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BĂ©nouville (Calvados)

BĂ©nouville est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Calvados en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 2 039 habitants[Note 1] (les BĂ©nouvillais).

BĂ©nouville
BĂ©nouville (Calvados)
Le chĂąteau de BĂ©nouville.
Blason de BĂ©nouville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Clémentine Le Marrec
2020-2026
Code postal 14970
Code commune 14060
DĂ©mographie
Gentilé Bénouvillais
Population
municipale
2 039 hab. (2020 en diminution de 2,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 386 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 14â€Č 30″ nord, 0° 16â€Č 43″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 50 m
Superficie 5,28 km2
Unité urbaine Blainville-sur-Orne
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ouistreham
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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BĂ©nouville
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BĂ©nouville
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BĂ©nouville
Liens
Site web www.mairie-benouville.fr

    GĂ©ographie

    BĂ©nouville se trouve dans le Calvados entre Ouistreham et Caen le long du canal de Caen Ă  la mer.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 674 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 715,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et Ă  14 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,9 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    BĂ©nouville est une commune urbaine[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Blainville-sur-Orne, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[19] et 7 850 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de l'Orne, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[24]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones urbanisĂ©es (28,2 %), prairies (6,8 %), eaux continentales[Note 9] (6,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    EntrĂ©e de la ville sur la rive est du canal de Caen Ă  la mer, Ă  l’approche de Pegasus Bridge.

    Le nom du village est mentionné en 1066 sous la forme latinisée Burnolfivilla[29].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé de l'anthroponyme vieux danois Biornulf, vieux norrois Biǫrnulfr[30] ou anglo-saxon Beornwulf. Il se perpétue dans le nom de famille normand Burnouf (surtout Cotentin) et sans doute Burnoult (Calvados), patronyme disparu.

    Homographie avec Bénouville (Seine-Maritime, Bernovilla 1166 - 1173) basé sur le nom de personne d'origine germanique occidentale Berno et avec Saint-Pierre-Bénouville (Seine-Maritime, Bernoldivillam XIIe siÚcle) qui contient un autre anthroponyme, Bernold, d'origine germanique également[31].

    Histoire

    Un village de pĂȘcheurs est Ă©tabli sur les bords de l'Orne Ă  l'Ăąge du bronze[32].

    À l'Ă©poque gallo-romaine, une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux traverse l'actuel commune et un bac est Ă©tabli sur le fleuve. Ce bac perdure jusqu'au milieu du XIXe siĂšcle. Lors de la construction du canal de Caen Ă  la mer, ouvert Ă  la navigation en 1857, l'Orne est redressĂ©e entre Ranville et le corps de garde de Sallenelles ; l'ancien lit du fleuve est en partie repris par le canal entre pont de BĂ©nouville (actuel Pegasus Bridge) et le dĂ©versoir du Maresquier[33] - [34] - [Note 10]. De ce fait, l'ancien bac sur l'Orne se trouvait Ă  proximitĂ© de l'actuel pont de BĂ©nouville[35].

    La restauration et l'embellissement du chùteau de Bénouville sont commandés à l'architecte Claude-Nicolas Ledoux en 1769 par François-Hyppolite Sanguin, marquis de Livry, qui hérite du domaine à la mort de son beau-pÚre, Antoine Gillain, marquis de Bénouville, en 1768. Les travaux sont achevés en 1785.

    À partir de 1892, la commune est desservie par la premiĂšre ligne des chemins de fer du Calvados reliant la gare de Dives - Cabourg et la gare de Luc-sur-Mer. L'annĂ©e suivante, une ligne permet de relier la gare de BĂ©nouville Ă  la gare de Caen-Saint-Pierre. Il existait Ă©galement un arrĂȘt au chĂąteau de BĂ©nouville[36]. La ligne de BĂ©nouville Ă  Dives est fermĂ©e en 1932 et celle de Caen Ă  Luc par BĂ©nouville aprĂšs le dĂ©barquement en 1944[37].

    L'opération Coup-de-main de juin 1944, consistait en la prise de possession des ponts, de Bénouville (Euston 1, appelé plus tard Pegasus Bridge) et de Ranville (Euston 2, appelé plus tard Horsa Bridge), dans le cadre de l'opération Tonga, menée par la 6e division parachutiste britannique. Sous les ordres du lieutenant-colonel Richard Geoffrey Pine-Coffin du 7e bataillon d'infanterie aéroporté et du général de brigade Nigel Poett de la 5e brigade aéroportée britannique, le major John Howard atterrit avec ses trois planeurs à 0 h 20 (mais 23 h 20 heure anglaise, ce qui explique que Bénouville ait une place du 5 juin 1944 et non une place du 6 juin 1944). Le major Howard dirige 180 hommes avec lesquels il prend le Pegasus Bridge. La compagnie du major avec le 7e bataillon tinrent les deux ponts malgré les contre-attaques allemandes et les nombreuses pertes. Le Café Gondrée, qui existe toujours, fut la premiÚre maison libérée de l'occupation allemande par les Alliés lors de la bataille de Normandie. ThérÚse et Georges Gondrée ont eu un rÎle actif dans la réussite de cette opération[38]. Leur fille Françoise est la fondatrice avec le général Gale, président de l'association pour la sauvegarde du site-musée de Pegasus Bridge et batterie de Merville.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Bénouville appartient à l'arrondissement de Caen et au canton d'Ouistreham depuis sa création en 1982. Avant cette date, la commune faisait partie du canton de Douvres-la-Délivrande.

    Pour l’élection des dĂ©putĂ©s, elle est rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription du Calvados, reprĂ©sentĂ©e par Christophe Blanchet (LREM) depuis 2017.

    Intercommunalité

    Depuis 2003, la commune appartient à la communauté urbaine Caen la Mer.

    Liste des maires

    L'hĂŽtel de ville.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Léa Vion[39] Directrice de maternité, résistante
    Les données manquantes sont à compléter.
    Achille Demeyer Cultivateur retraité
    [40] [41]
    (démission)
    Philippe Dieu[42] Directeur commercial
    Guy Baillehache Maire par intérim
    Alain Nivault NĂ©gociant carrelage
    [43] Guy Baillehache Cadre bancaire, chargé de formation professionnelle
    [44] Alain Lepareur PS Ingénieur commercial
    Salvatore Bellomo[45] Cadre bancaire retraité
    [46] En cours Clémentine Le Marrec DVG Fonctionnaire territoriale
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[48].

    En 2020, la commune comptait 2 039 habitants[Note 11], en diminution de 2,86 % par rapport Ă  2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    246280425398351400390345339
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    354340344357322356298296276
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    287292297340342571589763812
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7547398278281 2581 7411 9241 9311 984
    2015 2020 - - - - - - -
    2 0992 039-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame, construite du XIIe siĂšcle au XVIe siĂšcle, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 4 octobre 1932[51].
    • ChĂąteau de BĂ©nouville conçu par l'architecte Claude Nicolas Ledoux entre 1769 et 1780 pour le marquis Sanguin de Livry, gendre du marquis Guillain de BĂ©nouville. On dit que Ledoux ne serait venu Ă  BĂ©nouville qu'une seule fois. Il demanda Ă  Angibeau puis Devilliers de Maisonrouge de s'occuper du chantier. Le chĂąteau appartient depuis 1927 au conseil gĂ©nĂ©ral du Calvados et abrita une maternitĂ© puis, la chambre rĂ©gionale des comptes y siĂšge. Le chĂąteau, classĂ© monument historique[52], est ouvert une partie de l'annĂ©e aux visiteurs et organise des expositions.
    • Le cafĂ© GondrĂ©e, inscrit au titre des Monuments historiques[53].
    • Pegasus Bridge, site du premier contact au sol des troupes alliĂ©es lors de l'opĂ©ration Overlord. Le pont a Ă©tĂ© reconstruit en 1994 fidĂšle Ă  sa forme initiale, mais lĂ©gĂšrement plus grand. L'ancien pont est conservĂ© au musĂ©e, Ă  quelques dizaines de mĂštres du nouveau dans un site naturel classĂ©[54].
    • Signal, monument situĂ© au bord du canal de Caen Ă  la mer et de la RD 514. Il est financĂ© par l'argent tirĂ© de la vente d'Ă©paves du dĂ©barquement. Il est inaugurĂ© le . Il fait partie d'une sĂ©rie de monuments semblables, portant le mĂȘme titre, situĂ©s dans les communes oĂč le dĂ©barquement de 1944 eut lieu.
    • Buste du major John Howard, rĂ©alisĂ©e par Vivien Mallock (en), installĂ© au bord du canal de Caen Ă  la mer et de la RD 514.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de BĂ©nouville

    Les armes de la commune de BĂ©nouville se blasonnent ainsi :
    De sable au chevron d'or accompagnĂ©, en chef Ă  dextre, d'un croissant d'argent et, Ă  senestre, d'une Ă©toile de six rais aussi d'or et, en pointe, d'un lion du mĂȘme lampassĂ© de gueules [55].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. L'ancien cours du fleuve se retrouve dans les limites administratives entre les communes de Ranville, BĂ©nouville, Amfreville et Ouistreham.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bénouville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bénouville et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Blainville-sur-Orne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    24. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    25. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    29. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux du Calvados attestés entre 911 et 1066 » in Annales de Normandie, vol. 2, 1952, p. 219.(lire en ligne)
    30. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune de Normandie, Charles Corlet éditions / Presses Universitaires de Caen 1994, p. 65a.
    31. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150), p. 41 et 142.
    32. Marcigny Cyril, Carpentier Vincent, GhesquiĂšre Emmanuel, Leborgne Guillaume, Gallouin Erik, MĂ©nager LoĂŻc, « SĂ©pultures de "pĂȘcheurs" de l'Âge du Bronze ancien Ă  BĂ©nouville "les Hautes Coutures" (Calvados) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 101, no 2,‎ , p. 305-323 (DOI 10.3406/bspf.2004.12994, lire en ligne)
    33. Plan général de la riviÚre de l'Orne et du Canal entre Caen et la mer sur Gallica
    34. RenĂ© Streiff, « Le port de Caen et le canal de Caen Ă  la mer », Études normandes, no 16,‎ , p. 269-296 (lire en ligne)
    35. « Emplacement de l'ancien bac sur l'Orne » sur Géoportail.
    36. H. Magron, Guide illustrĂ© du tramway de Caen Ă  la mer. Caen, Ouistreham, Hermanville, Lion-sur-Mer, Luc-sur-Mer, Ranville, Sallenelles, Le Home-Varaville, Cabourg, Dives., Caen, impr. Ch. Valin, 1899, pp. 16–17 [lire en ligne]
    37. Alain de Dieuleveult, Calvados pour les petits trains, La Vie du rail, Paris, 1997, (ISBN 2902808747), pp. 19–21
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