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Bouleurs

Bouleurs est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Bouleurs
Bouleurs
Blason de Bouleurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Monique Bourdier
2020-2026
Code postal 77580
Code commune 77047
DĂ©mographie
Gentilé Bouleurois
Population
municipale
1 698 hab. (2020 en augmentation de 14,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 206 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 52′ 58″ nord, 2° 54′ 28″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 156 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Serris
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web bouleurs.fr

    Au dernier recensement de 2020, la commune comptait 1 698 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Bouleurs dans le département de Seine-et-Marne.

    Bouleurs est Ă  environ 10 km au sud de Meaux.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 65 mètres Ă  156 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 97 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© très faible[2].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Bouleurs.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,58 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat Mixte d'AmĂ©nagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifiĂ© de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 723 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -1,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  35 km Ă  vol d'oiseau[10], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bouleurs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 87 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[21].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,8% ), zones agricoles hétérogènes (14,1% ), forêts (10,8% ), zones urbanisées (8,3% ), prairies (5,1 %)[22].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23] - [24] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logements

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 563, alors qu'il Ă©tait de 476 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 92,0 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,5 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,6 %). La commune se distingue par l'absence de logements sociaux (logements HLM loués vides)([a 3]. C'est pour faire face à cette situation que le conseil municipal a décidé en 2013 de faire construire 37 logements HLM.

    Voies de communication

    Le sentier de grande randonnée GR1 traverse le territoire de la commune et se prolonge au nord à la limite de Boutigny et Quincy-Voisins et au sud vers Crécy-la-Chapelle.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 70 (Sancy – Saint-Germain-sur-Morin) du réseau de cars Transdev[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bolorria à la fin du VIIe siècle[27] ; Boloirre XIIe siècle[28] - [29] ; Bolorrium en 1133[30] - [29] ; Bolerium vers 1145[31] - [32] ; Bolorria vers 1170[33] - [32] ; Boleire vers 1180[34] - [32] ; Bulluere en 1182[35] - [29] - [32] ; Buleria en 1202[36] - [32] ; Bollerria en 1210[37] - [32] ; Boulouria en 1219[38] - [32] ; Bollorria en 1228[39] - [32] ; Boloria in Bria en 1228[40] - [32] ; Bolleria in Bria en 1230[41] - [32] ; Bouloure en 1231[42] - [29] ; Bolloire en 1235[43] - [32] ; Boulerre en 1274[44] - [29] ; Boloirria au XIIIe siècle[45] - [32] ; Boulairre en 1302[46] - [32] ; Boulourre en 1306[47] - [32] ; Boulleurria in Bria en 1353[48] - [32] ; Boulleure en 1363[49] - [32] ; Boullerre en 1376[50] - [32] ; Bolloire en 1393[51] - [32] ; Boullorre en 1409[51] - [32] ; Bolorre en 1410[51] - [32] ; Boullere en 1469[52] - [32] ; Bouleure en 1779[32].

    Histoire

    Bouleurs apparaît pour la première fois dans les textes au VIIe siècle sous l’appellation de Bolorria[53]. Mais son origine est plus ancienne puisqu’une voie romaine allant de Lyon à Boulogne-sur-Mer le traverse dès l’Antiquité et atteste la présence humaine à cette époque[54].

    Plusieurs notaires et tabellions seigneuriaux y rĂ©sident. La seigneurie de Bouleurs appartient pendant longtemps aux seigneurs de Quincy et Rohan de Montbazon, seigneurs de Coupvray. Et enfin vers 1775, passa au comte d’Eu dont le duc de Penthièvre Ă©tait hĂ©ritier Ă  la rĂ©volution. La population augmente fortement Ă  partir de la seconde moitiĂ© du XVIIIe siècle mais diminue dans le courant du XIXe siècle Ă  la suite d’une Ă©pidĂ©mie, qui entraĂ®ne la disparition de grandes familles et Ă  la suite de l’amĂ©lioration des procĂ©dĂ©s de culture qui nĂ©cessitent moins de main-d’œuvre et provoque un exode rural. Bouleurs Ă©tait rĂ©putĂ© pour son Brie[54]. En 1794, Bouleurs avait sa sociĂ©tĂ© populaire. Une dĂ©putation se serait d’ailleurs rendue Ă  la convention le 1er avril 1794 pour protester contre HĂ©bert et son "Père Duchesne":. En 1850, la commune compte 487 habitants[54]. La population a fortement augmentĂ© Ă  partir des annĂ©es 1970 et de l’ouverture de l’autoroute A4 ; elle compte actuellement 1 400 habitants[54].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours Monique Bourdier LREM Présidente de la CC du Pays Créçois (2019 → )

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].

    En 2020, la commune comptait 1 698 habitants[Note 5], en augmentation de 14,65 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    633641663628581566549497503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    473448441396387386393389379
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    353331308312321334298300291
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3323825528211 0491 2281 3751 4111 441
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4981 698-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee Ă  partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 603, reprĂ©sentant 1 630 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 25 430 euros[59].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 128, occupant 833 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  77,1 % contre un taux de chĂ´mage de 6 %. Les 17 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 9,3 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 3,6 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 4,1 % pour les autres inactifs[60].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 112 dont 11 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 19 dans la construction, 27 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 7 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 18 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 12 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[61].

    En 2020, 25 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 20 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[62].

    Agriculture

    Bouleurs est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[63].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[64]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂą le nombre d’exploitations est passĂ© de 14 en 1988 Ă  9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 36 ha en 1988 Ă  90 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Bouleurs, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Bouleurs entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[63] - [Note 7]
    Nombre d’exploitations (u) 14 9 9
    Travail (UTA) 22 14 16
    Surface agricole utilisée (ha) 506 678 809
    Cultures[65]
    Terres labourables (ha) 418 632 727
    Céréales (ha) 271 368 473
    dont blé tendre (ha) 181 s 338
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 82 82 89
    Tournesol (ha) 17 s
    Colza et navette (ha) s 71 58
    Élevage[63]
    Cheptel (UGBTA[Note 8]) 525 190 104

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Sainte Marie-Madeleine.

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Sainte Marie-Madeleine dont deux vitraux, situĂ©s derrière l'autel, sont monuments historiques.
      On y trouve aussi un Chemin de croix gravé par Georges Visat[66], graveur du début duXXe siècle, qui malheureusement est dégradé malgré une mise sous cadre en verre[67].
    • Le Chemin de croix de Visat
    • Ire station : JĂ©sus est condamnĂ© Ă  mort
      Ire station : Jésus est condamné à mort
    • IIe  station : JĂ©sus est chargĂ© de sa croix
      IIe station : Jésus est chargé de sa croix
    • IIIe station : JĂ©sus tombe sous sa croix pour la première fois
      IIIe station : Jésus tombe sous sa croix pour la première fois
    • Ve station : Simon de Cyrène aide JĂ©sus Ă  porter sa croix
      Ve station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
    • VIe station : VĂ©ronique essuie le visage de JĂ©sus
      VIe station : VĂ©ronique essuie le visage de JĂ©sus
    • VIIIe station : JĂ©sus rencontre les femmes de JĂ©rusalem
      VIIIe station : JĂ©sus rencontre les femmes de JĂ©rusalem
    • IXe station : JĂ©sus tombe pour la 3e fois
      IXe station : JĂ©sus tombe pour la 3e fois
    • Xe station : JĂ©sus est dĂ©pouillĂ© de ses vĂŞtements
      Xe station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
    • XIe station : JĂ©sus est clouĂ© Ă  la Croix
      XIe station : Jésus est cloué à la Croix
    • XIIIe station : descente de croix et dĂ©ploration
      XIIIe station : descente de croix et déploration
    • XIVe station : mise au tombeau.
      XIVe station : mise au tombeau.
    • Le lavoir de forme semi-circulaire.
    Le lavoir.

    HĂ©raldique

    Blason de Bouleurs Blason
    Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à un casque de légionnaire romain d'or, au 2e d'or à un flacon de gueules, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent[68].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Bouleurs », p. 351

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Bouleurs - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.

    Autres sources

    1. « Bouleurs » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 28 août 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Mesnil (F6585000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vignot (F6585050 ) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 septembre 2018
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bouleurs et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    23. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    24. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    25. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    26. Transdev, ligne 70
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