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Castillonnès

Castillonnès [kastijɔnɛs] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Castillonnès
Castillonnès
L'hôtel de ville.
Blason de Castillonnès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord
Maire
Mandat
Pierre Sicaud
2020-2026
Code postal 47330
Code commune 47057
Démographie
Gentilé Castillonnésiens
Population
municipale
1 366 hab. (2020 en diminution de 3,87 % par rapport à 2014)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 11″ nord, 0° 35′ 33″ est
Altitude 131 m
Min. 62 m
Max. 145 m
Superficie 19,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Val du Dropt
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Castillonnès
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Castillonnès
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
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Castillonnès
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Castillonnès
Liens
Site web http://www.mairie-castillonnes.fr/

    Géographie

    Localisation

    Commune située sur le Dropt et la route nationale 21 entre Bergerac et Agen en Pays du Dropt.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Cahuzac, Douzains, Ferrensac, Lougratte, Montauriol et Saint-Quentin-du-Dropt.

    Communes limitrophes de Castillonnès[1]
    Cahuzac Saint-Quentin-du-Dropt
    Douzains Castillonnès Ferrensac
    Montauriol Lougratte

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 55 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Castillonnès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (6,5 %), prairies (3,8 %), forêts (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Castillonnès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Dropt, la Douyne de Tourette et la Douyne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castillonnès.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6] - [27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Castilhonés.

    Histoire

    Le site de Castillonnès faisait partie du domaine de l'abbaye de Cadouin. Les terres avaient été données à l'abbaye à la mort du chevalier Maurin de la famille des seigneurs de Mons, vers 1150. Pour les entretenir, l'abbaye de Cadouin y a fondé l'abbaye ou le prieuré de Grand-Mauroux. Elle a fait venir des ouvriers agricoles du Limousin et du Périgord pour assécher les marais et défricher le territoire. Ils ont été logés dans un hameau proche nommé Défès. L'abbaye de Grand-Mauroux a prospéré jusqu'au XIVe siècle, puis ses bâtiments ont été détruits au cours des guerres de religion. La colline sur laquelle a été implantée la bastide de Castillonnès se trouvait à 3 km du Grand-Mauroux et son prieur portait le titre de gouverneur.

    L'acte de paréage fondant la bastide a été signé le [28] par Élie, abbé de Cadouin, qui cède les deux tiers des terres nécessaires, les frères Bertrand et Arnaud de Mons cédant le tiers, et le sénéchal d'Agenais, Guillaume de Bagnols, à la demande du comte de Toulouse, Alphonse de Poitiers[29].

    , Alphonse de Poitiers accorde une charte des coutumes sur le modèle de celle de Monflanquin et de Monclar, de 1256.

    Castillonnès devient le siège d'une baylie agenaise en 1269.

    En 1318, Édouard II d'Angleterre, duc d'Aquitaine, confirme les coutumes et annexe la ville à la Couronne, comme la plupart des principaux bourgs de l'Agenais. Il fait fortifier le bourg de Castillonnès entre 1312 et 1315. La commune doit construire les murs, le roi-duc, les portes. En 1368, le Prince Noir confirme les coutumes.

    La charte est renouvelée par Louis d'Anjou en 1372 avec huit concessions nouvelles, confirmée par Charles V en 1373, puis par François Ier. Une nouvelle charte octroyant de nouveaux privilèges est signée par Louis d'Anjou en 1377 à Bergerac, confirmée par Charles VIII en 1483. Les chartes de coutumes sont confirmées par Henri II, en 1548, et Henri, roi de Navarre, gouverneur de Guyenne, en .

    La commune de Celles-et-Roquadet-Paroixe fut annexée par Castillonès en 1806.

    Héraldique

    Blason de Castillonnès Blason
    D'azur aux trois châteaux d'argent.
    Détails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Castillonnès
    Alias du blason de Castillonnès
    D’azur à trois tours couvertes et pavillonnées d’argent, ouvertes de sable, accompagnées de trois fleurs de lis d’or rangées en chef.
    Alias du blason de Castillonnès
    Alias du blason de Castillonnès
    D'azur au château de trois tours couvertes d'argent, celle du milieu flammée de gueules[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1790 Henri de Béraud Négociant
    1791 1791 Guillaume Taurel-Lagrausse Notaire
    1792 1792 Guillaume Lartigue Notaire
    1957 mars 1959 Léon-Jeffrey Hoare Instituteur
    mars 1959 mars 1971 André Charles Durou[31] Transporteur
    mars 1971 1974 Guy Capmas
    1974 1982 Alix Beauvie
    1982 mars 1983 Robert Bel
    mars 1983 mars 2008 Jacques Yvinec UDF puis UMP Médecin retraité
    mars 2008 En cours Pierre Sicaud DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Panneau d'entrée à Castillonnès.

    Drapeau de la France Soultzeren (Haut-Rhin) (France) depuis 1976[32].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 1 366 habitants[Note 7], en diminution de 3,87 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7461 5331 6461 8562 0281 9861 9081 9742 100
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0022 1342 0942 0232 0552 0812 0681 9361 923
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8111 6871 6871 4731 4701 4341 3631 4031 466
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5241 4081 3531 3821 4241 3251 4911 4991 414
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 4211 3701 366------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    rugby à XV

    Culture et patrimoine

    Cinéma

    Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :

    Lieux et monuments

    • Hippodrome de Sarlande
    • Ville possédant des remparts du Moyen Âge
    • Sentier de grande randonnée GR 636
    • Sentier de grande randonnée GR 654
    • Hôtel de Cours de Thomazeau, hôtel construit vers 1770, inscrit au titre des monuments historiques en 1996[37].
    • Église Saint-Pierre de Castillonnès. Sa construction a été entreprise à cet emplacement dès l'implantation de la bastide en 1259. Il ne subsiste de cette première église que les murs en bel appareil avec un chevet plat. L'église est détruite une première fois pendant la guerre de Cent Ans. Elle est à nouveau incendiée pendant les guerres de religion. La voûte actuelle et le clocher quadrangulaire ont été construits au début du XXe siècle. L'église abrite un beau retable du XVIIe siècle, classé au titre d'objet en 1959, provenant de la cathédrale d'Agen. Les vitraux ont été réalisés en 1968. Ils sont l'Å“uvre de maquettistes tchécoslovaques - Zan Zoriàc, Mila Disman, Jiri Figer - et du maître verrier Louis Franchéo.
    • Église Notre-Dame-Saint-Louis de Pompiac.
    • Halles de Castillonnès (1905).
      Halles de Castillonnès (1905).
    • Église Saint-Pierre - Le clocher vue de la place des arcades
      Église Saint-Pierre - Le clocher vue de la place des arcades
    • Retable du maître-autel de l'église Saint-Pierre.
      Retable du maître-autel de l'église Saint-Pierre.
    • Portail de l'hôtel Cours de Thomazeau, 8 rue du Petit-Paris.
      Portail de l'hôtel Cours de Thomazeau, 8 rue du Petit-Paris.
    • L'hôtel Cours de Thomazeau.
      L'hôtel Cours de Thomazeau.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Jacques Oscar Bouyssy, Notice historique sur la ville de Castillonnès, Villeneuve-sur-Lot, 1875
    • Abbé Goyhenèche, « Rapport sur la monographie de Castillonnès », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1877, tome 4, p. 342- (lire en ligne)
    • Léon-Jeffrey Hoare, Castillonnès. Les origines de la bastide, Centre d'études des bastides, 1990 (ISBN 9782908521009); p. 143
    • Léon-Jeffrey Hoare, La Révolution de 1789 dans le canton de Castillonnès, 1985-1986 (tome 1), (tome 2), (tome 3), (tome 4)
    • Léon-Jeffrey Hoare, Castillonnès d'hier et d'aujourd'hui (lire en ligne)
    • Léon-Jeffrey Hoare, La subdélégation de Castillonnès (1774-1790), Éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 1988 (lire en ligne)
    • Léon-Jeffrey Hoare, L'enseignement à Castillonnès de 1610 à nos jours, 1964 (lire en ligne)
    • Pierre Simon, Castillonnès et l'évolution de ses privilèges, p. 23-36, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
    • Annie Timbaud-Rapin, L'abbaye de Grand Mauroux, p. 37-40, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
    • Robert de Flaujac, La société castillonnésienne dans le siècle de la Révolution, p. 79-104, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
    • Jean-Pierre Poussou, La population de Castillonnès aux XIXe et XXe siècles, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
    • Hélène Galabrun, Le monument aux morts de Castillonnès, p. 189-201, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Douzains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Castillonnès et Douzains », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Douzains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Castillonnès et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Castillonnès », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castillonnès », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Nota : date établie par L.-J. Hoare à partir d'une copie d'un acte faite en 1673.
    29. Alexandre Ducourneau, La Guienne historique et monumentale, tome premier, deuxième partie, p. 26, Imprimerie F? Coudert, Bordeaux, 1842 ( lire en ligne )
    30. Armorial de France
    31. Voir bibliographie : Léon-Jeffrey Joare : Castillonnès d'hier et d'aujourd'hui, p. 87.
    32. Castillonnès jumelée avec Soultzeren..., Mairie de Castillonnès, consultée le 12 juin 2017.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Hôtel de Cours de Thomazeau », notice no PA47000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Académie des sciences, lettres et arts d'Agen : Léon-Jeffrey HOARE, historien de Castillonnès (1920-1991)
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