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Bus Ă  haut niveau de service de Rennes

Trambus de Rennes

Bus Ă  haut niveau de service de Rennes
Image illustrative de l’article Bus à haut niveau de service de Rennes
Logo du Trambus de Rennes.
Image illustrative de l’article Bus à haut niveau de service de Rennes
Logo du projet.

Situation Rennes MĂ©tropole
Type Bus Ă  haut niveau de service
Entrée en service 2027 (lignes T1 et T2)
2030 (lignes T3 et T4)
Longueur du rĂ©seau 55 km
Lignes 4
Stations environ 100
VĂ©hicules sera choisi par appel d'offres
Fréquentation 90 000 voyageurs/jour (estimations pour 2035)
Propriétaire Rennes Métropole
Exploitant l'exploitant du réseau STAR sera choisi par appel d'offres
Site Internet metropole.rennes.fr/quatre-lignes-de-trambus-lhorizon-2030
Lignes du réseau T1, T2, T3, T4
RĂ©seaux connexes TC Ă  Rennes :

(M) MĂ©tro
(Trambus) Projet « Trambus »
(BUS) Autobus
(LE vélo STAR) STAR, le vélo
(Covoiturage et auto-partage) STAR, le covoiturage

(TER BreizhGo) TER BreizhGo
(Car BreizhGo) Car BreizhGo en Ille-et-Vilaine

Citiz Rennes MĂ©tropole
TER Bretagne, BreizhGo

Image illustrative de l’article Bus à haut niveau de service de Rennes
Carte du projet Trambus, dont la ligne t5 reportée sine die.

Le bus à haut niveau de service de Rennes, localement dénommé trambus de Rennes est un projet de réseau de bus à haut niveau de service desservant Rennes et sa métropole, dans le département français d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

PrĂ©vu pour ĂŞtre mis en service progressivement entre 2027 et 2030, il sera composĂ© de quatre lignes (T1, T2, T3 et T4) totalisant 55 km de long et une centaine de stations qui assureront une desserte structurante complĂ©mentaire du mĂ©tro de Rennes. Le rĂ©seau devrait ĂŞtre exploitĂ© par l'exploitant du rĂ©seau STAR incluant les mĂ©tro, les bus et vĂ©los en libre service de Rennes MĂ©tropole.

D'un coût estimé à 200 millions d'euros, le trambus a été pensé en lieu et place d'extensions du métro au-delà de la rocade de Rennes.

Histoire

Chronologie

  • 1996 : Ă©tudes sur l'axe est-ouest ;
  • 2000 et 2013 : ouverture par tronçons de l'axe est-ouest ;
  • 2019 : abandon des extensions extra-rocade du mĂ©tro ;
  • - : Ă©tudes de faisabilitĂ© ;
  • : prĂ©sentation en conseil mĂ©tropolitain des tracĂ©s retenus ;
  • au : consultation citoyenne ;
  • 2023-2026 : Ă©tudes opĂ©rationnelles et concertation publique ;
  • 2023-2024 : concertation sur les Ă©tudes opĂ©rationnelles (dont choix du tracĂ© du T4) ;
  • 2025-2030 : Travaux ;
  • 2027 : Mise en service des lignes T1 et T2 ;
  • 2030 : Mise en service des lignes T3 et T4.

Axe est-ouest

L'axe est-ouest, en vert sur cette carte.
L'axe est-ouest, en vert sur cette carte.

En 1996, les premières Ă©tudes pour la crĂ©ation d'un « axe est-ouest », un site propre de km de long entre le mail François-Mitterrand et Cesson-SĂ©vignĂ© dont le double objectif est de faire passer la vitesse commerciale des bus de 14 Ă  18 km/h et d'Ă©viter un effet de « rĂ©seau Ă  deux vitesses » entre les bus et la future ligne A du mĂ©tro dont la construction s'apprĂŞte alors Ă  dĂ©marrer[1].

La mise en place commence en par l'ouverture des tronçons entre le mail François-Mitterrand et l'intersection entre l'avenue Sergent-Maginot et la rue Richard Lenoir et entre le rond-point des PrĂ©ales et la rue La Chalotais vers Cesson-SĂ©vignĂ©, et qui s'est conclue en par l'ouverture du tronçon central ; long de sept kilomètres, il relie Rennes Ă  Cesson-SĂ©vignĂ© et met cette dernière Ă  20 minutes de la place de la RĂ©publique[2] - [3]. Il est empruntĂ© quotidiennement par 1 480 bus, qui se succèdent aux heures de pointes toutes les trois minutes, et est empruntĂ© par 40 000 voyageurs par jour[3].

En 2015 sur cet axe emprunté principalement par les lignes C4 (entre le mail François-Mitterrand et Tournebride) et C6 (de République à Cesson-Sévigné), la vitesse commerciale est supérieure à 21 km/h au lieu de 19 km/h sur le reste du réseau[4].

Un autre site propre fut envisagé au début des années 2000 le long de la coulée verte de la Pénétrante, emprise réservée initialement à un boulevard urbain entre la rocade et le boulevard d'Armorique, avec création d'un parc relais à proximité de la rocade[5]. Le projet est contesté par les habitants environnants et le projet est enterré à la fin des années 2000[6].

Abandon des projets d'extension du métro

Extensions du métro autrefois envisagées, en pointillés.
Extensions du métro autrefois envisagées, en pointillés.

Dès 2007, des premières études sont menées pour créer un bus en site propre pour desservir Chantepie en lieu et place de l'extension initialement envisagée de la ligne A du métro, officiellement reportée en 2008 avec, à l'époque, une mise en service de cette ligne de bus annoncée pour 2011 entre Chantepie et le terminus La Poterie de la ligne A[7].

Une seconde étude menée en 2019 et présentée au conseil métropolitain de Rennes Métropole le enterre à son tour les extensions prévues de la future ligne B du métro, au nord vers le quadrant nord-est à Cesson-Sévigné, zone rurale amenée à être urbanisée[8] - [9] et au sud vers Saint-Jacques-de-la-Lande et son quartier de la Morinais[10] et les hypothèses de tramway[11].

Trois scénarios sont alors envisagés[11] :

Choix des tracés

Une étude de faisabilité est menée entre novembre 2020 et juillet 2022[12], s'appuyant sur les projections du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour déterminer les potentiels de fréquentation[13].

Dès le mois de mai 2022, le Mensuel de Rennes révèle les cinq axes étudiés[14] :

La ligne « Nord-Sud » est constituée de deux lignes initialement distinctes dans l'étude de faisabilité[12].

Une consultation citoyenne est menée du 21 novembre au 21 décembre 2022 par Rennes métropole à la suite du conseil métropolitain du 17 novembre 2022 qui révèle les itinéraires officiels qui seront finalement au nombre de quatre, la ligne « t5 » vers Thorigné-Fouillard étant finalement reportée sine die en raison d'une fréquentation attendue jugée trop faible au regard des investissements, pour un total de 55 kilomètres de lignes qui verront le jour entre 2027 et 2030[16] - [17] - [18] :

  • t1 : reliera La Plesse Grand Quarter Ă  ZA Saint-Sulpice par Villejean et le centre-ville ;
  • t2 : reliera Vezin-le-Coquet Trois Marches Ă  Cesson-SĂ©vignĂ© par la route de Lorient et le centre-ville ;
  • t3 : reliera Saint-GrĂ©goire Ă  Chantepie par le centre-ville ;
  • t4 : reliera Saint-Jacques - GaĂ®tĂ© Ă  Bruz par l'aĂ©roport et Ker Lann.

Critiques sur le choix du mode de transport

Le choix du trambus est critiqué par Pierre Breteau, maire de Saint-Grégoire, partisan du tramway qui rappelle que « [le] trambus, c’est du marketing. Cela reste des bus qui roulent sur du macadam » et que « pour que les gens basculent de la voiture aux transports en commun, il faut un déclencheur. Le tram classique aurait apporté un effet psychologique à ne pas sous-estimer »[19]. Il regrette en outre que les tracés s'arrêtent aux communes de la première couronne[19].

Construction

Les études opérationnelles et la concertation publique seront menées conjointement jusqu'en 2026[13]. Entre 2023 et 2024, une concertation sur les études opérationnelles sera menée et durant laquelle le tracé de la ligne T4 à Bruz sera soumis à la concertation des habitants[20]. Toutefois, une tendance se dégage à Bruz pour desservir le centre-ville et la gare[21].

La construction des infrastructures est prévue par phases entre 2025 et 2030, pour une mise en service prévue en 2027 pour les lignes T1 et T2, moins compliquées à construire et en 2030 pour les lignes T3 et T4[17] - [22] - [23]. La ligne T2 devrait être ouverte en premier, suivie dans l'ordre par les lignes T1, T3 et T4[24].

Le réseau

Aperçu général

Les lignes T1 et T2 emprunteront l'axe est-ouest.
Les lignes T1 et T2 emprunteront l'axe est-ouest.

Le futur rĂ©seau sera constituĂ© de quatre lignes pour un linĂ©aire total de 55 km pour un coĂ»t d'environ 200 millions d'euros[1]. Son objectif est relier efficacement la première couronne au centre-ville de Rennes[22]. Ces lignes desserviront 200 000 habitants et 135 000 emplois[25].

Les lignes disposeraient de 30 à 60 % de leurs itinéraires en voies réservées[16], les contraintes de voirie feront notamment qu'à Cesson-Sévigné et à Saint-Grégoire les trambus ne disposeront pas de voies réservées[14]. Les aménagements du trambus incluront en outre la réalisation de 80 kilomètres de pistes cyclables qui complèteront le réseau express vélo projeté par Rennes Métropole[16].

Des « lignes améliorées » seront mises en place en complément entre La Poterie et Chantepie et entre Saint-Grégoire, la zone Alphasis et Montgermont[14]. Les voies rapides constituées par routes nationales N 12, N 24 et N 137 et les routes départementales D 137 et D 173 ainsi que le débouché de l'autoroute A84 bénéficieront de voies réservées aux bus et aux covoitureurs[14].

Ligne T1

Pictogramme de la ligne T1.

La ligne T1 reliera La Plesse Grand Quarter à ZA Saint-Sulpice avec 30 stations pour 13 kilomètres de ligne, pour un investissement de 45 millions d'euros[16] - [17].

La ligne sera en correspondance avec le métro à plusieurs stations[16] : Villejean - Université, République, Saint-Germain à distance et Atalante.

Cette ligne est la transformation de l'actuelle ligne C4, la plus fréquentée du réseau de bus avec 27 000 voyageurs par jour, et comptera 13 stations communes avec la ligne T2[16] - [18].

Ligne T2

Pictogramme de la ligne T2.

La ligne T2 reliera Vezin-le-Coquet à Cesson-Sévigné avec 32 stations pour 14 kilomètres de ligne, pour un investissement de 40 millions d'euros[16] - [17].

La ligne sera en correspondance avec le métro à plusieurs stations[16] : République et Saint-Germain à distance.

Cette ligne reprend entre Rennes et Cesson-Sévigné l'itinéraire de l'actuelle ligne C6 et comptera 13 stations communes avec la ligne T1 ; les aménagements permettront de passer de 50 à 58 % de voies en site propre et limiteront le trafic sur la route de Lorient[16] - [18].

Ligne T3

Pictogramme de la ligne T3.

La ligne T3 reliera Saint-Grégoire à Chantepie avec 38 stations pour 17 kilomètres de ligne, pour un investissement de 58 millions d'euros[16] - [17].

La ligne sera en correspondance avec le métro à plusieurs stations[16] : Gares, République et Anatole France.

Cette ligne reprend à Saint-Grégoire l'itinéraire de l'actuelle ligne C2 et à Chantepie celui de l'actuelle ligne C1 et comptera 38 % de linéaire en site propre[16].

Ligne T4

Pictogramme de la ligne T4.

La ligne T4 reliera Saint-Jacques - Gaîté à Bruz avec 21 stations pour 12 kilomètres de ligne, pour un investissement de 58 millions d'euros[16] - [17].

La ligne sera en correspondance avec le métro à son terminus à Saint-Jacques - Gaîté[16].

Cette ligne est la transformation de l'actuelle ligne C7 et comptera 62 % de voies en site propre mais, contrairement aux trois autres, l'itinéraire n'est pas complètement défini au niveau du parc des Expositions et dans le centre de Bruz[16].

Stations

Exemple d'une station de BHNS avec un mobilier spécifique, ici à Nîmes.
Exemple d'une station de BHNS avec un mobilier spécifique, ici à Nîmes.

Les quatre lignes desserviront une centaine de stations espacées de 400 à 500 mètres en moyenne[16] - [17]. Les itinéraires et stations ne sont pas encore fixés de façon définitive, particulièrement pour la ligne T4[17].

Les stations bénéficieront toutes d'un aménagement spécifique, de distributeurs de titres de transport et de bornes d'information en temps réel ; leur configuration sera adaptée en fonction de la densité urbaine et du trafic attendu[16].

Exploitation

Les lignes de trambus fonctionneront de 5 h 25 à 0 h 35 en semaine avec une fréquence en heures de pointe variant de 4 à 8 minutes selon les lignes et de 6 minutes en moyenne[16]. Le weekend, l'amplitude horaire sera plus étendue[12], comme c'est déjà le cas pour le métro qui finit son service une heure plus tard.

Sur le tronc commun des lignes T1 et T2, la fréquence pourrait atteindre un bus toutes les 3 minutes[25]. Les lignes seront partie intégrante du réseau STAR, dont la délégation de service public avec Keolis Rennes court jusqu'au [26] ; un nouvel appel d'offres devra donc être réalisé.

Information voyageurs

L'ensemble des véhicules et stations seront équipés de systèmes d'informations en temps réel[16].

Fréquentation

La fréquentation journalière attendue pour la ligne T1 est de 34 000 voyageurs en 2035 et de 90 000 voyageurs par jour pour l'ensemble des lignes[17].

Les fréquentations annuelles attendues par ligne sont[17] :

  • T1 : 7,3 millions de voyages ;
  • T2 : 4,7 millions de voyages ;
  • T3 : 5,6 millions de voyages ;
  • T4 : 2,3 millions de voyages.

Tarification et financement

Carte Korrigo, qui peut stocker des titres à l'unité et des abonnements au réseau STAR.
Carte Korrigo, qui peut stocker des titres à l'unité et des abonnements au réseau STAR.

Le trambus étant partie intégrante du réseau STAR, la tarification sera identique à celle du réseau.

Parc relais

Les lignes croiseront trois parc relais existants (Les Préales, Saint-Jacques - Gaîté et Villejean - Université) et six nouveaux parcs seront créés le long des quatre lignes, ainsi que d'autres en deuxième couronne[16] :

Ces nouveaux parc relais auront des capacités relativement faibles, de 80 à 250 places[23].

Matériel roulant

À Bayonne, le « trambus » est exploité à l'aide d'autobus articulés électriques possédant une esthétique rappelant celle d'un tramway.
À Bayonne, le trambus est exploité à l'aide d'autobus articulés électriques possédant une esthétique rappelant celle d'un tramway.

Les quatre lignes seraient exploitées dans un premier temps avec des bus articulés électriques longs de 18 mètres puis à terme avec des bi-articulés de 24 mètres de long sur la ligne T1[16] - [27]. L'esthétique de ces bus est vouée à se rapprocher de celle d'un tramway[16] : roues carénées et formes aérodynamiques.

Les appels d'offres pour décider du modèle, le nombre de véhicules n'est pas encore décidé, seront lancés en 2023[22].

Projets ultérieurs

ÉtudiĂ©e en mĂŞme temps que les quatre autres lignes, la ligne T5 entre Cesson - Viasilva et ThorignĂ©-Fouillard est finalement reportĂ©e sine die en raison d'une frĂ©quentation attendue de 1,1 million de voyages annuels en 2035 jugĂ©e trop faible au regard de l'investissement estimĂ© Ă  36 millions d'euros et de dĂ©saccords sur le tracĂ©s[18] - [28]. Le projet sera remis sur la table quand le secteur sera plus urbanisĂ© mais le projet ViaSilva a Ă©tĂ© fortement rĂ©duit après les Ă©lections municipales de 2020 par la nouvelle municipalitĂ© Cesson-SĂ©vignĂ©, passant de 650 Ă  210 ha et seulement 10 000 Ă  12 000 habitants au lieu des 40 000 habitants attendus initialement et l'urbanisation de ThorignĂ©-Fouillard n'est pas aussi rapide qu'attendue[18] - [28] - [29].

Impacts sociaux, Ă©conomiques et culturels

La réalisation du trambus est l'occasion pour les communes traversées de réorganiser leur urbanisme autour des futur lignes, comme à Saint-Grégoire où le nouveau programme local de l'habitat (PLH) prévoit une forte densification le long de la future ligne, en particulier sur l'avenue du Général-de-Gaulle et dans le quartier du Champ Daguet[30].

Notes et références

  1. Grégory Rambour, « Chronologie TCSP - Rennes », sur chronologie-tcsp-france.fr (consulté le ).
  2. « L'axe Est-Ouest : du Mail à Beaulieu », sur metropole.rennes.fr, (consulté le ).
  3. « Axe Est-Ouest: 7 kilomètres de voies réservées aux bus », sur metropole.rennes.fr, (consulté le ).
  4. « Rennes : faut-il y mettre les pieds ? », sur www.autiv.org (consulté le ).
  5. Xavier Debontride, « RENNES Dans le cadre du plan local d’urbanisme, un transport en site propre au nord », sur www.lemoniteur.fr, (consulté le ).
  6. Camille Laurent, Quel potentiel écologique sur la Couléee Verte Patton à Rennes ? Diagnostic et propositions d'aménagement pour un site intégrant la trame verte rennaise (Mémoire de fin d'études), (lire en ligne).
  7. Alexandra Bourcier, « De la Poterie à Chantepie, des bus à 22 km/h », sur www.rennes.maville.com, (consulté le ).
  8. "Ă€ plus long terme, l'avenir est au nord-est", in La Vie du Rail Magazine, no 3220, 6 janvier 2010, p. 38.
  9. « Illustration de cet éventuel prolongement. », sur www.metro-rennes-metropole.fr, (consulté le ).
  10. "Le salut passe par une deuxième ligne de métro", in La Vie du Rail Magazine, no 3220, 6 janvier 2010, p. 33.
  11. Virginie ENÉE, « Rennes métropole. Le scénario TramBus privilégié en 2030 », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  12. « CARTES. Trambus à Rennes : on sait par où vont passer les quatre futures lignes », sur actu.fr, (consulté le ).
  13. « Rennes Métropole : des lignes de trambus à partir de 2027 », sur www.lemoniteur.fr, (consulté le ).
  14. « Par où passeront les cinq futurs trambus de Rennes ? [Carte] », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  15. Hugo Murtas, « Métro, tram-bus... A Rennes, ces deux projets visent à réduire les bouchons sur la route », sur actu.fr, (consulté le ).
  16. « La Fabrique Citoyenne - Trambus de Rennes », sur fabriquecitoyenne.fr/ (consulté le ).
  17. Jean Christo, « Quatre lignes de Trambus en attente », sur rennesbusinessmag.fr, (consulté le ).
  18. Olivier Berrezai, « On connaît enfin le tracé des quatre lignes de trambus qui relieront Rennes aux communes en 2030 », sur www.ouest-france.fr, (consulté le ).
  19. Romain Roux, « Trambus à Rennes : solution contre les bouchons ou coup de com’ ? », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  20. « Un trambus à Bruz en 2030 », sur www.ville-bruz.fr, (consulté le ).
  21. « Trambus à Rennes dès 2027 : entre aménagements et végétalisation, quelles attentes ? », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  22. Jérôme Gicquel, « Rennes : Le tracé des quatre futures lignes de trambus dévoilé », sur www.20minutes.fr, (consulté le ).
  23. Romain Roux, « Les 5 choses à savoir sur les futurs trambus de Rennes », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  24. Camille Allain, « Rennes : « On se rapproche du métro »… Quelle cadence pour les futurs trambus ? », sur www.20minutes.fr, (consulté le ).
  25. « Les futures lignes du trambus de Rennes dévoilées », sur www.rennescope.com, (consulté le ).
  26. Laurent Le Goff, « Rennes. Keolis conserve le réseau Star jusqu’en 2024 », sur www.ouest-france.fr, (consulté le ).
  27. « Deux trambus arriveront à Saint-Grégoire dans cinq ans », sur rennes.maville.com, (consulté le ).
  28. Romain Roux, « Pourquoi le trambus de Rennes à Thorigné-Fouillard est abandonné », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  29. Romain Roux, « Le chantier ViaSilva n’ira « pas au-delà de ce qui est acté » », sur www.letelegramme.fr, (consulté le ).
  30. « Le programme local de l’habitat de Rennes métropole fait débat à Saint-Grégoire » Accès payant, sur www.ouest-france.fr, (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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