Basilique de la Daurade
La basilique Notre-Dame la Daurade, dite aussi Sainte-Marie la Daurade, est une église toulousaine ayant titre de basilique mineure. Elle se situe le long des quais de la Garonne, près de la place et du port du même nom. Elle jouxte l'école des Beaux-Arts.
Basilique Notre-Dame la Daurade | ||||
La façade | ||||
Présentation | ||||
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Culte | Catholique romain | |||
DĂ©dicataire | Notre-Dame} | |||
Type | basilique religieuse | |||
Rattachement | Archevêché de Toulouse | |||
DĂ©but de la construction | 1764 | |||
Fin des travaux | 1883 | |||
Style dominant | néoclassique | |||
Protection | Classé MH (1963) | |||
Site web | Paroisses Cathédrale Toulouse | |||
GĂ©ographie | ||||
Pays | France | |||
RĂ©gion | Occitanie | |||
DĂ©partement | Haute-Garonne | |||
Ville | Toulouse | |||
Coordonnées | 43° 36′ 03″ nord, 1° 26′ 23″ est | |||
GĂ©olocalisation sur la carte : Toulouse
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Description
C'est une église apparemment sans clocher, à la façade classique, dont on peut mieux apprécier l'architecture de l'autre côté du fleuve : on aperçoit alors un petit clocher sous-dimensionné.
Elle a été totalement reconstruite à la fin du XVIIIe siècle sur le site de l'une des plus anciennes églises de Toulouse, qui fut probablement la chapelle des rois wisigoths et dont l'abside était couverte de mosaïques dorées paléochrétiennes (d'où le nom daurada, dorée). Siège d'une abbaye bénédictine dont le prieur était l'un des principaux personnages de la Toulouse médiévale, elle était bordée de moulins jusqu'à la fin du XIVe siècle et donnait sur le principal pont de Toulouse du XIIe au XVIIe siècle, le pont de la Daurade.
Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [1].
- Basilique de la Daurade en décembre 2008
- Partie latérale gauche, avec vue sur le chevet (septembre 2020)
- L'Ă©glise de la Daurade depuis la cour des beaux-arts (Toulouse) - Henri Rachou
Histoire
Son histoire commence au Ve siècle. Elle est bâtie sur les vestiges d'un temple romain dodécagonal, sans doute dédié à Apollon, et surmonté d'une coupole. Ce sont les empereurs romains qui confient ce temple aux chrétiens.
Le culte de la Vierge reçoit de nouvelles définitions dogmatiques à Éphèse, en 431. C'est peut-être l'une des raisons de la construction de l'église de la Daurade, dédiée à la Vierge Marie représentée sous la forme d'une vierge noire. En effet, connue aujourd'hui sous le nom de « basilique de la Daurade » à cause de ses mosaïques à fonds dorés, l'église est d'abord appelée « basilique Sainte-Marie de Toulouse ». Son nom provient d'une mosaïque en or qu'elle renfermait : Deaurata qui veut dire couverte d'or[2].
Elle est intégrée au IXe siècle à un monastère bénédictin. Au XIe siècle, l'église, restée dodécagonale, est prolongée par une nef romane. Elle est rattachée à l’abbaye de Moissac, elle-même dépendante de Cluny, en 1077, et le monastère est augmenté d’un cloître. La coupole est détruite en 1703, alors qu'elle menaçait de s'écrouler. Un dôme est alors posé en 1760, entamant un peu plus la solidité des murs. En 1761, mal entretenue, toute l'église romane doit être démolie. Un projet de reconstruction débuté en 1764 est arrêté afin de permettre la construction des quais de la Garonne par l'architecte Saget en contrebas, et sur lesquels l'implantation de l'église débordait.
Le nouveau projet était ambitieux. Il s'agissait de reproduire la basilique Saint-Pierre de Rome. Neuf ans plus tard, on modifia les plans, et on opéra une rotation et une translation de l'ensemble. Ainsi, le chœur de la basilique primitive, qui était bâtie sur les vestiges du temple romain, se situe aujourd'hui sous le transept. Les travaux furent interrompus par la Révolution. L'église fut consacrée en 1836, et érigée en basilique par le pape Pie IX en 1876, soit deux ans avant la basilique Saint-Sernin. Elle ne fut réellement terminée qu'en 1883.
Aujourd'hui, la Daurade abrite les restes du poète Pierre Goudouli, dont la statue orne le centre du jardin de la place Wilson.
La dévotion au culte de Notre-Dame La Daurade a fait l'objet d'une recherche universitaire[3].
Liste des prieurs de Sainte-Marie de la Daurade
- Aymar (…1214[4]…).
- Bernard de Montesquieu, moine de Moissac, ensuite abbé d'Arles (dioc. d'Elne[5]).
- Robert de Labastide, neveu de l'abbé de Moissac Bernard de Luzach[5].
- Adémar de Fumel, nommé par l'abbé de Moissac Raymond du Bruet[5].
- Guillaume Robert, nommé par l'abbé de Moissac Raymond du Bruet[5].
- Peire de Dalbs (1236-1240), par la suite abbé de Lézat.
- Arnau d'Aragon (…après 1240[5]…).
- Hugues de Murat (avant 1246), ensuite prieur de Saint-Flour[5].
- Arnau d'Aragon (…1246…), nommé par l'abbé de Lézat Peire de Dalbs[5].
- Bertrand Barrau (1246-1248), moine de LĂ©zat[6] - [7].
- Bertrand de Geniès (…1254), auparavant prieur de Rabastens, par la suite abbé de Figeac[8].
- Gaillard (…1264-8 août 1296), moine de Moissac, ensuite abbé du Mont Cassin, mort en 1301[9].
- Bernard de Acromonte (1296…), également chanoine d'Agen[10].
- Bertrand de la Tour (…1312…), en même temps prieur de Rabastens[11].
- Bonafous de Durfort (…1319[12]…).
- Bonald de Durfort (…1334[12]…).
- Raymond de Vayrac (…-1408), ensuite abbé de Moissac[13].
- Pierre de Rocossel (…-1420), ensuite abbé de Saint-Sauveur au diocèse de Maguelonne[13].
- Raymond d'Orens (1420-1431…), docteur en droit, nommé par l'abbé de Moissac Raymond[13].
- Aymeric de Senergues (…1452-1461…), nommé par l'abbé de Moissac Raymond du Bruet[14].
- Jean de Morlhon (…1498…), professeur de droit et maître en théologie[15].
- Aymeric de Senergues (…1503[15]…),.
- Jean de Narbonne (…1527-1532…), en même temps abbé de Moissac<re name=rauly105/>.
XXIe siècle
L'extérieur et l'intérieur de la basilique ainsi que le mobilier ont été nettoyés et restaurés après 26 mois de travaux (automne 2017 - décembre 2019[16]) sous la direction d'Axel Letellier, architecte du patrimoine[17].
Les travaux s'élèvent à 5,7 millions d'euros[18]. C'est la première restauration depuis sa construction[17].
L'inauguration a eu lieu le 8 décembre 2019, à l'occasion de la fête de l'Immaculée Conception, et en présence de Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse[16].
Le clocheton qui risquait de s'effondrer a été consolidé[17], ainsi, pour cette inauguration, les cloches ont retenti pour la première fois depuis 70 ans[18].
Tout le mobilier sera bientôt classé au titre objet des monuments historiques[19].
Depuis la restauration, la basilique est seulement ouverte le samedi après-midi pour les visites[20].
Vierge noire
Photos prises en 2014, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16]).
Autel de la Vierge noire. CĂ©ramique de Gaston Virebent La Vierge noire.
Une des particularités de la basilique est d'abriter une vierge noire. La statue présentée aujourd'hui est pourtant la deuxième copie d'une vierge brune, connue au Xe siècle. Le culte de la Vierge noire est particulièrement dédié aux femmes enceintes. L'original fut tout d'abord volé au XIVe siècle et reproduit à l'identique.
La Vierge de Montserrat, en Catalogne, est appelée la moreneta, la Brunette. On a coutume de dire qu'elle est devenue noire à cause de la fumée des cierges.
La ferveur des fidèles fut telle que les armées de chandelles transformèrent la couleur de la seconde vierge exposée. Ainsi, dès le XVIe siècle, Notre-Dame la Brune fut connue sous le nom de Notre-Dame La Noire. Cette statue a, dit-on, de nombreux miracles à son actif. En particulier, elle aurait sauvé le quartier Saint-Michel d'un incendie en 1672.
La statue fut brûlée à la Révolution, en 1799, sur la place du Capitole. En 1807, une nouvelle statue fut sculptée d'après les souvenirs que l'on avait de l'ancienne vierge brûlée.
La statue actuelle mesure environ deux mètres de hauteur. Afin de renouveler sa garde robe usée, les paroissiens de la basilique ont lancé un appel aux plus grandes maisons de haute couture françaises[21].
La couronne de la Vierge et celle de l'Enfant sont classés[22].
Les décors en céramique sont de Gaston Virebent.
Les orgues
La basilique possède un orgue de tribune classé au titre des monuments historiques[23] et un orgue de chœur.
Photos prises en 2014, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16]).
- L'orgue de tribune.
- L'orgue de chœur.
Les cloches
La basilique de la Daurade dispose d’un modeste clocheton circulaire situé sur son toit, entre le transept sud (celui de droite) et le chœur. En 2017, l’église possédait cinq cloches, les deux plus grosses équipées pour sonner à la volée, les trois autres fixes (Si 3, Ré # 4, Fa 4, Fa # 4, Sol # 4). Quatre cloches fondues en 1845 par Jean-Louis Louison, fondeur à Toulouse, et une en 1816 par le fondeur Châtelet.
La restauration de 2018, en plus du réaccord des cloches, a consisté en l’ajout de deux nouvelles cloches (Do # 4 et La # 4) ainsi que le remplacement de la cloche Fa 4 qu’il n’était pas possible de réaccorder.
La nouvelle sonnerie
- Cloche 1 : Si 3 - 260 kg
- Cloche 2 : « Maria Dauratae » - Do # 4 - 225 kg, fondue en 2018 par Paccard d’Annecy
- Cloche 3 : RĂ© # 4 - 125 kg
- Cloche 4 : « Peire Garona » - Fa 4 - 115 kg, fondue en 2018 par Paccard d’Annecy
- Cloche 5 : Fa 4 # - 70 kg
- Cloche 6 : Sol # 4 - 60 kg
- Cloche 7 : « Benoît » - La # 4 - 52 kg, fondue en 2018 par Paccard d’Annecy
Nom des trois nouvelles cloches
« Maria Dauratæ » correspond à la dédicace de l'église
« Peire Garona » (Pierre Goudouli) poète toulousain (1580-1649) dont les cendres sont conservées dans la basilique
« Benoît » du nom de l’inspirateur de la règle des moines bâtisseurs de l'église actuelle
Fonte des nouvelles cloches
Les 15 et 16 septembre 2018, les nouvelles cloches ont été fondues en public, quai de la Daurade (à quelques dizaines de mètres de basilique de la Daurade), à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. La coulée des trois cloches eu lieu le samedi 15 à 22 h et leur démoulage le lendemain, dimanche 16 à 10 h. Les cloches partirent ensuite à la fonderie Paccard d’Annecy pour être polies et accordées avant de revenir à Toulouse. Leur baptême eu lieu le dimanche 7 avril 2019 à la messe de 11 heures.
L’ordre de coulée des cloches a débuté par la plus petite jusqu’à la plus grosse. Pendant la coulée de la cloche moyenne, sa chape (partie externe du moule) a présenté une fuite à la base laissant échapper 30 kg de bronze en fusion. La fuite fut colmatée en urgence et la cloche pu finalement être coulée avec succès. En revanche, ce fut au détriment la grosse cloche pour laquelle la quantité de métal nécessaire a manqué. Bien que tout le métal du four ait été coulé, il en a manqué pour la partie supérieure de la cloche (cerveau et anses). Elle fut donc entièrement refaite par la suite (nouveau moule, nouvelle coulée), à la fonderie Paccard d’Annecy (Sévrier). D’une certaine façon, on peut dire que Peire Garona a finalement pu être coulée mais grâce au sacrifice de sa grande sœur, Maria Daurautæ.
Un objectif de la restauration
Parmi les différents objectifs de la restauration, l’un était que les notes des cloches permettent de jouer le début de la chanson « Toulouse » (initialement nommée « O Toulouse ») de Claude Nougaro, sortie en 1967. La chanson est passée à la postérité, devenant emblématique de la ville, jusqu'à être considérée comme un hymne toulousain.
Pour ce thème musical, Claude Nougaro s’était inspiré de la mélodie du carillon de l’église des Minimes (située dans le secteur 3 de Toulouse, au nord de la ville). Enfant, le petit Claude habitait à proximité de cette église qu'il longeait chaque jour pour se rendre à l'école. Cette mélodie du carillon de l’église des Minimes est vraisemblablement une hymne mariale populaire du XIXe siècle dont on a aujourd’hui perdu le souvenir. Elle avait été programmée au mécanisme de l'horloge (du fabricant Lussault) installée lors de la réfection du clocher de l’église des Minimes 1892.
L’idée était donc que l’on entende à nouveau, dans un autre clocher, cette ancienne mélodie de carillon.
Éléments répertoriés
Plusieurs éléments sont répertoriés au titre des monuments historiques dans la base Palissy (voir les notices liées[1]).
Le chœur
- Les deux anges en bois doré, de part et d'autre de l'autel ; œuvre du sculpteur toulousain Jean-Louis Ajon en 1812[24].
- Plusieurs calices et manuscrit évangéliaire, ainsi que des ciboires et autres objets de culte.
- Une paire de tables d'applique de style Louis XIV de part et d'autre du maître-autel
Photos prises en 2014, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16]).
Les chapelles
Du côté droit de la nef
- Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale entre les chapelles du Sacré-Cœur et de l'ange gardien[25].
- Des tableaux : Le Christ en croix entre deux larrons ; Le pressoir mystique ; Le Christ en croix Les couronnes et sceptres de la Vierge noir et de l'Enfant.
- Monument aux morts de la guerre 1914-1918.
Galerie
Photos prises en 2014 et en 2017, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16])
- Chapelle des anges. Au-dessus, les anges soulèvent la croix à la gloire du ciel. L'autel et le tabernacle sont en marbre. Sur la gauche, une statue de sainte Jeanne d'Arc, sur la droite, une statue de sainte Germaine de Pibrac, avec devant elle, un tableau de Notre-Dame de Guadalupe
- La chapelle des anges adorateurs - CĂ©ramique de Gaston Virebent. Les anges sont en adoration devant l'imitation du tabernacle.
- Le baptistère. Sur le vitrail est représentée la crucifixion de Jésus avec en arrière-plan, Dieu le Père soutenant la croix
- Les fonts baptismaux.
- Une statue d'un piétà . En arrière-plan, le vitrail représente le Christ Roi avec devant lui, la croix tenu par deux anges
L'intérieur
Photo prise en 2009, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16]).
- La chaire
Les tableaux du chœur : scènes de la vie de la Vierge
Entre 1810 et 1820, le peintre Joseph Roques peignit sept tableaux formant un cycle de la vie de la Vierge, de l'Annonciation à son Assomption en passant par la Nativité.
Le chemin de croix
Photos prises en juillet 2017, avant la restauration (automne 2017 - décembre 2019[16]).
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est condamné à mort »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est chargé de sa croix »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus tombe pour la première fois »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus rencontre sa Sainte mère »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus reçoit l'aide du Cynéréen »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus imprime sa face sur un linge »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus tombe pour la seconde fois »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus console les filles d'Israël »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus tombe pour la troisième fois »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est dépouillé de ses vêtements »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est attaché à la croix »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus meurt sur la croix »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est remis à sa Sainte mère »
- Histoire de la crucifixion du Christ, « Jésus est mis dans le sépulcre »
Jeux floraux
Tous les 3 mai, dans la matinée, a lieu en la basilique une messe au cours de laquelle sont bénis les trophées (fleurs en or et en argent) de l'Académie des Jeux floraux. Ces trophées sont déposés à l’église suivant une ancienne et religieuse coutume. Ils sont destinés aux lauréats de l'Académie des Jeux floraux. Ces fleurs sont ensuite apportées solennellement à la séance de l'académie pour y être attribués.
Autrefois, elles étaient ramenées en procession depuis l’église par trois capitouls-bailes qui allaient les chercher avec trois commissaires de l’Académie, auxquels ils cédaient ensuite le pas, suivis des trompettes et des hautbois de la ville. De nos jours, une délégation de mainteneurs se charge de les amener au Capitole, dans la Salle des Illustres pour la remise des prix.
Les moulins de la Daurade
Le prieur de la Daurade exerçait une seigneurie sur une partie du cours de la Garonne dans Toulouse. C'est à ce titre qu'il percevait des droits, au moins à partir de la fin du XIIe siècle, sur les Moulins du Bazacle et sur ceux de la Daurade. Ceux-ci, très actifs tout au long du XIIIe siècle, furent finalement victimes en 1356 de l'élévation de la chaussée du Bazacle qui les empêcha de fonctionner et ruina leurs propriétaires[26].
Notes et références
- Notice no PA00094519, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Office de tourisme de Toulouse
- Bénédicte Rigou-Chemin, « Les formes d’attachement au culte de Notre-Dame La Daurade à Toulouse : entre dévotion, patrimoine et tradition », Patrimoines du Sud, no 17,‎ (ISSN 2494-2782, DOI 10.4000/pds.11876, lire en ligne, consulté le )
- Charles Dumas de Rauly, « Prieuré de la Daurade au XIIIe siècle d'après des documents conservés à Moissac », Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France,‎ 1883-1885, p.96.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 99.
- Elie Berger, Les registres d'Innocent IV, n. 4112
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 98.
- Elie Berger, Les registres d'Innocent IV, n. 8058 et 8061.
- Jean Guiraud, Les registres d'Urbain IV, n. 445 ; Georges Digard, Les registres de Boniface VIII, n. 915 et n. 1264.
- Georges Digard, Les registres de Boniface VIII, n. 1528.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 102.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 103.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 104.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 101,105.
- Dumas de Rauly 1883-1885, p. 105.
- « EN IMAGES. Toulouse : la basilique de la Daurade sublimée après deux ans de travaux », sur actu.fr (consulté le )
- « [VIDEO] Toulouse. Axel Letellier : « On a travaillé sous scaphandre comme des Martiens » pour la restauration de la basilique de la Daurade », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « Toulouse : la basilique Notre-Dame de la Daurade inaugurée après deux ans de travaux », sur France 3 Occitanie (consulté le )
- « Toulouse. Tout le mobilier de la Vierge noire sera classé aux monuments historiques », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « BASILIQUE NOTRE-DAME DE LA DAURADE | TOULOUSE | Site et monument historiques », sur Toulouse Tourisme, (consulté le )
- Directmatin plus du 25 septembre 2008
- Base Palissy PM31000850 & PM31000852
- Base Palissy PM31001454 et PM31000995
- Notice no PM31001425, base Palissy, ministère français de la Culture
- Notice no IM31100043, base Palissy, ministère français de la Culture
- Sicard, Les Moulins de Toulouse au Moyen Ă‚ge, Armand Colin 1953.
Voir aussi
Bibliographie
- [Dulaura] Dom Étienne Dulaura ou Du Laura (1639-1706), Manuscrit Latin 12680, folios 171-296
- [Chabanel 1621] Jean de Chabanel, De l'antiquité de l'église Nostre Dame, dite de la Daurade à Tolose, Toulouse, Raymond Colomiez imprimeur, , 124 p. (lire en ligne)
- [Chabanel 1625] Jean de Chabanel, De l'estat et police de l'Ă©glise de Nostre-Dame, dite de la Daurade, Toulouse, Jean Boude, , 185 p.
- [Du Mège 1834] Alexandre Du Mège, « Le cloître de la Daurade », Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, t. 2,‎ 1834-1835, p. 241-251 (lire en ligne)
- [Dumas de Rauly 1883] Dumas de Rauly, « Prieuré de la Daurade au XIIIe siècle d'après des documents conservés à Moissac », Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France,‎ 27 novembre au 25 mars 1883, p. 4 (lire en ligne)
- [Rivières 1885] Baron de Rivières, « Cloches de la Daurade en 1754 », Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France,‎ 24 mars au 21 juillet 1885, p. 44 (lire en ligne)
- [Malafosse 1892] J. de Malafosse, « Nef de l'ancienne église de la Daurade », Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France,‎ , p. 29 (lire en ligne)
- [Degert 1904] Abbé Degert, « Leds mosaïques de l'ancienne Daurade, à Tolose », Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France,‎ , p. 197-215 (lire en ligne)
- [Degert 1905] Abbé Degert, « Démolitions et reconstructions à la Daurade au dix-septième siècle », Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France,‎ 31 janvier au 18 juillet 1905, p. 296-298 (lire en ligne), Lavis : Le pont de Toulouse en 1781. Construction du quai de la Daurade
- [Chalande 1923] Jules Chalande, « Histoire des rues de Toulouse : 279- L'église de la Daurade », Mémoires de l'Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, 12e série, t. 1,‎ , p. 287-293 (lire en ligne)
- [Rey 1929] Raymond Rey, « Notre-Dame de la Daurade », dans Congrès archéologique de France. 92e session. Toulouse. 1929, Paris, Société Française d'Archéologie, (lire en ligne), p. 105-108
- [Durliat 1978] Marcel Durliat, « Notre-Dame la Daurade », dans Haut-Languedoc roman, La Pierre-Qui-Vire, Éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 49), , p. 139-141, 175-187, planches 62 à 91
- [Caille 2007] Jacqueline Caille, Sainte-Marie « La Daurade » à Toulouse : Du sanctuaire paléochrétien au grand prieuré clunisien médiéval, Paris, Les éditions du CTHS, coll. « Archéologie et histoire de l'art », , 353 p. (ISBN 978-2-7355-0536-4), chap. 18
Articles connexes
Liens externes
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Site de la paroisse Notre-Dame la Daurade
- La Basilique Notre-Dame-de-la-Daurade et l'orgue, Toulouse, sur musiqueorguequebec.ca
- Notre-Dame la Daurade, le sanctuaire des femmes enceintes, sur aleteia.org
- Église Notre-Dame-de-la-Daurade (Toulouse, 1883), sur structurae.net