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GĂ©ographie du Tibet

Le Tibet est une rĂ©gion culturelle et historique d'Asie, situĂ©e en RĂ©publique populaire de Chine. ConstituĂ© des anciennes provinces tibĂ©taines du Kham, de l'Ü-Tsang et de l'Amdo, il comprend aujourd'hui essentiellement les subdivisions administratives autonomes tibĂ©taines de la RĂ©publique populaire de Chine dont la rĂ©gion autonome du Tibet.

Le plateau tibétain se situe entre la chaine de l'Himalaya au sud et la CordillÚre du Kunlun au nord.

Le Tibet est principalement constituĂ© d'un haut plateau, le plateau tibĂ©tain, entourĂ© de trois cĂŽtĂ©s par les plus hauts massifs du monde, l'Himalaya au sud, le Karakoram Ă  l'ouest et le massif du Kunlun au nord. Souvent appelĂ© « le Toit du Monde », le Tibet a une altitude moyenne de 4 200 mĂštres et son plus haut sommet, l'Everest, culmine Ă  8 849 mĂštres[1]. Le Tibet est aussi qualifiĂ© de « chĂąteau d'eau de l'Asie » car les plus grands fleuves du continent asiatique le traversent dans leur cours supĂ©rieur[2].

Sa superficie est de 2,5 millions de km2[3].

GĂ©ographie physique

Origine géologique

Carte illustrant le déplacement du sous-continent indien vers le reste de l'Asie jusqu'à la collision des deux masses continentales, respectivement portées par les plaques indienne et eurasienne, qui donna naissance à plusieurs chaßnes de montagnes dont l'Himalaya.

L'origine géologique du Tibet remonte à 60 millions d'années de la collision lente et massive entre le sous-continent indien, alors une ßle gigantesque, et le reste de l'Asie. Cette théorie est confirmée par la présence de fossiles marins au Tibet, loin de toute mer de nos jours[4].

Reliefs et frontiĂšres

Le Tibet est isolé du reste de l'Asie par les plus hautes montagnes du monde : au nord, les Kunlun et les Nanshan constituent une muraille naturelle; sa frontiÚre occidentale est marquée par le Karakoram et les contreforts du Ladakh; au sud se dresse la chaßne himalayenne. Sa frontiÚre orientale est moins protégée et moins clairement définie, ce qui entraßna des contestations territoriales avec la Chine[4].

À 4 000 mĂštres d’altitude, l'oxygĂšne se rarĂ©fie et il y a 40 % d’oxygĂšne en moins dans l’air qu’au niveau de la mer[5].

Le plateau tibétain

Le plateau tibĂ©tain a pour origine la collision des plaques indienne et eurasienne qui ont pris en Ă©tau les plaques de Qiantang et de Lhassa au cours du CĂ©nozoĂŻque. Constituant une des plus grandes structures topographique de la Terre, avec d'importants effets climatiques rĂ©gionaux (ariditĂ© du plateau lui-mĂȘme, mousson) et mondiaux (circulation atmosphĂ©rique mondiale). Cette Ă©volution gĂ©ologique a enfermĂ© l'ocĂ©an TĂ©thys qui sĂ©parait les plaques [6].

Le plateau tibétain est divisé en trois grandes régions naturelles : le Haut Tibet ou Changthang (plateau du Nord), le Tibet oriental et le Tibet méridional autour de Lhassa. Le Changthang, plateau entrecoupé de montagnes et de lacs salés, occupe la majeure partie du Tibet.

Paysage de steppe typique des contreforts orientaux du Chang Tang (Yarmothang)

Montagnes

L'Everest, en tibĂ©tain Chomolungma, en nĂ©palais Sagarmatha, dont l'altitude est Ă©tablie Ă  8 849 mĂštres, est identifiĂ© comme le plus haut sommet du monde. Cette caractĂ©ristique lui vaut d'ĂȘtre baptisĂ© de son nom actuel par les Occidentaux en 1865 et, dĂšs les annĂ©es 1920, de lui attirer l'intĂ©rĂȘt des alpinistes qui se lancent Ă  l'assaut de ses pentes.

Les autres plus hautes montagnes de l'Himalaya sont notamment le Lhotse (8 516 mĂštres - 4e), le Makalu (8 463 mĂštres - 5e), le Cho Oyu (8 201 mĂštres - 6e), le Shishapangma (8 013 mĂštres - 14e), le Gyachung Kang (7 952 mĂštres - 16e), le Gauri Sankar (7 134 mĂštres), le Gurla Mandhata (7 694 mĂštres - 34e), le Changtse (7 580 mĂštres - 45e), le Chomolhari (7 314 mĂštres - 80e), le Khumbutse (6 640 m), le Melungtse, le Namcha Barwa et le Yangra.

Sur le plateau tibĂ©tain se trouvent quelques chaĂźnes montagneuses : le Gangdise Chan dominĂ© par le mont Kailash (6 714 mĂštres), les monts NyainqĂȘntanglha (mont NyainqĂȘntanglha, 7 162 mĂštres) et les monts Tanggula (Geladaindong, 6 621 mĂštres)

À l'est du plateau se trouvent les monts Hengduan avec le Kawagebo (6 740 m).

Le nord du plateau est bordé par la cordillÚre du Kunlun.

Les cols de montagnes sont le Cherko la, et le Col Nord (7 020 mĂštres).

Les montagnes moins élevées sont le mont Gephel...

Vue panoramique du versant nord du Mahalangur Himal (avec l'Everest au centre gauche), peu aprùs le passage du col de Gyatso sur la route Lhassa – Katmandou.

Zones désertiques

Le bassin du Qaidam est une région désertique du nord du plateau du Tibet, située dans la Préfecture autonome mongole et tibétaine de Haixi de la province du Qinghai. Son nom provient probablement de tsa'i dam, qui signifie en mongol et en tibétain, « marais salé ».

Climat

3 700 m d'altitude, la vĂ©gĂ©tation est encore dense autour des lacs.

Le climat du Tibet est réputé hostile.

L'est du plateau est soumis Ă  la mousson de la Chine et du Sud Est asiatique. Dans la plaine du Nord, le climat est continental et les hivers peuvent durer 6 mois. Le ciel est d'un bleu profond en gĂ©nĂ©ral sans nuages, les prĂ©cipitations y sont exceptionnelles. Par contre au sud et au centre les restes des moussons indiennes entraĂźnent des prĂ©cipitations quelquefois abondantes. À cause de l'altitude les tempĂȘtes de grĂȘle et de neige sont courantes. Or Lhassa est approximativement Ă  la mĂȘme latitude que la rĂ©gion du Caire : ces rĂ©gions sont subtropicales[7].

Hydrographie

Claude B. Levenson qualifie le Tibet de « chùteau d'eau de l'Asie » avec les plus grands fleuves du continent asiatique[2].

Principaux fleuves

C'est au Tibet que les grands fleuves d’Asie prennent leur source et le traversent dans leurs cours supĂ©rieurs :

Navigation sur le Brahmapoutre
  • Le Brahmapoutre, dĂ©nommĂ© Tsangpo au Tibet, coule au Bangladesh ; sa source est Ă  5 000 m d'altitude, dans la chaĂźne himalayenne des Kailas, au glacier Kubigangri, prĂšs de Lhassa.
  • La Salween coule vers la Birmanie, sa source est Ă  environ 4 000 mĂštres d'altitude dans les monts T'ang-ku-la (Tanggula), au nord de la chaine himalayenne,
  • L’Indus qui a sa source au mont KailĂąs ou Gangri irrigue le Pakistan et le Sutlej un affluent de l'Indus qui a sa source prĂšs du mont Kailash.
  • Le MĂ©kong irrigue le ViĂȘt Nam via la frontiĂšre Laos-ThaĂŻlande et traverse le Cambodge,
  • Le Fleuve Jaune ou Huang He, qui irrigue la Chine, se nomme en TibĂ©tain àœąàŸšàŒ‹àœ†àœŽàŒ‹ rMa chu, « le fleuve du paon ».. Il prend sa source dans les monts Kunlun et se dirige vers l'est Ă  travers le plateau tibĂ©tain dans lequel il a creusĂ© de profondes gorges.
  • Le Yang-tsĂ© le troisiĂšme plus long fleuve du monde (aprĂšs l'Amazone et le Nil) alimente la Chine. Le Yang-tsĂ© prend sa source Ă  plus de 6 600 mĂštres, dans les monts Tanggula, dans un paysage extrĂȘme de glaciers et de terres enneigĂ©es, parsemĂ© de moraines, balayĂ© par des vents violents et dĂ©pourvu de toute vĂ©gĂ©tation. Il est appelĂ© en tibĂ©tain Dri chu (àœ àœ–àŸČàœČàŒ‹àœ†àœŽàŒ‹, Wylie 'bri chu, lit. « fleuve de la femelle du yack »).

La richesse hydroélectrique représente 57 % du potentiel de la Chine et des centrales sont construites pour exporter l'électricité vers le sud du pays[8].

Principaux lacs

Le lac Namtso et le rocher du Tashido

Le Tibet est situé dans sa majeure partie à l'emplacement de l'océan Téthys disparu il y a 100 millions d'années. Les nombreux lacs salés du Tibet résultent de cet océan[8].

Zone forestiĂšre

Des zones forestiĂšres autrefois verdoyantes comme le Kongpo au sud-est du Tibet, ont Ă©tĂ© transformĂ©es en un paysage lunaire[10]. Plus de 40 % de la forĂȘt a Ă©tĂ© abattue pour l'exploitation du bois, qui est ensuite exportĂ© et ne profite donc pas Ă  la population locale[11] En 1949, les forĂȘts recouvraient 222 000 km2, soit prĂšs de la moitiĂ© de la superficie de la France. En 1989, la moitiĂ© de la surface de la forĂȘt Ă©tait rasĂ©e[12].

En 1998, selon une étude du World Watch Institute, un institut privé américain, la déforestation atteignait 85 %[13].

Minerais

Le Tibet est riche en minerais : or, uranium, chromate, charbon, cuivre, mica, borax


RĂ©serves naturelles

Sanctuaires du grand panda du Sichuan

Patrimoine mondial de l'UNESCO

RĂ©serves naturelles

GĂ©ographie humaine

Les Tibétains sont réputés chaleureux, souriants, hospitaliers et souvent moqueurs. Les Tibétains du centre sont en général de petite taille alors que ceux du Kham sont de haute taille[7].

GĂ©ographie politique

La Chine est constituée de 22 provinces, 5 régions autonomes, 30 préfectures autonomes (assimilable à des « départements ») et 124 districts autonomes. Par ailleurs, plus de 1200 comtés ethniques ont été créés dans les régions multiethniques. La division en provinces, régions autonomes et municipalités relÚve de l'autorité centrale et couvre tout le territoire[23].

Pour le Tibet ces subdivisions sont au nombre de 13 avec une région autonome, 10 préfectures et 2 comtés:

DĂ©mographie

Enfants tibĂ©tains dans la prĂ©fecture autonome tibĂ©taine de GarzĂȘ (Litang - 2004).

2,4 millions de TibĂ©tains habitent dans la RĂ©gion autonome du Tibet, un million de TibĂ©tains vivent dans la province du Qinghai, 455 000 sont dans la province du Sichuan, 643 000 dans la province du Gansu et 353 000 dans la province de Yunnan[24].

Par ailleurs, d'aprĂšs le recensement effectuĂ© en 2009 par le gouvernement tibĂ©tain en exil, 128 000 TibĂ©tains font partie de la diaspora tibĂ©taine[25].

Le tableau ci-aprĂšs prĂ©sente la population tibĂ©taine en 2 000 dans les entitĂ©s autonomes tibĂ©taines de la RĂ©publique populaire de Chine en y intĂ©grant Xining la capitale du Qinghai et la prĂ©fecture de Haidong[26]. La raison d'inclure ces deux derniers est de complĂ©ter les chiffres pour la province du Qinghai, et aussi parce qu'ils sont revendiquĂ©s comme faisant partie du « Tibet historique », par le gouvernement tibĂ©tain en exil. Ces statistiques ne comprennent pas les membres de l'armĂ©e populaire de libĂ©ration en service actif.

Répartition ethnique des zones tibétaines de la RPC, recensement de 2000.
Total Tibétains Chinois Han autres
RĂ©gion autonome du Tibet: 2 616 329 2 427 168 92,8 % 158 570 6,1 % 30 591 1,2 %
- Préfecture de Lhassa 474 499 387 124 81,6 % 80 584 17,0 % 6 791 1,4 %
- Préfecture de Qamdo 586 152 563 831 96,2 % 19 673 3,4 % 2 648 0,5 %
- Préfecture de Shannan 318 106 305 709 96,1 % 10 968 3,4 % 1 429 0,4 %
- PrĂ©fecture de XigazĂȘ 634 962 618 270 97,4 % 12 500 2,0 % 4 192 0,7 %
- Préfecture de Nagchu 366 710 357 673 97,5 % 7 510 2,0 % 1 527 0,4 %
- Préfecture de Ngari 77 253 73 111 94,6 % 3 543 4,6 % 599 0,8 %
- Préfecture de Nyingchi 158 647 121 450 76,6 % 23 792 15,0 % 13 405 8,4 %
Province du Qinghai: 4 822 963 1 086 592 22,5 % 2 606 050 54,0 % 1 130 321 23,4 %
- Préfecture de Xining 1 849 713 96 091 5,2 % 1 375 013 74,3 % 378 609 20,5 %
- Préfecture de Haidong 1 391 565 128 025 9,2 % 783 893 56,3 % 479 647 34,5 %
- Préfecture autonome tibétaine de Haibei 258 922 62 520 24,1 % 94 841 36,6 % 101 561 39,2 %
- Préfecture autonome tibétaine de Huangnan 214 642 142 360 66,3 % 16 194 7,5 % 56 088 26,1 %
- Préfecture autonome tibétaine de Hainan 375 426 235 663 62,8 % 105 337 28,1 % 34 426 9,2 %
- Préfecture autonome tibétaine de Golog 137 940 126 395 91,6 % 9 096 6,6 % 2 449 1,8 %
- PrĂ©fecture autonome tibĂ©taine de GyĂȘgu 262 661 255 167 97,1 % 5 970 2,3 % 1 524 0,6 %
- Préfecture autonome mongole et tibétaine de Haixi 332 094 40 371 12,2 % 215 706 65,0 % 76 017 22,9 %
Zones tibétaines de la province du Sichuan
- Préfecture autonome tibétaine et qiang d'Aba 847 468 455 238 53,7 % 209 270 24,7 % 182 960 21,6 %
- PrĂ©fecture autonome tibĂ©taine de GarzĂȘ 897 239 703 168 78,4 % 163 648 18,2 % 30 423 3,4 %
- Xian autonome tibétain de Muli 124 462 60 679 48,8 % 27 199 21,9 % 36 584 29,4 %
Zones tibétaines de la province du Yunnan
- PrĂ©fecture autonome tibĂ©taine de DĂȘqĂȘn 353 518 117 099 33,1 % 57 928 16,4 % 178 491 50,5 %
Zones tibétaines dans la province du Gansu
- Préfecture autonome tibétaine de Gannan 640 106 329 278 51,4 % 267 260 41,8 % 43 568 6,8 %
- Xian autonome tibétain de Tianzhu 221 347 66 125 29,9 % 139 190 62,9 % 16 032 7,2 %
Total pour le Tibet historique:
En intégrant la Préfecture de Xining et la préfecture de Haidong 10 523 432 5 245 347 49,8 % 3 629 115 34,5 % 1 648 970 15,7 %
Sans intégrer la Préfecture de Xining et la préfecture de Haidong 7 282 154 5 021 231 69,0 % 1 470 209 20,2 % 790 714 10,9 %

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Références

  1. Présentation géographique
  2. Claude B. Levenson : Le Tibet, PUF, "Que sais-je ?", deuxiĂšme Ă©dition 2009, (ISBN 978-2-13-056543-7)
  3. Note : soit cinq fois la superficie de la France
  4. Peter Hopkirk (trad. de l'anglais par Christine Corniot), Sur le toit du monde : Hors-la-loi et aventuriers au Tibet, Arles, Philippe Picquier, , 279 p. (ISBN 2-87730-204-0), p. 18-19
  5. Sciences et Avenir : Comment les Tibétains se sont adaptés à l'altitude
  6. Insu CNRS
  7. Laurent Deshayes Histoire du Tibet, Fayard 1997 (ISBN 978-2213595023)
  8. Françoise Pommaret : Le Tibet, une civilisation blessée, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard / Histoire » (no 427), Paris, 2002, (ISBN 2070762998 et 9782070762996)
  9. (en) Informations sur le Tibet
  10. GEO, Tibet, N 186 aoĂ»t 1994, p. 69 « Dans la rĂ©gion du Kongpo, au su-est de l'U-Tsang, des prisonniers tibĂ©tain, encadrĂ©s par des Soldats chinois doivent abattre des arbres et transporter les grumes comme des bĂȘtes de somme. Avant l'occupation, les paysans pratiquaient de simples coupes de subsistance, maintenant ce sont des saignĂ©es Ă  blanc. »
  11. Tibet, GEO, no 186, aoĂ»t 1994 (p. 69). « Plus de 40 % de la rĂ©serve naturelle ont Ă©tĂ© prĂ©levĂ©s. Et l'exploitation du bois ne profite mĂȘme pas Ă  la population locale : il est exportĂ© Ă  l'Ă©tranger »
  12. Jean-Paul Ribes, PrĂ©server l'Ă©cosystĂšme le plus vaste d'Asie GEO Tibet no 186 AoĂ»t 1994 (p. 98-99) « En 1949, les forĂȘts sĂ©culaires couvraient 222 000 km2. En 1989, ce chiffre serait tombĂ© Ă  134 000 km2, un peu plus de la moitiĂ© (...) Ces forĂȘts ont Ă©tĂ© massivement dĂ©vastĂ©es par des coupes "Ă  nu" particuliĂšrement redoutables lorsqu'elles touchent les vallĂ©es pentues (...) Ce sont essentiellement les troupes d'occupation chinoises, qui, en utilisant la main-d’Ɠuvre fournie par les camps de travail, sont Ă  l'origine de la coupe de prĂšs de 2,5 millions de mĂštres cubes de bois pour une valeur de plus de 54 milliards de dollars. ConsĂ©quences : une disparition irrĂ©versible des couches d'humus dans les rĂ©gions pentues, l'extinction de certaines espĂšces de la flore et de la faune, l'embourbement des fleuves dont les crues ne sont plus rĂ©gulĂ©es, une exposition sans Ă©cran aux fortes variations de tempĂ©rature. »
  13. (en) Lester R. Brown et Brian Halweil, The Yangtze flood: the human hand, local and global, World Watch Institute, 13 août 1998.
  14. Sanctuaires du grand panda du Sichuan : Description du site par l'UNESCO
  15. Aires protégées des trois fleuves parallÚles au Yunnan
  16. (en) Forest fire in Shangrila still out of control
  17. Portail de l'UNESCO
  18. « Untitled Document », sur chinatoday.com.cn (consulté le ).
  19. La réserve naturelle du grand canyon du Yarlung Zangbo
  20. Goodplanet : Les fleuves d'Asie menacés par le réchauffement climatique
  21. China Today
  22. Louis-Marie, Élise et Thomas Blanchard, Explorateurs du Toit du Monde, Carnets de route en Haute-Asie (1850-1950), Édition de La Martiniùre, 2010, Page 69 (ISBN 978-2-7324-4216-7).
  23. université de Laval au Québec : Les divisions administratives chinoises
  24. Université de Laval au Québec : les entités autonomes tibétaines
  25. RĂ©sultats du recensement de la communautĂ© tibĂ©taine en exil effectuĂ© en avril 2009, Bureau du Tibet, 12 janvier 2011 : « Le chiffre officiel est de 127 935 se rĂ©partissant en 70 556 hommes et 57 379 femmes ayant rĂ©pondu au questionnaire. [
] Il convient de savoir que le nombre de rĂ©fugiĂ©s tibĂ©tains en exil est beaucoup plus important, mais ces rĂ©sultats sont strictement basĂ©s sur un questionnaire prĂ©cis en application des normes internationales de recensement et qui doit ĂȘtre rendu dans un laps de temps bien dĂ©fini. »
  26. Department of Population, Social, Science and Technology Statistics of the National Bureau of Statistics of China (ć›œćź¶ç»ŸèźĄć±€äșșćŁć’Œç€ŸäŒšç§‘æŠ€ç»ŸèźĄćž) and Department of Economic Development of the State Ethnic Affairs Commission of China (ć›œćź¶æ°‘æ—äș‹ćŠĄć§”ć‘˜äŒšç»æ”Žć‘ć±•ćž), eds. Tabulation on Nationalities of 2000 Population Census of China (《2000ćčŽäșșćŁæ™źæŸ„äž­ć›œæ°‘æ—äșșćŁè”„æ–™ă€‹). 2 vols. Beijing: Nationalities Publishing House (民族ć‡ș版瀟), 2003, (ISBN 7-105-05425-5).

Liens externes

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