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Centre technique des industries de la fonderie

Le centre technique industriel CTIF (Centre technique des industries de la fonderie), établissement d’utilité publique, est un centre de recherches et développement français spécialisé en métallurgie et en transformation des métaux.

CTIF
logo de Centre technique des industries de la fonderie
illustration de Centre technique des industries de la fonderie

Création 1942
Forme juridique Centre technique industriel
Siège social Sèvres (92, Hauts-de-Seine)
Drapeau de la France France
Direction Nicolas Grosdidier (président)

Clotilde Macke-Bart (directrice déléguée)

Activité Fonderie et autres procédés de mise en forme des matériaux métalliques ; matériaux et produits métalliques ; thermique domestique (appareils à gaz, à bois, à fioul et à charbon)
Effectif 110 (2014)
SIREN 775686942[1]
Site web www.ctif.com


Présentation

CTIF est un centre technique industriel qui a pour mission de promouvoir l'innovation et le progrès technique et participer à l'amélioration de la productivité et de la garantie de la qualité dans l'industrie. Il exerce des activités en pointe dans des domaines très divers comme la recherche, l'expertise, l'évaluation, l'enseignement, la diffusion des connaissances. En interaction permanente avec l'environnement technique, économique, réglementaire et normatif de son secteur, il aide les entreprises à intégrer les innovations, à s'adapter à l'évolution rapide des marchés et à se positionner en leader aux niveaux européen et mondial.

Son fonctionnement est régi par la loi du 22 juillet 1948[2] fixant le statut juridique des centres techniques industriels (CTI). Il est placé sous la tutelle de l'État.

CTIF est administré par un Conseil d'Administration dont les membres sont nommés par arrêté du Ministre chargé de l'Industrie. Ce conseil est composé de représentants des chefs d’entreprise des industries de la fonderie, de personnalités universitaires et scientifiques, de représentants des industries utilisatrices de la fonderie et de représentants du personnel technique des industries de la fonderie.

CTIF fait partie du rĂ©seau des centres techniques industriels (rĂ©seau CTI)[3].

Historique

CTIF est né du besoin de maintenir en activité le tissu de PME que forment les industries de la fonderie française pendant le régime de Vichy malgré les restrictions sur l'approvisionnement en matières premières et les menaces de saisie des outils et du matériel de production par l'occupant[4] - [5]. Le Comité d'organisation des industries de la fonderie a créé, à cet effet, un modèle de centre technique d'excellence qui a inspiré celui des centres techniques industriels et qui a été repris à partir de 1949 par de nombreuses professions[6] - [7] - [8].

Genèse (1942-1946)

Le Comité d'organisation des industries de la fonderie (COIF) est né durant la Seconde guerre mondiale par la loi du 16 août 1940, dans le cadre de l’organisation provisoire de la production industrielle qui dissout par décret les groupements généraux rassemblant à l’échelle nationale, les organisations professionnelles patronales et ouvrières. A titre provisoire, il est créé dans chaque branche d’activité industrielle ou commerciale un Comité d’organisation. Ces Comités sont chargés, sous l’autorité du ministre secrétaire d’État à la Production industrielle et au Travail : 1° d’effectuer le recensement des entreprises, de leurs moyens de production, des stocks et de la main-d’œuvre ; 2° d’arrêter les programmes de production et de fabrication ; 3° d’organiser l’acquisition et la répartition des matières premières et produits nécessaires aux fabrications de la branche d’industrie considérée ; 4° de fixer les règles s’imposant aux entreprises en ce qui concernent les conditions générales de leur activité, le souci de la qualité, l’emploi de la main d’œuvre, les modalités des échanges des produits et des services, la régularisation de la concurrence ; 5° de proposer aux autorités publiques compétentes les prix des produits et services ; 6° de prendre ou de provoquer les mesures, de constituer ou de faire constituer les organismes susceptibles d’assurer un meilleur fonctionnement de la branche d’activité, dans l’intérêt commun des entreprises et des salariés.

La création de ces Comités d'organisation a mis en place une organisation corporatiste de l’économie avec pour objectif d’inciter les professions à s’organiser elles-mêmes. Cette politique a conduit un grand nombre de professions (sidérurgie, fonderie, automobile, machinisme agricole, industrie horlogère, textiles, cuirs, caoutchouc, pétrole…) à créer au sein de leurs comités d’organisation (et plus tard offices professionnels) des laboratoires, instituts ou centres technique, dont les travaux visent essentiellement la recherche d’économie, voire de substitution de matière ou d’énergie.

Le COIF est créé par le décret du 9 novembre 1940 et est sis 66, rue Boissière à Paris. En 1942, un service technique est formé au sein du COIF pour recenser les fonderies françaises et identifier leurs besoins. Ce service technique intègre très rapidement des activités de documentation ainsi qu’un bureau de normalisation. Dès 1943, ce service technique prend le nom de Centre technique et commence à éditer en son nom des ouvrages de référence sur les meilleures pratiques des métiers de la fonderie[9]. Parallèlement à ses activités dans le domaine de la fonderie, le Centre technique est habilité la même année à exécuter les essais des appareils de thermique domestique conformément à une nouvelle réglementation technique décidée par l'Union des Fabricants d'Appareils de Chauffage Domestique (UFACD)[10]. En 1944, un laboratoire d'analyse et de caractérisation des matériaux métalliques est ouvert à Paris au 46, avenue Victor-Hugo.

L’ordonnance du 27 juillet 1944, relative au rétablissement de la liberté syndicale, et des circulaires ministérielles permettent de définir la mission qui est désormais dévolue aux Comités d’organisation et de préciser les rôles respectifs de ces Comités et des Syndicats professionnels. Le Gouvernement décide de modifier l’appellation des Comités d’organisation, qui s'appellent désormais Offices professionnels. Le Comité d’organisation des industries de la fonderie devient donc l’Office professionnel des industries de la fonderie (OPIF) en 1944. Les offices professionnels conservent certains des pouvoirs que la loi du 16 août accordait aux Comités d’organisation. En particulier, ils sont habilités à 1° effectuer le recensement des entreprises, de leurs moyens de production, des stocks et de la main d’œuvre ; 2° arrêter les programmes de fabrication et de production ; 3° sous-répartir les matières premières mises à leur disposition par l’Office de Répartition ; 4° fixer les règles s’imposant aux entreprises en ce qui concerne les conditions générales de leur activité, le souci de la qualité, la normalisation ou la spécialisation des fabrications, la régularisation de la concurrence ; 5° proposer aux autorités compétentes les prix des produits et des services.

Pour pérenniser cette organisation, une taxe dite d’encouragement aux études et recherches est créée suivant l'arrêté no 11073 du 15 janvier 1945[11]. Cette taxe de 1 % est répercutée sur les prix de vente. Le Centre Technique reçoit la moitié de son produit (0,5 %), le reste servant aux recherches individuelles des industriels. Enfin, le 25 janvier 1946, un Conseil d’Administration siège pour la première fois avec la nomination d’un président (Pierre Ricard[4]) et d’un directeur général (Auguste E. Le Thomas). CTIF est né alors que dans le même temps, l'Office professionnel des industries de la fonderie est dissous.

Montée en puissance (1947-1959)

Au sortir de la seconde guerre mondiale et de l’occupation qui a suivi, l'industrie française est à reconstruire et à maints égards à construire, tant le retard industriel d’un pays encore très fortement rural est patent notamment par rapport à l’Allemagne et aux Etats-Unis[12]. L’économie est enfermée dans les barrières protectionnistes, tournée vers les débouchés protégés du territoire national et de l’Empire. La dissolution, à la Libération, des Offices professionnels a privé les centres techniques correspondant (dont CTIF) de leur support administratif et d’un véritable statut. Il est par conséquent devenu nécessaire de rétablir un cadre juridique clair et de redéfinir les missions de ces établissements. Le motif juridique n’est toutefois pas le plus important. Il faut aussi accélérer la modernisation de l’industrie et organiser l’utilisation des ressources. L’époque est en effet marquée par le plan Marshall, la planification centralisée des investissements et ses commissions sectorielles. Les missions de productivité visent à enseigner et diffuser les techniques et les méthodes modernes de production développées outre-atlantique. Dans ce contexte, la technique et les ingénieurs occupent un rôle-clef : la France souffre d’un déficit de moyens de recherche, notamment par rapport à l’Angleterre qui dispose depuis déjà plusieurs années de structures de ce type. La création des centres techniques industriels de branches est une réponse à ce constat.

À la suite des travaux de différentes commissions dont celle de modernisation de la fonderie créée par un arrêté du 03 avril 1947[13], l'État français décide de donner un cadre légal à CTIF comme à d'autres entités équivalentes. C'est la loi du 22 juillet 1948[2] qui permettra par la suite la création de nombreux autres centres techniques industriels. Cette loi entre en vigueur en 1949 et CTIF devient officiellement le premier centre technique industriel en avril de la même année[14].

En parallèle, CTIF se lance dans l'achat de biens immobiliers au 12, avenue Raphaël à Paris pour y établir sa direction générale et ses services administratifs, à Sèvres pour y construire un laboratoire central et en régions pour y implanter des antennes. Ainsi, en 1952, le dispositif est complet et se compose :

  • d'une prĂ©sence en ĂŽle-de-France (Paris et Sèvres) qui Ă©labore les plans de modernisation du tissu industriel, qui mène des recherches permettant d'amĂ©liorer la qualitĂ© des pièces produites et qui anime les travaux de normalisation des alliages ;
  • d'une prĂ©sence en rĂ©gion (Bordeaux, Charleville-MĂ©zières, Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Rennes, Rouen, Saint-Dizier) qui effectuent des analyses de laboratoire et conseillent et dĂ©pannent les industriels[15].

Changement de modèle (2000-aujourd'hui)

En l'an 2000, les actions collectives de CTIF voient leur mode de financement changer. CTIF passe d'un financement par taxe parafiscale à un financement par dotation budgétaire d'état[16]

Missions

Les missions de CTIF sont de deux ordres : d'une part des actions et travaux mutualisés pour les industries de la fonderie française, d'autre part des prestations de services aux entreprises dans les domaines de :

CTIF a pour ambition d'accompagner au mieux les industriels dans leur développement en mêlant, au gré de leurs besoins, une connaissance scientifique de haut niveau à une expérience terrain acquise sur de nombreuses années[17].

Matières premières

Ces travaux visent en particulier de fiabiliser les fabrications, malgré les variations sensibles sur les qualités des matières premières et d’atteindre des performances nouvelles à partir de compositions nouvelles.

Produits nouveaux

Ces travaux visent de répondre avec des solutions nouvelles à des sollicitations fonctionnelles :

  • spĂ©cifiques (haute tempĂ©rature, allègement, corrosion, fatigue, amortissement…) ;
  • ciblĂ©es (amĂ©lioration localisĂ©e des performances).

Parmi les derniers dĂ©veloppements de CTIF, il faut noter les mousses mĂ©talliques[18] - [19] rĂ©gulières CastFoam[20] (dĂ©veloppĂ©es en partenariat avec l'École Centrale de Lille[21]) obtenues par fonderie. Ce sont des matĂ©riaux mĂ©talliques poreux qui peuvent ĂŞtre rĂ©alisĂ©s en alliage d'aluminium, alliage de cuivre, en acier... Les caractĂ©ristiques de ces mousses permettent d'assurer des fonctions innovantes telles que l'absorption d'Ă©nergie (crash box…), l'absorption de bruit ou de vibration, l'Ă©change de chaleur, l'allègement de pièces (60 % Ă  85 % de vide), le design (mobilier d'intĂ©rieur…).

Cette technologie, laurĂ©ate des TrophĂ©es Midest 2009 (CatĂ©gorie Innovation) a fait l'objet de plusieurs brevets.

CTIF a mené un projet collaboratif (ANR FOAM, 2010-2015 ) avec des partenaires industriels (TNI Areva, MOTA, Mersen) et des universitaires (INSA/Mateis, Ecole Centrale de Paris, IUSTI / Polytech Marseille, Mines de Paris) afin d'apporter un cadre structurant (modèles de comportement) permettant de dimensionner une structure en mousse et de calculer le système de coulée.

Technologies de fonderie

Cette thĂ©matique est au cĹ“ur des actions « mĂ©tier » historiques de CTIF. Ces travaux visent Ă  amĂ©liorer la maĂ®trise, la fiabilitĂ© et/ou le niveau des performances (techniques, Ă©conomiques, industrielles) des technologies de fonderie (Ă©laboration, procĂ©dĂ©s de mise en forme et contrĂ´le des pièces finies).

Prédiction de comportement

De la prise en compte de la métallurgie dans les logiciels de simulation, à l’analyse des causes de rupture et critères d’acceptation des défauts de fonderie, la prédiction par la simulation des procédés et conceptions de fonderie est une activité essentielle de CTIF pour amener les fondeurs et utilisateurs de pièces de fonderie au niveau de performance souhaité.

Fonderie durable

CTIF mène aussi des actions de R&D dans le domaine du développement durable sur les thèmes clés de l’éco-efficience, de l’énergie, de la valorisation des déchets et de la gestion des émissions et des effluents.

Formation initiale

CTIF participe aux actions de formation initiale du personnel technique des industries de la fonderie en hébergeant l'École supérieure de fonderie et de forge dans ses locaux à Sèvres et en menant plusieurs types d'actions :

  • des enseignements techniques en mĂ©tallurgie, en procĂ©dĂ©s de mise en forme des matĂ©riaux et en conception de pièces mĂ©caniques et d'outillages ;
  • le tutorat des Ă©lèves en apprentissage ;
  • l'encadrement de travaux de recherche menĂ©s par les Ă©lèves.

Diffusion des connaissances

Les actions et travaux mutualisés pour la fonderie française sont présentées de manière régulière aux industriels lors de réunions professionnelles à Sèvres et en régions dans le cadre de plusieurs manifestations :

  • les journĂ©es J'Tech qui sont des journĂ©es, Ă  Sèvres, d'Ă©changes techniques et stratĂ©giques destinĂ©es aux fondeurs français[22] ;
  • les rĂ©unions de restitution technique organisĂ©es par CTIF en rĂ©gion (Bordeaux, Charleville-MĂ©zières, Rennes, Lyon) ;
  • les assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales annuelles des dĂ©lĂ©gations rĂ©gionales (GFO, UFSE, UNEPF) de l'organisation professionnelle des Fondeurs de France.

CTIF diffuse aussi le résultat de ses actions et travaux mutualisés par trois vecteurs d'information :

  • Fonderie Magazine[23], magazine mensuel rĂ©digĂ© en commun avec l'ATF (Association technique de fonderie) et l'AAESFF (Association des anciens Ă©lèves de l'ESFF) ;
  • Metal News, newsletter mensuelle sous format numĂ©rique Ă  destination des fondeurs français ;
  • Service Éditions[24], service interne Ă  CTIF Ă©ditant des ouvrages de rĂ©fĂ©rence dans le domaine de la fonderie et les domaines connexes.

Normalisation

En tant que centre technique industriel, CTIF participe aux actions françaises d'anticipation et d'accompagnement des Ă©volutions normatives du secteur de la fonderie afin de maintenir et dĂ©velopper la compĂ©titivitĂ© des industries de la fonderie française. Les experts de CTIF sont impliquĂ©s dans de nombreuses commissions de normalisation françaises et europĂ©ennes concernant les conditions de fournitures, les dĂ©signations, les contrĂ´les et essais, les tolĂ©rances dimensionnelles et des normes de produits dans les mĂ©tallurgies classiques de la fonderie : fonte, acier, alliage d’aluminium, de magnĂ©sium, de zinc, de cuivre, etc.

Le Bureau de normalisation des industries de la fonderie (BNIF) est agrĂ©Ă© en tant que bureau de normalisation sectoriel par le ministère chargĂ© de l’industrie pour mener Ă  bien les travaux normatifs dans son champ de compĂ©tence. CTIF assure l'hĂ©bergement, la gestion et le financement du BNIF par convention avec l'AFNOR[25].

Moyens et Ă©quipements

CTIF dispose, en propre et via des partenariats, de nombreux moyens et Ă©quipements pour mener Ă  bien ses missions :

  • 5 000 m2 de laboratoires (essai physique, essai mĂ©canique, mĂ©tallographie, investigation structurale, analyse chimique, spectromĂ©trie, contrĂ´le non destructif, conformitĂ© produit, expertise de dĂ©faillance, mesure tridimensionnelle optique...) ;
  • une plateforme de fonderie (6 fours de fusion) permettant de mettre en Ĺ“uvre tous les procĂ©dĂ©s conventionnels de fonderie (moulage sable Ă  prise chimique, noyautage conventionnel et noyautage Ă  liant inorganique, moulage coquille, moulage cire perdue…) Ă  une Ă©chelle semi-industrielle. La capacitĂ© de fusion permet de produire des prototypes fonctionnels jusqu'Ă  150 kg ;
  • une plateforme d'impression 3D mĂ©tal (3 imprimantes) permettant de mettre en Ĺ“uvre le procĂ©dĂ© de fabrication additive mĂ©tallique par fusion laser sur lit de poudre pour des aciers, des Inconel et des alliages de titane et de chrome-cobalt ;
  • une plateforme de thermique domestique (3 postes pour le gaz, 3 postes pour le bois, 1 poste pour le charbon et 1 poste pour le fioul) permettant de tester la conformitĂ© des appareils Ă  gaz, au fioul, Ă  bois, au charbon, etc. ;
  • un centre de calcul disposant de logiciels de CAO (CATIA, SolidWorks), de calcul de structure (MSC Software) et d'optimisation topologique (OptiStruct) et de simulation du process de fonderie (QuikCAST et ProCAST) permettant de concevoir une pièce rĂ©pondant Ă  un besoin fonctionnel ;
  • deux ateliers de mĂ©canique disposant de moyens permettant de prĂ©parer les Ă©chantillons pour les analyses et expertises de laboratoire et de fabriquer des plaques modèles et moules mĂ©talliques pour les expĂ©rimentations semi-industrielle ;
  • un service d’intelligence Ă©conomique ;
  • un centre de formation.

Notes et références

  1. Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)
  2. « Loi n° 48-1228 du 22 juillet 1948 fixant le statut juridique des centres techniques industriels », sur legifrance.gouv.fr
  3. RĂ©seau CTI, Rapport annuel, (lire en ligne)
  4. Louis Charvet, « A la mémoire de Pierre Ricard, président de la Chambre syndicale de la sidérurgie française, ingénieur au corps des Mines (3 avril 1899 - 4 avril 1956) », Annales des Mines,‎ , p. 3-12 (lire en ligne)
  5. René Minguet, Géographie industrielle de Paris, Librairie Hachette, , 224 p., p. 157-168
  6. « Centre Technique des Industries de la Fonderie », The Engineer, vol. 201, no 5239,‎ , p. 735 (lire en ligne)
  7. « Réalisations françaises - Le Centre Technique des Industries de la Fonderie », Les Cahiers Français, no 22,‎ , p. 16-17 (lire en ligne)
  8. Ministère de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi, « Les Centres Techniques Industriels - 60 ans d’appui à la compétitivité de nos entreprises », Rapport ministériel,‎ , p. 26 (lire en ligne)
  9. Comité d'Organisation des Industries de la Fonderie - Centre technique, Possibilités techniques normales de la fonderie sous pression, Paris, Éditions du Comité Général d'Organisation des Industries Mécaniques, , 16 p.
  10. Serge Boiton, « Le contrôle des appareils de chauffage domestique », Fonderie, no 1,‎ , p. 27-30
  11. « JO de l'Assemblée Nationale N° 144 de 1948 - Séance n° 258 », sur 4e.republique.jo-an.fr, , p. 7415
  12. Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, « Les Centres Techniques Industriels - 60 ans d’appui à la compétitivité de nos entreprises », Rapport ministériel, (consulté le ), p. 3
  13. « Arrêté du 3 avril 1947 portant création de la commission de modernisation de la fonderie et fixant la composition de ladite commission », sur legifrance.gouv.fr
  14. « Arrêté du 7 avril 1949 transformant le Centre technique des industries de la fonderie en centre technique industriel », sur legifrance.gouv.fr
  15. Présidence du conseil - Commissariat général du plan de modernisation et d'équipement - Commission des industries de transformation, Rapport du groupe de travail de la fonderie, , 56 p., p. 11
  16. Ministère des Finances, « Projet de loi de finances pour 2000 - Rapport sur les taxes parafiscales », Rapport ministériel,‎ , p. 56 (lire en ligne)
  17. CTIF, Rapport annuel, , 50 p. (lire en ligne)
  18. Jonathan Dairon, « Mousses métalliques - Structures et procédés de fabrication : Réf : N3800 », Techniques de l'ingénieur,‎ (lire en ligne)
  19. Jonathan Dairon, Les mousses métalliques, Sèvres, Editions techniques des industries de la fonderie, , 75 p. (ISBN 978-2-7119-0234-7)
  20. Jonathan Dairon et Yves Gaillard, « Mousses métalliques CTIF », Journée SFT (Société française de thermique) - Mousses métalliques, applications en échangeurs thermiques et réacteurs,‎ (lire en ligne)
  21. Jonathan Dairon, Développement d’une nouvelle technique d’élaborationde mousses d’acier par fonderie et caractérisationmécanique (Thèse de doctorat), Ecole Centrale de Lille, , 226 p. (lire en ligne)
  22. « J’Tech 2014, Journées d’échanges techniques et stratégiques réservées aux fondeurs », sur ctif.com
  23. « Notre revue - Le creuset du savoir », sur ctif-editions.com
  24. « Le creuset du savoir - Comprendre la fonderie », sur ctif-editions.com
  25. « Liste des Bureaux de normalisation sectoriels », sur afnor.org

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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