Accueil🇫🇷Chercher

Croisière noire

La croisière noire est une expédition automobile qui traversa le continent africain du Nord au Sud entre le et le . Également nommée « Expédition Citroën Centre Afrique » ou encore « 2e mission Haardt Audouin-Dubreuil », elle est mise sur pied par André Citroën afin de mieux faire connaître sa marque et d'ouvrir une ligne régulière motorisée traversant le continent africain.

Portrait de Georges-Marie Haardt lors de l'expédition.
Citroën P4T de la Croisière noire, à Bruxelles en 1926.

Au-delà du simple aspect publicitaire, il s'agit également d'une expédition à portée politique, culturelle et scientifique. La croisière noire supplée ainsi le projet stagnant du « Transsaharien » en ayant recours, comme le fait remarquer André Citroën en 1925, à des investissements plus faibles au départ et sur une moindre durée[1].

Prémices

Premières expéditions

La première mission Haardt-Dubreuil et ses autochenilles dans le Grand Erg.

Dès la fin du XIXe siècle, quelques explorateurs, comme FĂ©lix Dubois en 1898, ont tentĂ© des essais automobiles en Afrique, mais les rĂ©sultats furent peu concluants[2]. Ce n'est qu'en 1922 qu'une expĂ©dition d'envergure sera entreprise. La mission de Georges-Marie Haardt et Louis Audouin-Dubreuil traverse le Sahara du nord au sud avec cinq autochenilles CitroĂ«n-KĂ©gresse K1, en empruntant l'itinĂ©raire classique des pistes caravanières, fin 1922 - dĂ©but 1923. Georges Estienne qui y a participĂ© convainc son père le gĂ©nĂ©ral Jean Estienne d'organiser une nouvelle traversĂ©e empruntant une nouvelle voie plus adaptĂ©e au transport automobile. Fin 1923, la première mission Gradis, dite « AlgĂ©rie-Niger », traverse le Sahara de Figuig (extrĂŞme-est du Maroc) Ă  SavĂ© (actuel BĂ©nin), Ă  bord de quatre autochenilles K1, parcourant 3 600 kilomètres. Ils sont accueillis Ă  l'arrivĂ©e par AndrĂ© CitroĂ«n, sa femme, l'ingĂ©nieur Adolphe KĂ©gresse, et le gĂ©nĂ©ral Jean Estienne. L'annĂ©e suivante, la seconde mission Gradis est organisĂ©e, Ă  bord de voitures Renault MH, toujours pour traverser le Sahara, mais par la route dite « du Grand Axe ».

Le projet et ses objectifs

Portrait de Louis Audouin-Dubreuil lors de l'expédition

Devant les premiers succès, certains dĂ©sirent entamer de nouvelles expĂ©ditions. Gaston Doumergue, PrĂ©sident de la RĂ©publique française, Ă©voque devant AndrĂ© CitroĂ«n et Georges Marie Haardt l'intĂ©rĂŞt d'une liaison rĂ©gulière entre les colonies africaines et Madagascar, territoire français isolĂ© dans l'ocĂ©an Indien[3]. Dès lors, AndrĂ© CitroĂ«n se lance dans l'organisation de la première partie de cette ligne rĂ©gulière, la traversĂ©e en autochenilles du Sahara, reliant Colomb-BĂ©char (centre de l'AlgĂ©rie) Ă  Tombouctou (centre du Mali), afin de prĂ©parer une liaison avec passagers. Ces passagers devront nĂ©anmoins ĂŞtre suffisamment fortunĂ©s pour pouvoir dĂ©penser dans ce voyage un peu plus de 40 000 francs. Contrairement Ă  la traversĂ©e du Sahara, au cours de laquelle AndrĂ© CitroĂ«n lui-mĂŞme et son Ă©quipe ont bivouaquĂ©, les voyageurs profiteront du grand luxe, logeant dans les grands hĂ´tels situĂ©s le long du parcours et dĂ©gustant des repas spĂ©cialement prĂ©parĂ©s pour l'occasion. Les automobiles CitroĂ«n profiteront de surcroĂ®t d'une importante retombĂ©e mĂ©diatique[4].

Outre l'aspect touristique de l'expédition, l'objectif est également économique. Comme André Citroën l'explique, l'ouverture d'une ligne motorisée « a pour but de transporter le plus rapidement possible le voyageur désireux de se rendre, à travers le désert, dans la région nigérienne où l'attirent les sports ou les affaires »[5]. Par ailleurs, certaines déclarations d'André Citroën laissent à penser qu'il s'interrogeait sur la portée humaniste de l'expédition. En effet, il déclare : « je comprenais [que] la réalisation [du projet] devait donner à ce continent immense et actuellement déshérité en tant d'endroits, la vie, le mieux-être et la joie qui sont avec le travail, les conditions indispensables à l'évolution des groupements humains vers le bonheur »[6]. Néanmoins, il s'agit d'un courant de pensée très répandu dans les pays colonisateurs, l'« humanisme colonial », notamment théorisé par Albert Sarraut.

Compagnie transafricaine

Citroën met dès lors en place une compagnie transafricaine, dénommée dans un premier temps CEGETAF (Compagnie générale transafricaine) puis plus tard CITRACIT (Compagnie transafricaine Citroën)[7], engage des spécialistes pour mettre au point l'expédition imaginée et prépare tout un programme de construction hôtelière. Une formidable campagne de publicité est organisée dans toute l'Europe et de nombreux tracts sont distribués dans les usines Citroën, du quai de Javel. Par ailleurs, la Citroën 10HP qui a servi pour la traversée du Sahara, jugée trop peu confortable pour la clientèle visée, est remplacée par une 15HP Mors, équipée du système Kégresse pour les autochenilles[8].

Expédition

Annulation

Seuls dix-huit mois de préparation ont précédé l'annonce du départ pour Tombouctou, le . Le général Pétain, le roi des Belges Albert Ier, le gouverneur de l'Algérie, M. Steeg, et leurs femmes sont conviés à rejoindre les époux Citroën dans cette expédition. Cependant, le de la même année, André Citroën suspend le projet. Les autorités militaires lui annoncent en effet un risque d'insurrection armée dans le sud du pays marocain, et qu'elles ne sont pas en mesure de garantir la sécurité du groupe. Le gouvernement français retire dès lors toute autorisation de passage dans le pays. Déçu, André Citroën liquide sa compagnie transafricaine et vend les autochenilles spécialement préparées[8].

Cependant, il semble que toute cette histoire ne soit que le fruit d'un complot mis en place contre CitroĂ«n. En effet, il apprend plus tard par plusieurs voyageurs qu'il n'y a jamais eu de rĂ©bellion dans cette rĂ©gion marocaine. CitroĂ«n suspecte alors son Ă©ternel rival, Louis Renault, qui annonce Ă©galement, quelque temps après CitroĂ«n une expĂ©dition similaire, mais avec des automobiles conventionnelles Ă  2 Ă— 6 roues[8], la deuxième mission Gradis qui part effectivement le du fort de la LĂ©gion Ă©trangère de Colomb-BĂ©char.

Reprise

Mais loin d'être abattu par cette première déconvenue, Citroën imagine un projet encore plus grand et plus ambitieux, celui de traverser le continent noir de part en part avec ses autochenilles. Cette mission, dénommée « croisière noire », doit aller bien au-delà de la simple expédition pour voyageurs fortunés et constituer un véritable projet scientifique associant ethnologues, géologues, météorologues, zoologistes, anthropologues, géographes et cartographes. L'expédition sera filmée et photographiée, prétendant à une véritable expédition à portée politique et culturelle[9].

Le nouveau projet reçoit un accueil favorable de la part des hauts responsables de l'État, comme le président de la République française. Il voit dans cette expédition le moyen d'établir une connexion entre les zones reculées d'Afrique, comme Djibouti et Madagascar. Trois institutions importantes, la Société de géographie, le Muséum national d'histoire naturelle et le sous-secrétariat d'État à l'aéronautique, apportent également leur soutien et leurs conseils dans cette aventure scientifique[9].

Participants

L'expĂ©dition permet Ă  8 autochenilles CitroĂ«n P4T, Ă©quipĂ©es du dispositif de propulsion KĂ©gresse-Hinstin avec bandes de roulement en caoutchouc, de parcourir 20 000 km Ă  travers l'Afrique. Elles se diffĂ©rencient nĂ©anmoins des autochenilles de sĂ©rie par quelques perfectionnements pour s'adapter aux divers climats du contient africain. En particulier, le refroidissement du moteur est modifiĂ© pour rĂ©sister au climat tropical. Un rĂ©cupĂ©rateur de vapeur placĂ© au-dessus du radiateur et des Ă©lĂ©ments latĂ©raux disposĂ©s lĂ©gèrement en oblique sous le carrossage doublant la surface de refroidissement sont adjoints. La transmission est dĂ©sormais Ă  six vitesses au lieu de trois normalement et le diffĂ©rentiel comporte un blocage, Ă  la manière des quatre roues motrices. Enfin, la garde au sol est augmentĂ©e d'environ cm[10].

La mission, comportant 17 membres, est dirigĂ©e par Georges-Marie Haardt avec Louis Audouin-Dubreuil comme adjoint. En font Ă©galement partie pour la partie cinĂ©matographique, LĂ©on Poirier, rĂ©alisateur[alpha 1] et Georges Specht, opĂ©rateur[alpha 2], Eugène Bergognier, ancien professeur Ă  l'Ă©cole de mĂ©decine d'Afrique occidentale, Charles Brull pour la minĂ©ralogie et gĂ©ologie et enfin le peintre Alexandre Iacovleff.

Les participants de l'expédition font preuve d'une certaine imagination. En effet, chaque autochenille possède un surnom : le Scarabée d'or pour celle de G.-M. Haardt et le Croissant d'argent pour celle de L. Audouin-Dubreuil sont les plus connues. Mais ces dénominations ne sont pas pour autant dénuées de sens. Les emblèmes sont peints sur les côtés des voitures et sur les remorques pour éviter les erreurs d'attelage. Les huit autochenilles étaient réparties en deux groupes. Le premier groupe réunit le Scarabée d'or, qui transporte les cartes, les armes et les documents, L'éléphant à la tour, qui lui avait à son bord les archives et la trésorerie, et le Soleil en marche ainsi que L'escargot ailé sont les deux voitures cinéma. Le deuxième groupe réunit quant à lui le Croissant d'argent, qui est conduit par le chef mécanicien Maurice Penand, la Colombe qui transporte le matériel médical et le ravitaillement, le Centaure et enfin le Pégase, voiture balai transportant les pièces de rechange[10].

Partis de Colomb-Béchar le , Georges-Marie Haardt et ses compagnons traversent l'Algérie, le Niger, le Tchad, l'Oubangui-Chari et le Congo belge[3]. Ouvrir une voie motorisée sur ce continent n'est pas des plus aisé, étant donné qu'il faut traverser le désert, la savane, les marécages, dont le tracé n'est pas encore cartographié. Cependant, les autochenilles Citroën s'en sortent très bien, ce qui profite à la réputation de la marque[9].

Les sigles dessinés sur les autochenilles pour les distinguer.

DĂ©roulement

Les autochenilles CitroĂ«n n'ont aucune difficultĂ© Ă  traverser le dĂ©sert, si bien que l'expĂ©dition progresse vite dans le Sahara et atteint le Niger le . L'information relative Ă  la prĂ©sence d'une expĂ©dition sur le continent se propage rapidement. Ă€ leur arrivĂ©e Ă  Niamey, CitroĂ«n et ses compagnons sont accueillis par une immense troupe de cavaliers et de chameliers, qui pour certains ont fait de longs voyages pour aller Ă  la rencontre de cette incroyable expĂ©dition et de ses engins motorisĂ©s. Les distances parcourues quotidiennement sont importantes et le 1er dĂ©cembre, l'Ă©quipe atteint dĂ©jĂ  Tessaoua, oĂą le sultan Barmou les attend[9]. Ce dernier est cĂ©lèbre dans la rĂ©gion pour son harem de 100 femmes[3].

Itinéraire de la croisière noire.

Les premières difficultés surviennent après cette date. Les chemins praticables par les automobiles Citroën sont extrêmement rares, si bien que l'expédition doit tracer elle-même ses pistes, taillant à la machette des herbes hautes de plus de deux mètres. Ce n'est que le que l'expédition sort de cette zone difficile. Pour Noël, l'expédition a la chance d'atteindre Fort-Lamy, capitale de l'Afrique-Équatoriale française. Ils y restent jusqu'au , le temps de passer le nouvel an et de se préparer à entamer un passage difficile pour leur expédition. En effet, elle se dirige désormais vers des régions plus hostiles où vivent des « femmes à plateau » et des « hommes léopards », réputés pour leurs sacrifices humains[11]. Il s'agit néanmoins d'un aspect qualifié parfois de « publicitaire » pour l'expédition.

Après avoir parcouru près de 9 000 km en un peu moins de 5 mois, l'expĂ©dition fait une halte de 11 jours Ă  Stanleyville avant de se diriger vers Kampala. Ă€ partir de lĂ , ils se sĂ©parent en quatre groupes, Ă©quipĂ©s chacun de deux voitures, afin de rallier l'ocĂ©an Indien et Tananarive, sur l'Ă®le de Madagascar, par des itinĂ©raires diffĂ©rents. Ainsi, l'Ă©quipe d'Audouin-Dubreuil se dirige vers Mombasa, le commandant Bettemboug vers Dar es Salaam, Charles Brull vers Le Cap et enfin Haardt traverse quant Ă  lui le Mozambique. Ce dernier chemin est considĂ©rĂ© comme le plus pĂ©rilleux et irrĂ©alisable selon les autoritĂ©s anglaises[11]. Ayant parcouru près de 28 000 km dans cette « incroyable aventure », l'expĂ©dition s'achève le .

Cuisine

Aussi ambitieuse et hasardeuse que soit l'aventure, la cuisine ne saurait être négligée. André Citroën et G.-M. Haardt savent par expérience combien cette dimension du voyage est importante si bien qu'ils mettent tout en œuvre pour que les membres de l'expédition bénéficient des meilleures conditions possibles en la matière. Tous les efforts visent à fournir des repas complets et diversifiés quelles que soient les conditions du voyage et les aléas de la route. Yves Gauffreteau, cuisinier de l'expédition, doit néanmoins s'adapter au contexte culturel dans lequel ils vivent, et composer des repas avec un ravitaillement en vivres frais parfois incertain. Par ailleurs, ses plats doivent être réalisables sur les « bords de routes »[12].

Retour

Rayonnement culturel et scientifique

Les participants de l'expĂ©dition ne rentrent qu'Ă  l'automne 1925 Ă  Paris, oĂą ils sont reçus triomphalement par la population française. Diverses expositions, notamment au musĂ©e du Louvre, sont organisĂ©es pour permettre aux visiteurs de dĂ©couvrir les autochenilles, ainsi que les divers objets ramenĂ©s par l'expĂ©dition. D'un point de vue scientifique, il s'agit Ă©galement une rĂ©ussite. 300 planches botaniques, 15 livres de croquis et des Ă©chantillons de plus de 300 mammifères, 800 oiseaux et 1 500 insectes, pour la plupart jamais inventoriĂ©s, sont ainsi collectĂ©s[9].

La croisière noire s'est par ailleurs fixĂ© un objectif photographique d'ordre ethnographique soutenu par la SociĂ©tĂ© de gĂ©ographie. Cette dernière explique ainsi qu'il s'agit de « la tâche la plus urgente qui incombe Ă  l'heure actuelle Ă  tous les voyageurs, de noter par tous les moyens possibles, en particulier par la photographie et le cinĂ©ma, les types anthropologiques et les mĹ“urs »[13] - [14]. Ainsi, 27 kilomètres de film sont impressionnĂ©s et 6 000 photographies rĂ©alisĂ©es, mais la mise en scène des reportages est souvent prĂ©fĂ©rĂ©e Ă  l'aspect scientifique[13]. C'est grâce Ă  ces fichiers que LĂ©on Poirier peut rĂ©aliser le film muet de l'expĂ©dition, d'une durĂ©e de 70 min, qui sort le . Souvent dĂ©crit de la manière suivante, le film permet Ă  des voyageurs imaginaires de dĂ©couvrir les beautĂ©s de l'Empire français. Ce film connaĂ®t un très grand succès, tout comme l'expĂ©dition dans sa globalitĂ©. Cette dernière, dont le coĂ»t initial est de 100 000 livres, connaĂ®t de telles retombĂ©es, notamment pour les automobiles CitroĂ«n, que l'investissement est vite rentabilisĂ©[15].

Aspect politique

La croisière noire est remarquable sur le plan politique pour avoir établi une liaison entre différents territoires sous des juridictions radicalement différentes. Portés par un esprit résolument colonisateur, les pays européens et notamment la France, se réjouissent de pouvoir combler cette barrière naturelle entre les deux parties de l'Empire colonial français, à la fois stratégique et administrative, que constitue le désert du Sahara. L'État français voit également dans la croisière noire la possibilité de poursuivre son projet politique, tout en investissant dans des entreprises privées[16]. La traversée du Sahara ainsi réalisée, l'Empire français se veut ainsi plus uni et stable, propageant dans les métropoles l'image d'un empire cohérent[16].

Par le développement d'une liaison, l'État français voit enfin la possibilité de faire concurrence aux Britanniques, « en les amenant à emprunter à leur tour les services de liaisons françaises pour se rendre dans le Nigeria du nord »[17]. La croisière noire permit à l'Empire français de démontrer sa supériorité technique face aux difficultés que présente le continent africain, à un moment où ce dernier cherchait justement à trouver des solutions plus techniques que militaires pour souder l'empire[18].

Certains diront néanmoins que l'Empire colonial français utilise l'imaginaire produit par la croisière noire, puis par la croisière jaune, quelques années plus tard, pour montrer sa capacité à conquérir le monde[19].

Notes

  1. Léon Poirier : 1884-1968, réalisateur entre autres de Jocelyn, d’après Lamartine et La Brière en 1924, Brazza ou l’épopée du Congo en 1940.
  2. Georges Specht : opérateur ou chef opérateur de nombreux films dont L’Atlantide de Feyder en 1921.

Références

  1. Duval, p. 243.
  2. Murray, p. 97.
  3. « La croisière noire : 1924-1925 », sur citroen.com.
  4. Reynolds, p. 100.
  5. Murray, p. 98.
  6. Murray, p. 99.
  7. Murray, p. 95.
  8. Reynolds, p. 103.
  9. Reynolds, p. 104.
  10. « La Croisière noire en 10 HP », sur citroen10hp.com.
  11. Reynolds, p. 106.
  12. Deschamps.
  13. Lecoquierre, p. 68.
  14. Lefébure.
  15. Reynolds, p. 109.
  16. Murray, p. 96.
  17. Murray, p. 100.
  18. Murray, p. 106.
  19. Le Bissonais, p. 18.

Bibliographie

  • Georges-Marie Haardt et Louis Audouin-Dubreuil : La croisière noire - ExpĂ©dition CitroĂ«n Centre-Afrique, Librairie Plon, Paris, 1927, pp 264. Cet ouvrage a Ă©tĂ© tirĂ© a deux mille cinq cents exemplaires dont cinq cents sur papier Madagascar, numĂ©rotĂ©s de 1 a 500, ex deux mille sur papier d'Alpha.

Annexes

Sources

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages utilisés comme sources dans la rédaction de l'article
  • John Reynolds (trad. de l'anglais), AndrĂ© CitroĂ«n : ingĂ©nieur, explorateur, entrepreneur, Boulogne-Billancourt, E-T-A-I, , 240 p. (ISBN 978-2-7268-8689-2). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Alison Murray, « Le tourisme CitroĂ«n au Sahara (1924-1925) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, Presses de Sciences Po,‎ (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
Ouvrages utilisés comme sources ponctuelles
  • Eric Deschamps, La Cuisine des croisières CitroĂ«n, Éditions de l'Envol, , 275 p. (ISBN 978-2-909907-80-2)
  • Bruno Lecoquierre, Parcourir la Terre le voyage, de l'exploration au tourisme LĂ -bas : Le voyage, de l'exploration au tourisme, Paris, L'Harmattan, , 273 p. (ISBN 978-2-296-04922-2, lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Antoine LefĂ©bure, Explorateurs photographes, Territoires inconnus 1850-1930, Éditions La DĂ©couverte, , 275 p. (ISBN 978-2-909907-80-2)
  • Eugène-Jean Duval, Aux sources officielles de la colonisation française : 2e pĂ©riode 1870-1940, Paris, L'Harmattan, , 386 p. (ISBN 978-2-296-05430-1, lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Claudie Le Bissonais, MĂ©moires plurielles : cinĂ©ma et images : lieux de mĂ©moire ?, Creaphis Éditions, , 159 p. (ISBN 978-2-913610-87-3, lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.