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Eygalayes

Eygalayes est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Eygalayes
Eygalayes
Cimetière National d'Eygalayes regroupant 35 tombes des maquisards du Ventoux fusillés le 22 février 1944.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Éric Lyobard
2022-2026
Code postal 26560
Code commune 26126
DĂ©mographie
Gentilé Eygalayais
Population
municipale
90 hab. (2020 en augmentation de 34,33 % par rapport Ă  2014)
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 14′ 24″ nord, 5° 36′ 30″ est
Altitude Min. 722 m
Max. 1 484 m
Superficie 17,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Nyons et Baronnies
LĂ©gislatives 3e circonscription de la DrĂ´me
Localisation
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Eygalayes
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Eygalayes
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Eygalayes
Liens
Site web https://eygalayes.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Eygalayes est situé à l'extrême sud-est de la Drôme à km de Séderon.

    La commune est desservie par la ligne d'autocars no 43 (Laragne - MĂ©vouillon)[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Les Omergues, Ballons, Izon-la-Bruisse, Lachau, Montfroc, SĂ©deron et Vers-sur-MĂ©ouge.

    GĂ©ologie et relief

    • Montagne de Palle (1484 m)[2].
    • Col Saint-Jean (1159 m).

    Hydrographie

    • La MĂ©ouge ;
    • le Riançon, affluent de la MĂ©ouge ;
    • L'Eygalayes : ruisseau qui a sa source sur la commune d'Izon et se jette dans la MĂ©auge [MĂ©ouge], sur la commune d'Eygalayes, après un cours de 6,8 kilomètres. En 1891, il avait une largeur moyenne de 15 m, une pente de 408 m, un dĂ©bit ordinaire de 0.10 m3, extraordinaire de 62 mètres cubes[3].

    Paysages

    • Rives de la MĂ©ouge[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Eygalayes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), terres arables (8,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 98, alors qu'il Ă©tait de 88 en 2013 et de 90 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 46,2 % étaient des résidences principales, 51,8 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Eygalayes en 2018 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (51,8 %), très supérieure à celle du département (8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,8 % en 2013), contre 61,9 % pour le Drôme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement Ă  Eygalayes en 2018.
    Typologie Eygalayes[I 1] Drôme[I 3] France entière[I 4]
    RĂ©sidences principales (en %) 46,2 83,3 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 51,8 8 9,7
    Logements vacants (en %) 2,1 8,6 8,2

    Toponymie

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :

    • 1344 : Aiquelaye (archives de la DrĂ´me, E 2093).
    • 1507 : L'universitat d'Aygolayo (archives de la DrĂ´me, E 3045).
    • 1513 : Aquelaye (archives de la DrĂ´me, E 2557).
    • 1516 : Argueleya (pouillĂ© de Gap).
    • 1516 : mention de la paroisse : Cura de Argualeya et Gaudichardo (pouillĂ© de Gap).
    • 1527 : Aigalaye (archives de la DrĂ´me, E 1093).
    • 1581 : Eyyalayes et Gaudissart (archives de la DrĂ´me, E 3048).
    • 1603 : Eygalaye les Gaudichart (archives de la DrĂ´me, E 3058).
    • XVIIe siècle : Esgalhie et Esgalaye (parcellaire).
    • XVIIIe siècle : Esgallaye (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 289).
    • 1891 : Eygalayes, commune du canton de SĂ©deron.

    Le nom de la commune viendrait de aqua (eau) et laye (forĂŞt en langue romane)[2].

    Histoire

    Préhistoire

    Découverte d'outils de l'âge du Bronze[2].

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    Terre qui porta pendant longtemps le nom de Gaudissard (voir ce nom), et dont une partie était en Dauphiné, bien que le gros de la terre fût en Provence[10].

    • Après un diffĂ©rend avec les contrĂ©es voisines, le village de Gaudissard qui comportait un château sis sur une colline fut complètement rasĂ© vers 1302. Un nouveau village fut construit non loin de lĂ . Son nouveau nom apparaĂ®t dès 1346 comme Ă©tant celui d'Ayguelaye[11]. Une partie du village se trouve en DauphinĂ© (rive gauche du Riançon) et une autre en Provence (rive droite du Riançon, ru affluent de la MĂ©ouge).

    La seigneurie[10] :

    • 1254 : possession des Rambaud (Raimbaud).
    • 1302 : possession des Pontevez.
    • La partie provençale est alors acquise par les comtes de Provence qui l'infĂ©odent aux Baux de Brantes
      • 1394 : cette portion passe aux Sault.
      • 1477 : les Sault sont remplacĂ©s par Dominique Simon dit Seramusse.
      • Les Sault laisse leur portion aux Isoard de Chanarilles.
      • 1597 environ : vendue aux La Tour-Gouvernet, derniers seigneurs d'Eygalayes.
    • La partie dauphinoise.
      • Possession des MĂ©vouillon.
      • Vers 1308 : passe aux AdhĂ©mar (elle leur appartient encore en 1478).
      • Vraisemblablement acquise par les La Tour-Gouvernet en mĂŞme temps que la partie provençale.

    1300 (démographie) : environ 37 familles[10].

    1787 (démographie) : 400 habitants[10].

    Avant 1790, Eygalayes était du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix, viguerie et recette de Sisteron. La paroisse fait partie du diocèse de Gap, dont l'église était dédiée aux saints Fabien, Sébastien et Jacques, et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu (voir Le Prieuré)[10].

    Gaudissard

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • 1299 : Universita de Gaudissardo (archives de la DrĂ´me, E 3093).
    • 1301 : De Gaudeysardo (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
    • 1344 : Castrum de Gaudissardo (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
    • 1516 : mention de la paroisse : Cura de Argualeya et Gaudichardo (pouillĂ© de Gap).
    • 1548 : Goudisard (archives de la DrĂ´me, E 3330).
    • 1588 : Goudisart (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
    • XVIe siècle : Godichard (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
    • 1603 : Gaudichard (archives de la DrĂ´me, E 3053).
    • 1891 : Gaudissard, quartier de la commune d'Eygalayes.

    Ancien chef-lieu de la communauté et paroisse d'Eygalayes[12].

    Le château, ruiné en 1302, semble avoir formé à l'origine un fief distinct qui, possédé tout d'abord par les barons de Mévouillon, fut donné aux Baux, en 1302, par le comte de Provence et passa ensuite par alliance aux Adhémar[12].

    Le Prieuré

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

    • 1115 : Ecclesia de Serreriis (archives de la DrĂ´me, fonds de Saint-Ruf).
    • 1302 : Ecclesia et claustrum de Cereriis (archives de la DrĂ´me, E 3152).
    • 1503 : Prioratus Sancti Jacobi de Sarreriis loci Aquelaye (Taulier, notaire Ă  Valence).
    • 1516 : Prioratus de Argualeya et de Gaudichando (pouillĂ© de Gap).
    • 1588 : Le priorĂ© de Goudissart (archives de la DrĂ´me, E 3330).
    • 1891 : Le PrieurĂ©, ferme et quartier de la commune d'Eygalayes.

    Emplacement d'un ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, congrégation de Saint-Ruf, dit, tour à tour, de Serrières, de Gaudissard et d'Eygalayes, et dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de la paroisse d'Eygalayes[13].

    Révolution française et Empire

    En 1790, Eygalayes est compris dans le canton de Montauban; mais la réorganisation de l'an VIII le fait entrer dans celui de Séderon[10].

    Époque contemporaine

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune est concernée par le Maquis Ventoux.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Séderon[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nyons et Baronnies

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Drôme.

    Intercommunalité

    Eygalayes était membre de la petite communauté de communes des Hautes Baronnies, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec ses voisines pour former, le , la communautĂ© de communes des Baronnies en DrĂ´me provençale, dont est dĂ©sormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 mars 2001 André Nicolas PS
    mars 2001 mars 2008 Jacques Laurent
    mars 2008 mars 2014 Josette Fournier
    mars 2014 juillet 2020 Marie-Claude Fontaine-Pascal[16] DVG Retraitée
    juillet 2020[17] automne 2022 Georges Roméo Artisan ou commerçant retraité
    DĂ©missionnaire
    septembre 2022[18] En cours
    (au 30 mars 2023)
    Éric Lyobard Agriculteur

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

    En 2020, la commune comptait 90 habitants[Note 2], en augmentation de 34,33 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    441454420442467469478460458
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    443439444402367365326303287
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    266233259251194181159162134
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    11410689807676716884
    2020 - - - - - - - -
    90--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte patronale : dernier dimanche d'aoĂ»t. FĂŞte communale : 28 aoĂ»t[2].

    Cultes

    La paroisse catholique d'Eygalayes dépend du diocèse de Valence, doyenné de Buis-les-Baronnies[22].

    Économie

    En 1992 : pâturages (ovins, bovins, caprins), lavande, tilleul, miel[2].


    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-SĂ©bastien d'Eygalayes, de style roman[2].
    • Chapelle Saint-Jaumes : ancien prieurĂ©[2].
    • Monument aux morts de la Première Guerre mondiale dont la devise est : Le droit prime la force.
    • NĂ©cropole nationale d'Eygalayes : Ă©difiĂ©e Ă  l'une des entrĂ©es du village Aux morts du maquis, 35 tombes de maquisards fusillĂ©s par les Allemands le .
    • Monument aux morts d'Eygalayes (Première Guerre mondiale) : Le droit prime la force.
      Monument aux morts d'Eygalayes (Première Guerre mondiale) : Le droit prime la force.
    • Stèle commĂ©morative du lieu oĂą ont Ă©tĂ© fusillĂ©s 35 maquisards du Ventoux le 22 fĂ©vrier 1944.
      Stèle commémorative du lieu où ont été fusillés 35 maquisards du Ventoux le 22 février 1944.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. ligne de bus no 43
    2. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Eygalayes.
    3. J. Brun-Durand (Société d'Archéologie et de Statistique de la Drôme), Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p. 136 (ruisseau).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 136 (commune).
    11. Balades en Baronnies, Freddy Todeur, Ed. A. Barthélémy (ISBN 2-87923-208-2)]
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 157 (Gaudissard).
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 289 (Le Prieuré).
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Les données de ce tableau ont été recueillies auprès des Archives départementales de la Drôme. Les cases vides indiquent que les données n'ont pas pu être trouvées ou étaient inexistantes.
    16. Eygalayes sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 20 novembre 2014).
    17. « Georges Roméo élu maire », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. paroisse catholique d'Eygalayes
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