AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Autorité palestinienne

ancien gouvernement d'Asie mineure

Pour les articles homonymes, voir Palestine (homonymie).

Autorité nationale palestinienne
(ar) Ű§Ù„ŰłÙ„Ű·Ű© Ű§Ù„ÙˆŰ·Ù†ÙŠŰ© Ű§Ù„ÙÙ„ŰłŰ·Ù†ÙŠŰ©

1993–2013

Description de l'image Zones A and B in the occupied palestinian territories.svg.
Informations générales
Reconnu par 135 États[1],12 autres y entretiennent une dĂ©lĂ©gation gĂ©nĂ©rale
Capitale Jérusalem-Est (revendiquée)[2], Ramallah (siÚge de l'administration)[3], Jérusalem-Est étant un territoire palestinien occupé par Israël, le gouvernement palestinien est dans l'impossibilité d'y installer ses institutions.
Langue(s) Arabe
Monnaie Aucune
Shekel israélien (ILS), livre égyptienne (EGP) (bande de Gaza), dinar jordanien (JOD) (Cisjordanie)

DĂ©mographie
Densité 678
Gentilé Palestinien, palestinienne
Histoire et événements
Accords d'Oslo
La Palestine devient un État observateur non-membre de l'ONU.
Dissolution et absorption de l'AutoritĂ© palestinienne par l'État de Palestine.

Entités précédentes :

Entités suivantes :

L’AutoritĂ© nationale palestinienne (en arabe Ű§Ù„ŰłÙ„Ű·Ű© Ű§Ù„ÙˆŰ·Ù†ÙŠŰ© Ű§Ù„ÙÙ„ŰłŰ·Ù†ŰšÙŠŰ©, As-Solta al-Wataniya al-Filastiniya) est le nom de l'entitĂ© gouvernementale qui administre les habitants arabes de Cisjordanie et de la bande de Gaza dans les zones A et B de Palestine dĂ©finies par les accords d'Oslo II. Elle a un prĂ©sident et une assemblĂ©e Ă©lue au suffrage universel, une police (mais pas d'armĂ©e) et des reprĂ©sentants dans plusieurs pays. Depuis janvier 2013, l'AutoritĂ© nationale palestinienne reprĂ©sente l'État de Palestine.

Fonctionnement de l'Autorité palestinienne

L'Autorité palestinienne est divisée en deux paliers. Le premier prend la forme d'un conseil législatif constitué de 132 députés. La moitié de ceux-ci sont élus dans les circonscriptions tandis que les 66 autres sont élus par suffrage universel. Le premier ministre fait partie de ce conseil et est nommé par le président. Par convention, c'est le chef du parti au pouvoir qui est nommé.

Le président est le second niveau de gouvernement. Il est élu lors d'élections distinctes.

Histoire politique

Création de l'autorité palestinienne

Article détaillé : Accords d'Oslo.

L’AutoritĂ© palestinienne voit le jour Ă  la suite des accords de Washington (ou Oslo I), signĂ©s le entre l’État d’IsraĂ«l, qui occupe les Territoires palestiniens depuis la guerre des Six Jours en 1967, et l’Organisation de libĂ©ration de la Palestine (OLP). La DĂ©claration de principes sur les arrangements intĂ©rimaires « d’autogouvernement » prĂ©voit notamment le retrait progressif des troupes israĂ©liennes de la bande de Gaza et de Cisjordanie ainsi que l’établissement d’une autoritĂ© et d’une autonomie palestiniennes limitĂ©es. Une pĂ©riode de six ans (jusqu’en 1999) est dĂ©finie pour mener Ă  leur terme les nĂ©gociations relatives au statut des Territoires palestiniens. Les prĂ©rogatives respectives de l’AutoritĂ© palestinienne et de l’État d’IsraĂ«l quant Ă  l’administration de ces territoires sont Ă©galement dĂ©terminĂ©es par les accords d’Oslo I, puis revues Ă  l’occasion des accords d’Oslo II (1995).

Présidence de Yasser Arafat (1996-2004)

Yasser Arafat en mai 1999.

En 1996, Yasser Arafat est élu président de l'Autorité palestinienne, qu'il dirige jusqu'à sa mort, le 11 novembre 2004. Le 19 mars 2003, le président Yasser Arafat nomme Mahmoud Abbas Premier ministre de l'Autorité palestinienne sous les pressions américaines et européennes. Ces derniers refusaient de dialoguer avec Yasser Arafat. AprÚs la démission de Mahmoud Abbas, le président nomme Ahmed Qoreï pour lui succéder le 7 octobre 2003.

Cependant, l'envenimement du conflit israélo-palestinien a rendu le statut de l'autorité palestinienne problématique selon les points de vue :

  • son premier prĂ©sident, Yasser Arafat, est accusĂ© par les gouvernants israĂ©liens de soutenir le terrorisme, directement, par nĂ©gligence ou par son inaction mĂȘme s'il a condamnĂ© certains attentats contre les civils israĂ©liens[4],[5] ;
  • il est frĂ©quemment accusĂ© par la population qu'il administrait de corruption et de ne pas dĂ©lĂ©guer ou partager le pouvoir. Dans son autobiographie, Bill Clinton parle de Yasser Arafat comme de quelqu'un qui n'a pas rĂ©ussi Ă  dĂ©passer la mentalitĂ© de « chef de guerre » pour enfin devenir le « chef d'État » dont il avait les fonctions et c'est Ă  cela qu'il attribue l'Ă©chec des nĂ©gociations du sommet de Camp David II ;

À la mort de Yasser Arafat, Rawhi Fattuh, prĂ©sident du conseil lĂ©gislatif palestinien (le parlement palestinien), conformĂ©ment Ă  la loi fondamentale palestinienne, assure la prĂ©sidence par intĂ©rim pour soixante jours.

Présidence de Mahmoud Abbas (depuis 2005)

Mahmoud Abbas.

Mahmoud Abbas est Ă©lu, le 9 janvier 2005, prĂ©sident de l'autoritĂ© palestinienne. Son mandat a Ă©chu en 2009. Sous sa prĂ©sidence et dans le prolongement de celle de Yasser Arafat, l'AutoritĂ© palestinienne lutte pour la crĂ©ation d'un État palestinien, aux cĂŽtĂ©s d'IsraĂ«l et distinct de celui-ci.

Le , le procureur Ahmed Moghani publie une enquĂȘte sur des dĂ©tournements de 700 millions de dollars, disparus des coffres de l'AutoritĂ© palestinienne. Au total, ces dĂ©tournements portent sur une cinquantaine de cas de corruption financiĂšre et administrative. Dix mandats d'arrĂȘt internationaux ont Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©s. Selon Mohammed Rashid, conseiller financier de l'AutoritĂ© palestinienne, Abbas aurait dĂ©tournĂ© 100 millions de dollars[6]. Le , Mahmoud Abbas est mis en cause au CongrĂšs des États-Unis, ainsi que ses deux fils par des accusations de corruption[7],[8].

Prise de pouvoir du Hamas

Les élections municipales palestiniennes de 2005 sont marquées par la participation du Hamas dans la vie politique de l'autorité palestinienne et par la popularité du mouvement parmi la population, notamment dans la bande de Gaza.

Aux élections législatives palestiniennes du , le Hamas obtient 74 siÚges contre 45 pour le Fatah. Le président Mahmoud Abbas appelle à la formation d'un gouvernement Hamas par Ismaël Haniyeh.

Le , il annonce la tenue d'un référendum en ce sens.

La question posĂ©e aux Palestiniens serait : acceptez-vous, ou non, le document Ă©laborĂ© au dĂ©but du mois par des dirigeants palestiniens dĂ©tenus en IsraĂ«l[9] ? Ce document appelle Ă  un État palestinien en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et Ă  JĂ©rusalem Est, territoires occupĂ© par IsraĂ«l Ă  l’occasion de la guerre de 1967. Le document a Ă©tĂ© nĂ©gociĂ© pendant quatre semaines par d’importants prisonniers appartenant au Hamas et au Fatah dans la prison israĂ©lienne de Hadarim, oĂč se trouve actuellement en dĂ©tention le dirigeant du Fatah Marouane Barghouti, et plus rĂ©cemment celui du Hamas Aziz Dweik.

Abbas a dĂ©clarĂ© jeudi lors d’une rĂ©union de dirigeants palestiniens qu’il existe un consensus national sur les frontiĂšres du futur État palestinien : « Tous les Palestiniens, du Hamas jusqu’aux communistes, nous tous voulons un État palestinien dans les frontiĂšres de 1967. VoilĂ  ce qui est Ă  notre portĂ©e, ne parlons pas de nos rĂȘves ».

Il a précisé que si dix jours de dialogue entre le Hamas et le Fatah ne débouchaient pas sur un programme commun, il organiserait un référendum dans les quarante jours qui suivraient.

InterrogĂ© sur le soutien dont auraient besoin les Palestiniens pour crĂ©er leur État indĂ©pendant, Abbas a dit : « Les États arabes attendent que nous adoptions cette attitude de rĂ©alisme, pour pouvoir travailler en harmonie et faire avancer la cause palestinienne. Ils ne peuvent rien faire pour la cause palestinienne si les Palestiniens s’opposent Ă  tout »[10].

À la suite d'une guerre de factions entre le Fatah de Mahmoud Abbas et le Hamas de IsmaĂ«l Aniyeh, le Hamas contrĂŽle la totalitĂ© de la bande de Gaza le .

Affrontements entre factions rivales

Le ministre des affaires Ă©trangĂšres, Riyad Al-Maliki, prĂȘte serment face au prĂ©sident Mahmoud Abbas, lors de l’intronisation du gouvernement d'union nationale, au quartier gĂ©nĂ©ral de Al-Muqata'a, Ramallah, 2014.
Article détaillé : Tensions interpalestiniennes.

La rivalité entre le Fatah et le Hamas amÚne leurs militants à des affrontements armés, principalement dans la bande de Gaza. Les discussions entre factions échouent plusieurs fois autour de la question de la formation d'un gouvernement d'union. Un Accord sur un gouvernement d'union nationale palestinien est trouvé le 8 février 2007 à La Mecque, pour composer un nouveau cabinet de coalition au Premier ministre Ismaïl Haniyeh.

Le , à la suite d'une guerre civile entre le Fatah et le Hamas qui a fait 113 morts, le Hamas contrÎle la totalité de la bande de Gaza. Mahmoud Abbas dissout en représailles le gouvernement et appelle à des élections anticipées. La faction pro Fatah des martyrs d'al Aqsa affirme chercher en représailles des membres du Hamas en Cisjordanie.

Reconnaissance de la Palestine comme État observateur non membre de l'ONU

À la suite du gel du processus de paix, le prĂ©sident Mahmoud Abbas opte pour l'offensive diplomatique. Le , il demande officiellement Ă  la tribune des Nations unies l'adhĂ©sion de l'État palestinien Ă  l'ONU. La demande est votĂ©e par l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et passe favorablement devant le Conseil de sĂ©curitĂ© mais les États-Unis apposent leur vĂ©to.

Le , l'UNESCO admet la Palestine en tant qu'État membre. Comme elle n'est pas encore un État membre des Nations unies, son admission a dĂ» se faire par la recommandation du Conseil exĂ©cutif qui s'est suivie d'un vote favorable Ă  la majoritĂ© des deux tiers des États membres de l’ONU prĂ©sents et votants Ă  la ConfĂ©rence gĂ©nĂ©rale. Le vote a Ă©tĂ© obtenu avec 107 voix pour, quatorze voix contre, et 52 abstentions.

Carte des votes par pays à l'Assemblée générale des Nations-Unies, sur l'acceptation de la Palestine en tant que pays observateur non-membre de l'ONU, novembre 2012.

Le , date anniversaire du vote du Plan de partage de la Palestine, la reconnaissance de la Palestine en tant qu’État observateur non-membre de l'ONU est portĂ©e au vote de l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. L'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations unies accepte la Palestine en tant qu’État observateur non membre par 138 voix pour (dont la France), neuf contre (dont les États-Unis, le Canada et IsraĂ«l) et 41 abstentions (dont l'Allemagne et le Royaume-Uni), officialisant la reconnaissance d'un État palestinien au niveau international.

Le , le prĂ©sident de l'AutoritĂ© palestinienne Mahmoud Abbas signe un dĂ©cret prĂ©sidentiel imposant aux administrations l'usage du logo « État de Palestine » Ă  la place de celui « AutoritĂ© nationale palestinienne » utilisĂ© jusqu'Ă  prĂ©sent. Toutefois, en janvier 2016, Mahmoud Abbas dĂ©clare encore : « J’ai entendu beaucoup de choses ces derniers jours sur l’AutoritĂ©, la destruction de l’AutoritĂ©, l’effondrement de l’AutoritĂ© (...) L’AutoritĂ© constitue une de nos rĂ©ussites Ă  laquelle nous ne renoncerons jamais. »[11]

Logo de la police palestinienne sur une de leurs voitures Ă  Bethlehem (Cisjordanie).

Forces de sécurité

Depuis 1996, il existe une police palestinienne.

Économie

Finances

Les finances de l’AutoritĂ© palestinienne sont grandement dĂ©pendantes de l’aide Ă©trangĂšre. Voici comment elles se rĂ©partissent[12].

Budget 2005 de l'Autorité palestinienne

Total : 1,96 milliard de dollars amĂ©ricains (1,62 milliard d’euros)

Aide Ă©trangĂšre

Total : 1,1 milliard de dollars amĂ©ricains (910 millions d’euros), dont un tiers pour les salaires gouvernementaux et frais de fonctionnement, le reste pour les infrastructures et projets de reconstruction

Principaux bailleurs de fonds

  • Union europĂ©enne : 295 millions de dollars amĂ©ricains (245 millions d’euros), principalement en aide au dĂ©veloppement
    • Contributions individuelles des pays de l’UE : 300 millions (250 millions d’euros), les deux principaux pays donateurs Ă©tant l’Allemagne Ă  56 millions de dollars amĂ©ricains (46 millions d’euros) et le Royaume-Uni Ă  50 millions de dollars amĂ©ricains (41 millions d’euros)
  • États-Unis : 234 millions de dollars (193 millions d’euros), principalement pour des projets de dĂ©veloppement
  • Pays arabes : 204 millions de dollars amĂ©ricains (168 millions d’euros)
  • NorvĂšge : 60 millions de dollars amĂ©ricains (50 millions d’euros)
  • Japon : 30 millions de dollars amĂ©ricains (25 millions d’euros)

Revenus des impĂŽts

2005 : 396 millions de dollars amĂ©ricains (327 millions d’euros)

Autres revenus

Droits de douanes et TVA collectĂ©s par IsraĂ«l pour l’AutoritĂ© palestinienne chaque mois : 50 millions de dollars amĂ©ricains (45,39 millions d’euros)

L'Union europĂ©enne a versĂ© 280 millions d'euros de subvention directe. L’Union europĂ©enne a dĂ©cidĂ© de continuer Ă  verser son aide financiĂšre Ă  l’AutoritĂ© palestinienne tant que le nouveau gouvernement n’a pas prĂȘtĂ© serment, annonce Le Soir. Elle a toutefois conditionnĂ© Ă  terme le maintien de son aide Ă  la reconnaissance, par le Hamas, de l’État d’IsraĂ«l et des accords prĂ©cĂ©demment signĂ©s par l'autoritĂ© palestinienne avec IsraĂ«l et Ă  la renonciation Ă  la violence par le mouvement islamiste.

Stand de soutien pro-palestinien Ă  Lausanne (Suisse), 2006.

Comités de soutien

Selon le site de l'Agence UNRWA destinĂ©e Ă  l'aide aux rĂ©fugiĂ©s palestiniens, plusieurs comitĂ©s de soutien sont rĂ©partis en Espagne, en Italie ou aux États-Unis afin de toucher un plus grand public dans ces pays et de susciter la collaboration de personnes, de groupes de media, de fondations ou de sociĂ©tĂ©s et de sensibiliser l'opinion publique pour obtenir le soutien et la mobilisation de plus grandes ressources pour les Palestiniens.

Critiques

Tandis que l'autorité palestinienne reconnaßt la lutte armée comme un moyen de résistance au « colonialisme israélien », Il est reproché par Israël, et les pays ayant des liens politiques avec Israël.à l'Autorité palestinienne de valoriser le terrorisme et le sacrifice en tant que « martyr » avec notamment l'attribution officielle des noms de terroristes palestiniens ayant tué des civils israéliens à des rues, des institutions, des festivals, etc. C'est le cas notamment pour l'activiste (en) Dalal Mughrabi dont il est demandé à la jeunesse palestinienne de « poursuivre l'action » alors qu'en mars 1978, elle avait mené avec un groupe du Fatah du Liban une prise d'otages des passagers d'un bus sur une route israélienne puis assassiné trente-huit passagers civils du bus dont treize enfants et blessé plus de soixante-dix. L'attentat, orchestré par Abou Jihad (Khalil Al-Wazir), est connu en Israël comme le massacre de la route cÎtiÚre et figure comme l'attaque la plus meurtriÚre dans l'histoire d'Israël[13],[14],[15],[16],[17].

GĂ©ographie

Article détaillé : Territoires palestiniens occupés.

Divisions administratives

Division administrative des territoires ; les zones A et B sous contrÎle total ou partiel de l'Autorité palestinienne sont indiquées en vert foncé.

Les territoires palestiniens occupés en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza ont été divisés par les accords d'Oslo en trois aires administratives aux statuts différents. Ces zones ont été confirmées par les accords d'Oslo II :

  • la zone A (2 %) est la rĂ©gion sous contrĂŽle palestinien total. Les villes palestiniennes, Ă  l'exception de JĂ©rusalem-Est qui a Ă©tĂ© exclue des accords ;
  • la zone B (26 %) est la rĂ©gion sous contrĂŽle palestinien civil mais sous contrĂŽle militaire israĂ©lien ;
  • la zone C (72 %) est la rĂ©gion sous contrĂŽle total israĂ©lien.

Ces territoires ont été divisés en seize gouvernorats (cinq dans la bande de Gaza et onze en Cisjordanie), sous la juridiction de l'Autorité palestinienne[18].

Dans la bande de Gaza

En Cisjordanie

Références

  1. Romain Geoffroy, « Quels sont les pays qui reconnaissent un Etat palestinien ? », Le Monde,‎ (lire en ligne) .
  2. [1]
  3. « Capitale : les principaux ministÚres sont installés à Ramallah »
  4. Journal de l'année, Université du Michigan, Larousse, , p. 188 .
  5. « Yasser Arafat condamne les attentats », Le Parisien, (consulté le ).
  6. (en) Adrian Humphreys,« Palestinian Authority wants Ottawa's help seizing former Arafat advisor's Canadian assets », National Post, .
  7. (en) Chronic Kleptocracy: Corruption Within the Palestinian Political Establishment, Council on Foreign Relations.
  8. (en) Natasha Mozgovaya, « U.S. lawmakers slam Mahmoud Abbas for alleged corruption », Haaretz, .
  9. La Paix Maintenant - Des dirigeants du Fatah et du Hamas emprisonnĂ©s en IsraĂ«l s’accordent sur une solution Ă  deux États - Arnon Regular
  10. La Paix Maintenant - Abbas veut un référendum sur un Etat palestinien dans les frontiÚres de 1967 - Arnon Regular.
  11. AFP, « Abbas dĂ©ment s’inquiĂ©ter d’un effondrement de l’AutoritĂ© palestinienne », sur LibĂ©ration.fr, .
  12. Banque mondiale, ministĂšre palestinien des Finances et gouvernements individuels.
  13. Al-Hadath, hebdomadaire indépendant palestinien, 11 mars 2019.
  14. (en-US) Isabel Kershner, « Palestinians Honor a Figure Reviled in Israel as a Terrorist », The New York Times,‎ (ISSN , lire en ligne, consultĂ© le ) .
  15. (en-US) « Israel Balks as Palestine Honors Militants », sur www.cbsnews.com, (consulté le ).
  16. (en-US) Issacharoff, Avi, « Norway demands PA return funds for women’s center named after terrorist », sur www.timesofisrael.com, (consultĂ© le ).
  17. (en) Elior Levy, Ariela Sternbach, « Palestinian textbook immortalizes Coastal Road massacre terrorist », sur Ynetnews, (consulté le ).
  18. Palestinian National Information Centre « Copie archivée » (version du 23 décembre 2006 sur l'Internet Archive).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes