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Beuvrigny

Beuvrigny est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 135 habitants[Note 1].

Beuvrigny
Beuvrigny
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Morgane Buisson
2020-2026
Code postal 50420
Code commune 50050
Démographie
Gentilé Beuvrignais
Population
municipale
135 hab. (2020 en augmentation de 3,05 % par rapport à 2014)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 05″ nord, 1° 00′ 16″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 216 m
Superficie 6,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Condé-sur-Vire
Législatives Première circonscription
Localisation
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Beuvrigny
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Beuvrigny
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Beuvrigny

    Géographie

    Limitrophe du département du Calvados, la commune est aux confins du Pays saint-lois et du Bocage virois. Son bourg est à km à l'est de Tessy-sur-Vire, à km au sud de Torigni-sur-Vire et à 23 km au nord-ouest de Vire[1].

    Beuvrigny est dans le bassin de la Vire, presque exclusivement par son affluent le Tison qui draine les eaux du territoire par ses propres affluents dont le ruisseau du Pont Vibert qui fait fonction de limite à l'ouest. Un petit appendice au sud du territoire verse ses eaux à un autre court affluent de la Vire, et une petite partie au nord alimente la rivière de Jacre, autre affluent du fleuve côtier, par le ruisseau du Moulin.

    Le point culminant (216 / 218 m) se situe en limite sud-est, en bordure de l'autoroute A84, près du lieu-dit la Hervière. Le point le plus bas (58 / 60 m) correspond à la sortie du Tison — un affluent de la Vire — du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 972 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Condé-sur-Vire_sapc », sur la commune de Condé-sur-Vire, mise en service en 1968[10] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 937,5 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 45 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Beuvrigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,1 %), terres arables (37,8 %) ; forêts (10,5 %) ; zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Breveineio et Bevrencii en 1159[24] et Bevregny en 1316.

    Le toponyme semble issu d'un anthroponyme, roman (Brévinus) selon René Lepelley et François de Beaurepaire[25] - [26], d'origine gauloise (Biberinius) selon Albert Dauzat[27], d'origine germanique (Berwin) selon Ernest Nègre[24].

    Le gentilé est Beuvrignais.

    Histoire

    À la Révolution, Pierre-Richard Boisramey, ardent révolutionnaire et adjoint au maire, se fit adjuger le presbytère de Beuvrigny contre une somme dérisoire, et fera effacer dans l'église les épitaphes « seigneur et patron » des tombes de La Gonnivière et des Saint-Quentin[28].

    En 1829, Beuvrigny (261 habitants en 1821) absorbe La Chapelle-Heuzebrocq (148 habitants)[29] - [30].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1811 Pierre Delaville
    1811 1829 J.-B. Clair Briquet
    1829 1829 Guillaume Godard
    1829 1837 Jacques Delaville
    1837 1839 Guillaume Aze
    1839 1844 J.-J. Delafontaine
    1844 1854 Antoine Corbel
    1854 1892 Thomas Delaville
    1892 1906 Pierre-Guillaume Letot
    1906 1919 Eugène Letot
    1919 1922 Alphonse Levavasseur
    1923 1931 J. Le Chartier de Sedouy
    1931 1940 Yves Jacquet de Heurtaumont (1905-1982)[31]
    1940 Maurice Maubant
    mars 1965 mars 1977 Yves Jacquet de Heurtaumont
    mars 1977 1980 C. Jacquet de Heurtaumont
    1980 juin 1995 Pierre Lefèvre (1921-2012)[32]
    juin 1995 mars 2001 Jacqueline Massier
    mars 2001[33] mai 2020 Patricia Auvray-Levillain[34] SE Secrétaire comptable
    mai 2020[35] En cours Morgane Buisson SE Coiffeuse
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Martine Lerebourg[28].

    Le conseil municipal est composé de onze membres[36] dont le maire et deux adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 135 habitants[Note 9], en augmentation de 3,05 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Beuvrigny a compté jusqu'à 384 habitants en 1851.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    218211258261354368358360384
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    368347344350349325321313294
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    273264267255251258267242236
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1961731551119395148130138
    2020 - - - - - - - -
    135--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de La Chapelle-Heuzebrocq avant 1829
    1793 1800 1806 1821
    114101128148
    (Sources : EHESS[30])

    Lieux et monuments

    Le clocher-mur de la chapelle Heuzebrocq.
    • Église Saint-Martin du XVIIe siècle avec tour en façade à toit en bâtière. L'église, qui était sous le patronage du seigneur du village, abrite une statue de saint Martin ou de saint Gerbold (XVe) classée au titre objet aux monuments historiques[40]. Sont également conservés une verrière (XXe), une épitaphe (XVIIe) de Jean de La Gonnivière, fondateur de la chapelle du Rosaire, une Vierge à l'Enfant[28] et un lutrin.
    • Chapelle Heuzebrocq (XVIe – XVIIe siècles), d'origine romane, c'est l'ancienne église paroissiale de la commune de La Chapelle-Heuzebrocq, dont des fermes et sablières datées de 1536 sont classées au titre des monuments historiques depuis le . Le reste de l'édifice est inscrit depuis le [41]. Abandonnée, elle fut restaurée de 1980 à 2004[28]. Une statue de saint Laurent (XVe), une cloche dite Marguerite (1714) et un bas-relief aux apôtres (XIVe – XVe siècles) sont classés au titre objet[42]. On y invoque saint Loup et saint Laurent.
    C'est Hugo Broc qui fit édifier en 1067 une chapelle qui prendra le nom de Heuzebrocq[28].
    • Château de Beuvrigny des XVe – XVIIIe siècles et pigeonnier circulaire. Possession un temps de la famille de La Gonnivière, en 1811, il est acheté par Achille Le Chartier de la Varignère (1785-1869), général d'Empire, qui participa à toutes les campagnes : Austerlitz, Eylau, Iéna, Espagne et Russie, et qui finira sa carrière comme commandant du département de la Manche. En , le château servira comme hôpital militaire[28].
    • Manoir de la Chapelle-Heuzebrocq des XVIe – XVIIe siècles.
    • Stèle du général d'empire Le Chartier de la Varignière.
    • Presbytère (XVIIe siècle).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 28.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 88.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Beuvrigny et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Beuvrigny et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 760.
    25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 67.
    26. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, , p. 70.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    28. Gautier 2014, p. 88.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Chapelle-Heuzebrocq », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    31. Yves Jacquet de Heurtaumont.
    32. Avis de décès de Pierre Lefèvre.
    33. « Patricia Auvray brigue un second Mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. Réélection 2014 : « Patricia Auvray réélue maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    35. « Municipales à Beuvrigny. Morgane Buisson succède à Patricia Auvray-Levillain », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Manche (50) - Beuvrigny », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « statue : Saint évêque, dit saint Martin ou saint Gerbold ».
    41. « Chapelle d'Heuzebroscq (ou Heuzebrocq) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Œuvres mobilières à Beuvrigny (chapelle Heuzebrocq).
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