installe alors définitivement à Courquetaine où ils reposent ensemble aujourd'hui[15].

On compte parmi leurs quatre enfants le pianiste Jean-Pierre Collot qui fut membre de l'Ensemble Recherche de 2003 à 2017, traducteur et commentateur de l'édiion française des Correspondance et documents (1959-1970) de Maria Youdina et Pierre Souvtchinsky (en)[16], et dont on a salué l'interprétation des Espaces imaginaires de Jean Barraqué[17] - [18]. Il a accompagné d'un récital l'exposition-rétrospective Gérald Collot - Marthe Hamue à Mers-les-Bains en août 2022[19] - [20].

Ĺ’uvre

Thèmes en peinture

Vitraux

Publications

  • Évolution de la peinture en France de 1905 Ă  1914, prĂ©face et catalogue de GĂ©rald Collot, Metz, Le Lorrain, 1958.
  • Édouard Pignon, co-Ă©crit avec Georges Fouquet, Éditions des MusĂ©es de Metz, 1960.
  • Metz, Éditions Hachette, 1961.
  • La civilisation gallo-romaine dans la citĂ© des mĂ©diomatriques - Monuments et sanctuaires de l'eau, la vie Ă  la maison, le commerce, les cultes, Éditions du MusĂ©e archĂ©ologique de Metz, 1964.
  • « La recherche archĂ©ologique Ă  Metz de 1956 Ă  1966 », dans Bulletin de la SociĂ©tĂ© lorraine des Ă©tudes locales dans l'enseignement public, no 29, mai-.
  • Les origines du christianisme dans l'ancien Ă©vĂŞchĂ© de Metz du IVe au XIIe siècle, co-Ă©crit avec Françoise Brunet, Éditions des musĂ©es de Metz, 1966.
  • ClĂ©ment Kieffer, co-Ă©crit avec Jean Schneider, Éditions des musĂ©es de Metz, 1967.
  • Grenier de Chèvremont - Esquisse d'un musĂ©e du Moyen âge et de la Renaissance, Éditions des musĂ©es de Metz, 1967.
  • Étienne Cournault, Éditions du MusĂ©e des beaux-arts de Nancy, 1968.
  • « AndrĂ© Bellard (1890-1969) », dans Annuaire de la SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de la Lorraine, tome LXX, 1970.
  • Picasso - Ĺ’uvre gravĂ©, 1904-1968, Éditions du MusĂ©e des beaux-arts de Caen, 1974.
  • Le nouveau musĂ©e de Metz, Éditions des musĂ©es de Metz, 1975.
  • « Nouveaux aspects du musĂ©e d'histoire - MusĂ©e d'histoire de Metz », dans Museum, vol.XXIX, no 2/3, pages 106-113, Éditions de l'UNESCO, 1977 (lire en ligne).
  • Jean Bazaine, Éditions des musĂ©es de Metz, 1978.
  • Gravure expressionniste allemande - Époque de la BrĂĽcke, co-Ă©crit avec Georg Wilhelm Költzsch (de), Éditions de la Direction rĂ©gionale des affaires culturelles, Metz, 1979.
  • La sculpture du Haut Moyen Ă‚ge, Éditions des musĂ©es de Metz, 1980.
  • Le cadre de la vie quotidienne de l'AntiquitĂ© Ă  la Renaissance, Éditions du MusĂ©e d'art et d'histoire de Metz, 1980.
  • Le chancel de Saint-Pierre-aux-Nonnains, in Patrimoine et culture en Lorraine, Éditions Serpenoise, 1980.
  • Sculptures religieuses rĂ©gionales du Moyen Ă‚ge et de la Renaissance, Éditions du MusĂ©e d'art et d'histoire de Metz, 1983.
  • Histoire de Metz, co-Ă©crit avec François-Yves Le Moigne, Jeanne-Marie Demarolle, Alain Girardot, Claude Lefebvre, GĂ©rard Michaux, Michel Parisse, François Reitel et François Roth, Éditions Privat, 1986.
  • « Le jubĂ© des Grands-Carmes de Metz », dans Les cahiers lorrains, no 1, 1989.
  • Couleurs de neiges (montagnes et neige dans l'art), co-Ă©crit avec Pierre Dumas, Gilbert Durand, Armand Henry-Amann et Dominique Ponneau, Éditions du MusĂ©e savoisien de ChambĂ©ry, 1992.

Illustrations

  • Jean-Pierre Collot, Espaces imaginaires, Ĺ“uvres pour piano de Jean BarraquĂ©, CD audio (en couverture : BrocĂ©liande, huile sur toile de GĂ©rald Collot).
  • Jean-Pierre Collot, Marche fatale, Serynade de Helmut Lachenmann ; Symphonie n°6 op.68 "Pastorale" de Ludwig van Beethoven pour piano de Franz Liszt (3e version, 1863), WDR Cologne / Music Edition Winter & Winter, Munich, 2022 (en couverture : Étude pour les sonoritĂ©s alternĂ©es, huile sur bois de GĂ©rald Collot, 2009).

Expositions

Expositions personnelles

  • Galerie Daum, Nancy, 1954[6].
  • Galerie du Haut-PavĂ©, Paris, 1955.
  • Galerie Pierre Domec, Paris, 1963.
  • Couper Gallery, Londres, 1963.
  • Galerie Jaquester, Paris, 1991.
  • GĂ©rald Collot et Marthe Hamue, espace Jacques-PrĂ©vert, Mers-les-Bains, aoĂ»t-septembre 2022[22] - [19] - [20].

Expositions collectives

RĂ©ception critique

  • « […] Des toiles très sobres oĂą de grands pans d'ocres et de rouges apparaissent sur un fond gĂ©nĂ©ralement noir, en rappel des cimetières orthodoxes qu'il avait vus lors d'un voyage en Russie. » - Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[3]
  • « La musique a toujours jouĂ© un rĂ´le prĂ©dominant dans l'activitĂ© artistique du peintre GĂ©rald Collot, comme l'attestent toute une sĂ©rie d'hommages Ă  des compositeurs, d'Ĺ“uvres explorant certaines formes musicales et de partitions peintes. La sĂ©rie des Contrepoints est de loin la plus importante, comprenant près d'une centaine de pièces sur diffĂ©rents supports, en grande majoritĂ© des sculptures sur bois peint.Tenter d'en donner un Ă©quivalent musical - en un vertigineux retour aux origines qui ne peut ĂŞtre que la conquĂŞte d'un "ailleurs" - revient Ă  interroger les liens multiples unissant musique et arts plastiques et Ă  analyser Ă  la fois la spatialitĂ© et la temporalitĂ© de l'Ĺ“uvre d'art. » - Jean-Pierre Collot[21]

Distinctions

Collections publiques

Références

  1. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. « Avis de décès de Monsieur Gérald Collot paru le 14 octobre 2016 dans Le Républicain Lorrain - Département Moselle - Libra Memoria - Libramemoria », sur www.libramemoria.com (consulté le ).
  3. Dictionnaire Bénézit, tome 3, Gründ, 1999, p. 795.
  4. Éric Mercier, « Dossier : la peinture des années 40 - Le Groupe de l'échelle », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n°2, 13 janvier 2006, p. 129.
  5. Ernest-René Collot, Trois peintres de l'École de Pontoise - René Blanc, Albert Lauzero, Charles Pollaci, Éditions Orféa, 1950.
  6. Raphaël Mariani, « L'art moderne au Musée de Metz », La collection d'art moderne - Musée de la Cour d'Or - Metz Métropole, Silvana Editoriale, 2014, pp. 12-23
  7. Cécile Nunez, « Gérald Collot, conservateur-artiste » dans Regards sur l'École de Paris, dossier de presse d'exposition, Metz Métropole, 2014.
  8. Aline Hombourger, « Les 150 bougies du Musée de la Cour d'Or », dans L'Estrade, Lorraine et transfrontalier, 1er décembre 2015
  9. Jean-Louis Jolin, « L'extension du musée de Metz », Mémoires de l'Académie nationale de Metz, 2014.
  10. [PDF] Julien Trapp, L'archéologie à Metz - Introduction, Presses universitaires de Rennes, 2015
  11. Silvana Editoriale, présentation du livre La collection d'art moderne, Éditions du Musée de la Cour d'Or - Metz Métropole, 2014.
  12. Journal Officiel de la République française, 28 janvier 1970, p. 1069.
  13. Mes vitraux favoris, La cathédrale Saint-Dié de Saint-Die-des-Vosges.
  14. Saint-Dié, cathédrale de l'Amitié, film de Pascal Bony avec Jean Bazaine, Elvire Jan, Alfred Manessier, Jean Le Moal, Claire de Rougemont, Gérald Collot, Geneviève Asse, Jacques Bony et évocation de Lucien Lautrec par Jean Bazaine, 1987 (source : YouTube ; durée : 24'56")
  15. Pompes funèbres de la Brie, avis de décès de Gérald Collot, 11 octobre 2016
  16. Maria Youdina et Pierre Souvtchinsky (traduction de Jean-Pierre Collot), Correspondance et documents (1959-1970), Ă©ditions Contrechamps, 2020.
  17. Jean-Pierre Collot, biographie
  18. Guillaume Kosmicki, « Les espaces pianistiques de Jean Barraqué par Jean-Pierre Collot », Res Musica, 18 août 2019
  19. Lucas Farcy, « Mers-les-Bains - Une exposition pour rendre hommage à Gérald Collot et Marthe Hamue », L'Informateur, n°4050, 1er septembre 2022
  20. Didier Debril, « Jean-Pierre Collot », Chroniques atonales, septembre 2022
  21. Jean-Pierre Collot, « Analyse de kla spatiaklité dans l'œuvre d'art : espaces intérieur et extérieur en musique et dans les arts plastiques », séminaire Décrire la création, École normale supérieure, 45 rue d'Ulm, Paris, 11 mai 2023
  22. Philippe Fortune, « Mers-les-Bains : Hommage aux artistes Gérald Collot et Marthe Hamue », Le Courrier picard, 1er septembre 2022, p. 13.
  23. Archives de la Biennale de Paris.
  24. Aurélia Salinas, « Collot l'explorateur », dans La Semaine, 7 février 2014
  25. Lorraine Magazine, Exposition "Regards sur l'École de Paris" au Musée de la Cour d'Or, 5 mars 2014
  26. J.-P. Cour et E. Le Hénaff, « Exposition "Regards sur l'École de Paris, Musée de la Cour d'Or », L'Ami Hebdo, février 2014 (source : Dailymotion ; durée : 5'34")
  27. « Mers-les-Bains : deux tableaux pour la mairie », Le Courrier picard, 22 septembre 2022, p. 14.
  28. Alexa Cohen, « Mers-les-Bains - Deux tableaux de Gérald Collot et Marthe Hamue offerts à la ville », L'Informateur, n°4054, 29 septembre 2022, p. 16.
  29. Raphaël Mariani (dir.), Musée de La Cour d'Or - Metz Métropole. La collection d'art moderne, Milan, Silvana Editoriale, , n° 39 à 43

Annexes

Bibliographie

  • Georges Borgeaud, Collot, Galerie Pierre Domec, Paris, 1963.
  • Paintings by GĂ©rald Collot, Couper Gallery, Londres, 1963.
  • RenĂ© Huyghe de l'AcadĂ©mie Française et Jean Rudel, L'art et le monde moderne, t. II, Larousse, 1970.
  • Jean-Pierre Greff, Geneviève Asse, Jean Bazaine, Jacques Bony, GĂ©rald Collot, Dominique Gutherz, Elvire Jan, Lucien Lautrec, Jean Le Moal, Alfred Manessier, Claire de Rougemont, MusĂ©e de Saint-DiĂ©, 1988.
  • Annick PĂ©ly-Audan, « GĂ©rald Collot », Cimaise, no 193, avril-.
  • Annick PĂ©ly-Audan, GĂ©rald Collot - Le sens de la peinture, Galerie Jaquester, Paris, 1991.
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, GrĂĽnd, 1999.
  • Jean-Pierre Greff, « Le vitrail au XXe siècle : Ă©clats et Ă©clipses », dans ouvrage collectif sous la direction d'Anne-Marie Charbonneaux et Norbert Hillaire, Architectures de lumières, vitraux d'artistes, 1975-2000, Marval, Paris, 2000.
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, GrĂĽnd, 2001 ((lire en ligne).
  • Joseph Silesi, Et le verre Ă©pousa la lumière, ou l'histoire du vitrail des origines Ă  nos jours, Actes du Festival international de gĂ©ographie, Saint-DiĂ©-des-Vosges, 2005 ((lire en ligne).
  • Adrian Ayache, Metz - La Cour d'Or - Visages d'un musĂ©e, Éditions du ChĂŞne, 2011.
  • Kevin Alexandre Kazek, « Le MusĂ©e de la Cour d'Or, une histoire partagĂ©e », dans La revue de l'histoire, Bordeaux, ([PDF] lire en ligne).
  • RaphaĂ«l Mariani, « L'art moderne au MusĂ©e de Metz (1957-1987) », La collection d'art moderne - MusĂ©e de La Cour d'Or – Metz MĂ©tropole, Milan, Silvana Editoriale, 2014.
  • Jean-Louis Jolin, « L'extension du musĂ©e de Metz », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie nationale de Metz, 2014 (lire en ligne).
  • Julien Trapp, L'archĂ©ologie Ă  Metz, Presses universitaires de Rennes, 2015.

Liens externes

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