Comps-sur-Artuby
Comps-sur-Artuby [kɔ̃ps syʁ aʁtybi] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Comps-sur-Artuby | |||||
La chapelle Saint-André. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Draguignan | ||||
Intercommunalité | Dracénie Provence Verdon agglomération | ||||
Maire Mandat |
Alain Barale 2020-2026 |
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Code postal | 83840 | ||||
Code commune | 83044 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
336 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 42′ 39″ nord, 6° 30′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 736 m Max. 1 178 m |
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Superficie | 63,49 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Flayosc | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Géographie
Localisation
Le Bourguet Brenon |
Bargème | |||
Trigance | N | |||
O Comps-sur-Artuby E | ||||
S | ||||
Montferrat | Bargemon | Seillans |
Entre le mont Clare (1 267 m) et le mont Lague (1 109 m), se creusent les vallées du Jabron, du Verdon, le canyon de l'Artuby et les clues de la Bruyère.
Comps est située à 900 mètres d'altitude, autour du rocher qui supporte l'église Saint-André. L’ancien village fortifié se trouvait autrefois sur le rocher.
Voies routières
La commune est desservie par les routes départementales D 21, D 71 et D 955.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
La commune bénéficie du réseau de transports en commun Tedbus[1] de la Dracénie Provence Verdon agglomération et du réseau régional de transports en commun Zou ![2] (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont par ailleurs mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD).
Lignes SNCF
Transports aériens
Les aéroports les plus proches sont :
Ports
- Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- Rade de Toulon,
- Port Lympia (port de Nice),
- Port Hercule (Port de Monaco).
Géologie et relief
Commune membre du Parc naturel régional du Verdon. La commune est composée de nombreux hameaux hors du bourg comme Oribau (Avelan), Saint-Bayon, Chardan, Cuiros, Don, Doureisse, Endosse, Guent, Jabron, Sauvechane et la Souche. Plus de la moitié du territoire de la commune dont les hameaux de Chardan, Saint-Bayon, Sauvechane ou Dourässe est dans le camp de Canjuers, le camp militaire le plus vaste d'Europe (35 000 hectares).
D'après Achard, au XVIIe siècle, la vigne y était si abondante que les curés prélevaient la dîme en vin et non en foin.
Le périmètre de protection autour de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence a été étendu au territoire des communes de Bargème, Le Bourguet, Châteauvieux, Comps-sur-Artuby, La Martre et Trigance (Var)[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :
- rivière le Jabron (affluent du Verdon),
- rivière l'Artuby,
- rivière Bruyère (Artuby),
- vallons des Rouvières ; de la Montade ; des Graus de Comps ; de Villegrasse ; de Don ; de l'Avelan ; Saint-Laurent ; de l'Amandier ; du Clot de Guillon ; de Pra-Batailler ; de Fontenouille ; de Léruy.
Protection de l'environnement
La commune dispose d'une station d'épuration de 1200 équivalents habitants[5].
Sismicité
Il existe trois zones de sismicité dans le Var :
- Zone 0 : risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du Centre-Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
- Zone 1a : risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
- Zone 1b : risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.
La commune de Comps-sur-Artuby est en zone sismique de faible risque 1b[6].
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[7].
Toponymie
Comps-sur-Artuby s'écrit Coumbs en provençal selon la norme mistralienne et Comps d'Artubi selon la norme classique. En ancien provençal, le nom de la commune était écrit Comps[8].
Histoire
Plusieurs sites du territoire témoignent d'une présence humaine aux époques chalcolithique et de l'âge du fer. Autrefois lieu de passage et marché important, le vieux bourg de Comps était construit sur la hauteur et son église Saint-André le dominait du haut de son rocher[9].
Moyen Âge
En 1342, la communauté de Bargème est rattachée à la viguerie de Castellane (actuel département des Alpes-de-Haute-Provence) par le comte de Provence[10].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en , ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Comps, André de Comps. Alors qu’il soutenait Charles de Duras depuis plusieurs années, il rejoint le camp angevin et obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[11]. La communauté villageoise soutient Charles de Duras, et même au-delà de 1386[12].
Pendant les guerres de succession de la reine Jeanne, le village et ses remparts furent détruits par Charles de Duras ; les habitants s'établirent alors dans la campagne où ils bâtirent neuf hameaux : Saint-Bayon, Chardan, Don, Douraïsse, Guent, Jabron, Sauvechane et la Souche. La paix revenue, le village fut reconstruit en amphithéâtre sur le penchant du rocher qu'il occupe aujourd'hui[9].
Temps modernes
Lors de la guerre de Succession d'Autriche, une armée austro-sarde envahit la Provence et occupe Comps en . Elle est repoussée par une offensive des troupes franco-espagnoles les et [13].
Héraldique
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De gueules, à un monde croisé d’or, accompagné de trois besants du même. Ces armoiries témoignent du retour des croisés compsois après leurs pérégrinations en Palestine et de la présence des Hospitaliers et des Templiers à Comps[14]. |
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Économie
Agriculture
Il subsiste l'élevage des ovins, les cultures céréalières et de pommes de terre[15].
Tourisme
À l'heure actuelle, l'économie est essentiellement basée sur le tourisme[16], vu la proximité des gorges du Verdon : hôtel-restaurant[16].
Commerces et services
Commerces de proximité[17] : boulangeries, épicerie, restaurants, salon de coiffure, bureau de poste, maison médicale, station service carburants, DAB,
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Comps-sur-Artuby fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-communauté d'agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[18] de 110 014 habitants en 2017[19], créée le 31 octobre 2000. Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :
- Communes fondatrices
- Draguignan ; Châteaudouble ; Figanières ; La Motte ; Les Arcs ; Lorgues ; Taradeau ; Trans-en-Provence
- Communes ayant adhéré ultérieurement
- Ampus ; Bargemon ; Bargème ; Callas ; Claviers ; Comps-sur-Artuby ; Flayosc ; La Bastide ; La Roque-Esclapon ; Le Muy ; Montferrat ; Saint-Antonin-du-Var ; Salernes ; Sillans-la-Cascade ; Vidauban
Urbanisme
Typologie
Comps-sur-Artuby est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [20] - [21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[25].
Le schéma de cohérence territoriale (SCOT) arrêté par le préfet le 11 juillet 2002 épouse le périmètre de la communauté d’agglomération dracénoise qui en a donc la charge[26]. La commune d'Ampus dépend donc du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie[27].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Terres arables hors périmètres d'irrigation | 1,8 % | 118 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 7,3 % | 467 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 2,7 % | 173 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 1,0 % | 64 |
Forêts de feuillus | 18,7 % | 1193 |
Forêts de conifères | 16,3 % | 1043 |
Forêts mélangées | 9,3 % | 597 |
Pelouses et pâturages naturels | 19,1 % | 1220 |
Landes et broussailles | 5,0 % | 319 |
Végétation sclérophylle | 8,2 % | 525 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 7,7 % | 494 |
Végétation clairsemée | 2,8 % | 179 |
Source : Corine Land Cover[28] |
L'occupation des sols montre une nette prédominance de la forêt et des milieux semi-naturels sur les territoires agricoles: 87,2 % contre 12,8 %. La forêt, qui occupe 44,3 % de la surface communale, est constituée à proportion à peu près égale de feuillus et de conifères.
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :
- total des produits de fonctionnement : 713 000 €, soit 1 844 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 516 000 €, soit 1 333 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 264 000 €, soit 681 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 269 000 €, soit 695 € par habitant.
- endettement : 595 000 €, soit 1 537 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 21,01 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 78,44 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 350 €[30].
Population et société
Évolution démographique
La commune comptait 205 habitants en 1371, 190 en 1471 et 650 en 1698[31].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 336 habitants[Note 2], en diminution de 10,64 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[36] :
- École maternelle à Trigance,
- École primaire[37],
- Collèges à Castellane, Figanière,
- Lycées à Draguignan.
Santé
- Professionnels de santé : médecin, kinésithérapeute[38].
- Hôpitaux, centres hospitaliers[39] :
- Maison Santé Pluriprofessionnelle[40],
- L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 31 km[41] - [42]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[43] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.
- Hôpital local de Castellane, à 54 km.
- Pharmacie à Bargemon[44].
Cultes
Culte catholique, paroisse Sainte-Philomène, diocèse de Fréjus-Toulon[45].
Lieux et monuments[46]
Les Templiers et les Hospitaliers
Les Templiers de la maison de Ruou (voir Villecroze) y possédaient une importante commanderie qui devint après l'abolition de l'Ordre en 1312, chef-lieu d'une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, jouissant de très importants revenus[9].
Au début du XVIe siècle, les chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem devinrent seuls seigneurs de Comps en acquérant la part de seigneurie qui avait été inféodée en en faveur de Fulco de Pontevès, et qui dépendait précédemment du comté de Provence[9].
L'église Saint-André
Construite au XIIe siècle, par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, elle possède une abside en cul-de-four et une nef à deux travées d'ogives sans collatéraux.
Le clocher latéral date du XIIIe siècle, avec une cloche de 1529 et l'autre de 1669. Depuis la plate-forme de la chapelle s'ouvre un vaste panorama sur les gorges de l'Artuby et du Verdon. Elle est classée depuis la fin du XIXe siècle[47].
Les cloches de 1529[48] et de 1668[49] sont classées au titre des objets mobiliers.
La chapelle Saint-Jean (inscrite depuis 1926)
À la sortie est du village. Cette chapelle romane construite par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[50].
La chapelle Saint-Didier (inscrite depuis 1926)
La chapelle Saint-Didier, à 800 m du village, à gauche de la route de Castellane. Art roman provençal. Construite par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[51].
L'église Sainte-Philomène de la fin du XIXe siècle
Elle conserve un tableau du XVIIe siècle représentant « la vision de saint Dominique »[52]. Les murs de cette église contiennent une représentation de l'arche d'alliance, de grande taille[53] ; ainsi que celle de la table des propositions des pains[54].
La chapelle Notre-Dame
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Dite de « la galine grasse » en raison des volailles qui étaient autrefois dégustées lors de la nativité de la Vierge.
L'unité Jean Bosco
Accueil 83, Service des Jeunes, Unité Jean Bosco, Prêtre Salasien, 1er éducateur des jeunes en difficulté.
Le monument aux morts
Près de l'école communale[55]. Conflits commémorés : 1914-1918 ; 1939-1945 ; Indochine ; guerre d'Algérie[56].
Le four à chaux dans la forêt du Siounet
Un témoin des usages et du savoir-faire entièrement réhabilité[62] - [63].
La bonne fontaine
Source et fontaine médiévale, récemment restaurée.
Le hameau de Jabron
- Toujours actif ;
- A donné son nom à la rivière ;
- De la route du Bourguet, la D 52 franchit le Jabron au pont des Trois Évêchés.
Le hameau de L'Avelan
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Entièrement en ruines.
Le hameau de Chardan
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Assez bien conservé ;
- Petite chapelle détoiturée, dédiée à la Sainte-Trinité ;
- Autrefois alimenté par un aqueduc depuis l'Artuby toute proche.
Le hameau de Don
- Hors camp militaire ;
- Persiste sous l'appellation Haut-Don et Bas-Don.
Le hameau de Douraïsse
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Peu de traces.
Le hameau de Guent
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Entretenu et utilisé par l'armée.
Le hameau de Saint-Bayon (XVIe siècle)
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Détruit par l'armée ;
- Chapelle dédiée à saint Jacques le Mineur (ruines).
Le hameau de Sauvechanne
- Maintenant dans le camp militaire de Canjuers ;
- Au sud-est de Saint-Bayon, voisin de Guent ;
- Entièrement en ruines.
Le hameau de la Souche
Pont dit romain, construit au XVIIe siècle.
Manifestations et traditions
- Selon Achard (1787), Comps honorait comme saints patrons au travers de processions ou roumagavi (étymologiquement : le chemin de Rome) :
- le : saint Didier, évêque de Langres, martyr. L'instauration d'une foire ce même jour ne s'est pas vraiment perpétuée ;
- le : Saint-Jean-Baptiste.
- Et, de la même manière :
- le : Notre-Dame (de Saint-Restitut) de la Galline Grasse, dont l'évêque de Fréjus était le collateur et à laquelle on fait offrande de gallinacés.
Personnalités liées à la commune
- Arnaud de Comps, 4e grand maître des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1162-1163 ;
- Bertrand de Comps, 17e grand maître des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1236 (meurt en Palestine en 1258).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Plan du réseau Tedbus
- Réseau régional de transports en commun
- Arrêté préfectoral n°89-527 du 15 mars 1989
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Sismicité du Var sur le site de la préfecture
- Table climatique
- https://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=comps
- M. Achard, Description Historique, Géographique et Topographique... de la Provence, P.J. Calmen, imprimeur du roi, 1787, Aix-en Provence
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Histoire de la Sous-Préfecture de Castellane », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
- Geneviève Xhayet, op. cit., cartes p. 417-418 et p. 419.
- Pierre Grillon, « L'invasion et la libération de la Provence en 1746-1747 », Provence historique, volume 12, no 50, 1962, p. 354.
- Artuby Verdon : Comps-sur-Artuby, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Activités agricoles
- Comps-sur-Artuby
- Commerces de proximité
- Comps-sur-Artuby en Dracénie
- Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- PLU, sur Géoportail de l'urbanisme
- Le SCOT de la Dracénie : Diagnostic et enjeux
- Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var Périmètre SCOT Dracénie
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Magnaudeix I. : Comps-su-Artuby : inventaire microtoponymique, 2001, chez l'auteur
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- École maternelle et élémentaire
- Professionnels de santé
- Hôpitaux, centres hospitaliers
- Maison Santé Pluriprofessionnelle
- Centre hospitalier de la Dracénie
- Professionnels et établissements de santé
- « Département de l’Information Médicale », sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
- Pharmacies les plus proches
- Paroisse Sainte-Philomène
- Brun J.P. : Carte archéologique de la Gaule, Le Var 83/1, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1999, p. 346-8.
- « Chapelle des Templiers (ancienne) », notice no PA00081581, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM83000198, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1529 de la chapelle Saint-André
- Notice no PM83000199, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1668 de la chapelle Saint-André
- « Chapelle Saint-Jean », notice no PA00081583, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Didier », notice no PA00081582, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM83000196, base Palissy, ministère français de la Culture tableau : la Vision de saint Dominique
- Notice no PM83002789, base Palissy, ministère français de la Culture peinture monumentale : L'Arche d'Alliance
- Table des propositions des pains
- Monument aux morts
- Monument aux morts Liste des morts
- « Pont franchissant l'Artuby », notice no PA00081781, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Pont de la Souche
- Le pont de la Souche à Comps-sur-Artuby, Revue du Conseil départemental, no 4 Hiver 2017-2018, p. 71.
- Vue partielle : roue du moulin
- Le moulin de Comps-sur-Artuby, Auteur(s) : Josette Rosier-Chauvet, avec l’aide de l’association Petra Castellana. Postface de Jean-Yves Royer
- Le four à chaux à Comps-sur-Artuby, Revue du Conseil départemental du var, no 4, Hiver 2017-2018, p. 69.
- Une charbonnière ... et maintenant un four à chaux
Voir aussi
Bibliographie
- Comps-sur-Artuby, sur le site de la Dracénie Provence Verdon agglomération
- Histoire de la commune
- Bourg castral de Castel Boubon.
- Les dévotions des églises du Var : Comps-sur-Artuby
- Comps-sur-Artuby : Chapelle Saint-Pierre en Demueyes
* Photothèque Monuments Historiques :
- Chapelle Saint-Jean,
- Pont de la Souche,
- Chapelle Saint-Didier,
- Chapelle Saint-André ou Sainte-Philomène, ancienne chapelle des Templiers
* Photothèque Archéologie :
- Collectif (Conservations régionales des monuments historiques, des antiquités préhistoriques, des antiquités historiques, avec la collaboration d'A. Roth-Congès, IRAA-CNRS), Coordination générale : René Dinkel conservateur régional des monuments historiques, E. Decugnière, H. Gauthier, Suivez le guide, Monuments historiques Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille, Conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur (Office Régional de la culture) et Ministère de la Culture (Direction régionale des affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur), ouvrage en français, allemand et anglais, , 200 p.Comps-sur-Artuby, p. 127 et Cartes thématiques
- Artuby Verdon : La route de l'histoire et des légendes : Comps-sur-Artuby
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France du Moyen Âge en France, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 354 : Comps-sur-Artuby
- Maison du Temple de Comps-sur-Artuby
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Comps sur Artuby
- Comps-sur-Artuby sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var : Comps-sur-Artuby)