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Crastes

Crastes (Crastas en gascon) est une commune française située dans l'est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.

Crastes
Crastes
L'Ă©glise Saint-Pierre de Crastes, Gers.
Blason de Crastes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gers
Arrondissement Auch
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Auch CƓur de Gascogne
Maire
Mandat
SĂ©bastien Dabasse
2020-2026
Code postal 32270
Code commune 32112
DĂ©mographie
Population
municipale
255 hab. (2020 en augmentation de 1,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 43â€Č 28″ nord, 0° 43â€Č 51″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 272 m
Superficie 19,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de la Gascogne-Auscitaine
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Crastes
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Crastes
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Crastes
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Crastes

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Auroue, l'Aulouste, l'Orbe, le ruisseau de la caillauÚre, le ruisseau de la Gangouille, le ruisseau de Lucvielle, le ruisseau du Courneron et par divers autres petits cours d'eau.

    Crastes est une commune rurale qui compte 255 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 745 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelĂ©s les Crastois ou Crastoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune de Gascogne située à 15 km à l'ouest de Mauvezin.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Ansan, Augnax, Mirepoix, Montaut-les-Créneaux, Nougaroulet, Puycasquier, Saint-Sauvy et Tourrenquets.

    GĂ©ologie et relief

    Crastes se situe en zone de sismicité 1 (sismicité trÚs faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Crastes.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par l'Auroue, l'Aulouste, l'Orbe, le ruisseau de la caillauĂšre, le ruisseau de la Gangouille, le ruisseau de Lucvielle, le ruisseau du Courneron, la Charlangue, le ruisseau de Monet, le ruisseau d'en Baylies, le ruisseau d'en CarrĂ©tĂ©, le ruisseau d'en Passerieu, le ruisseau d'entumeloup, le ruisseau de Saint-Martin, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 21 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    L'Auroue, d'une longueur totale de 62,4 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Saint-Romain-le-Noble, aprĂšs avoir traversĂ© 26 communes[5].

    L'Aulouste, d'une longueur totale de 20,6 km, prend sa source dans la commune de Montaut-les-CrĂ©neaux et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers Ă  Garravet, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[6].

    L'Orbe, d'une longueur totale de 16,6 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Arrats Ă  Monfort, aprĂšs avoir traversĂ© 9 communes[7].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 746 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[13] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 685,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă  15 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] Ă  13,5 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18] - [19] - [20].

    Urbanisme

    Typologie

    Crastes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [I 1] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (98,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (78,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,6 %), prairies (4,2 %), forĂȘts (3,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Crastes est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Crastes.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 120 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 120 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2008 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998, 2002, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1883 1883 J. Ansos (d')
    1883 1913 Alphonse Dutert
    1914 1929 Jules Belin
    1929 1941 Henri Caillavet
    1941 1944 Etienne Lartigue (de)
    1944 1945 François Lacomme
    1945 1983 LĂ©opold Daguzan
    1983 2001 Alfred Gauthe PS
    mars 2001 mai 2020 André Gissot[29] DVG Agriculteur
    mai 2020 En cours SĂ©bastien Dabasse
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31]. En 2020, la commune comptait 255 habitants[Note 6], en augmentation de 1,19 % par rapport Ă  2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    570393481525745704681650697
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    662647600611553529502478502
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    440453408397405412354364301
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    299236234221205230247253255
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 97 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 234 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 290 â‚Ź[I 4] (20 820 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]5,5 %2,6 %7,8 %
    DĂ©partement[I 7]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  152 personnes, parmi lesquelles on compte 77,1 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 7,8 % de chĂŽmeurs) et 22,9 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 35 en 2013 et 42 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 107, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 58,2 %[I 10].

    Sur ces 107 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    10 Ă©tablissements[Note 9] sont implantĂ©s Ă  Crastes au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 30 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantĂ©es Ă  Crastes), contre 12,3 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations44332526
    SAU[Note 11] (ha)1 9302 1291 9872 457

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 44 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] Ă  33 en 2000 puis Ă  25 en 2010[36] et enfin Ă  26 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[37] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă  elle augmentĂ©, passant de 1 930 ha en 1988 Ă  2 457 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 44 Ă  95 ha[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre de Crastes.
    • Chapelle Saint-BarthĂ©lemy de Saint-Martin-Binagre.
    • Chapelle Saint-Blaise de Mons.
    • Chapelle Saint-Joseph de Crastes.
    • Borne milliaire gallo-romaine de la chapelle Saint-Blaise de Mons, rĂ©employĂ©e comme support de bĂ©nitier. Marbre des PyrĂ©nĂ©es. ClassĂ©e Monument Historique au titre "objet" le 17 novembre 1997, rĂ©fĂ©rence de la Base Palissy n° PM32000508. Son inscription est incomplĂšte, elle porte la dĂ©cicace "A notre maĂźtre l'empereur Flavius Valerius Constantin (Constance Chlore), souverain pontife revĂȘtu de la puissance tribunicienne pour la 
 fois (a fait rĂ©parer cette route).

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Crastes Blason
    D'azur à deux clés d'or passées en sautoir, accompagnées de trois étoiles d'argent, et de deux épis de blé d'or en flancs ; à l'écusson d'argent à un lion de gueules[38].
    DĂ©tails
    L'écusson est aux armes de la Gascogne, les clés évoquent saint Pierre, patron de la paroisse, les épis de blés symbolisent l'activité agricole. Les trois étoiles sont reprises des armes de Sans de Bézolles, ancien seigneur qui offrit les cloches de l'église en 1596.

    Adopté le .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges CourtĂšs (dir.), Communes du dĂ©partement du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Crastes » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Crastes » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Crastes » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Crastes » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Crastes » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Crastes », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Auroue »
    6. Sandre, « l'Aulouste »
    7. Sandre, « l'Orbe »
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