Forfry
Forfry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Forfry | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de Meaux | ||||
Maire Mandat |
Alain Bon 2020-2026 |
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Code postal | 77165 | ||||
Code commune | 77193 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Forferois | ||||
Population municipale |
241 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 49° 03′ 27″ nord, 2° 50′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 111 m |
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Superficie | 5,80 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Claye-Souilly | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription de Seine-et-Marne | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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GĂ©ographie
Communes limitrophes
Oissery | Douy-la-Ramée | |||
N | ||||
O Forfry E | ||||
S | ||||
Saint-Soupplets | Gesvres-le-Chapitre | Marcilly |
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie de 75 mètres à 111 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 86 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
- la Thérouanne, longue de 23,31 km[3], qui conflue avec un bras de la Marne (F64-4301) ;
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,86 km[6].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Forfry comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] - [14] - [Carte 2], l'« Étang de Rougemont » (13,11 ha), couvrant 2 communes du département[15] ; et le « Ru des Avernes » (36,4 ha)[16].
Urbanisme
Typologie
Forfry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 38 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,9% ), forêts (6,9% ), prairies (4,3 %)[23].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24] - [25] - [Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[26]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 88 dont 86,4 % de maisons et 13,6 % d'appartements.
Parmi ces logements, 83 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 15,9 % des logements vacants[Note 6].
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 87,8 % contre 9,5 % de locataires et 2,7 % logés gratuitement[27].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes d'autocars No 703, No 705, No 714 et No 753 du réseau de bus CIF.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Furferi en 1124[28] ; Furfery en 1133[29] ; Fulfriacum vers 1145[30] ; Forfreiacum en 1150[31] ; Fulfri vers 1172[32] ; Furfreium en 1177[33] ; Furferiacum en 1181[34] ; Fulfuri vers 1182[35] ; Forfri[36] et Forferi en 1182[37] ; Furfiriacum en 1184[38] ; Fourferi en 1220[39] ; Forferiacum en 1222[40] ; Furfri au xiiie siècle[41] - [42].
Histoire
La paroisse de Forfry relève du diocèse de Meaux. Ses registres paroissiaux témoignent d'une administration précise et efficace[43].
La seigneurie de Forfry est liée de la fin XVe au XVIIe siècle à celles de Boissy et d'Eve. Elle est alors possédée par la famille de Paris.
Lors des combats de la Libération de la France, le , une bataille a lieu à Oissery et Forfry entre un bataillon de FFI commandé par Charles Hildevert, venus du Raincy venus récupérer un parachutage d'armes, et l'occupant. 105 résistants ont alors été tués et soixante-cinq personnes ont été emprisonnées ou disparues[44] - [45] - [46].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Dammartin-en-Goële[47]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Claye-Souilly
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Seine-et-Marne.
Intercommunalité
Forfry était membre de la communauté de communes des Monts de la Goële, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalité a fusionné le au sein de la communauté d'agglomération du pays de Meaux dont est désoremais membre Forfry.
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [53] - [54].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Forfry est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [55] - [56] - [57].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[58]. Le CA du Pays de Meaux (CAPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55] - [59].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [55] - [60] - [61].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[62].
Population et société
Les habitants sont appelés les Forferois et Forferoises qui vient de son ancien nom, Forfery.
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[64].
En 2020, la commune comptait 241 habitants[Note 7], en augmentation de 1,26 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, le nombre de ménages fiscaux[Note 8] de la commune était de 85, représentant 242 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 380 euros[66].
Emploi
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 31, occupant 114 actifs résidants (dont 6,6 % dans la commune de résidence et 93,4 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,9 % contre un taux de chômage de 6,6 %. Les 21,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,4 % de retraités ou préretraités et 8,4 % pour les autres inactifs[67].
Entreprises et commerces
Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 21 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 4 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 3 étaient relatifs aux autres activités de services[68].
En 2020, 7 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[69].
Agriculture
Forfry est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[70].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[71]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 3 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 184 ha en 1988 à 173 ha en 2010[70]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Forfry, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[70] - [Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 4 | 4 |
Travail (UTA) | 8 | 7 | 7 |
Surface agricole utilisée (ha) | 552 | 645 | 692 |
Cultures[72] | |||
Terres labourables (ha) | 517 | 620 | 667 |
Céréales (ha) | 307 | 358 | 362 |
dont blé tendre (ha) | 214 | 307 | 325 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 70 | s | s |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | 42 | 46 | 123 |
Élevage[70] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 6 | 25 | 30 |
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux remarquables
La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[73].
Autres lieux et monuments
- L'église Sainte-Madeleine. Le registre paroissial de Forfry au XVIe siècle est remarquable par la présentation annuelle qu'en fait le curé du temps, témoignant du respect scrupuleux des prescriptions de l'évêque de Meaux[74] ;
- Les ruines du château de Boissy, XIIIe et XVe siècles. Seules restent la porte d'entrée et la base d'une tour.
- Porte d'entrée du château de Boissy.
Personnalités liées à la commune
La seigneurie de Forfry est possédée durant plusieurs siècles par des membres de la famille de Paris. Elle procède probablement d'un bailli de Châlons-en-Champagne que Louis XI a envoyé en ambassade en 1473 auprès de Frédéric III de Habsbourg, empereur du Saint-Empire, dans le cadre de la lutte commune contre le duc de Bourgogne :
- Jehan de Paris, en 1514
- Eustache de Paris, en 1531, par ailleurs seigneur de Boissy et d'Eve. Il décède entre 1531 et 1540. Époux d'Antoinette Lamy, dame de Pontillault à Pontault (1540), qui veuve se remarie avec Jean-Jacques de Castillon, seigneur de Castillon.
- Christophe de Paris, en 1534, par ailleurs seigneur de Boissy. Fils des précédents. Ecuyer, il décède entre 1546 et 1548. Époux avant 1534 de Catherine Piédefer (vit en 1549).
- Emard de Paris, en 1587, par ailleurs seigneur de Boissy et de La Ramée. Fils des précédents. Né en 1534 à Paris, il décède entre 1587 et 1589. Il épouse avant 1569 Magdelaine Guyot (elle vit en 1589).
- Robert de Paris, de 1604 à 1621, fils des précédents. Ecuyer, il décède entre 1621 et 1637. Époux en 1611 de Nicole de La Noüe, remariée avant 1645 avec Jean de Cuchepot, seigneur de Fougerolles.
- Nicolas de Paris, petit-fils (par Antoine) du précédent, en 1659.
On peut Ă©galement citer :
- Nicolas de Paris-Boissy, chevalier de Malte 1643), grand-prieur de France (1659), fils de Robert. Cette charge est la plus importante de l'Ordre pour tout le Bassin Parisien.
Voir aussi
Bibliographie
- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Forfry », p. 395–396
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Forfry sur le site web de la CA du pays de Meaux
- « Forfry », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- hors communautés et sans abris .
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Forfry » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2019)..
- « Zones ZNIEFF de Forfry » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
- « Forfry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- « commune » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Therouanne (F6410600) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Avernes (F6411000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bregy (F6412000) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 1er novembre 2018
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Forfry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« Étang de Rougemont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, consulté le , sous le code commune 77193.
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- IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
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- Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 4 mai 2020
- Cartulaire de Fontaines, fol. 1.
- Du Plessis, II, p. 25.
- Cartulaire de Tiron, II, p. 55.
- Cartulaire de Fontaines, fol. 28 v°.
- Du Plessis, II, p. 60.
- Archives nationales, LL 1351, fol. 64 v°.
- Cartulaire de Saint-Lazare de Meaux, fol. 1.
- Poupardin, Saint-Germain-des-Prés, II, p. 59.
- Cartulaire de Fontaines, fol. 59 v°.
- Du Plessis, II, p. 69.
- Du Plessis, II, p. 70.
- Cartulaire de Chaalis, fol. 178.
- Archives nationales, L 877, n° 1.
- Obit. prov. Sens, IV, p. 7.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 229.
- Etienne Meunier. Les registres paroissiaux de Brienon-l'Archevêque de 1396 à 1452 (mariages et décès) : deuxièmes plus anciens de France (et du monde ?). Une médaille d'argent française pour Brienon-l'Archevêque 1396. Nos Ancêtres et Nous, revue des cercles généalogiques de Bourgogne, n° 166, 2020, p. 14, note 30 à 33. Textes de 1571 à 1581.
- « Hommage aux résistants et libérateurs », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Anaïs Bernard, « Oissery. 105 résistants exécutés le 26 août 1944 : Le 26 août 1944, le territoire de Oissery a été touché par une bataille entre résistants et soldats allemand. La commune va rendre hommage à ses victimes dimanche 26 août », La Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Frédéric Stévenot, « Oissery et Forfry (Seine-et-Oise), 26 août 1944 : Le 26 août 1944, le bataillon commandé par Charles Hildevert fut décimé à Oissery par les forces allemandes. Ces combats firent cent cinq morts et soixante-cinq prisonniers ou disparus », Dictionnaire biographique des fusillés, guillotinés, exécutés, massacrés 1940-1944, Le Maitron en ligne (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Forfry », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- V.Lx., « Xavier et Hervé Proffit, deux frères pour une mairie », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « À Forfry, Xavier Proffit, 58 ans, se représentera au second tour. Dimanche dernier, il menait une liste concurrente de celle de son frère cadet, Hervé Proffit, 49 ans, maire sortant ».
- A. E., « Le conseil municipal ingérable est dissous », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « « C'est moi qui ai demandé au préfet de porter l'affaire devant le Conseil des ministres, explique Pascal Guillaume. La situation devenait intolérable. » Élu maire en mars 2001 à l'« insu de son plein gré », Pascal Guillaume voyait en effet toutes ses propositions bloquées par l'opposition municipale, paradoxalement majoritaire en nombre de conseillers ».
- « Le maire, Eric Devine, est décédé », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « Il avait 50 ans et était maire de ce village de 250 habitants depuis 2014. Eric Devine était entré au conseil municipal en 2002 ».
- « Forfry 77165 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
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