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Famille Goybet

La famille Goybet est une famille française originaire de Savoie. La branche aînée, subsistante, compte parmi ses membres quatre généraux. La branche cadette, anoblie en 1758, est éteinte.

Famille Goybet
Image illustrative de l’article Famille Goybet
Armes

Blasonnement D'azur Ă  la fasce d'or, cousu de 3 Ă©toiles d'argent en chef et d'un croissant du mĂŞme en pointe.
Devise Quo cunque vocer (J'irai lĂ  ou l'on m'appelle)
Période XVIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Savoie
Allégeance Drapeau de la Savoie Duché de Savoie
Fiefs tenus Lutrin et Grilly
Charges Intendant du Chablais, Faucigny et du Genevois
Fonctions militaires officiers généraux
RĂ©compenses militaires LĂ©gion d'honneur.

Historique

Origine

La famille Goybet est originaire de Méthenod (Meythenod), dans l'actuelle commune de Meyrieux-Trouet, en Savoie où elle est connue avec Michel Revardel dit Goybet [1]. Son fils Jehan, marié à Louise Sauccaz, est notaire à Truel. Il teste en 1646[1]. Son petit-fils, Charles Revardel dit Goybet, épouse à Trouet en 1641 Françoise de Goy, dont la famille est originaire d'Yenne, dans le duché de Savoie.

Pierre Gentil, administrateur civil, dans un ouvrage publé en 1997, indique pour sa part que la famille Goybet remonterait sa filiation à un certain Michel Revardel, serf, puis homme lige et franc, mort en 1410. Les Revardel seraient affranchis en 1441[2] - [3] - [4].

La famille Revardel adopte définitivement le nom de Goybet au XVIIe siècle et se répartit en deux branches :

  • une branche subsistante, reprĂ©sentĂ©e par Gaspard Goybet(1663-1708), fils de Charles Revardel dit Goybet et de Françoise de Goy. Il est l'auteur de toute la famille Goybet subsistante. Abandonnant la charge notariale en 1750, pour le commerce et l'industrie, la famille Goybet se fixe dans la commune de Yenne, dans l'Avant-pays savoyard, frontalière du royaume de France.
  • une branche cadette anoblie en 1758 par le duc de Savoie, reprĂ©sentĂ©e par Maitre Marc Goybet , châtelain de Centagnieu, père de Noble Claude François Goybet. Marc Goybet est le fils de Charles Revardel dit Goybet et de Françoise de Goy. Cette branche s'est Ă©teinte en 1783 Ă  la mort de Jacques François Goybet, fils de Claude François Goybet, restĂ© sans postĂ©ritĂ©.

Branche cadette Ă©teinte

Cette branche cadette de la famille Goybet a été anoblie en 1758. Elle est représentée par Claude-François Goybet (1680-1759)[5], originaire de Thonon. Ce dernier est un officier civil de l'administration savoyarde, dans le royaume de Sardaigne[5]. Avocat au sénat de Savoie dès 1702, il est nommé intendant du Genevois et du bailliage de Ternier en 1733[6] - [7], puis intendant du Chablais en 1749[6] - [8]. Il a acheté la seigneurie de Lutrin en 1733 au comte François de La Fléchère. Il prend sa retraite d'intendant en 1756.

La famille Goybet est répertoriée dans le tome III de l’Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie du comte Amédée de Foras, pour faire l'objet d'un supplément d'édition. Le décès prématuré du comte de Foras ne l'a pas permis, mais les familles savoisiennes peuvent consulter les archives constitutives de cet ouvrage au château de Menthon-Saint-Bernard qui en est le dépositaire.

Cette branche porte : d'azur Ă  la fasce d'or cousu de 3 Ă©toiles d'argent en chef et d'un croissant du mĂŞme en pointe et sa devise est : Quo cunque vocer (J'irai lĂ  ou l'on m'appelle)[9] - [10].

Cette branche est éteinte en 1782, date du décès de Noble Pierre-Gabriel Goybet de Grilly et de Lutrin en 1782, Officier, petit fils de Claude-François Goybet[11] - [12].

Branche aînée subsistante

Gaspard Goybet (1663-1708), notaire et châtelain de Meyrieux et Verthemex, épouse Anne Courtois d'Arcollières (1694). Ils sont à l'origine de la branche aînée subsistante de la famille. Cette branche donne principalement une succession de notaires et de châtelains, aux XVIe et XVIIe siècles, puis ils se consacrent au commerce et à l'industrie, avant, d'être connus au milieu du XIXe et au XXe siècle pour leur engagement militaire.

Cette branche de la famille Goybet compte une lignée de légionnaires qui permet au troisième légionnaire et à sa descendance d'être membre de l'AHH instituée pour perpétuer dans les familles le zèle pour le bien de l'Etat (Ordonnance de Louis XVIII du 8 octobre 1814)[13].

Filiation

  • Michel Revardel dit Goybet[14], vivait Ă  MĂ©thenod et mourut avant 1633. Il est le fils de Guillaume Revardel qui fit une reconnaissance fĂ©odale en faveur d'AndrĂ© de Seyssel, seigneur de Choysel, le 13 fĂ©vrier 1528, et petit fils de Michel Revardel, affranchi, "reconnu liège et franc" de dame de Paladru en 1441. Michel Revardel dit Goybet eut trois enfants : Jehan Claude, Claude et Jehan, auteur de la famille Goybet.
    • Jehan Claude Revardel dit Goybet, mort avant 1633, fut grand vicaire.
    • Maitre Claude Revardel dit Goybet, s'installe Ă  Yenne et y mourut en 1619, châtelain de Centagnieu (1586-1589), de Rubod (1600, 1610), d'Yenne (1601, 1605), notaire, il Ă©pouse Gasparde Pardey, sept enfants[14], dont :
      • Maitre Claude Revardel dit Goybet, notaire Ă  Yenne (1603-1646)[15], curial de Yenne (1633-1663), de La Balme avant 1660, mariĂ© Ă  Marguerite de La Tour dont huit enfants, nĂ©s Ă  Yenne et qui gardent le nom de Revardel. Son fils, Maitre Marc Antoine Revardel (1639-1682), sera curial de Yenne et de la Balme. Son petit fils, Prudent Revardel (1671-1739) est châtelain de Yenne (1698-1715).
    • Maitre Jehan Revardel dit Goybet, châtelain de Centagnieu et notaire ducal (1638-1646), Ă©pouse Louise Sauccaz, trois enfants[14], dont :
      • MaĂ®tre Charles Revardel dit Goybet, vĂ©cut Ă  Trouet et y mourut en 1677, notaire ducal Ă  Trouet (1641-1660), châtelain de Centagnieu (1649-1660). Il Ă©pouse Françoise du Goy (1617-1688). Ils eurent dix enfants[16], dont :
        • MaĂ®tre Marc Goybet, Ă  l'origine de la branche cadette anoblie en 1758 et Ă©teinte en 1783, père de Claude François Goybet anobli en 1758.
        • Gaspard Goybet, Ă  l'origine de la branche subsistante[16].

Branche Ă©teinte

Enluminure du Livre de Mariano Goybet consacrée à Noble Claude François Goybet et sa descendance.
  • Maitre Marc Goybet (dĂ©cĂ©dĂ© en 1725), châtelain de Centagnieu (1671-1675), Ă©pouse Marie Poncet, dont:
    • Noble Claude François Goybet (1680-1759), mariĂ© le avec Marie-Antoinette du Nant de Grilly (1709-1797), seigneur de Lutrin, anobli en 1758, avocat au souverain SĂ©nat de Savoie, intendant du Chablais et Gaillard, intendant du Genevois[17] - [18]. Ils ont deux enfants :
      • Noble Jacques-François Goybet (1732-1783), seigneur de Lutrin et de Grilly[19], nĂ© le , Ă©pouse Marie-Claudine de La Forest-Divonne[20], dont
        • Noble Pierre-Gabriel Goybet de Grilly et de Lutrin (1759-1782), Officier[21], mort tuĂ© d'un coup de feu au château de Châtillon, sans alliance ni postĂ©ritĂ©[11].
      • BenoĂ®te Goybet de Lutrin de Grilly, Ă©pouse le , Pierre-Claude de La FlĂ©chère, comte de Veyrier-Châtillon, dont postĂ©ritĂ©[22].

Branche subsistante

La généalogie de la branche subsistante, d'après l'ouvrage de Pierre Gentil, est[23].

  • Gaspard Goybet(1663-1708), notaire, châtelain de Meyrieux et Verthemex qui Ă©pouse Anne Courtois d'Arcollières (1694), descendante de l'archer du roi, Étienne Courtois d'Arcollières[24] - [25], 3 enfants.
    • Joseph Goybet, notaire de Challières (1723-1750), châtelain des marquisats de Yenne et de Chevelu[26], Ă©pouse Gabrielle Delylye (1715), fille du notaire de Challières dont il prit la suite (1 enfant), puis Jacqueline Gache en 1721 (cinq enfants dont louis François qui suit et Alexis qui suivra), puis en 1728 sa cousine Gabrielle Joubert (six enfants).
      • (2) Louis François Goybet mourut avant 1786, châtelain de Yenne, notaire Ă  Yenne (1752-1784)[15]. Il Ă©pouse, le 3 Juin 1747 (Contrat du 26 Avril,Dauteville notaire), Claudine Belly nĂ©e le 4 aoĂ»t 1730 de Prudent et Marguerite de Bavoz[27].
      • (2) Joseph (II) (feu Alexis) Goybet (1724-1791), notaire Ă  Yenne (1767-an VIII)[15], marchand (Regrettiers de la paroisse de Saint-Paul-sur-Yenne), conseiller de la communautĂ©[28], vice-châtelain de Yenne (1771-1782)[29]. Il Ă©pouse le (contrat du 18 janvier) Jeanne Belly (1727-24 germinal an V), fille de Prudent Belly (1696-1785) et Marguerite de Bavoz (1701-1738)[30], 14 enfants[29].
        • Joseph Goybet (1746-1799), notaire royal (1767 Ă  l'an VIII), châtelain du marquisat de Yenne (1771-1782)[29], Ă©pouse Françoise Andrevon, 6 enfants.
        • Louise Goybet (1753-1827), Ă©pouse Dominique Dullin (1740-1810) en 1768, arrière grand mère de Charles Dullin (1885-1949)[31].
        • Charles Goybet (1759-1846), nĂ©gociant Ă  Lyon ou il fait une certaine fortune ; il achète le domaine de Volontaz Ă  Charles Belly et testa le 15 AoĂ»t 1846[29]. Bienfaiteur de sa famille et de la ville de Yenne, il lĂ©gue Volontaz Ă  son petit neveu Charles Goybet. Il Ă©pouse EugĂ©nie Rondin en 1772 (sans postĂ©ritĂ©)[32] - [29].
        • Pierre Goybet (1750-1831), nĂ©gociant, premier maire de la ville de Yenne en Savoie (an IV Ă  1815[33]), Ă©pouse Ă  Lucey en 1785 Emmanuelle Piollet (1760-1810), 2 enfants.
          • Antoine Goybet (1787-1867), maire de Yenne de 1836 Ă  sa mort, Ă©pouse en 1817 Élisabeth Piollet, fille de Pierre (docteur en mĂ©decine)[34] - [35], chevalier de l'ordre impĂ©rial de la LĂ©gion d'honneur (1864) et des Saints-Maurice-et-Lazare[36].
          • Alexis Goybet,(nĂ© Ă  Yenne-1786-1854) fils de pierre Goybet et frère d'Antoine, nĂ©gociant Ă  Lyon [46], mariĂ© Ă  Lyon le 18 Juin 1822 Ă  Louise Marie Jeanne de Montgolfier, cousine de Marc Seguin, fille de Michel de Montgolfier et de Louise Millanais de La Salle[47] - [48], petite fille d'Augustin-Maurice de Montgolfier (1741-1788), enfant d'anne Duret et de pierre de Montgolfier, anobli par louis XVI, père des inventeurs joseph et Étienne de Montgolfier [49].
            • Pierre Jules Goybet (1823-1912), industriel en Espagne, membre du conseil supĂ©rieur de l'industrie en Espagne, directeur de l'Ă©cole de la Martinière[50] Ă  Lyon[47] - [51] - [52]. Il Ă©pouse, en 1857, Marie Bravais[53], fille du mĂ©decin botaniste Louis-François Bravais (1800-1843) et de Constance Odoard, nièce du physicien Auguste Bravais. Études au collège des JĂ©suites de Fribourg, puis emmenĂ© Ă  16 ans par son oncle Augustin de Montgolfier dans son usine de Torero, près de Saragosse qui introduisait la fabrication du papier en Espagne[54]. Il dirige ensuite une entreprise de construction de machine Ă  vapeur près de cette mĂŞme ville. NommĂ© chevalier et membre du conseil supĂ©rieur de l'industrie, il reçoit le grade de lieutenant d'artillerie dans la milice. Il rentre en France en 1862 et reste quelque temps Ă  Annonay puis est nommĂ© principal de l'École professionnelle de la Martinière Ă  Lyon oĂą il demeure 16 ans. Châtelain du domaine de la Martinière, acquis en 1878 Ă  Traize (Savoie)[55]. Père de trois fils (Mariano, Henri et Victor) et deux filles[56] - [46].

Galerie

  • Antoine Goybet (1787-1867), Maire de Yenne, Chevalier de l'ordre impĂ©rial de la LĂ©gion d'honneur
    Antoine Goybet (1787-1867), Maire de Yenne, Chevalier de l'ordre impérial de la Légion d'honneur
  • Charles Goybet (1825-1910), gĂ©nĂ©ral, grand officier de la LĂ©gion d'honneur.
    Charles Goybet (1825-1910), général, grand officier de la Légion d'honneur.
  • Laurent Goybet (1833-1912), grand juge Ă  Monaco, chevalier de l'ordre impĂ©rial de la LĂ©gion d'honneur
    Laurent Goybet (1833-1912), grand juge à Monaco, chevalier de l'ordre impérial de la Légion d'honneur
  • Livre de famille de Mariano Goybet.
    Livre de famille de Mariano Goybet.
  • Victor Goybet (1865-1947), gĂ©nĂ©ral, grand officier de la LĂ©gion d'honneur.
    Victor Goybet (1865-1947), général, grand officier de la Légion d'honneur.
  • Charles Goybet (1898-1982), colonel, officier de la LĂ©gion d'honneur.
    Charles Goybet (1898-1982), colonel, officier de la LĂ©gion d'honneur.
  • Henri Goybet (1868-1958), capitaine de vaisseau, commandeur de la LĂ©gion d'honneur.
    Henri Goybet (1868-1958), capitaine de vaisseau, commandeur de la LĂ©gion d'honneur.
  • Mariano Goybet (1861-1943), gĂ©nĂ©ral, grand officier de la LĂ©gion d'honneur. (1ère gĂ©nĂ©ration de LĂ©gion d'honneur)
    Mariano Goybet (1861-1943), général, grand officier de la Légion d'honneur. (1ère génération de Légion d'honneur)
  • Pierre Goybet (1887-1963), contre-amiral, commandeur de la LĂ©gion d’honneur. (2ème gĂ©nĂ©ration de LĂ©gion d'honneur)
    Pierre Goybet (1887-1963), contre-amiral, commandeur de la Légion d’honneur. (2ème génération de Légion d'honneur)
  • Pierre Adrien Goybet (1922), chef de Bataillon d'infanterie de marine parachutiste, chevalier de la LĂ©gion d'honneur (3ème gĂ©nĂ©ration de LĂ©gion d'honneur)
    Pierre Adrien Goybet (1922), chef de Bataillon d'infanterie de marine parachutiste, chevalier de la Légion d'honneur (3ème génération de Légion d'honneur)

Alliances

Les principales alliances de la famille Goybet sont : Pardey, de La Tour, Sauccaz, de Goy, Poncet, Courtois d'Arcollières (1694), Delylye (1715), Gache (1721), Joubert (1728), du Nant de Grilly (1730), Belly (1746), de La Forest-Divonne, de La Fléchère (1753), Dullin (1766), Piollet (1785), de Montgolfier (1822), Bravais (1857), Moyne (1876), Lespieau(1887), de Blesson (1892), Jaillard (1893), Putz (1908), Eymard (1935), Raoult (1941), Tronel (1947), Richard du Monteiller, Boutelet (1949), Dumoulin (1957), Grange, de Swert, etc.

Notes et références

  1. Article, Le mémorial de Lyon en 1793, tome 15, Editions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, 2002, p. 34 (note de bas de page) (lire en ligne).
  2. Pierre Gentil, L'Honneur de servir, Association des anciens honneurs héréditaires, 1997, chapitre consacré à la famille Goybet p. 37.
  3. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de yenne, 1964, p. 2.« Michel Revardel, vivant en 1441. Il était mort lorsque le 23 Novembre 1465, Etienne, son frère 'a reconnu au nom et comme administrateur de Catherine et Antoine à Michel feu Jehan Revardel, ses neveux, être homme liège et franc de dame de Paladru à forme d'un affranchissement de 1441 et a reconnu au nom des féaux ses neveux devoir à la dite dame pour le chivalage avoine bichettes combles 2.0. le 6 Février 1445 Grosse Depreilland fol.510. Michel laissa donc deux enfants vivants en 1465 : Catherine et Antoine, mineur en 1466, mort en 1528, date de la reconnaissance féodale de son fils Guillaume en faveur d'André Seyssel seigneur de Choisel. le fils de Guillaume qui vivait à Methenod avant 1633, eut trois fils, dont Maitre Claude Revardel dit Goybet, châtelain de Centagneu (1586-1589), de Rubod (1600-1610), d'Yenne (1601-1605) ».
  4. Livre de famille de Mariano Goybet, 1898-1931, p. 11.
  5. Jean Nicolas, La Savoie au 18e siècle, Inflexions, Au siècle des lumières, Tome 2, Maloine, 1978, page 904 (lire en ligne).
  6. Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et bourgeoisie, vol. 1, La Fontaine de Siloé, , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4, lire en ligne), p. 941.
  7. Claude-Antoine Ducis, « Le Prieuré et le Pont Saint-Clair », Revue Savoisienne, Société florimontane d'Annecy, vol. 18, no 10,‎ , p. 18 (lire en ligne, consulté le ).
  8. « En Savoie avant la RĂ©volution. Les intendants Â», MĂ©moires & documents, AcadĂ©mie chablaisienne, 1893, pages 44-45 (lire en ligne).
  9. Le blason a été repris par Mariano Goybet, passionné d'héraldique, et par sa descendance. Mariano Goybet a publié un livre enluminé sur la famille Goybet. Le Blason familial est cité dans le livre L'honneur de servir, Imprimerie des orphelins apprentis d'Auteuil, Paris, 1998, chapitre consacré à la famille Goybet p. 38.
  10. Pierre Jaillard, Les blasons : Art et langage héraldiques, Hachette Pratique, , 257 p. (ISBN 978-2-01-231664-5, lire en ligne).
  11. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 11
  12. Livre de famille de Mariano Goybet, 1898-1931, p. 73.
  13. Texte de l'Ordonnance du 8 octobre 1814.
  14. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 4-6
  15. Liste des versements des minutes de Notaire en Savoie. Sous série E et 6E, sur le site des Archives départementales de la Savoie (lire en ligne).
  16. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 8
  17. Archives de l'ancien duché de Savoie, 1966, p. 2, seigneur de lutrin, anobli en 1758, avocat au souverain Sénat de Savoie, intendant du Chablais et Gaillard, intendant du Genevois (lire en ligne).
  18. Livre d'Henri Jaillard 'Les Goybet de la vallée de yenne 1960 Page p. 10-11
  19. Albert Révérend (1844-1911), Titres, anoblissements et pairies de la restauration 1814-1830, Volume 4, 1904, page 137 (lire en ligne).
  20. Comte Amédée de Foras, continué par le comte F.-C. de Mareschal, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne), p. 435, « La Forest Divonne (de) ».
  21. Jean Nicolas, La Savoie au 18e siècle, Inflexions, Au siècle des lumières, Tome 2, Maloine, 1978, page 1208 (lire en ligne).
  22. Comte Amédée de Foras, continué par le comte F.-C. de Mareschal, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne), p. 39, « La Fléchère (de) ».
  23. Pierre Gentil, L'Honneur de servir, Association des anciens honneurs héréditaires, 1997, p. 37-38.
  24. Pierre Gentil, L'honneur de servir, Imprimerie des orphelins apprentis d'Auteuil, Paris, 1998, chapitre consacré à la famille Goybet p. 37
  25. Histoire en Savoie, Revue de culture et d'information historique, édition de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, n° 10, avril 1968, p. 7 « De grands notables ».
  26. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de yenne, 1964, p. 18, note sur les châtelains p. 53 : « L'ancien régime avait laissé aux seigneurs une partie de l'administration du pays, survivance de l'époque féodale ou les seigneurs vassaux du roi, assuraient pour lui toutes les fonctions, y compris celles militaires, de justice, etc. Les seigneurs déléguaient leurs attributions à un châtelain rémunéré. Au XVIIe siècle et après le châtelain est nommé par le souverain. On choisit souvent un Notaire pour les garanties de compétence ».
  27. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 19
  28. René Clocher, « Le regrattier », Bulletin de l'année 2010, Commune de Saint-Paul-sur-Yenne, p. 36 lire en ligne.
  29. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964 p. 22-24
  30. Pierre Gentil, L'Honneur de servir, Association des anciens honneurs héréditaires, 1997, p. 37.
  31. Paul Hamon, Charles Dullin et sa famille. Généalogie des Dullin d'Yenne, imprimerie Allier, Grenoble, première édition 1957, (Texte reproduit dans la gazette de l'ile Barbe).
  32. Histoire en Savoie, Revue de culture et d'information historique, édition de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, n° 10, avril 1968, p. 7.
  33. Annuaire statistique du département du Mont-Blanc (1805-1806), rédigé par Mr Palluel, secrétaire de la préfecture à Chambéry, page 19 (lire en ligne).
  34. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 37
  35. Henri Putz, L'option d'un officier savoyard, Imprimerie nationale, 1960, p.197-213.
  36. « Cote LH/1183/53 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  37. « acte de naissance Henri Putz » sur le site Base Léonore.
  38. « Nomination aux différents grades de la Légion d'honneur » sur le site de Base Léonore.
  39. « Biographie de Maurice Putz », sur ecole.nav.traditions.free.fr, Espace tradition École Navale.
  40. « Biographie de Hubert Putz », sur http://ecole.nav.traditions.free.fr, Espace tradition École Navale.
  41. « Cherbourg. Le quotidien à bord du Redoutable vu par le commandant Putz », ouest-france.fr,‎ (lire en ligne).
  42. S. le Flohic, Fonds de l'Association des honneurs héréditaires (FranceArchives), Archives nationales, 2010.
  43. « Cote LH/1183/54 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  44. Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française de 1860 à 1875, Paris, Presses Universitaires de France, , 632 p., p. 574.
  45. « Cote LH/1183/55 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  46. Présidence de M. Miquet, président, « Assemblée générale du 10 janvier 1917 », Revue Savoisienne, vol. 58, no 1,‎ , p. 6-7 (lire en ligne).
  47. Leon Rostaing, La famille Montgolfier, Éditions A.Rey, 1910, p. 564-565.
  48. Leon Rostaing, La famille Montgolfier, Éditions de Bussac, 1960, p. 304.
  49. Leon Rostaing, La famille Montgolfier, Éditions de Bussac, 1960, p. 296-297.
  50. Tibulle Lang, La martinière : Son histoire, son organisation, Décleris, Lyon, 1910, p. 75-76 (lire en ligne).
  51. Leon Rostaing, La famille Montgolfier, Éditions de Bussac, 1960, p. 316-319 et p. 325.
  52. Notice « Goybet Pierre Jules » sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques.
  53. « Cote 19800035/151/19279 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  54. The institute of historical Research .University of London. History of technologie Volume 30 page 144. Européan technologies in Spanish history. Auteurs Ian Inkster et Angel Calvo. Editeur London Continuum 2011. Lire en ligne https://books.google.fr/books?id=bQRspuTU_dwC&pg=PA144&dq#v=onepage&q&f=false
  55. Henri Jaillard, Les Goybet de la vallée de Yenne, 1964, p. 58.
  56. Leon Rostaing, La famille de Montgolfier. Ses alliances et ses descendants, Edition G.De Bussac, 1960 Clermont-Ferrand, p. 316-317.
  57. « Cote LH/1183/56 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  58. Christophe Charles, Eva Telkès, « Lespieau (Robert) [note biographique] », Bibliothèque Historique de l’Éducation, 1989, numéro 25, pp. 182-18 (lire en ligne)
  59. Mémoire des hommes défense gouvernement (lire en ligne).
  60. « Repères historiques » p. 20 et suivantes, La dépêche de l'A.E.I., no 2, Décembre 2015, Comité du Monument National du Hartmannswillerkopf ([PDF] lire en ligne).
  61. Mémoire des hommes défense gouvernement, (lire en ligne).
  62. Leon Rostaing, La famille de Montgolfier. Ses alliances et ses descendants, Edition G.De Bussac, 1960 Clermont-Ferrand, p. 317.
  63. La dépêche de l'A.E.I. / no 2 Décembre 2015 / Comité du Monument National du Hartmannswillerkopf / Comité de rédaction Michel Petitjean - Gilbert Wagner - Guy Spenle - Daniel Froehly - Claudia Frottier /p. 19 /Article Biographie de Mariano Goybet / La première perte cruelle d'un fils |http://www.memorial-hwk.eu/media/pdf/depeche_aei2.pdf lire en ligne
  64. Bulletin AHH no 29 novembre 1987. Notice sur famille Goybet Ă©crite par Pierre Jaillard
  65. Le mémorial de Lyon en 1793 : Vie et mort des familles Lyonnaises victimes de la révolution, tome 10, éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1994, p. 137, (lire en ligne).
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  69. Pierre Gentil, L'honneur de servir, Imprimerie des orphelins apprentis d'Auteuil, Paris, 1998, chapitre consacré à la famille Goybet p. 38.
  70. The Red hand flag. History Detectives produit par PBS aux Etats-Unis en 2008 lire en ligne.
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  72. « Biographie de Henri Jules Goybet », sur http://ecole.nav.traditions.free.fr, Espace tradition École Navale
  73. Contre Amiral Jehenne, Historique des batteries des canonniers marins et canonnières fluviales, 1938, page 9 ([PDF] lire en ligne).
  74. Lieutenant de Vaisseau Moal, École de Guerre Navale année 1925, Organisation des formations de marin à terre (1914-1919), p.40-42.
  75. Jean-Michel Boniface, Jean-Gabriel Jeudy, Les camions de la victoire : le service automobile pendant la Grande guerre, 1914-1918, Ă©ditions Massin, 2016, p. 89, 186-189 (lire en ligne).
  76. Livre de famille de Mariano Goybet, 1898-1931, p 41 / 200 pages numérotées sur parchemin, avec de très belles enluminures / consultable archives de Savoie cote IJ 288.
  77. « Cote 19800035/157/20036 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  78. La campagne de Norvège (9 avril-7 juin 1940) sur le site www.cheminsdememoire.gouv.fr (lire en ligne).
  79. « Biographie de Philippe Goybet », sur Archives historiques de l'union européenne, European University institut.
  80. « Des energies et des emplois locaux avec Voltalia 23/01/2015 », sur franceguyane.fr.

Voir aussi

Bibliographie

  • ThĂ©ophile Lamathière, Le PanthĂ©on de la LĂ©gion d’honneur, tome VIII
  • Alfred Anthonioz, GĂ©nĂ©raux savoyards, Genève, 1912
  • Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française, P.U.F.
  • Compte-rendu de Jacques Lovie, 13 avril 1977 sur le livre de Henri Putz "Une Ă©ducation militaire sarde"

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