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Famechon (Pas-de-Calais)

Famechon est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants de la commune sont appelés les Famechonais.

Famechon
Famechon (Pas-de-Calais)
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Famechon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Sébastien Henquenet
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62322
Démographie
Gentilé Famechonais
Population
municipale
111 hab. (2020 en diminution de 4,31 % par rapport à 2014)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 08′ 35″ nord, 2° 28′ 07″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 152 m
Superficie 4,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Famechon
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Famechon
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Famechon
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Famechon

    La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    La commune, située dans la vallée de la Quilliene, se trouve dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et est limitrophe du département de la Somme.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes, dont deux portent le nom de Thièvres et dont l'une d'elles est située dans le département de la Somme.

    Les communes limitrophes sont Pas-en-Artois, Orville, Pommera, Thièvres, Authie et Thièvres.

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par la Quilliene, un cours d'eau de 11,88 km, qui prend sa source dans la commune de Saulty et se jette dans l'Authie au niveau de la commune de Thièvres dans le département de la Somme[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 798 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Paysages

    La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [3].

    Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[4].

    Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 hectares et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Famechon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [6] - [7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %), forêts (0,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Voies de communication

    La commune est desservie par la route départementale D 1[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Famechon en 1284 ; Fanmechon en 1373[14], Famechon depuis 1793 et 1801[15].

    Histoire

    Temps modernes

    Famechon est le siège d'une seigneurie avant la Révolution française.

    Le lieu a donné son nom à une famille noble de la société d'Ancien Régime: les Venant de Famechon.

    En , sont érigées en marquisat (titre de marquis) les terres de Famechon, Ivergny, du Refuge en Ivergnie, d'Ovancourt et de la Motte, unies en une seule terre sous le nom d'Ivergny, La terre de Famechon relève de la châtellenie de Pas (Pas-en-Artois), celle d'Ivergny est tenue de la châtellenie de Rollancourt, les deux terres possèdent toute la justice seigneuriale. Le fief du Refuge en Ivergny est tenu du comte de Saint-Pol, celui d'Ovancourt relève du seigneur des Grands-Ovancourt, celui de la Motte relevant de la seigneurie de Coin[16].

    Souche de Belvalet
    • Philippe comte de Belvalet était en 1645 lieutenant-général, commandant la province d'Artois et gouverneur des ville et cité d'Arras.
    • Antoine Ier de Belvalet, chevalier, seigneur de Famechon, mort à Paris en 1650, conseiller d'État, inhumé à Arras à l'abbaye de la Paix (couvent des Bénédictines de la Paix), fondé par ses ancêtres[16].
    • Antoine II de Belvalet, fils d'Antoine Ier, et beau-frère de Louis de Venant, était, au moment de sa mort en 1696, colonel du régiment de Famechon, maréchal des camps et armées de France et d'Angleterre[16].
    • Dominique François de Belvalet, mort en 1712, était maréchal de camp, gouverneur d'Alcantara[17].
    • Charles comte de Belvalet, mort à Madrid en 1717, était lieutenant-général des armées du roi d'Espagne Philippe V, gouverneur de Lérida.
    • Ignace de Belvalet de Famechon est oncle d'Ignace de Venant ci-dessous et de Jacques Onuphre François de Belvalet, marquis d'HumerÅ“uille.Il fait carrière en tant que colonel d'un régiment de son nom et meurt maréchal de camp et des armées du roi[17].
    Souche de Venant
    • Guillaume Venant, natif d'Auxi (Auxi-le-Château) a desservi plusieurs offices, a perdu une grande partie de ses biens pendant les guerres de France, ses papiers et documents étant au château de Frévent qui a été pris.
    • Louis Ier Venant, fils de Guillaume, a servi pendant les guerres de Charles Quint et de Philippe II, sous le vicomte de Gand, sous les sieurs de Boubers et dr Vaulx, premier comte de Bucquoy, a exercé plusieurs bailliages, s'est marié deux fois, d'abord à N... Haynau, noble puis avec Antoinette Maillet[18].
    • Philippe Ier Venant, fils de Jean Ier Venant (voir Personnalités de Graincourt-les-Havrincourt) mort en 1660 était commandeur (de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem) de Silippe et de Burgos.
    • Louis II Venant, frère du précédent Philippe Ier, en 1606, occupait la fonction de commandeur de l'ordre de Malte, et fut envoyé par cet ordre auprès des archiducs Albert d'Autriche et Isabelle-Claire-Eugénie d'Autriche, gouverneurs des Pays-Bas.
    • Louis III Venant, neveu de Philippe Ier Venant ci-dessus, chevalier, seigneur de Graincourt. est l'arrière-grand-père de François Joseph de Venant de Famechon ci-dessous.
    • Louis Venant a épousé Madeleine de Belvalet, fille d'Antoine Ier de Belvalet[16].
    • Ignace de Venant, seigneur de Famechon et de Saternaut, gentilhomme de la province d'Artois, capitaine dans le régiment d'Isenghien, reçoit en des lettres données à Versailles, l'autorisant à porter sur ses armes une couronne de cinq fleurons d'or, et à prendre pour supports, deux griffons de sable becqués et armés de gueules. Il est le fils de Dominique Louis de Venant, écuyer, seigneur de Saternaut et de Graincourt, crée chevalier héréditaire en 1674. La faveur accordée en 1698 l'a été en considération de sa naissance, de ses services et de ceux de ses oncles paternels Philippe et Louis Venant qui étaient commandeurs de Malte et de son oncle Ignace de Belvalet de Famechon[19].
    Venant de Famechon
    • Jean François Joseph de Venant de Famechon, obtient en , par lettres données à Strasbourg, l'érection en marquisat, et donc le titre de marquis, pour la terre et baronnie de Sainte-Croix, d'un revenu très considérable, située au bailliage de Chalon-sur-Saône, relevant du roi à cause du comté de Bourgogne, composée de quatre terres à clocher : Sainte-Croix, Braale, Fronteneau et la Chapellenaude, outre la terre de Confolans et plusieurs hameaux. Sa famille a rendu de grands services dans les emplois militaires, et différentes charges dans la magistrature et a fourni des chevaliers de Saint Jean de Jérusalem[20]. Jean François Joseph de Venant de Famechon, marquis de Sainte-Croix, ancien député de la noblesse d'Artois, époux de Marie Jeanne de Torcy, lègue ses domaines à son fils François Joseph de Venant de Famechon.
    • François Joseph de Venant de Famechon, fils de Jean François Joseph, ci-devant chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, gouverneur de la ville d'Uzès, capitaine d'infanterie, bénéficie du titre de marquis du fait de l'érection des terres de Famechon et d'Ivergny, etc. en marquisat en . Il a épousé une des filles de Charles-Louis Joachim de Chastellier-Dumesnil, marquis du Maisnil, grand-croix de l'ordre de Saint-Louis, lieutenant-général des armées du roi, inspecteur général de la cavalerie et des dragons, commandant pour le roi dans la province du Dauphiné[16].

    Première Guerre mondiale

    Pendant la Première Guerre mondiale, Famechon était à proximité du front de l'Artois. Des troupes, par exemple des soldats relevés du front, sont venues cantonner (récupérer, compléter les effectifs, ...) sur la commune, ainsi en novembre 1914[21].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[15].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1803, rattachée au canton de Pas-en-Artois[15].

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Abel Henquenet
    mars 2008 En cours
    (au 19 février 2022)
    Sébastien Henquenet DVD Technicien agricole et agriculteur
    Conseiller départemental depuis 2021
    Réélu pour le mandat 2014-2020[22] - [23] - [24] - [25]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26] - [27]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[28].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Famechonais[29].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 111 habitants[Note 6], en diminution de 4,31 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    277273329375428415405396419
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    394401438352343284296290253
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    261236205190195188157148172
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    180164147138141139133127119
    2015 2020 - - - - - - -
    116111-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 53 hommes pour 64 femmes, soit un taux de 54,7 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,0
    90 ou +
    3,3
    8,0
    75-89 ans
    9,8
    24,0
    60-74 ans
    14,8
    24,0
    45-59 ans
    23,0
    16,0
    30-44 ans
    13,1
    18,0
    15-29 ans
    11,5
    8,0
    0-14 ans
    24,6
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame, comportant une tour clocher-porche de style néo-roman, un vaisseau unique avec une abside arrondie, est bâtie en briques au XIXe siècle (vers 1837), en bordure de l'ancienne voie romaine. Au début du XVIIe siècle, l'église primitive, placée sous le vocable de Saint-Genest, se trouvait au milieu du cimetière actuel, sur les hauteurs du village. D'après l'iconographie des Albums de Croÿ, elle comportait un clocher campenard à deux cloches, une unique nef de trois travées et un chÅ“ur plus étroit couverts en tuiles. Elle fut rebâtie vers 1700 puis disparut au moment de la Révolution française. Ensuite, le cadastre napoléonien (1836) ne fait apparaître aucun édifice jusqu'à la reconstruction de l'église actuelle.
    • Le temple protestant (désaffecté et transformé en salle des fêtes), en pierre calcaire de style néoclassique, bâti en 1862 (comme l'atteste la date inscrite sur le fronton) à la suite d'un premier édifice élevé en bois en 1836 à la sortie du village.
    • Le monument aux morts[35].

    Héraldique

    Blason de Famechon Blason
    D'or à deux fasces d'azur, accompagnées de neuf merlettes de gueules, rangées 5, 3 et 1[36].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Cavrois, Histoire des communes du canton de Pas, réédité en 1998

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Quilliene (E5500600 ) » (consulté le )
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    14. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 104-105, lire en ligne.
    17. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 101, lire en ligne.
    18. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 33, lire en ligne.
    19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 65-66, lire en ligne.
    20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 79-80, lire en ligne.
    21. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    22. Nicolas André, « Le bilan des maires - Famechon - Sébastien Henquenet : « Fier d’avoir contribué à la redynamisation associative » : Famechon, village de 120 âmes, s’est développé sur l’axe Arras – Amiens. Sébastien Henquenet, après deux mandats de conseiller et un mandat de délégué communautaire, arrive au bout de son premier mandat majoral. Avec une satisfaction : avoir pu dynamiser la vie associative et culturelle. Il ne sait s’il sera candidat en 2014. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Famechon: Sébastien Henquenet réélu à la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    25. Sarah Bardis, « Les projets du maire de Famechon: « Comment fait-on pour faire vivre nos villages? » : Sébastien Henquenet entame son deuxième mandat de maire de Famechon. Des projets, il en a. Celui, surtout, de préserver l’église. Reste à trouver des financements. Un vrai combat dans un contexte financier difficile », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
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