Bouleurs
Bouleurs est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Bouleurs | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie | ||||
Maire Mandat |
Monique Bourdier 2020-2026 |
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Code postal | 77580 | ||||
Code commune | 77047 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bouleurois | ||||
Population municipale |
1 698 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 206 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 48° 52′ 58″ nord, 2° 54′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 65 m Max. 156 m |
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Superficie | 8,25 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Serris | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
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Liens | |||||
Site web | bouleurs.fr | ||||
Au dernier recensement de 2020, la commune comptait 1 698 habitants.
GĂ©ographie
Localisation
Bouleurs est Ă environ 10 km au sud de Meaux.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie de 65 mètres à 156 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 97 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
- le ru du Mesnil, 9,40 km[3], affluent du Grand Morin ;
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,58 km[5].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].
La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[8].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,6 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].
Urbanisme
Typologie
Bouleurs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 87 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,8% ), zones agricoles hétérogènes (14,1% ), forêts (10,8% ), zones urbanisées (8,3% ), prairies (5,1 %)[22].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23] - [24] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Logements
En 2009, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 563, alors qu'il Ă©tait de 476 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 92,0 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,5 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,6 %). La commune se distingue par l'absence de logements sociaux (logements HLM loués vides)([a 3]. C'est pour faire face à cette situation que le conseil municipal a décidé en 2013 de faire construire 37 logements HLM.
Voies de communication
Le sentier de grande randonnée GR1 traverse le territoire de la commune et se prolonge au nord à la limite de Boutigny et Quincy-Voisins et au sud vers Crécy-la-Chapelle.
Transports
La commune est desservie par la ligne d'autocars No 70 (Sancy – Saint-Germain-sur-Morin) du réseau de cars Transdev[26].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bolorria à la fin du VIIe siècle[27] ; Boloirre XIIe siècle[28] - [29] ; Bolorrium en 1133[30] - [29] ; Bolerium vers 1145[31] - [32] ; Bolorria vers 1170[33] - [32] ; Boleire vers 1180[34] - [32] ; Bulluere en 1182[35] - [29] - [32] ; Buleria en 1202[36] - [32] ; Bollerria en 1210[37] - [32] ; Boulouria en 1219[38] - [32] ; Bollorria en 1228[39] - [32] ; Boloria in Bria en 1228[40] - [32] ; Bolleria in Bria en 1230[41] - [32] ; Bouloure en 1231[42] - [29] ; Bolloire en 1235[43] - [32] ; Boulerre en 1274[44] - [29] ; Boloirria au XIIIe siècle[45] - [32] ; Boulairre en 1302[46] - [32] ; Boulourre en 1306[47] - [32] ; Boulleurria in Bria en 1353[48] - [32] ; Boulleure en 1363[49] - [32] ; Boullerre en 1376[50] - [32] ; Bolloire en 1393[51] - [32] ; Boullorre en 1409[51] - [32] ; Bolorre en 1410[51] - [32] ; Boullere en 1469[52] - [32] ; Bouleure en 1779[32].
Histoire
Bouleurs apparaît pour la première fois dans les textes au VIIe siècle sous l’appellation de Bolorria[53]. Mais son origine est plus ancienne puisqu’une voie romaine allant de Lyon à Boulogne-sur-Mer le traverse dès l’Antiquité et atteste la présence humaine à cette époque[54].
Plusieurs notaires et tabellions seigneuriaux y résident. La seigneurie de Bouleurs appartient pendant longtemps aux seigneurs de Quincy et Rohan de Montbazon, seigneurs de Coupvray. Et enfin vers 1775, passa au comte d’Eu dont le duc de Penthièvre était héritier à la révolution. La population augmente fortement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle mais diminue dans le courant du XIXe siècle à la suite d’une épidémie, qui entraîne la disparition de grandes familles et à la suite de l’amélioration des procédés de culture qui nécessitent moins de main-d’œuvre et provoque un exode rural. Bouleurs était réputé pour son Brie[54]. En 1794, Bouleurs avait sa société populaire. Une députation se serait d’ailleurs rendue à la convention le 1er avril 1794 pour protester contre Hébert et son "Père Duchesne":. En 1850, la commune compte 487 habitants[54]. La population a fortement augmenté à partir des années 1970 et de l’ouverture de l’autoroute A4 ; elle compte actuellement 1 400 habitants[54].
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].
En 2020, la commune comptait 1 698 habitants[Note 5], en augmentation de 14,65 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 603, représentant 1 630 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 430 euros[59].
Emploi
En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 128, occupant 833 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,1 % contre un taux de chômage de 6 %. Les 17 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3,6 % de retraités ou préretraités et 4,1 % pour les autres inactifs[60].
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 112 dont 11 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 19 dans la construction, 27 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 7 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 18 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 12 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[61].
En 2020, 25 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 20 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[62].
Agriculture
Bouleurs est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[63].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[64]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 36 ha en 1988 à 90 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bouleurs, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[63] - [Note 7] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 14 | 9 | 9 |
Travail (UTA) | 22 | 14 | 16 |
Surface agricole utilisée (ha) | 506 | 678 | 809 |
Cultures[65] | |||
Terres labourables (ha) | 418 | 632 | 727 |
Céréales (ha) | 271 | 368 | 473 |
dont blé tendre (ha) | 181 | s | 338 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 82 | 82 | 89 |
Tournesol (ha) | 17 | s | |
Colza et navette (ha) | s | 71 | 58 |
Élevage[63] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 8]) | 525 | 190 | 104 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Sainte Marie-Madeleine dont deux vitraux, situés derrière l'autel, sont monuments historiques.
On y trouve aussi un Chemin de croix gravé par Georges Visat[66], graveur du début duXXe siècle, qui malheureusement est dégradé malgré une mise sous cadre en verre[67].
- Ire station : Jésus est condamné à mort
- IIe station : Jésus est chargé de sa croix
- IIIe station : Jésus tombe sous sa croix pour la première fois
- Ve station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
- VIe station : VĂ©ronique essuie le visage de JĂ©sus
- VIIIe station : JĂ©sus rencontre les femmes de JĂ©rusalem
- IXe station : JĂ©sus tombe pour la 3e fois
- Xe station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
- XIe station : Jésus est cloué à la Croix
- XIIIe station : descente de croix et déploration
- XIVe station : mise au tombeau.
- Le lavoir de forme semi-circulaire.
Voir aussi
Bibliographie
- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Bouleurs », p. 351
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Bouleurs - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Insee
- Dossier relatif Ă la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
Autres sources
- « Bouleurs » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le 28 août 2021 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Mesnil (F6585000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vignot (F6585050 ) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 septembre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Orthodromie entre Bouleurs et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Bouleurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
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- « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
- Transdev, ligne 70
- Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, page 27, (ISBN 2402033592).
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- Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 175 - (ISBN 2600028838).
- Du Plessis, II, p. 25.
- Cartulaire de Tiron, II, p. 55.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 56.
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- Cartulaire de Fontaines, fol. 59 v°.
- Du Plessis, II, p. 88.
- Archives nationales, S 5186, fol. 27.
- RĂ´les des fiefs, 561.
- Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 115.
- Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 56 v°.
- Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 91.
- Cartulaire de Pont-aux-Dames, fol. 15 v°.
- Cartulaire chap. Meaux, t. II, p. 42.
- Cartulaire de Noëfort.
- Obit. prov. Sens, IV, p. 54.
- Cartulaire de Pont-aux-Dames, fol. 12 v°.
- Archives nationales, JJ 46, fol. 21 v°.
- Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 163.
- Archives nationales, KK 4.
- Archives nationales, X1c 32.
- Archives nationales, S 1368.
- Cartulaire de Fontaines, fol. 84.
- « Fiche signalétique de Bouleurs », sur Atome 77 (consulté le ).
- « L'historique », sur Bouleur, site officiel (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 31 août 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 31 août 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 31 août 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 31 août 2021.
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bouleurs », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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- « Georges Visat », Centre de la Gravure et de l’Image imprimée, (consulté le ).
- « Bouleurs église Sainte-Madeleine » (consulté le )
- « 77047 Bouleurs (Seine-et-Marne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).