Eckbolsheim
Eckbolsheim [ɛkbɔlsajm] est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle fait partie de l'Eurométropole de Strasbourg.
Eckbolsheim | |
Une place et une Ă©glise. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Strasbourg |
Intercommunalité | Eurométropole de Strasbourg |
Maire Mandat |
André Lobstein 2020-2026 |
Code postal | 67201 |
Code commune | 67118 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Eckbolsheimois [1] |
Population municipale |
7 143 hab. (2020 ) |
Densité | 1 338 hab./km2 |
Population agglomération |
484 217 hab. (2020) |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 34′ 47″ nord, 7° 41′ 25″ est |
Altitude | Min. 139 m Max. 154 m |
Superficie | 5,34 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Strasbourg (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune du pôle principal) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de HĹ“nheim |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.eckbolsheim.com/ |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. C'est une ville située à 7,6 km de Strasbourg.
GĂ©ographie
Localisation
Urbanisme
Typologie
Eckbolsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 23 communes[5] et 484 217 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,6 %), terres arables (26,4 %), prairies (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le nom Eckbolsheim est constitué de deux termes :
- le nom d'homme germanique « Eckibald », qui se décompose lui-même en
- Eck pour pointe (fil de l’épée, épée), du mot allemand « Ecke » ou « Eck », issu du haut-allemand « ecke », qui vient lui-même du vieil allemand « ekka »
- et
- Bold pour audacieux, vaillant (variantes : « bald », « balt »),
- le suffixe Heim qui signifie demeure.
Eckbolsheim signifie donc, étymologiquement : la demeure de l’audacieux (le vaillant) sachant manier l’épée.
« Eck » = « Eggi » explique l'orthographe ancienne Eggiboldesheim rencontrée en 884.
Au cours des siècles suivants, ce nom de lieu fut mentionné sous différentes formes, c’est cependant dans un document remontant à l’an 1246, émanant du pape Innocent IV, qu’apparaît le nom Eckboltzheim, toponyme ayant survécu pratiquement sans modification jusqu’à aujourd’hui. En 1517, cette localité était désignée par le nom Egöltzen. Aujourd’hui, dans le dialecte alsacien, la commune est désignée par un terme dérivé : Eckelse[12].
Autre explication : d'une racine paléo-européenne AK qui sert à nommer des lieux « hostiles » et aussi « sacrés ». Pourrait avoir fonctionné avec Achenheim et Holtzheim[13].
Histoire
Eckbolsheim à travers les siècles
Dès la préhistoire, à l’époque néolithique (entre 5 000 et 3 500 ans av. J.-C.), Eckbolsheim constituait déjà une aire d’occupation humaine. Celle-ci se situait surtout le long de la Bruche, mais à l’abri des inondations. Des « fonds de cabane » contenant des céramiques rubannées ont été découvertes en 1955 et 1959. Cette occupation précoce s’explique par l’existence d’une voie celtique qui reliait Strasbourg à la vallée de la Bruche, et d’une voie romaine reliant Bâle à Cologne qui passaient toutes deux sur le territoire de l’actuelle Eckbolsheim.
En l’an 235 de notre ère, à la suite d’une invasion germanique, la VIIIe légion romaine subissait une défaite, qui conduisit à la destruction par le feu de son camp comportant des services administratifs et d’intendance, situé à Koenigshoffen. Il y a tout lieu de penser que les installations civiles de ce camp qui comportait des quartiers d’artisans et de commerçants existaient à côté de l’agglomération militaire et s’étendaient jusqu’à Eckbolsheim. En effet, c’est sur le territoire de notre commune que fut mis au jour, en 1924, un magnifique buste de l’empereur romain Pupien ; il remonte au IIIe siècle et se trouve aujourd’hui au musée archéologique de Strasbourg.
Les habitants de la commune connurent tour à tour les invasions des Germains, des Alamans, des Vandales, des Huns…
Le Moyen Ă‚ge
Au début du VIIe siècle apparaît pour la première fois le nom de l’Alsace et c’est en 884, que pour la première fois aussi, la commune est citée dans un document officiel, sous le nom de Eggiboldesheim.
Du XIe au XIIIe siècle, des ordres monastiques nouveaux fondèrent des établissements en Alsace. C’est ainsi qu’un couvent fut créé à Eckbolsheim en 1224 par l’ordre des dominicaines sous le nom de Sainte-Marguerite. En raison de l’insécurité régnant dans les campagnes, il fut transféré à Strasbourg dès 1270. En 1320, une chartreuse fut fondée à Eckbolsheim mais elle fut ensuite transférée à Molsheim en 1570.
Dès le XIIe siècle, le village était pratiquement la propriété du chapitre de Saint-Thomas à Strasbourg. C’est lui qui nommait le bailli ainsi que l'écoutète (« Schultheiss »). Ce dernier était généralement un paysan dont le rôle consistait à faire respecter les droits du seigneur et à présider le « tribunal du village » qui comprenait également trois échevins (« Schöffen ») élus par les bourgeois du village. Ce tribunal était appelé à juger les questions foncières. Mais les baillis, appartenant en général aux familles Mullenheim et Girbadon, voulant s’arroger la souveraineté du village, furent très longtemps en procès avec le chapitre de Saint-Thomas à ce sujet. C’est finalement un jugement de l’évêque de Strasbourg, du 7 juin 1451, qui tranche définitivement la question en faveur du chapitre de Saint-Thomas, ce dernier gardant la propriété allodiale du village pour les terres (exemptes de toute redevance).
Les calamités n’ont cependant pas épargné Eckbolsheim. On peut noter, en particulier, les déprédations faites par les troupes qui participèrent à la bataille d’Oberhausbergen en 1262, l’incendie du village par le duc Ruprecht de Bavière en 1369, le pillage par les Armagnacs en 1439 et surtout la « guerre des paysans » en 1525. En effet, les habitants d’Eckbolsheim s’étaient joints en grand nombre aux paysans révoltés et ont pris part aux combats de Saverne, où beaucoup trouvèrent la mort.
De la RĂ©forme Ă la RĂ©volution
L'église d’Eckbolsheim est mentionnée pour la première fois au XIIIe siècle. Le clocher actuel de cette église fut érigé en 1523, comme en témoigne l'inscription sur le haut du portail du clocher[14] - [15].
La Réforme fut introduite à Eckbolsheim en 1524. Le chapitre de Saint-Thomas de Strasbourg y envoya le premier pasteur en 1535. Jusqu'en 1686, l'église sert alors uniquement au culte protestant luthérien[14].
En 1681, la république de Strasbourg capitule en faveur de Louis XIV et passe sous le contrôle du royaume de France. Ce rattachement s’applique aussi aux possessions des institutions religieuses de la ville, dont le chapitre de Saint-Thomas avec son village d’Eckbolsheim.
A partir de 1683, Louis XIV impose le principe du simultaneum pour les églises protestantes en Alsace. Lorsque sept familles catholiques habitent dans une village protestant, le chœur de l’église du village doit être réservé au culte catholique, la nef étant commune aux deux cultes, catholique et protestant. L’église d’Eckbolsheim devient une église simultanée en 1686[15].
En 1685, le prévôt du village doit être obligatoirement catholique.
Le nombre de catholiques habitant le village augmente au cours du XVIIIe siècle. A partir de 1740, par décision du Conseil souverain d’Alsace, le tribunal du village, composé jusqu’alors uniquement de protestants, doit être composé pour une moitié de protestants et pour l’autre moitié de catholiques.
A la RĂ©volution, 767 protestants cohabitent avec 100 catholiques[15].
L'église servira aux protestants et aux catholiques jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'entretien de l'église incombait aux deux confessions. Compte tenu du développement démographique de la localité, une seconde église fut construite pour le culte catholique. La consécration de la nouvelle église catholique eut lieu le 10 octobre 1886[15]. Le 13 avril 1891, le simultaneum fut aboli par arrêté ministériel et sa fin devient effective en 1895[14].
Les temps modernes
Les XVIIIe et XIXe siècles se caractérisent par un essor agricole remarquable. Le développement artisanal et industriel est plus timide, même au XXe siècle (malterie vers 1850, équarrissage vers 1910…). Quant au développement immobilier, il a été amorcé par l’arrivée du tramway en 1893 et a été relativement important dans l’entre-deux-guerres puis en 1950 et 1960 où il s’effectue sous forme de lotissements.
Politique et administration
Liste des « Schultheiss » (écoutètes avant 1685, prévôts à partir de 1685) sous l'Ancien Régime
Avant la Révolution française, le chapitre de Saint-Thomas à Strasbourg était le seigneur du village.
Début | Fin | Identité (prénom & nom) | Religion | Prise de fonction
(lien de parenté éventuel) |
Fin de fonction |
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1524 | 1529 ? | Martzolff Wolff | catholique (romain) puis protestant (luthérien) | ? | ? |
1531 ? | 1532 | Jerg Lienhart | catholique (romain) puis protestant (luthérien) | ? | décès |
1532 | 1553 | Lentz Wurtz | catholique (romain) puis protestant (luthérien) | ?
(époux de la veuve de son prédécesseur) |
décès |
1553 | 1557 | Andres Wurtz | protestant (luthérien) | nomination par le chapitre de Saint-Thomas
(fils de son prédécesseur) |
destitution (démission forcée) par le chapitre de Saint-Thomas, pour cause d'adultère |
1557 | 1570 | Hans Hugelman | protestant (luthérien) | élection par les bourgeois du village puis ratification par le chapitre de Saint-Thomas | décès |
1571 | 1574 | Thoman Schott | protestant (luthérien) | " | décès |
1574 | 1575 | Jacob Hügel | protestant (luthérien) | " | décès |
1575 | 1586 | Andres Beümel | protestant (luthérien) | "
(beau-fils de Hans Hugelman ci-dessus) |
décès |
1586 | 1604 | Lorentz Schöttel | protestant (luthérien) | " | décès |
1604 | 1609 | Hans Reüber | protestant (luthérien) | " | décès |
1609 | 1620 | Hans Schöttel | protestant (luthérien) | "
(neveu de Lorentz Schöttel ci-dessus) |
démission à cause de son âge et de sa faiblesse |
1620 | 1620 | Bastian Jörger | protestant (luthérien) | élection par les bourgeois du village (bourgeois ayant obtenu le plus de voix) puis ratification (29 juillet 1620) par le chapitre de Saint-Thomas | refus de sa nomination (5 août 1620) |
1620 | 1650 | Lorentz Scheer | protestant (luthérien) | élection par les bourgeois du village puis nomination par le chapitre de Saint-Thomas (5 août 1620, second bourgeois ayant obtenu le plus de voix, après Bastian Jörger, démissionnaire, lors de l'élection de ce dernier) | décès |
1650 | 1654 | Martin Schöttel | protestant (luthérien) | élection par les bourgeois du village puis ratification par le chapitre de Saint-Thomas
(gendre de Hans Schöttel ci-dessus) |
décès |
1654 | 1665 | Michel Wurtz | protestant (luthérien) | " | décès |
1665 | 1674 | Hans Sutor | protestant (luthérien) | ? | décès |
1674 | 1679 | Wolff Klein | protestant (luthérien) | ? | décès |
1679 ? | après 1684 | Georg Scheer | protestant (luthérien) | ?
(fils de Lorentz Scheer ci-dessus) |
destitution (?) ou démission (?) car obligation de religion catholique pour les prévôts à partir de 1685 |
avant 1687 | après 1691 | Hans Georg Klein | protestant (luthérien) puis catholique (romain) | nomination | ? |
? | ? | Sebastian Lienhardt | catholique (romain) | nomination | ? |
avant 1730 | 1750 | Mathias Scheer | catholique (romain) | nomination | décès |
1750 | 1764 | Sebastian Lienhard | catholique (romain) | nomination | décès |
1764 | 1789 | Georg Scheer | catholique (romain) | nomination | abolition de la fonction |
Sources : Histoire d'Eckbolsheim, recherches et travaux de Jean-Pierre Nenninger et Hubert Bosch, liste en cours de construction (avril 2023) - Archives de la Ville et de la communauté urbaine de Strasbourg (archives du chapitre Saint-Thomas, dont 1AST 507 à 512, 1AST 710, 1AST 711, 1AST 588 et 1AST 589), archives départementales du Bas-Rhin (archives de la paroisse protestante d'Eckbolsheim, 2G 117 ; registres paroissiaux d'Eckbolsheim, 3E 117)
Liste des maires
Jumelages
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2020, la commune comptait 7 143 habitants[Note 3], en augmentation de 6,71 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Le 2e dimanche de mai : Messti de la ville.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le ZĂ©nith de Strasbourg, ZĂ©nith Europe, salle de spectacle.
Personnalités liées à la commune
- Charly Grosskost (1944-2004), né à Eckbolsheim, coureur cycliste professionnel.
- Christophe Neff, géographe franco-allemand et blogueur, a passé une partie de sa petite enfance[24] à Eckbolsheim[25] - [26].
- Camille Ruff (1898-1942), résistant alsacien pendant la Seconde Guerre mondiale , président du Boxer-Club de Strasbourg. Résident à Eckbolsheim , il y cache un dépôt d'armes et de munitions près de chez lui. Il est responsable du secteur Strasbourg-campagne dans l'organisation clandestine du docteur vétérinaire Charles Bareiss.
HĂ©raldique
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Les armes d'Eckbolsheim se blasonnent ainsi : |
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Le blason d'Eckbolsheim a été enregistré dans l'armorial de la Généralité d'Alsace dressé sur ordre de Louis XIV en 1696. Il porte une figure principale, à savoir une croix à double traverse dont la première est moins longue, ainsi que des figures ou ornements secondaires, c'est-à -dire trois monts, dont deux en chef (en haut) et le troisième en pointe (en bas).
En ce qui concerne la croix à double traverse, il s'agit, ainsi que le précise la description figurant dans l'Armorial, d'une croix patriarcale. Ce symbole fut sans doute attribué à Eckbolsheim parce que cette localité dépendait alors, sous l'Ancien Régime, d'une seigneurie ecclésiastique, à savoir le chapitre Saint-Thomas à Strasbourg.
Pour ce qui est des trois monts, il n'y a pas lieu de leur accorder une signification particulière. En fait, les fonctionnaires chargés de la composition des blasons – en application de l'édit de 1696 – y portaient des signes secondaires fort variés à seule fin de différencier deux blasons portant une même figure principale.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jean-Pierre Nenninger, Eckbolsheim Regard sur le Passé, éd. Carré Blanc.
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site officiel de Eckbolsheim.
- Dictionnaire Ă©tymologique
- « Histoire de la paroisse protestante d'Eckbolsheim » (consulté le )
- « Histoire de la paroisse catholique Saint Cyprien d'Eckbolsheim » (consulté le )
- Histoire d'Eckbolsheim, recherches et travaux de Jean-Pierre Nenninger, décembre 2003, dans Bulletin municipal de la commune d'Eckbolsheim, n° 56, janvier 2008
- Liste des maires sur le site internet d'Eckbolsheim
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- (fr) « Billet de Gründonnerstag 2011 », Le Monde.fr (consulté le ).
- (fr) « I. Un blog sur les paysages : un petit début – ou quelle langue choisir ? », Le Monde.fr (consulté le ).
- (fr) « Les cloches de Pâques introuvables sur Wikipedia.fr (24.4.2011) », Le Monde.fr (consulté le ).
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).