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Bascons

Bascons est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Bascons
Bascons
L'Ă©glise Saint-Amand.
Blason de Bascons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays grenadois
Maire
Mandat
Nicolas Raulin
2020-2026
Code postal 40090
Code commune 40025
DĂ©mographie
Gentilé Basconnais, Basconnaises
Population
municipale
843 hab. (2020 en diminution de 4,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 49â€Č 21″ nord, 0° 25â€Č 03″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 107 m
Superficie 18,70 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Adour Armagnac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Bascons
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Bascons
Liens
Site web www.bascon.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Mont-de-Marsan située dans le pays de Marsan au sud est de Mont-de-Marsan

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Artassenx, Bretagne-de-Marsan, Grenade-sur-l'Adour, Laglorieuse, Maurrin, Mazerolles et Saint-Maurice-sur-Adour.

    Hydrographie

    Situé dans le bassin versant de l'Adour, le territoire de la commune est traversé[2] par le ruisseau de Saint-Jean, un affluent droit de l'Adour, et par le ruisseau des Marians.

    Patrimoine environnemental

    La commune a aménagé un site d'observation de la faune (colverts, hérons, grÚbes, aigrettes, milans noirs) et la flore (arborescente, arbustive et herbacée) de 50 ha, Avifaune. Son lac collinaire, alimenté par le ruisseau des Longs (ou ruisseau de Saint-Jean), est ceinturé d'une végétation fournie et protégée[3].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 019 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Grenade-sur-Ad », sur la commune de Grenade-sur-l'Adour, mise en service en 1990[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 983,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  10 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Bascons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (60,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (60,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,5 %), forĂȘts (20 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (15,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,2 %), zones urbanisĂ©es (2,8 %), eaux continentales[Note 7] (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bascons est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Bascons est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bascons.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 37,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 393 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 134 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 34 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].

    Histoire

    Les Vascons s'installent en Aquitaine au VIe siĂšcle. C'est Ă  eux que le village de Bascons doit vraisemblablement son nom[30]. Selon la lĂ©gende, saint Amand, Ă©vangĂ©lisateur mĂ©rovingien, rĂ©alise vers 670 des miracles, ce qui lui vaut d'ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ© dans une chapelle bĂątie prĂšs d'un puits qui attire des pĂšlerins venus pour ses eaux salvatrices. Durant le Moyen Âge, Bascons est le siĂšge de la cour dels Sers, cour de justice de la vicomtĂ© de Marsan et la rĂ©putation du chĂąteau fort se renforce. La guerre de Cent Ans et les guerres de Religion[31] mettent Ă  mal la petite citĂ© qui va dĂšs lors perdre de son importance[3].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ© : au 1er d’azur Ă  trois seaux d’argent, au 2e d’or Ă  deux vaches de gueules, accornĂ©es, onglĂ©es et clarinĂ©es d’azur, l’une au-dessus de l’autre, au 3e d’or au lion de gueules, au 4e de gueules Ă  deux clefs affrontĂ©es d’or ; sur le tout, d’azur Ă  la fleur de lis d’or[32] - [33].
    Commentaires : Devise : « bielh mes tendes hardit » (« ancien mais toujours audacieux »).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2006 Jean-Robert Lauron Chef technicien des services vétérinaires
    mai 2006 2014 Claude Lespes Retraité
    2014 2020 Jean-Luc Sanchez DVG Technicien telécoms et réseaux
    2020 En cours Nicolas Raulin

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[35]. En 2020, la commune comptait 843 habitants[Note 8], en diminution de 4,64 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6421 0241 0671 1501 1501 1101 0331 0621 032
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0801 0601 034918945871816812800
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    782760712617635582578537563
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    594620608673823867941901860
    2020 - - - - - - - -
    843--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jumelages

    Drapeau de la France Bartenheim (France), en souvenir des civils alsaciens qui ont trouvé refuge dans le village landais au début de la Seconde Guerre mondiale.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Amand de Bascons du XIIIe siĂšcle et reconstruite en 1626, inscrite Ă  l'inventaire des monuments historiques le 23 septembre 1970, dotĂ©e d'un clocher-pignon triangulaire Ă  arcades et d'une tour de guet, vestige de l'ancien chĂąteau, comprenant Ă©chauguettes, meurtriĂšres et crĂ©neaux. Elle renferme des statues de bois dorĂ© et polychrome, trois retables anciens, une chaire de style Louis XIII[3].
    • Les Ɠuvres du sculpteur Marcel Canguilhem (1895-1949), dit « Cel le Gaucher » en raison de son bras droit perdu au combat pendant la PremiĂšre Guerre mondiale
    • La chapelle, la source et le puits miraculeux de Saint-Amand, le saint patron de la commune. L'eau dite miraculeuse du puits permettait de soigner la pellagre qui sĂ©vissait jadis en Gascogne. La chapelle Saint-Amand est Ă©rigĂ©e sur le site du puits en 1946. Elle est surmontĂ©e d'un clocher-mur dotĂ© de trois cloches[38].
    • Le fronton, Ă©rigĂ© entre 1939 et 1945, connaĂźt son heure de gloire avec la venue du pelotari Chiquito de Cambo. RĂ©novĂ© en 1994 (sol et mur), ses dimensions ont permis son homologation par la FĂ©dĂ©ration française de pelote basque[38].

    Patrimoine environnemental

    Dans son palmarÚs 2012, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[39].

    Personnalités liées à la commune

    • G. Lataste (1849-1923) « le mĂ©decin des pauvres », maire de la commune de 1884 Ă  1903 et de 1904-1908 (stĂšle commĂ©morative devant la mairie du village).

    Vie pratique

    Course landaise

    La tradition tauromachique est ancienne et perdure dans la commune. En tĂ©moignent au bourg les arĂšnes Jean-de-Lahourtique, construites en 1935 et particuliĂšrement typiques, et celles du quartier de Bostens, oĂč se dresse la chapelle mĂ©diĂ©val restaurĂ©e Notre-Dame-de-la-Course-Landaise, et le musĂ©e de la course landaise, placĂ© sous l'Ă©gide de la FĂ©dĂ©ration française de la course landaise. Chaque annĂ©e, pour l'Ascension, des pratiquants de la course landaise et des sympathisants se rĂ©unissent Ă  Bascons pour une messe commĂ©morative et une course landaise.

    Galerie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. SANDRE, « Cours d'eau de la commune de Bascons » (consulté le ).
    3. Bascons, Nature et traditions des Landes
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Grenade-sur-Ad - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Bascons et Grenade-sur-l'Adour », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Grenade-sur-Ad - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Bascons et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bascons », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    30. De Vascons dérivent également les noms Gascon et Basque
    31. Voir : Guerres de Religion dans les Landes
    32. Site de la mairie
    33. de France
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Pays Grenadois, plaquette éditée par l'office de tourisme du pays Grenadois, consultée en décembre 2011
    39. Site des Villes et Villages fleuris, consulté le 21 février 2013.
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