Dury (Somme)
Dury est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Dury | |||||
La mairie, pavoisée pour le . | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Amiens Métropole | ||||
Maire Mandat |
Anne Pinon 2020-2026 |
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Code postal | 80480 | ||||
Code commune | 80261 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Duriens | ||||
Population municipale |
1 452 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 50′ 46″ nord, 2° 16′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 59 m Max. 117 m |
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Superficie | 10,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Amiens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Amiens-6 | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.dury80.com/ | ||||
Géographie
Nature du sol et du sous-sol
Le sol et le sous-sol de la commune sont constitués de calcaire. Sous l'épaisse couche végétale on trouve de l'argile à l'est ; à l'ouest, la terre arable est peu abondante, le sous-sol est calcaire[1].
Relief, paysage, végétation
L'altitude de la commune culmine à 115 m. Le territoire de Dury est celui d'un plateau dominé par des hauteurs vers la vallée de la Selle à l'ouest, la vallée de Cagny, à l'est. Au sud-ouest, la vallée Tortue est entourée par un bois de sapin[1].
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse le territoire communal. La nappe phréatique se situe à 90 m au-dessous du niveau du sol[1].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Urbanisme et aménagement du territoire
Le bourg périurbain de Dury est situé au bord de l'autoroute A29 au sud d'Amiens. En raison de l'extension progressive de l'urbanisation de la ville d'Amiens, une partie de la commune se retrouve à présent accolée à l'agglomération, le bourg n'étant à présent quasiment plus séparé de cette dernière.
Voies de communication et transports
La commune est desservi par l'autoroute A16 et sa rue principale est constituée par l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).
En 2019, Dury est desservi par le réseau de transports en commun d'Amiens (Ametis) et par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[2].
Communes limitrophes
Saleux Salouël |
Amiens | |||
Vers-sur-Selle | N | Saint-Fuscien | ||
O Dury E | ||||
S | ||||
Hébécourt |
Urbanisme
Typologie
Dury est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amiens, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[6] et 164 433 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11 %), zones urbanisées (8,5 %), forêts (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
On trouve plusieurs formes, pour désigner Dury, dans les textes anciens. La première mention d'un lieu nommé Dury apparaît en 710 sous la forme Duriacus, puis Duriacum, Durenum, enfin Dury Amilly[1].
Dury est un nom de formation toponymique gauloise ou gallo-romaine, selon toute vraisemblance. Le suffixe -(i)acum[13] « lieu de, propriété de » ayant abouti à la terminaison -y dans une grande partie du domaine d’oïl. Le premier élément Dur- représente le nom de personne gaulois Dūrius[13].
Histoire
Préhistoire
L’occupation du site de Dury à l’époque préhistorique est attestée par des outils de pierre datant du paléolithique et du néolithique découverts par les enfants de l’école.
Antiquité
Une voie romaine appelée chaussée Brunehaut aurait traversé la commune.
Des fouilles archéologiques ont mis au jour, en 2015, les vestiges d'une villa gallo-romaine datant de la seconde moitié du Ier siècle, à l'époque de la fondation de Samarobriva. Un autre bâtiment, édifié au début du IIe siècle, fut abandonné par la suite. Un nouvel édifice fut alors construit au même emplacement à la fin du IIe ou au début du IIIe siècle, doté d'une cave et un pavillon d’angle. Le site fut définitivement abandonné au milieu du IVe siècle[14] - [15].
Moyen Âge
Les premiers seigneurs de Dury sont Maxent en 690 et Hildevent en 710[1].
En 1080, Raoul de Dury céda au chapitre de la Cathédrale Notre-Dame d'Amiens ce qu’il possédait dans ce lieu et en 1085, Guy et Yves, comtes d’Amiens[16] - [Note 3] donnèrent à ce corps religieux la vicomté de Dury[1]. Enfin, en 1195, Pierre l’Aveugle, maire de Dury, vendit la mairie au chapitre cathédral d’Amiens.
En 1348, apparut la famille Picquet de Dourier.
Pendant la Guerre de Cent Ans, en octobre 1415, Henri V d’Angleterre traversa Dury avec son armée.
Époque moderne
La noblesse d'Adrien Picquet de Dourier fut confirmée en 1665 par Gilbert Colbert de Saint-Pouange, intendant de la généralité d'Amiens[1]. La famille Picquet de Dourier occupa le château jusqu’à la Révolution puis disparut.
En 1666, la Peste bubonique, qui fit tant de ravages à Amiens, n’épargna pas Dury. Deux femmes du village moururent en juillet 1666 de maladie foudroyante. La maladie se diffusa dans les villages des environs[17].
L’église du village fut détruite par le feu en 1726 ainsi qu’un grand nombre de maisons.
Époque contemporaine
En 1805, un incendie embrase la commune et détruit les maisons des deux côtés de la grand-route.
Le cimetière renferme quelques monuments remarquables, entre autres, celui de Jean-Baptiste Caumartin, mort en 1849 après avoir pris, comme député libéral, une part importante à la Révolution de 1830[1].
Guerre de 1870
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, les habitants souffrirent de l’invasion allemande. Le se déroula la bataille de Dury au cours de laquelle les soldats français luttèrent héroïquement contre l'armée prussienne notamment pour le contrôle du cimetière communal lieu de combat sanglant. Devant la résistance des Français, le général prussien von Barnekow, ordonna, vers 16 h 00, à ses hommes de se replier au sud du village de Dury[18].
Première Guerre mondiale
Durant la Première Guerre mondiale, le futur maréchal Foch établit son quartier général dans la commune. D’abord au 1 route nationale, puis au château de Dury, du au . C’est là qu’il prépara les plans et dirigea les opérations de la Bataille de la Somme.
Seconde Guerre mondiale
Au début de la Seconde Guerre mondiale, en 1940, après la percée de Sedan, lors de la bataille de France, d'importants combats se déroulèrent dans un secteur s'étendant de Vers-sur-Selle à Saint-Fuscien et en particulier sur le plateau de Dury, l'une des plus importantes positions clés de la Somme. L'encerclement des armées alliées par les divisions blindées de Guderian, la 7e D.I.C. et la 16e D.I. opposèrent à Dury, du 20 mai au 8 juin, une courageuse résistance à l'avance ennemie[19].
- Stèle à la mémoire de la 7e division d'infanterie coloniale
Politique et administration
Liste des maires
Distinctions et labels
Classement des villes et villages fleuris : trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[29] récompensent les efforts locaux en faveur de l'environnement[30].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 1 452 habitants[Note 4], en augmentation de 16,72 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Monument à la bataille de Dury de la Guerre franco-allemande de 1870.
- Église Saint-Nicolas (reconstruite en 1960 sur les plans de Jacques Antoine et André Devilliers), de style moderne, en brique et ardoise[35].
- Monument aux morts : le nom de 37 soldats tués y est gravé. Ce mémorial concerne trois conflits : Première Guerre mondiale, Seconde Guerre mondiale et opérations extérieures.
- Chapelle du Saint-Esprit, à proximité de l'hôpital Philippe-Pinel.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrance, dressée par les jésuites d'Amiens en 1829, près du bois de la « Belle épine »[36].
- Château de 1638, rénové en 1985, comprenant un parc arboré.
- Château.
- Monument aux morts, place de la mairie
- L'église Saint-Nicolas.
Légende
Une tradition orale affirme que dans le roman Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas, les mousquetaires auraient traversé le village de Dury pour se rendre à Londres chercher les fameux ferrets de la reine.
Héraldique
Blason | D'argent au chevron de sable, accompagné de deux étoiles en chef et d'un trèfle du même en pointe. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
Durant la Première Guerre mondiale, le maréchal Foch établit son quartier général dans la commune. D’abord au 1 route nationale, puis au château. C’est là qu’il prépara les plans et dirigea les opérations de la bataille de la Somme.
Voir aussi
Bibliographie
- Dr P. Vasselle, La bataille au Sud d'Amiens (20 mai - 8 juin 1940) : Combats des 7e DIC et 16e DI sur le plateau de Dury et de la 24e DI sur la position d'Esserteaux, Abbeville, F. Paillard, 1947n, 209 p. (BNF 34195692).
- Inventaire général du Patrimoine culturel. Églises et chapelles des XIXe et XXe siècles (Amiens métropole). Textes : Isabelle Barbedor. Photographies : Thierry Lefébure (collection Parcours du Patrimoine no 331). Lyon : Lieux-Dits, 2008, 72 pages. (ISBN 978-2-914528-47-4).
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La succession féodale du comté d'Amiens entre 1075 et 1185 est irrégulière et incertaine. Du Cange fait d'Yves et Guy deux frères, enfants de Raoul IV de Vexin et d'Anne de Kiev ; ils nous sont connus comme comtes d'Amiens par un acte réformant la procédure judiciaire. Le problème est que l'acte de fondation de l'abbaye de Saint-Acheul, par le comte Enguerran de Boves date lui aussi de 1085.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Notice géographique et historique sur la commune de Dury rédigée par J. Gérard, instituteur, en 1899, Amiens, Archives départementales de la Somme, - Lire en ligne
- « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Amiens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 256b
- « Fouille archéologique de Dury chemin des Foulons - Am », sur Amiens Métropole (consulté le ).
- « Une villa gallo-romaine mise au jour à Dury », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Albéric de Calonne, Histoire de la ville d'Amiens, tome 1, Amiens, Piteux Frères, 1906 p. 118 à 120
- Albéric de Calonne, Histoire de la ville d'Amiens, tome 2, Amiens, Piteux Frères, 1906 pp. 336-337
- Albéric de Calonne, Histoire de la ville d'Amiens, tome 3, Amiens, Piteux Frères, 1906 pp. 389-390
- Docteur Pierre Vasselle, La bataille au sud d'Amiens - 20 mai-8 juin 1940, ouvrage cité en bibliographie.
- « Les Maires de Dury », sur le site de la ville (consulté le )
- « Dury: Michel Quézin a reçu la médaille de l’ordre national la légion d’honneur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Citoyen au service de sa commune, le Durien en a aussi été l’élu. Maire adjoint de Pierre Desse 1977 à 2000, il est devenu maire de Dury 2000 à 2001 avant de glisser premier adjoint de 2001 à 2014. D’abord conseiller d’Amiens Métropole, Michel Quézin a en assuré les fonctions de vice-président dans l’équipe de Gilles de Robien ».
- Rachel Cotte, « Ancien maire de Dury, Michel Quézin s’est éteint à 96 ans : Figure politique locale, il avait consacré une grande partie de sa vie à cette commune. Il avait reçu la médaille de la légion d’honneur en février 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’homme a consacré une grande partie de sa vie à cette commune. Il a occupé le poste de maire adjoint entre 1977 et 2000, et de premier adjoint de 2001 à 2014 ».
- Benoît Delespierre, « Les leçons de Benoît Mercuzot : Séquence nostalgie et transmission lors des treizièmes et derniers vœux du maire Benoît Mercuzot (UMP), qui se présente à Amiens », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Bakhti Zouad, « Le nouveau Conseil d’Amiens Métropole entre renouvellement et continuité : L’installation du nouveau Conseil d’Amiens Métropole s’est déroulée jeudi 9 juillet. On retrouve à sa tête Alain Gest accompagné d’une équipe renouvelée en bonne partie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Précédé d’une excellente réputation, le maire de Dury, Anne Pinon (LR), proche du président de Région, Xavier Bertrand, fait également son entrée dans le nouvel exécutif. Elle sera chargée de l’Enseignement supérieur et de la recherche ».
- Bakhti Zouad, « Dury a reverdi : À moins de quatre mois des élections municipales, nous vous proposons une série d’articles dressant le bilan de plusieurs maires de la métropole amiénoise. À Dury, parmi les nombreuses actions, l’équipe municipale a mis l’accent sur l’aménagement paysager pour améliorer le cadre de vie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- David Vandevoorde, « Anne Pinon, maire de Dury, repart en campagne : La maire sortante Anne Pinon (LR) a annoncé son désir de briguer un nouveau mandat en mars 2020, avec une liste renouvelée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Dury 80480 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
- « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Isabelle Barbedor, « Église paroissiale Saint-Nicolas de Dury : Dossier IA80002896 réalisé en 2003 », L'inventaire général du patrimoine culturel, sur https://inventaire.hautsdefrance.fr (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 198 (ASIN B000WR15W8).