François Maspero
François Maspero est un Ă©crivain et traducteur français nĂ© le dans le 16e arrondissement de Paris et mort le [1] dans le 11e arrondissement de Paris[2]. Il a Ă©galement Ă©tĂ© Ă©diteur (Ăditions Maspero), libraire et directeur de revues.
Naissance | |
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DĂ©cĂšs |
(Ă 83 ans) 11e arrondissement de Paris |
SĂ©pulture | |
Nom de naissance |
François Henri Pierre Maspero |
Pseudonyme |
Louis Constant |
Nationalité | |
Activités | |
PĂšre |
Partis politiques | |
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Distinctions |
Biographie
L'adolescence de François Maspero est marquĂ©e par l'engagement de sa famille dans la RĂ©sistance. Son pĂšre, Henri Maspero, sinologue et professeur au CollĂšge de France, est partie prenante de l'un des tout premiers rĂ©seaux de rĂ©sistance, celui du « musĂ©e de l'Homme ». Il est arrĂȘtĂ© en 1944 et meurt au camp de concentration de Buchenwald. Son frĂšre, Jean Maspero, engagĂ© au sein des Ă©tudiants Francs-tireurs et partisans (FTP), est tuĂ© au combat en 1944, Ă l'Ăąge de 19 ans. Sa mĂšre, HĂ©lĂšne Maspero-Clerc est dĂ©portĂ©e au camp de RavensbrĂŒck mais survit. Elle est autrice d'Ă©tudes sur la RĂ©volution française et du livre Un journaliste contre-rĂ©volutionnaire : Jean-Gabriel Peltier.
Son grand-pÚre l'égyptologue Gaston Maspero, fut secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions et belles-lettres.
Abandonnant trĂšs tĂŽt des Ă©tudes d'ethnologie, François Maspero commence Ă travailler dans une librairie situĂ©e rue Monsieur-le-Prince, Ă l'escalier[3]. AprĂšs y avoir rencontrĂ© plusieurs militants rĂ©volutionnaires africains tels que MĂĄrio de Andrade ou AmĂlcar Cabral[4], il met Ă profit un hĂ©ritage de sa grand-mĂšre pour s'installer libraire, en 1955. Il fait d'abord l'acquisition de la librairie parisienne de L'Escalier, situĂ©e rue Monsieur-le-Prince. Deux ans plus tard, il dĂ©cide de dĂ©mĂ©nager dans un local plus spacieux, et reprend une librairie dans le Quartier latin qu'il appelle La Joie de lire, 40 rue Saint-SĂ©verin[5] - [6].
Mais :
« AprĂšs 1968 La Joie de Lire doit faire face Ă un pĂ©ril redoutable et inattendu : le âvol rĂ©volutionnaireâ, pratiquĂ© en particulier par les situationnistes qui accusent François Maspero dâĂȘtre âun commerçant de la rĂ©volutionâ. Ces vols seront une des causes de la fermeture de la librairie en 1974. Lorsque la FNAC ouvre ses portes en 1974, La Joie de Lire est la plus importante librairie parisienne. AprĂšs les vols de certains groupes gauchistes, câest lâextrĂȘme droite, qui attaquera la librairie Ă sept reprises entre septembre 1969 et mai 1970[7]. »
La librairie finit par fermer en 1974.
Maspero crĂ©e en 1959, en pleine guerre d'AlgĂ©rie, les Ăditions Maspero, engagĂ©es Ă gauche. L'Ă©quipe de dĂ©part est constituĂ©e, outre lui-mĂȘme, par Marie-ThĂ©rĂšse Maugis, puis Jean-Philippe Bernigaud et Fanchita Gonzalez Batlle, rejoints ensuite par Ămile Copfermann. Les Ă©ditions publient des livres traitant de la torture et des crimes de guerre en AlgĂ©rie, et se trouvent confrontĂ©es Ă la censure du pouvoir gaulliste[2]. L'historien Jean-Yves Mollier prĂ©cise que « l'acharnement policier a coĂ»tĂ© cher Ă un Ă©diteur qui fit l'objet de dix-sept condamnations[6]. » En 1960, il est signataire du Manifeste des 121 titrĂ© « DĂ©claration sur le droit Ă lâinsoumission dans la guerre dâAlgĂ©rie ».
Maspero se consacre à l'édition jusqu'au début des années 1980. En 1978, il fonde la revue L'Alternative, qu'il dirigera jusqu'en 1984, pour donner la parole aux « dissidents » des pays du « socialisme réel ».
En 1982, aprÚs une nouvelle période difficile, il décide de passer la main à une nouvelle équipe dirigée par François GÚze. Il démissionne sans indemnités et cÚde ses parts à ce dernier pour un franc symbolique. à cinquante ans, il quitte ses éditions qui prennent le nom de La Découverte. Il n'aura désormais plus aucune relation avec celles-ci.
à partir de 1984, François Maspero se consacre à l'écriture et publie Le Sourire du chat. Ce roman, qui se déroule de l'été 1944 à l'été 1945, s'appuie largement sur une expérience autobiographique. Le suivant, Le Figuier, couvre la période 1960-1967, évoquant l'ambiance de la guerre d'Algérie et l'engagement dans les mouvements de libération nationale d'Amérique latine.
Il effectue pour Radio-France des reportages tels que « Cet hiver en Chine » en 1986. En 1989, il fait avec la photographe Anaïk Frantz un « voyage au long cours » sur la ligne B du RER parisien, Les Passagers du Roissy-Express. En 1995, Balkans-transit, en compagnie du photographe Klavdij Sluban, résume cinq ans de voyages entre la mer Adriatique et la mer Noire.
Les personnages de ses livres de fiction se retrouvent tous dans son livre Le Vol de la mĂ©sange, traversĂ©e d'un demi-siĂšcle et interrogation sur le sens du tĂ©moignage. Sa chronique de la conquĂȘte de l'AlgĂ©rie, L'Honneur de Saint-Arnaud, est publiĂ©e Ă Paris et Ă Alger. Autre chronique historique, L'Ombre d'une photographe, Gerda Taro, fait revivre la compagne de Robert Capa morte Ă 27 ans devant Madrid en 1937.
Les Abeilles et la guĂȘpe est plus directement autobiographique. Ă son sujet, l'historien Jean-Pierre Vernant Ă©crit dans La TraversĂ©e des frontiĂšres :
« Que les historiens se penchent sur ces pages. Ils y verront Ă l'Ćuvre un travail exemplaire â modeste, honnĂȘte, rigoureux â pour faire surgir des brumes de la mĂ©moire le socle solide des Ă©vĂ©nements d'autrefois. »
Depuis 1990, François Maspero a rapporté, avec Klavdij Sluban, pour Le Monde, des chroniques de Bosnie (« Les murs de Sarajevo » en 1995, « Retour en Bosnie » en 1998), d'Amérique latine (reportages sur Cuba en 1999, sur les Caraïbes en 2000). On retrouve certains de ces textes, ainsi que ceux sur la Palestine, Gaza, les territoires occupés et Israël, dans Transit & Cie.
En , il publie dans Le Monde un texte de témoignage sur la décennie noire en Algérie[8].
Il est l'un des organisateurs du tribunal Russell sur la Palestine[9] et membre du comité de parrainage de ce tribunal d'opinion dont les travaux ont commencé le .
Dans le mĂȘme temps, il traduit plusieurs auteurs en langue française, notamment John Reed, Ălvaro Mutis, JesĂșs DĂaz, Joseph Conrad ou Arturo PĂ©rez-Reverte.
Il est retrouvé mort à son domicile du 11e arrondissement le [10] - [11] et est inhumé au cimetiÚre du Montparnasse (division 3) à Paris, dans le caveau familial.
Prix
- 2006 : Prix Ădouard-Glissant pour l'ensemble de son Ćuvre
Ćuvres
Livres
- Le Sourire du chat, roman, 1984
- Le Figuier, roman, 1988[12]
- Les Passagers du Roissy-Express, 1990, photographies d'AnaĂŻk Frantz - prix Novembre
- Paris bout du monde, 1992, texte de l'album de photographies d'AnaĂŻk Frantz
- L'Honneur de Saint-Arnaud, chronique historique, 1993
- Le Temps des Italiens, récit, 1994
- La Plage noire, récit, 1995
- Balkans-Transit, photographies de Klavdij Sluban, chronique d'un voyage, 1997 - prix Radio France internationale, « Témoins du monde »
- Che Guevara, introduction aux photographies de René Burri, 1997
- Les Abeilles et la GuĂȘpe, 2002
- Transit & Cie, récit, La Quinzaine, 2004
- Le Vol de la mésange, nouvelles, 2006
- L'Ombre d'une photographe. Gerda Taro, biographie, Fiction et Cie, 2006
- Des saisons au bord de la mer, roman, Seuil, 2009
De l'espagnol
- Eduardo Barrios, L'enfant qui devint fou d'amour, La Fosse aux ours, 1998
- Eduardo Belgrano Rawson, Fuegia, Actes Sud, 1997
- J.L. Borges, Images, dialogues et souvenirs, Seuil, 1984
- Alberto CardĂn, Reliques, La Manufacture, 1991
- Luis Cebriån, La Russe, Denoël, 1988
- Iber Conteris, Dix pour cent de votre vie, Actes Sud, 1992
- Alvaro Cunqueiro, Galiciens, Corbeaux et Parapluies, Actes Sud, 1992
- JesĂșs DĂaz,
- Sibérienne, Gallimard, 2003
- Les Quatre Fugues de Manuel, Gallimard, 2006
- Domitila, Si on me donne la parole, Ăditions François Maspero, 1977
- Juan Goytisolo, Carnet de Sarajevo, La Nuée bleue, 1994
- J. Lezama Lima, Nuit insulaire, Jardins invisibles, revue Caravanes, 1991
- César López, Le Carré circulaire, Maurice Nadeau, 1988
- Ana MarĂa Matute, Les Enfants idiots, Sarbacane, 2004
- Eduardo Mendoza
- L'Année du déluge, Seuil, 1993
- Sans nouvelles de Gurb, Seuil, 1994
- Une comédie légÚre, Seuil, 1998
- L'Artiste des dames, Seuil, 2002
- Le Dernier Voyage d'Horatio Deux, Seuil, 2004
- Mauricio ou les Ălections sentimentales, Seuil, 2004
- Les Aventures miraculeuses de Pomponius Flatus, Seuil, 2008
- Alvaro Mutis
- Le Dernier Visage, Grasset, 1991
- Ăcoute-moi, Amirbar, Grasset, 1992
- Les ĂlĂ©ments du dĂ©sastre, Grasset, 1993. RĂ©Ă©ditions sous le titre Ainsi parlait Maqroll el Gaviero, Gallimard, 2008
- Abdul-Bashur, le rĂȘveur de navires, Grasset, 1994
- Le Rendez-Vous de Bergen, Grasset, 1995
- Arturo PĂ©rez Reverte,
- Le CimetiĂšre des bateaux sans nom, Seuil, 2001
- L'Or du Roi, Seuil, 2003
- Le Gentilhomme au pourpoint jaune, Seuil, 2004
- Le Hussard, Seuil, 2005
- Le Peintre de batailles, Seuil, 2007
- Un jour de colĂšre, Seuil, 2008
- Corsaires du Levant, Seuil, 2008
- La Patience du franc-tireur, 2014
- Ena LucĂa Portela, Cent bouteilles sur un mur, Seuil, 2003
- Carmen Posadas
- Petites infamies, Seuil, 2000
- Le Bon Serviteur, Seuil, 2005
- RaĂșl Rivero, SignĂ© Ă la Havane, Reporters sans frontiĂšres / La DĂ©couverte, 1998
- Augusto Roa Bastos,
- La Veille de l'Amiral, Seuil, 1995
- Fils d'homme, Seuil, 1995
- Contrevie, 1996 - prix de traduction Amédée Pichot de la ville d'Arles
- Le Procureur, Seuil, 1997
- Fernando Savater, Penser sa vie, Seuil, 2000
- Santiago Sebastiån, Le Baroque ibéro-américain, Seuil, 1993
- Luis SepĂșlveda,
- Le Vieux qui lisait des romans d'amour, Métailié, 1992
- Le Monde du bout du monde, Métailié, 1993
- Un nom de torero, Métailié, 1994
- Antonio SkĂĄrmeta, Une ardente patience[13], Seuil, 1986
- Osvaldo Soriano,
- L'Oeil de la patrie, Grasset, 1995
- L'Heure sans ombres, Grasset, 1998
- CĂ©sar Vallejo, PoĂšmes humains suivis de Suivi de Espagne, Ă©carte de moi ce calice, Seuil, 2011
- Manuel VĂĄsquez MontalbĂĄn
- Ou CĂ©sar ou rien, Seuil, 1999
- Ărec áș Ănide, Seuil, 2004
- Carlos Ruiz ZafĂłn,
- L'Ombre du vent, Grasset, 2004
- Le Jeu de l'ange, Laffont, 2009
- Marina, 2011
- Le Prisonnier du ciel, 2012
De l'anglais
- John Reed,
- La Guerre dans les Balkans, Seuil, 1996
- Le Mexique insurgé, François Maspero, 1975, et Seuil, 1996
- Joseph Conrad, Typhon, Librio, 2005
De l'italien
- Eraldo Affinati, Terre de sang, Seuil, 1999
- Francesco Biamonti,
- Attente sur la mer, Seuil, 1996
- Les Paroles, la nuit, Seuil, 1999
- Renzo Biasion, S'agapo, La Fosse aux ours, 2008
- Silvia Bonucci, Retours Ă Trieste, Seuil, 2007
- Rita Charbonnier, La SĆur de Mozart, Seuil, 2006
- Paulo Maurensig, La Variante de LĂŒneburg, Seuil, 1995
- Piero Meldini, L'Antidote de la mélancolie, Plon, 2000
- Mario Rigoni Stern, Pour Primo Levi, La Fosse aux ours, 2007
Hommages
Ă l'occasion du cinquantenaire de la crĂ©ation des Ăditions Maspero est organisĂ©e une exposition, « François Maspero et les paysages humains », corĂ©alisĂ©e par Bruno Guichard (directeur de la Maison des Passages, Lyon) et Alain LĂ©ger (librairie Ă plus d'un titre, Lyon), et prĂ©sentĂ©e au musĂ©e de l'imprimerie de Lyon du au , Ă la mĂ©diathĂšque AndrĂ©-Malraux Ă Strasbourg du au [14] - [15].
Elle fait aussi l'objet d'une publication sous le mĂȘme intitulĂ©[16], dont les chapitres vont de « L'homme libre, homme livre » à « Une traversĂ©e des Ćuvres de François Maspero »[17].
Notes et références
- Ătat civil sur le fichier des personnes dĂ©cĂ©dĂ©es en France depuis 1970
- « L'éditeur François Maspero est mort », sur lemonde.fr, .
- Entretien publié en 2014 dans la revue Période.
- Il déclare en 2014 :
« De fait, aprĂšs avoir trĂšs mal vĂ©cu et encore plus mal supportĂ© lâenseignement de lâethnologie de lâĂ©poque, jâai eu, dans ma premiĂšre librairie, rue Monsieur-le-Prince, lâoccasion de rencontrer des lecteurs de PrĂ©sence africaine, des militants des colonies portugaises, dont MĂĄrio de Andrade, AmĂlcar Cabral, et plus gĂ©nĂ©ralement anticolonialistes, et des visiteurs aussi divers que CĂ©saire (alors dĂ©putĂ©), Senghor (alors sĂ©nateur) et L. G. Damas. »
- « La génération soixante-huitarde [y] avait appris à lire les révoltes des humiliés de la terre » selon Jean-Yves Mollier
- « Les tentations de la censure entre l'Ătat et le marchĂ© » in Jean-Yves Mollier, OĂč va le livre ? Ă©dition 2007-2008, La Dispute, coll. « Ătats des lieux », 2007, p. 117.
- La librairie La Joie de Lire. « Librairie scientifique & amusante ».
- « Blognotice 11 avril 2015 : Ă la recherche des souvenirs dâun vieux texte de 2001 âDeux ou trois choses que jâai vues de lâAlgĂ©rieâ de François Maspero », Blogs le monde sur Le Monde.fr (consultĂ© le ).
- Les membres du Comité organisateur sont énumérés par Pierre Galand au début de cette vidéo.
- « François Maspero est mort », blogs.mediapart.fr.
- « L'éditeur François Maspero est mort », lemonde.fr.
- « François Maspero en exil », Le Monde,â (lire en ligne)
- Voir sur monde-diplomatique.fr.
- Maison des Passages.
- Sur lâexposition, voir lâarticle de blog dâEdwy Plenel : « François Maspero, homme livre, homme libre », Blogs Mediapart (consultĂ© le ).
- François Maspero et les paysages humains, ouvrage collectif sous la direction de Bruno Guichard, Julien Hage et Alain Léger, édité par La fosse aux ours et à plus d'un titre, septembre 2009 (ISBN 978-2-35707-006-6).
- Description critique du livre dans le blog paysages « Homme libre â Homme livre : François Maspero », Blogs le monde sur Le Monde.fr (consultĂ© le ).
Voir aussi
Vocabulaire
Films
- Chris Marker, On vous parle de Paris : Maspero. Les mots ont un sens, 1970
- Yves Campagna, Bruno Guichard et Jean-François Raynaud, François Maspero, les chemins de la liberté, Les Films du ZÚbre, 2014 (bande annonce)
Bibliographie
- François Maspero et les paysages humains, collectif des éditions à plus d'un titre, La Fosse aux Ours, (ISBN 978-2-35707-006-6)
- François Dosse, « François Maspero. La joie de lire. 1932 - », Les Hommes de l'ombre. Portraits d'éditeurs, Paris, Perrin, 2014, p. 249-277
- Julien Hage, « Feltrinelli, Maspero, Wagenbach : une nouvelle gĂ©nĂ©ration d'Ă©diteurs politiques d'extrĂȘme gauche en Europe occidentale. 1955-1982 », thĂšse d'histoire sous la direction de Jean-Yves Mollier, universitĂ© de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines,
- Julien Lefort-Favreau, « Le Mai 68 littĂ©raire de François Maspero : LâĂ©diteur comme relais intellectuel », Ătudes françaises, vol. 54, n° 1, 2018, p. 37-58 (lire en ligne).
- Sophie Martin, « Maspero / La DĂ©couverte », in Jacques Julliard, Michel Winock (dir.), Dictionnaire des intellectuels français. Les personnes, les lieux, les moments, Paris, Ăditions du Seuil, 2009, p. 927-928
- Julien Hage, notice « MASPERO François », Le Maitron, en ligne, 2022.
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative Ă la vie publique :
- Ressource relative Ă l'audiovisuel :
- Ressource relative à la littérature :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Entretien avec François Maspero : « Quelques malentendus », Période,
- Salar Mohandesi and Patrick King, eds., « Remembering François Maspero (1932-2015) », Viewpoint Magazine ()
- « LâĂ©dition laminĂ©e (entretien avec François Maspero) », La Quinzaine littĂ©raire, no 919, du 16 au
- [vidéo] Entretien vidéo avec François Maspero par Mediapart