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Beynes (Yvelines)

Beynes est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Beynes
Beynes (Yvelines)
L'hĂ´tel de ville.
Blason de Beynes
Blason
Beynes (Yvelines)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Yves Revel
2020-2026
Code postal 78650
Code commune 78062
DĂ©mographie
Gentilé Beynois
Population
municipale
7 585 hab. (2020 en augmentation de 0,24 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 409 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 52′ nord, 1° 52′ est
Altitude Min. 39 m
Max. 134 m
Superficie 18,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Beynes
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Plaisir
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Beynes
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Beynes
Liens
Site web beynes.fr

    GĂ©ographie

    Position de Beynes dans les Yvelines.

    Situation

    La commune s'Ă©tend dans la vallĂ©e de la Mauldre, Ă  25 km Ă  l'ouest de Versailles, Ă  une altitude de 90 m environ sur cinq km et, de part et d'autre, sur les plateaux limoneux de la plaine de Versailles jusqu'au ru de Gally Ă  l'est, et du Mantois Ă  l'ouest, Ă  une altitude variant de 100 Ă  120 m.

    À l'ouest, elle englobe la plus grande partie de la forêt domaniale de Beynes.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    À l'extrême sud de la commune passe l'aqueduc de l'Avre, en provenance de Saulx-Marchais, qui descend dans la vallée de la Mauldre par un siphon qui traverse la Mauldre sur un pont.

    RĂ©seau routier

    La commune est traversée par un axe majeur, la route départementale 191 qui relie Épône à Rambouillet et qui permet de transiter entre l'autoroute A13 au nord et les autoroutes A10 et A11 au sud. L'importante fréquentation automobile qui en résulte rend la rue principale de Beynes (rue de la République) assez embouteillée à certaines heures.
    La route départementale 119 (Hargeville - Chavenay) surtout utilisée dans sa partie à l'est de Beynes comme communication entre la vallée de la Mauldre et l'agglomération de Plaisir - Les Clayes utilise le même trajet en centre village.

    La route départementale 11 qui traverse les Yvelines d'est en ouest, passe, dans sa portion entre Neauphle-le-Vieux et Thoiry, sur la commune de Beynes au lieu-dit la Haute Pissotte.
    La route nationale 12 se trouve à environ six kilomètres au sud de Beynes.

    Desserte ferroviaire

    La ligne de Plaisir - Grignon à Épône - Mézières passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne. La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe au sud-est du territoire communal sur une courte distance.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 12, 78, B, M, Q et V de la société de transport Hourtoule et par les lignes 13, 21, 31, 41 et 51 de l'établissement Transdev de Houdan.

    Urbanisme

    Typologie

    Beynes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Beynes, une unitĂ© urbaine monocommunale[4] de 7 585 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 12,4 % 231
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 8,1 % 150
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 41,2 % 767
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 1,1 % 20
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 6,1 % 114
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,8 % 53
    ForĂŞts de feuillus 17,6 % 328
    Forêt et végétation arbustive en mutation 10,7 % 200
    Source : Corine Land Cover[9]

    Morphologie urbaine

    L'urbanisation, concentrée à l'origine dans la vallée autour du vieux bourg, s'est étendue d'abord vers le sud dans le quartier de l'Estandart, au débouché de la vallée du ru Maldroit, puis sur les coteaux à l'est avec les très grands lotissements pavillonnaires des Chênes et du Val des Quatre Pignons datant des années 1970.

    Quelques hameaux et écarts émaillent le territoire communal tels que Moque-Panier, au sud, sur la route de Villiers-Saint-Fréderic, la Maladrerie, au nord, sur la route de Mareil-sur-Mauldre, les Pissottes, à l'ouest, sur la route de Thoiry à Neauphle-le-Vieux ou la Couperie, au nord-ouest, sur la route de Marcq.

    À l'est, une grande partie du territoire communal est occupée par le camp militaire de Frileuse.

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 79,2 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 4,63 % d'espaces ouverts artificialisés et 16,16 % d'espaces construits artificialisés[10]

    Toponymie

    En 1844, Guérard avait proposé que Nirbanium IXe siècle correspondît à Beynes[11]. Cette erreur a été reprise par Cocheris trente ans plus tard[12]. Elle fut réfutée par Longnon en 1895[13] : aujourd’hui, que l’identité de Nirbanium serait quelque chose comme Nerbain ; aucune localité des environs de la Celle [Saint-Cloud] ne portant ce nom, il faut donc admettre que Nirbanium a changé de nom ou qu’il a été détruit.

    La mention la plus ancienne de Beynes est Bania au XIIe siècle[14], Baina en 1124[15], du gaulois *baw-ina, racine baw (boue)[16], Bena en 1351[17], Bayna, Beyna au XIIIe siècle[12].

    Histoire

    Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.

    La vallée de la Mauldre garde, à Beynes, des traces de station préhistorique[18].

    Le territoire de Beynes est rattaché à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés dès le VIIIe siècle.

    Au XIIe siècle, à partir de 1181, Beynes devient la seigneurie de la Maison de Montfort.

    • Au XIVe siècle, Robert VII d'Estouteville fait Ă©difier un château fort, Beynes participant Ă  la dĂ©fense de Paris contre les Anglais. (Robert Estouteteville fut Ă©galement prĂŞvot de la ville de Paris et contribua avec la noblesse de Normandie Ă  la libĂ©ration de Nancy assiĂ©gĂ©e par Charles le TĂ©mĂ©raire).
    • Jacques d'Estouteville, seigneur de Beynes et Blainville, baron de Saint AndrĂ© dans la Marche, prĂ©vost de Paris, conseiller et chambellan du Roi, mariĂ© avec Gilette de Coetivy, (fille d'Olivier de CoĂ«tivy, seigneur de Taillebourg et Marie de France, batarde de Valois, dame de Royan et Mornac, fille de Charles VII et Agnès Sorel, dame de BeautĂ©)[19].
    • Robert de Chartres dit « Lestandart », seigneur de Limey et de Beauchesne, Ă©pouse en 1382 Catherine d'Estouteville, fille de Colard d'Estouteville, seigneur de Beynes (dĂ©cĂ©dĂ© en 1416) et Jeanne de Mauquenchy, dame de Blainville[20].

    En 1536, la seigneurie de Beynes est donnée à Diane de Poitiers par le roi Henri II.

    • 1946 : crĂ©ation du camp militaire de Frileuse, Ă  l'emplacement d'une zone servant depuis 1937 de terrain de manĹ“uvres aux Ă©lèves de l'Ă©cole militaire de Saint-Cyr-l'École[21]. Il est ensuite la garnison du 5e RĂ©giment d'infanterie de ligne jusqu'en 1997 puis hĂ©berge le Groupement V/1 de Gendarmerie mobile et le centre d'instruction et d'entraĂ®nement du GIGN[22].
    • 1956 : mise en service du stockage de gaz souterrain[23].
    • : L'explosion d'un gazoduc Ă  deux kilomètres Ă  l'ouest du village provoque un gigantesque incendie. Le sinistre fut maĂ®trisĂ© en une heure grâce Ă  la fermeture des vannes, n'a pas fait de victimes, mais a causĂ© une grande frayeur dans le village. 35 000 mÂł de gaz ont brĂ»lĂ©[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1815 juillet 1815 Bazille Cretté
    août 1815 octobre 1830 Simon Gautier
    novembre 1830 août 1840 Parfait Jean Legrand Décédé en fonction
    août 1840 décembre 1855 Jacques Artus Démissionnaire
    janvier 1856 mai 1871 Alexandre Souhaité
    mai 1871 août 1885 Charles Alexandre Boulanger Décédé en fonction
    1885 1892 François Camus
    1892 1896 Francis Feron
    1896 mai 1900 François Barthélémy Kiffer
    mai 1900 mai 1919 François Joseph Camus
    mai 1919 1926 Ferdinand Thévenon Cultivateur
    juin 1926 1929 Louis Hubler Charron
    Décédé en fonction
    novembre 1929 mars 1930 Marie Gabriel Happillon DĂ©missionnaire
    mars 1930 1944 Jean Baptiste Aurousseau RĂ©publicain
    1944 1948 Lucien Lavenant Cultivateur
    1948 mars 1965 Georges Pernin
    mars 1965 1967 Raymond Cauvin
    novembre 1967 mars 1977 Roger Delamarre
    mars 1977 mars 1983 Francis Commenge
    mars 1983 janvier 1987[26] Jean-Michel Pacaud RPR DĂ©missionnaire
    février 1987[27] juin 1995 Roland Betremieux PS Élu à la suite d'un scrutin municipal partiel
    juin 1995 mai 2020 Alain Bricault[28] DVD Retraité
    9e vice-président de la CC Cœur d'Yvelines (2014 → 2020)
    mai 2020 En cours Yves Revel DVG Retraité
    9e vice-président de la CC Cœur d'Yvelines (2020 → )

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 7 585 habitants[Note 3], en augmentation de 0,24 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0761 0861 1651 1281 1211 1081 1161 0451 007
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    965884860804785756760769756
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7837778328227897837667451 817
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 3721 5715 5017 5937 4457 2007 5357 5017 678
    2015 2020 - - - - - - -
    7 5527 585-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 802 hommes pour 3 849 femmes, soit un taux de 50,31 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,6
    7,7
    75-89 ans
    7,4
    15,2
    60-74 ans
    16,4
    22,5
    45-59 ans
    22,4
    18,6
    30-44 ans
    20,0
    16,9
    15-29 ans
    15,0
    18,8
    0-14 ans
    18,1
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    La commune possède[35] :

    Sports

    • L'aĂ©rodrome de Beynes - Thiverval, situĂ© sur la route dĂ©partementale 119, entre Beynes et Plaisir abrite un aĂ©ro-club dĂ©diĂ© au vol Ă  voile. Les planeurs y dĂ©collent et y atterrissent du printemps Ă  l'automne, chaque jour de la semaine lorsque le temps le permet.
    • Le gymnase Philippe-Cousteau qui possède une salle omnisport, une salle de danse ainsi que d'arts martiaux.
    • Plusieurs courts de tennis en rĂ©sine rĂ©partis entre le vieux village et le Val des 4 Pignons.
    • Le stade de Mortemai composĂ© de 3 terrains de football, d'une piste d'athlĂ©tisme, et d'un boulodrome.

    Activités festives

    • Chaque annĂ©e depuis 2002, Beynes reçoit dans les douves de son château le festival Touches de jazz, qui rĂ©unit les plus grands artistes de jazz. Cet Ă©vènement a lieu gĂ©nĂ©ralement le week-end qui suit celui de la fĂŞte de la musique.
    • En 2017, des scènes des Tuche 3 sont tournĂ©es Ă  la gare de Beynes. La gare de Beynes reprĂ©sentait celle de Bouzolles, ville natale et fictive de la trilogie des Tuche.

    Économie

    • Stockage de gaz naturel souterrain exploitĂ© par GDF Suez : deux stockages en nappes aquifères, Beynes supĂ©rieur (Ă  - 430 m) et Beynes profond (Ă  - 730 m), mis en service respectivement en 1956 et 1975, permettent de stocker au total 1,2 milliard m3 de gaz naturel.
    • Traitement de dĂ©chets spĂ©ciaux : sociĂ©tĂ© Labo-Services (filiale de SITA, groupe Suez).
    • Sur la commune de Beynes se trouvaient les seuls puits de pĂ©trole exploitĂ©s des Yvelines. La plateforme pĂ©trolière de Beynes fut dĂ©mantelĂ©e en 2004.
    • La commune de Beynes accueille un camp militaire.

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Martin.
    L'Ă©glise Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin : datant du XIe siècle, cette Ă©glise comporte sept chapelles latĂ©rales de chaque cĂ´tĂ© de la nef. Diverses modifications ont Ă©tĂ© apportĂ©es au cours des siècles, ce qui explique que le chĹ“ur soit plus haut que la nef. Le clocher-tour, qui surmonte la chapelle sud est couvert d'un toit Ă  quatre pentes en ardoise.
    • Château de Beynes : une première mention est faite au XIe siècle et doit correspondre Ă  une motte fĂ©odale. Vers le XIIe siècle le château fort est dotĂ© d'une enceinte Ă  neuf tours. Au XVe siècle le château s'adapte aux nouvelles conditions de l'artillerie avec un couloir circulaire casematĂ©. L'Ă©difice est abandonnĂ© au XVIIIe siècle. Il est Ă  l'Ă©tat de ruines au dĂ©but du XXe siècle. RachetĂ© en 1967 par la municipalitĂ©, il a fait l'objet de fouilles entre 1995 et 1999, puis de travaux de confortation.
    • Centre culturel de La Barbacane Ă  vocation intercommunale, a Ă©tĂ© labellisĂ© scène conventionnĂ©e en 2005 et propose une programmation reconnue au plan dĂ©partemental, rĂ©gional et national .

    HĂ©raldique

    Armes de Beynes

    Les armes de Beynes se blasonnent ainsi :
    D'azur au chêne d'or, mantelé chargé à senestre de sable aux trois fasces d'or dentelées par le bas, et à dextre de gueules au lion d'argent.

    Ce blason combine les armes du duc de Brissac, Ă  gauche, et celles des seigneurs de Montfort-l'Amaury, Ă  droite. Au centre, le chĂŞne Ă©voque la forĂŞt de Beynes.

    Remarque : le blason se voyant de face, il semble que soit il faille l'inverser soit, plus probablement, permuter les expressions "dextre" et senestre". Jemablco.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Beynes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    10. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    11. GUERARD (B.), Polyptyque de l'Abbé Irminon/ ou Etat des terres, des revenus... (1844), t. 2 ; Breve de Villari, VII, §3, p. 60.
    12. COCHERIS (Hippolyte), Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    13. Auguste Longnon, Polyptyque de l'Abbaye de st-Germain-des-Prés, (1895), t. 1 &2, de Villari, VII, §3, p. 77
    14. BELOT (Victor R.), Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 238
    15. Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976
    16. GUIZARD (Claude), Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, Le Mantois (1974), p. 5.
    17. Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, 1920
    18. Aubert (Victor) : Beynes préhistorique, 1930.
    19. La Province du Maine, p. 394.
    20. Famille L’Estendart, Racines et Histoire.
    21. Association "Beynes histoire & patrimoine", juillet 2011.
    22. « Camp militaire de Frileuse », sur wikimapia.org (consulté le ).
    23. « Beynes ! Storengy », sur storengy.fr (consulté le ).
    24. « INCENDIE A LA STATION SOUTERRAINE DU GAZ DE FRANCE », sur lemonde.fr, (consulté le ).
    25. « Les maires de Beynes », sur Mémoires et Histoire de Beynes
    26. « Crise municipale à Beynes », Le Monde,‎ (lire en ligne)
      « Le maire de Beynes (Yvelines) Jean-Michel Pacaud (RPR), et dix de ses vingt-huit conseillers municipaux (8 RPR et 2 UDF) ont démissionné en bloc pour provoquer des élections partielles. »
    27. « Une élection municipale », Le Monde,‎ (lire en ligne)
    28. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beynes (78062) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    35. Site officiel de l'inspection académique des Yvelines.
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