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Carlos MazĂłn

Carlos MazĂłn Guixot ([ˈkaÉŸlos maˈΞon ÉĄikˈsot][alpha 1]), nĂ© le Ă  Alicante, est un homme politique espagnol, membre du Parti populaire (PP). Il est prĂ©sident de la dĂ©putation provinciale d'Alicante depuis 2019 et du Parti populaire de la CommunautĂ© valencienne (PPCV) depuis 2021.

Carlos MazĂłn
Illustration.
Carlos MazĂłn, en 2023.
Fonctions
Député au Parlement valencien
En attente d'investiture –
Élection 28 mai 2023
Circonscription Alicante
LĂ©gislature XIe
Groupe politique Populaire
Président du Parti populaire de la Communauté valencienne
En fonction depuis le
(1 an, 11 mois et 27 jours)
Élection
Prédécesseur Isabel Bonig
Président de la députation provinciale d'Alicante
En fonction depuis le
(3 ans, 11 mois et 11 jours)
Coalition PP-Cs
PrĂ©dĂ©cesseur CĂ©sar SĂĄnchez (es)
Biographie
Nom de naissance Carlos MazĂłn Guixot
Date de naissance
Lieu de naissance Alicante (Espagne)
Nationalité Espagnole
Parti politique PP
DiplÎmé de Université d'Alicante

Carlos MazĂłn
Présidents de la députation provinciale d'Alicante

Il est haut fonctionnaire de la Généralité valencienne entre 1999 et 2007. Cette année-là, il entre à la députation d'Alicante, dont il est vice-président pendant deux ans sous la présidence de José Joaquín Ripoll. Il s'éloigne de la politique en 2009, étant sans succÚs candidat au Parlement valencien en 2015.

En 2019, il revient dans la vie politique et prend la prĂ©sidence de la dĂ©putation d'Alicante, sur dĂ©cision de la direction nationale du PP. Celle-ci le soutient deux ans plus tard pour ĂȘtre prĂ©sident du PPCV. Il remporte la majoritĂ© relative aux Ă©lections rĂ©gionales de 2023, dans un Parlement dominĂ© par le bloc de droite, et s'entend peu aprĂšs avec Vox pour former un gouvernement de coalition.

Formation et débuts militants

Carlos MazĂłn Guixot naĂźt le [1] Ă  Alicante[2]. Il est issu d'une famille aisĂ©e et connue dans la ville, son pĂšre — un hĂ©matologue reconnu — et son grand-pĂšre maternel ayant chacun une rue Ă  leur nom[3].

AprÚs un cursus secondaire dans un collÚge privé religieux, il intÚgre en 1992 l'université d'Alicante pour y étudier le droit. Militant des Nouvelles générations du Parti populaire (NNGG), il adhÚre au syndicat Programme 10, qui évolue de positions initialement progressistes à des postulats davantage conservateurs. Il en assume la présidence entre 1993 et 1997[3].

Au sein des NNGG, il siégera notamment au sein du comité directeur national, sous la présidence de Juanma Moreno. Il y fait la connaissance de Pablo Casado ou Santiago Abascal[4].

Haut fonctionnaire de la Généralité

En 1999, Carlos MazĂłn entreprend son parcours politique, lorsque Eduardo Zaplana le nomme directeur gĂ©nĂ©ral de l'Institut valencien de la Jeunesse (IVAJ). Il tente sans succĂšs, deux ans plus tard, d'empĂȘcher l'Ă©lection de Vicente Inglada, militant des Jeunesses socialistes, Ă  la prĂ©sidence du Conseil valencien de la Jeunesse[3].

Ce proche de Zaplana n'est pas écarté quand celui-ci quitte Valence pour intégrer le gouvernement espagnol[3]. Ainsi, à la suite des élections régionales de 2003, il est confirmé au sein de la haute administration de la Généralité valencienne par Francisco Camps, comme directeur général du Commerce et de la Consommation. Ses compétences sont modifiées en 2005, quand il devient directeur général de la Consommation et de la Sécurité industrielle[5].

Engagement en Alicante puis retrait de la politique

Dans la perspective des Ă©lections municipales de 2007, Carlos MazĂłn et les proches de Zaplana comprennent que Camps aura les mains libres en cas de victoire et cherchent Ă  se recycler. Lui-mĂȘme vise ainsi un mandat Ă  la dĂ©putation provinciale d'Alicante mais ne peut s'y prĂ©senter via la liste du PP Ă  Alicante[alpha 2] puisque le maire, Luis DĂ­az Alperi (es), le refuse[4]. Par l'entremise de JosĂ© JoaquĂ­n Ripoll, il postule donc au conseil municipal de Catral, dans la Vega Baja del Segura, occupant la deuxiĂšme place sur la liste du PP dans cette commune avec laquelle il n'a aucun lien[6]. À la suite du scrutin, JosĂ© JoaquĂ­n Ripoll, devenu prĂ©sident de la dĂ©putation, le nomme quatriĂšme vice-prĂ©sident, dĂ©lĂ©guĂ© aux Infrastructures[7].

À l'occasion du congrĂšs du du Parti populaire de la CommunautĂ© valencienne (PPCV), il rejoint la commission exĂ©cutive, prĂ©sidĂ©e par Francisco Camps, en qualitĂ© de secrĂ©taire Ă  la Formation, aux Études et aux Programmes[8]. Il participe, juste aprĂšs, Ă  la guerre fratricide que se livrent les soutiens de Zaplana et les partisans de Camps pour la prĂ©sidence du PP de la province d'Alicante : les « zaplanistes », dont il fait partie, appuient la candidature de JosĂ© JoaquĂ­n Ripoll, alors que les « campsistes » soutiennent celle du maire de Benidorm, Manuel PĂ©rez Fenoll (es)[3] - [4]. Lui-mĂȘme fait ainsi partie de la dĂ©lĂ©gation qui accompagne Ripoll lors du dĂ©pĂŽt de sa candidature au siĂšge provincial du parti[9]. Par cinq voix d'avance, Ripoll s'impose lors du vote des dĂ©lĂ©guĂ©s le , Carlos MazĂłn devenant vice-secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral au sein de la nouvelle direction[10].

Il accepte, Ă  l'Ă©tĂ© 2009, la proposition du prĂ©sident de la chambre de commerce d'Alicante de devenir le directeur gĂ©nĂ©ral de cette institution[4]. Ce recrutement est rendu public le suivant, aussi le mĂȘme jour, un comitĂ© directeur provincial extraordinaire du PP d'Alicante se rĂ©unit pour acter le remplacement de Carlos MazĂłn par Miguel Ortiz (es) comme vice-secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral. Il dĂ©missionne le lendemain de la direction du PPCV, et continue de siĂ©ger Ă  la dĂ©putation comme dĂ©putĂ© sans dĂ©lĂ©gation[11].

Retour en politique

Président de la députation d'Alicante

Pour les Ă©lections rĂ©gionales de 2015, Eduardo Zaplana dĂ©fend auprĂšs du prĂ©sident de la GĂ©nĂ©ralitĂ© et du PPCV, Alberto Fabra, la prĂ©sence de Carlos MazĂłn sur la liste des candidats au Parlement valencien dans la circonscription d'Alicante. Le prĂ©sident provincial du PP, JosĂ© CĂ­scar (es), obtient qu'il n'occupe pas une position de premier plan, ce qui empĂȘche son Ă©lection puisqu'il occupe la 13e position sur une liste qui n'obtient que 11 siĂšges[3]. Pour le congrĂšs du Parti populaire de 2018, il soutient la candidature du futur vainqueur, Pablo Casado, lĂ  oĂč les dirigeants du parti dans la CommunautĂ© valencienne appuient celle, finalement dĂ©faite, de Soraya SĂĄenz de SantamarĂ­a[12].

Il dĂ©cline, Ă  l'approche des Ă©lections municipales de 2019, l'offre de Fran HervĂ­as (es) d'intĂ©grer le parti Ciudadanos (Cs) et de se prĂ©senter sous ses couleurs Ă  la mairie d'Alicante[3]. À la mĂȘme pĂ©riode, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du PP, Teodoro GarcĂ­a Egea, le convoque au siĂšge national — sur recommandation de la dĂ©putĂ©e « zaplaniste » Macarena Montesinos (es)[12] — et lui propose de revenir en politique[4]. Ayant obtenu que le prĂ©sident de la dĂ©putation d'Alicante, CĂ©sar SĂĄnchez (es), se prĂ©sente aux Ă©lections lĂ©gislatives et renonce Ă  ses responsabilitĂ©s provinciales, la direction nationale fait de Carlos MazĂłn son candidat Ă  la prĂ©sidence de l'institution[3].

Élu au conseil municipal d'Alicante, en deuxiĂšme position sur la liste du maire sortant, Luis Barcala (es)[13], Carlos MazĂłn est portĂ© le Ă  la prĂ©sidence de la dĂ©putation grĂące au soutien des deux dĂ©putĂ©s membres de Ciudadanos, obtenant ainsi 16 voix favorables sur 31[14]. Un an plus tard, il se prĂ©sente Ă  la prĂ©sidence du PP de la province d'Alicante, pour laquelle il est proclamĂ© candidat unique le avec plus de 3 000 parrainages de militants[15]. Le , Ă  l'occasion du XVe congrĂšs, il est Ă©lu prĂ©sident par 98 % des suffrages exprimĂ©s et 85 % de participation parmi le millier de dĂ©lĂ©guĂ©s des militants[16].

Comme prĂ©sident de la dĂ©putation, la seule des trois de la rĂ©gion valencienne gouvernĂ©e par le Parti populaire, il se rĂ©vĂšle un critique virulent des politiques mises en Ɠuvre par la coalition du prĂ©sident de la GĂ©nĂ©ralitĂ© valencienne, le socialiste Ximo Puig, en professant les postulats classiques du PP. Il s'oppose au dĂ©cret de politique linguistique, se fait grand dĂ©fenseur du transfert des eaux entre le Tage et le Segura, et se prononce en faveur de la gestion privĂ©e des Ă©coles et des Ă©tablissements de santĂ©[12].

Président du Parti populaire de la Communauté valencienne

Carlos Mazón est pressenti, au printemps , pour remplacer Isabel Bonig comme président du Parti populaire de la Communauté valencienne (PPCV), ce qui pousse celle-ci à renoncer à se succéder lors du congrÚs à venir[17]. Bénéficiant du soutien de la direction nationale, il annonce sa candidature le à Valence et que María José Català sera sa secrétaire générale[18].

Il rĂ©colte plus de 11 000 parrainages de militants et fait face Ă  un autre candidat, le maire d'Ayora, JosĂ© Vicente Anaya[19]. Lors du vote des militants, organisĂ© le , il recueille 95,55 % des suffrages exprimĂ©s, contre 4,05 % Ă  son concurrent[20]. Le suivant, il est effectivement Ă©lu prĂ©sident du PPCV : sa liste pour le comitĂ© exĂ©cutif — qui propose bien MarĂ­a JosĂ© CatalĂ  au secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral — remporte 99,6 % des suffrages exprimĂ©s lors d'un congrĂšs auquel assistent Pablo Casado et Teodoro GarcĂ­a Egea[21]. Il avait cĂ©dĂ©, le prĂ©cĂ©dent, la prĂ©sidence du PP d'Alicante au maire de Benidorm, Toni PĂ©rez, Ă  l'occasion d'une rĂ©union du comitĂ© directeur provincial[22].

Élections rĂ©gionales de 2023

Le , Carlos Mazón indique qu'il sera candidat aux élections régionales du 28 mai dans la circonscription d'Alicante, alors que la tradition du Parti populaire voulait jusqu'à présent que le chef de file du parti postule dans la circonscription de Valence. Ce n'est cependant pas la premiÚre fois qu'une telle situation se produit dans la communauté autonome, puisque le président en poste, Ximo Puig, s'est par exemple présenté en 2015 et 2019 dans la circonscription de Castellón[23].

À quelques jours du scrutin, les sondages n'indiquent pas de vainqueur clair, estimant les blocs de gauche et de droite capables de remporter chacun la majoritĂ© avec une courte avance[24]. Au soir du scrutin, les partis de droite obtiennent la majoritĂ© absolue des siĂšges avec 53 dĂ©putĂ©s sur 99 : le Parti populaire — attirant la quasi-totalitĂ© de l'Ă©lectorat de Ciudadanos — redevient le premier parti de la communautĂ© autonome avec 40 siĂšges et aura besoin du soutien des 13 Ă©lus remportĂ©s par Vox pour gouverner Ă  nouveau la GĂ©nĂ©ralitĂ© valencienne[25].

Le , à l'issue du premier entretien avec Vox, le Parti populaire annonce, de maniÚre inattendue, avoir conclu un accord de principe pour former un gouvernement de coalition, qui prévoit que Vox occupera la présidence du Parlement. Le chef de file de Vox, Carlos Flores, dont la présence au sein de l'exécutif était rejetée par la direction nationale du PP en raison de sa condamnation pour violence conjugale en 2002, renonce à cette occasion à toute participation à la coalition pour se présenter aux élections générales anticipées du 23 juillet[26]. L'accord repose sur un texte d'environ 200 mots et cinq axes majeures, dont la rédaction relÚve, selon La Sexta, de l'« infantilisme » et de lapalissades, évoquant par exemple « [L'axe de] la santé et des services sociaux, pour renforcer la santé publique et les services sociaux » ou « [L'axe des] symboles de notre identité, pour défendre et retrouver les symboles de notre identité »[27].

Notes et références

Notes

  1. Prononciation en espagnol d'Espagne retranscrite selon la norme API.
  2. Les députations provinciales sont élues indirectement, en proportion du résultat des élections municipales.

Références

  1. (es) Ville d'Alicante, « Carlos Mazón Guixot », sur alicante.es (consulté le ).
  2. (es) Salvador Enguix, « Carlos MazĂłn, el nuevo hombre fuerte del PP valenciano », La Vanguardia,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  3. (ca) VĂ­ctor Maceda, « Carlos MazĂłn, el fill de Zaplana », El Temps,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  4. (es) Miquel GonzĂĄlez, « Un maratoniano de la polĂ­tica que aspira a relevar al BotĂ nic », Valencia Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  5. (es) Rosa Piquer, « Carlos MazĂłn presenta su candidatura para liderar el PPCV y sustituir a Bonig », El PeriĂČdic,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  6. (ca) Manuel Lillo, « Les revoltes locals del PP contra MazĂłn », El Temps,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  7. (es) EFE, « MazĂłn, el predilecto de Casado para la reconquista de la Comunitat Valenciana », Valencia Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  8. (es) « Camps presenta la lista de la nueva Ejecutiva con la nueva figura de las coordinadoras », Europa Press,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  9. (es) « Ripoll formaliza su candidatura a la presidencia provincial del PP de Alicante acompañado por Montesinos, Lorente y MazĂłn », Europa Press,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  10. (es) EFE, « Ripoll, reelegido presidente PP Alicante por cinco votos mĂĄs que PĂ©rez Fenoll », Cadena SER,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  11. (es) P. R. F., « La CĂĄmara de Comercio ficha a Carlos MazĂłn como nuevo director general », InformaciĂłn,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  12. (es) Inma LidĂłn, « Carlos MazĂłn, el polĂ­tico que supo esperar a su 'generaciĂłn », El Mundo,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  13. (es) R. Navarro, « El director de la CĂĄmara, Carlos MazĂłn, regresa a la polĂ­tica como '2' de la lista del PP en Alicante », Alicante Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  14. (es) Miquel GonzĂĄlez, « Carlos MazĂłn, elegido presidente de la DiputaciĂłn de Alicante con los votos del PP y Cs », Alicante Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  15. (es) Miquel GonzĂĄlez, « Carlos MazĂłn serĂĄ el Ășnico candidato a presidir el PP de la provincia de Alicante », Alicante Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  16. (es) Europa Press, « Carlos MazĂłn, nuevo presidente del PP de Alicante con el apoyo del 98% de la militancia », La Vanguardia,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  17. (es) VĂ­ctor Romero, « Isabel Bonig renuncia a la presidencia del PP valenciano y allana el relevo a Carlos MazĂłn », El Confidencial,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  18. (es) « MazĂłn busca simbolizar la «reunificaciĂłn del centro derecha» », Las Provincias,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  19. (es) Europa Press, « Carlos MazĂłn y JosĂ© Vicente Anaya, proclamados candidatos a la presidencia del PPCV », 20 Minutos,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  20. (es) « Carlos MazĂłn, candidato Ășnico a presidir el PP de la Comunidad Valenciana, con el 95% de los votos », El PaĂ­s,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  21. (es) Salvador Enguix, « Carlos MazĂłn elegido por unanimidad de los populares valencianos como nuevo lĂ­der », La Vanguardia,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  22. (es) Miquel GonzĂĄlez, « Toni PĂ©rez asume la presidencia del PP provincial de Alicante y confirma a Serna como 'nĂșmero dos' », Alicante Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  23. (es) Miquel GonzĂĄlez, « MazĂłn confirma que concurrirĂĄ a la Generalitat como cabeza de lista por la provincia de Alicante », Alicante Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  24. (es) EFE, « Empate tĂ©cnico en la Comunitat Valenciana y victoria clara del PP en Madrid, segĂșn sondeos », Valencia Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  25. (es) Alfons GarcĂ­a, « El PP gana en la Comunitat Valenciana y podrĂĄ gobernar con Vox », Levante-EMV,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  26. (es) Rosana Crespo, « El PP y Vox llegan a un acuerdo de gobierno para la Generalitat Valenciana », Valencia Plaza,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  27. (es) « El texto de perogrullo con el que PP y Vox marcan sus cinco ejes de gobierno en la Comunitat Valenciana », La Sexta,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).

Voir aussi

Articles connexes

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