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Cottenchy

Cottenchy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Cottenchy
Cottenchy
Saint-Marcel.
Blason de Cottenchy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Jérémy Gawlick
2020-2026
Code postal 80440
Code commune 80213
Démographie
Gentilé Cottenchynois
Population
municipale
573 hab. (2020 en diminution de 1,21 % par rapport à 2014)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 36″ nord, 2° 23′ 00″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 112 m
Superficie 10,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cottenchy
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Cottenchy
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Cottenchy
Liens
Site web http://www.mairie-cottenchy.fr/

    Géographie

    Localisation

    À une dizaine de kilomètres au sud-est du centre d'Amiens, Cottenchy est desservi par les routes départementales 75 et 116.

    La commune est traversée par le méridien de Paris.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est limitée à l'est par la Noye, sous-affluent de la Somme par l'Avre.

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Cottenchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,1 %), forêts (17,2 %), zones urbanisées (3,4 %), zones humides intérieures (3,4 %), prairies (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Costenceium (1069.) ; Costencey (106..) ; Costeney (1105.) ; Costenciolum (1140.) ; Costenci (116..) ; Costenceul (1164.) ; Costencol (1164.) ; Costencheul (1166.) ; Costencuel (1176.) ; Costenchi (1245.) ; Costenchuel (1247.) ; Costenchy (1301.) ; Constanchuel (1337.) ; Cotenchi (1345.) ; Cotherity (1487.) ; Cotency (1507.) ; Cotenchy (1507.) ; Contenchy (1507.) ; Cottensy (1579.) ; Cothenchy (1657.) ; Conterchy (1657.) ; Cournechy (1710.) ; Contenchi (1733.) ; Cottenchy (1757)[9].

    Histoire

    Roger Agache a découvert grâce à la photographie aérienne des substructions d'une villa gallo-romaines au Bois de Cottenchy[10].

    Au XVIe siècle, les artisans du village réparent la flèche de la cathédrale d'Amiens après un incendie[11].

    En 1653, lors de la Fronde, les Espagnols ravagent le village et le détruisent presque complètement[11].

    Des pèlerinages sont organisés vers l'église Saint-Marcel pour vénérer saint Druon qui accomplit régulièrement des miracles[11].

    Première Guerre mondiale

    Le village a subi des destructions durant la Première Guerre mondiale[12].

    La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [13].

    Deuxième Guerre mondiale

    Hébérgé par le docteur Antonin Mans, résistant, Jean Moulin réside à Cottenchy en mai 1941[14].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouvait de 1793 à décembre 2016 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme[15], date à laquelle elle a été rattachée à l'arrondissement de Montdidier[16]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Boves[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [17], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[18], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[19] - [20]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[21] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[22] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[23], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 André Coquel
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Daniel Cotrel Enseignant retraité[24]
    mars 2008[25] juillet 2020 Marie-Christine Maillart Vice-présidente de la CC Avre Luce Noye (2019 → 2020)
    juillet 2020[26] En cours
    (au 13 juillet 2020)
    Jérémy Gawlik Expert construction

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 573 habitants[Note 4], en diminution de 1,21 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    495551575621727732760712678
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    672638615532520467463455441
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    394414404350360322339368361
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    292296341368385372453439571
    2018 2020 - - - - - - -
    573573-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école primaire locale fait partie du Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Cottenchy Dommartin, Fouencamps, Guyencourt-sur-Noye, Remiencourt. L'aspect financier est géré par un SISCO (syndicat scolaire intercommunal)[30].

    L'école maternelle établie à Cottenchy compte 22 Ã©lèves pour l'année scolaire 2016-2017[31].

    La commune abrite le lycée professionnel d'enseignement agricole du Paraclet[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Échaut à Pont-d'Grès.
    • Monument aux morts : le nom de 18 soldats tués y est gravé.
    • Église Saint-Marcel[33], du XVe siècle. C'était un lieu de pèlerinage à saint Druon que l'on invoquait pour la gravelle et les maladies des intestins. Dans le chÅ“ur, se trouve une dalle en mémoire de Louis Cardon, charpentier de Cottenchy qui réalisa la première flèche en bois de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens[34].
    • Si le village a compté jusqu'à quatre moulins sur la Noye, il n'en compte plus qu'un, le moulin du château, de la fin du XIXe siècle, situé rue de l'Abreuvoir[35] - [36] - [37]. Seize charpentiers ont été dénombrés dans le village, par le passé[11].
    • Ferme du Paraclet. C'est à l'origine l'abbaye du Paraclet des Champs fondée en 1219 par Enguerrand II, seigneur de Boves[38]. Elle est abandonnée en 1648, à la fin de la guerre de Trente Ans devant la menace des Espagnols. Elle est détruite en 1714 et reconstruite après la Révolution française pour devenir une école d'agriculture en 1886[39]. La Vierge à l'enfant en pierre date du XIVe siècle. Elle est classée monument historique[40].
    Le Paraclet comprend une zone humide de 28 hectares dont 20 ont été classés Natura 2000, avec une trentaine d’étangs alimentés par un canal de dérivation de la Noye. Il abrite un centre de formation technique pour les professionnels de l’environnement et de la nature[41].
    Le lycée agricole a ouvert en 2015 une boutique qui distribue ses productions, ainsi que celles de 3 autres établissements et de 23 producteurs locaux[42].
    • Chapelle Sainte-Ulphe[43], sur l'emplacement d'une source, détruite en 1756, restaurée en 1989-1991 par les élèves du lycée[39].

    Héraldique

    Blason de Cottenchy Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e de gueules au chevron d'argent accompagné de trois besants d'or, aux 2e et 3e d'azur à la fasce d'argent chargée de trois hures de sanglier de sable, accompagnée de trois étoiles d'or ; à la crosse d'abbesse d'or brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Il s'avère que le conseil municipal n'a pas connaissance de ces armoiries, et envisageait d'en faire composer (entretien avec un adjoint).

    Personnalités liées à la commune

    • Sébastien Boucher, porcher de la commune, a effectué ses campagnes de guerre avec l'empereur Napoléon Ier[11].
    • Henri Magny (1910-1944), officier de la France Libre, mort au combat en Italie, y est inhumé

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 262 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    10. « Photographie aérienne de Roger Agache : Sur la lèvre du plateau, villa gallo-romaine à cour rectangulaire orientée au sud est. La maison du maître, de dimensions modestes (26 x 16 m), a un plan très simple, avec une enfilade de pièces précédées d'une galerie de façade. De grands bâtiments sur semelle de craie sont visibles sur l'aile nord, tandis que l'aile sud, plus floue; présente des bâtiments sur semelle de craie ou sur solins de silex sur une longueur d'environ 200 m. Au sol, tuiles, scories de fer et de plomb. Occupation : début Ier-milieu du IVe s », notice no ARR22_sd803193ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    11. « L'adjoint passionné assure les visites guidées du village », Le Courrier picard, édition maritime, 1er octobre 2015, p. 19.
    12. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    13. Journal officiel du 4 novembre 1920, p. 17349.
    14. Site de la commune, section Histoire.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    17. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    18. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    19. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    20. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    21. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    22. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
    23. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    24. « Profil Copains d'Avant », (consulté le ).
    25. Le Courrier picard, édition Région d'Amiens du 29 mars 2008.
    26. « Jérémy Gawlik succède à Marie-Christine Maillart à la mairie », Courrier picard,‎ , p. 12.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Site communal, section « Ã©coles Â».
    31. L'école sur le site de l'éducation nationale.
    32. La ferme du Paraclet.
    33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Eglise de Cottenchy, d'après nature, avril 1870 B) Cottenchy. Chapiteaux de l'ancienne église (Extrait de "La Picardie historique et monumentale") », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    34. « Cottenchy », sur http://www.valdenoye.com (consulté le ).
    35. « Moulin à farine dit Moulin du Château », notice no IA00076449, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Photographie de Thierry Lefébure (1989) : Moulin du Château, Vue générale, flanc nord-est », notice no IVR22_89800289V, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    37. « Photographie de Thierry Lefébure (1988) : Vue du bâtiment d'eau et de la roue hydraulique verticale », notice no IVR22_89800290X, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    38. C. Pinsard. Lithographie J. Moncourt, Amiens, « Aquarelle : Boves et ses seigneurs : Abbaye du Paraclet des champs - Carrelage de l'église, XIIIe siècle (au quart) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    39. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 201 (ASIN B000WR15W8).
    40. « Statue : Vierge à l'Enfant, dite du Paraclet », notice no PM80000499, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. Émilie Da Crux, « Un site unique à découvrir à Cottenchy : Une partie du site du Paraclet, à Cottenchy, a été classée Natura 2000. Des opérations de sensibilisation vont être lancées pour le grand public. De quoi admirer des espèces rares », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    42. Audrey Genjusz, « Le lycée agricole de Cottenchy sait se vendre : Ouvert il y a près d’un an et demi, le magasin de produits locaux du lycée agricole le Paraclet, veut voir plus loin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    43. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Cottenchy. Chapiteau transformé en pied de croix (Extrait de "La Picardie historique et monumentale") B) Chapelle de Cottenchy, d'après nature, 19 avril 1870 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
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