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Aurice

Aurice est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Aurice
Aurice
L'Ă©glise Notre-Dame du bourg Ă  Aurice.
Blason de Aurice
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire
Mandat
Frédéric Lafitte
2020-2026
Code postal 40500
Code commune 40020
DĂ©mographie
Population
municipale
625 hab. (2020 en diminution de 0,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 48â€Č 54″ nord, 0° 36â€Č 13″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 83 m
Superficie 17,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chalosse Tursan
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Aurice
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Aurice
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Aurice
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Aurice

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bas-Mauco, Campagne, Cauna, Haut-Mauco, Le Leuy et Saint-Sever.

    Communes limitrophes d’Aurice[1]
    Campagne Haut-Mauco
    Le Leuy Aurice
    Cauna Saint-Sever Bas-Mauco

    Hydrographie

    Situé dans le bassin versant de l'Adour, le territoire de la commune est traversé[2] par le fleuve et par deux de ses affluents droit, les ruisseaux du Houniou (qui prend source sur la commune) et de Saint-Jean, ainsi que par le tributaire droit de ce dernier, le ruisseau de Lagourgue.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 059 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Benquet », sur la commune de Benquet, mise en service en 1972[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 005,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  12 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Aurice est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (64,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (17,9 %), forĂȘts (15,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Aurice est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour, le ruisseau du Bos, le ruisseau de Lacrauste et le ruisseau du Moulin de Barris. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999, 2009, 2018 et 2020[24] - [22].

    Aurice est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aurice.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 283 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    Le premier seigneur connu est Anerils vicomte de Sault qui contre-signa l'acte de fondation de l'abbaye de Saint-Sever le 3 avril 1009 de son parent Bernard Guillaume duc de Gascogne.

    HĂ©raldique

    "De gueules d'un chĂąteau d'argent maçonnĂ© de sable, ouvert et ajourĂ© du champ, posĂ© sur une terrasse de sinople chargĂ©e d'une burĂšle ondĂ©e aussi d'argent, au chef du mĂȘme chargĂ© d'un lion issant aussi de gueules."

    (création : Jean-Joël Picard et Jean-Paul Fernon, adoptée par délibération du conseil municipal du 29 septembre 2006).

    Symbole du blason d'Aurice : La partie inférieure représente l'Adour (burÚle ondée), et les champs (terrasse de sinople). La partie centrale représente les deux chùteaux qui ont donné naissance à la commune : Estignols et OnÚs (la représentation choisie a été prise sur le blason des de Spens d'Estignols, avec autorisation du baron de Spens d'Estignols). partie supérieure, le lion d'Aquitaine.

    Armoiries des barons féodaux de Spens d'Estignols "écartelé : au 1 : d'azur losangé d'or et d'azur alias de gueules fretté d'or qui est Dispensator au chef d'argent chargé de 3 roses de gueules (Lennox) ; au 2: contre-écartelé d'azur au lion d'or armé et lampassé de gueules et de gueules au chùteau à triple tour d'argent maçonné de sable (Sault d'Estignols) ; au 3 contre écartelé gironné de sable et d'or (Campbell) et d'or à 3 fasces ondées de gueules (Drummond) ; sur le tout d'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur (Fife)

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1977 2008 Henri Dauga Retraité de l'enseignement
    2008 2020 Francis Cazaux PS Retraité Police nationale
    2020 En cours Frédéric Lafitte
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[29].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 625 habitants[Note 7], en diminution de 0,16 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    865729813857921931843860878
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    897881943933942867863843786
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    800805768723689694685601615
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    573541543549610627658654645
    2015 2020 - - - - - - -
    622625-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame d'Aurice.
    • Église Notre-Dame de Lagastet.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Pins, avec sa fontaine Ă  qui on attribue les pouvoirs de faire marcher les petits enfants, et de rĂ©parer des infirmitĂ©s. C'est pourquoi Ă  ses grilles sont attachĂ©es les chaussons d'enfants et les bĂ©quilles des personnes ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© de ses bienfaits.
    • ChĂąteau d'Estignols, rebĂąti au XVIIe siĂšcle et son parc remarquable aux essences rares.

    Personnalités liées à la commune

    Mossen Arnaud d'ESTIOS ou HESTIHOS alias d'ESTIGNOLS succĂ©da en 1072 Ă  l'abbĂ© GrĂ©goire MONTANER qui avait entrepris la construction de l'abbaye bĂ©nĂ©dictine de Saint-Sever, dont il sera l'abbĂ© jusqu’en 1107 '(pour certains 1092 qui, de 1092 Ă  1107 mettent un abbĂ© nommĂ© Suavuis en s'appuyant sur la chronique de l'abbaye rĂ©digĂ©e Ă  la fin du XVIe siĂšcle). Sous sa direction, la construction de l’abbaye sera continuĂ©e et terminĂ©e. Il aura un rĂŽle important dans la consolidation et la construction de la puissance de l’abbaye de Saint-Sever. Il augmentera notamment les possessions de l’abbaye en achetant pour 310 sols toulousains la « villae Morganx » dĂ©pendant de la seigneurie Hagetmau et en fondant le castrum et la ville de Mugron en 1074. Pour cela, il infĂ©oda dans le cadre d’un contrat l’autorisation de construire le castrum au bĂ©nĂ©fice de Raimond, miles. Ce dernier devait avec ses chevaliers dĂ©fendre les terres de l’abbaye, Ă  peine de 700 sous morlans d’amende, et devait ĂȘtre « l’homme et le fidĂšle » de l’abbĂ©. Dans ses obligations en tant que seigneur lige de l’abbĂ©, il doit livrer le chĂąteau Ă  toute demande de l’AbbĂ©. En contrepartie, il bĂ©nĂ©ficie de divers avantages : fourniture de nourriture par l’abbĂ©, d’un cheval de 70 sous morlans en temps de guerre ainsi qu’un fief de haubert et le droit de justice du marchĂ© de LoubĂšre. Il obtint aussi de nombreux dons pour enrichir l'abbaye et son territoire, peu aprĂšs son Ă©lection, messire Achelin Aner de SAINT-GERMAIN lui fit donation ainsi qu'Ă  l’abbaye bĂ©nĂ©dictine de la 3e partie de l’église de Saint-Germain d’Este qu’il possĂ©dait de droit hĂ©rĂ©ditaire, c'est-Ă -dire du tiers des prĂ©mices, des dĂźmes et oblations. L’église de Saint-Germain Ă©tait situĂ©e de l’autre cĂŽtĂ© de l’Adour par rapport Ă  la citĂ© de Saint-Sever au lieu appelĂ© le Gleysiau. Il y avait lĂ  une caverie fĂ©odale avec maison forte au XIe siĂšcle. L’église Ă©tait appelĂ©e Saint-Germain d’Este ou de Sainte-Araile. Elle Ă©tait annexe de l’église de Sainte-Eulalie de Saint-Sever.

    Jean de SPENS d'ESTIGNOLS, baron d'Estignols et Lagastet, marĂ©chal de camps des armĂ©es du roi, colonel du rĂ©giment de la couronne et chevalier de l'ordre militaire et royal de Saint-Louis, nĂ© Ă  Saint-Sever le 18/04/1734 et dĂ©cĂ©dĂ© le 05/04/1810 Ă  Aurice et enterrĂ© Ă  Lagastet, lieutenant au rĂ©giment d'Auvergne le 22/01/1747, enseigne en 1749, lieutenant en premier le 01/08/1749, capitaine Ccmmandant propriĂ©taire de des compagnies des chasseurs d'Auvergne le 01/09/1755, a fait toutes les campagnes des Flandres en 1747 et 1748, les campagnes de la guerre d'Allemagne ; le 16 octobre 1760, Ă  Clostercamp, il commandait les quatre compagnies de chasseurs d'Auvergne et fut un des officiers qui sauva l'armĂ©e française du dĂ©sastre. Il fut blessĂ© de deux coups de feu au visage et deux Ă  la poitrine, de sa propre compagnie de 50 chasseurs il en perdit 43 (un de ses seconds le shevalier d'Assas capitaine en second, y perdit la vie. Voltaire par ses Ă©crits fit un hĂ©ros du chevalier d'Assas en lui prĂȘtant une phrase qui en rĂ©alitĂ© fut prononcĂ©e par un caporal des chasseurs dĂ©nommĂ© Dubois qui cria « A nous, Auvergne, c’est l’ennemi ! »). Jean de Spens fut Ă  nouveau blessĂ© Ă  Philipingshausen d'un coup de feu en 1761, nommĂ© ayde major le 29/02/1768, major du rĂ©giment d'Auvergne le 17/07/1769, major du rĂ©giment de la Couronne le 20/12/1769, rang de lieutenant-colonel le 6/11/1771 accordĂ© Ă  la suite des demandes rĂ©pĂ©tĂ©es des marĂ©chaux de Broglie, de Castries, du comte de Rochambeau et du marquis d'Avaray, rang de colonel le 24/06/1771, lieutenant-colonel du rĂ©giment de la Couronne le 24/06/1780, brigadier des armĂ©es du roi le 05/12/1781 avec rang de mestre de camp d'infanterie, marĂ©chal de camps et colonel du rĂ©giment de la Couronne le 09/03/1788, chevalier de l'ordre militaire et royal de Saint-Louis en 1762 avec pensions sur l'ordre de 400 livres le 29/01/1779 puis de 500 livres le 22/03/1782 et de 600 livres le 1/07/1788. RetirĂ© du service Ă  la fin de l'annĂ©e 1788. EmprisonnĂ© sous la terreur, car un de ses frĂšres Pierre de Spens d'Estignols, abbĂ© mitrĂ©, abbĂ© de l'abbaye de Lahonce et supĂ©rieur de l'ordre des prĂ©montrĂ©s avait Ă©migrĂ©. RelĂąchĂ© sur l'ordre du conventionnel Pierre Laurent Monestier de la LozĂšre en considĂ©ration de son civisme et de ses Ă©tats de service militaires. Monestier de la LozĂšre le fit rĂ©tablir dans ses pensions militaires.

    Le baron et homme de lettres Willy de Spens d'Estignols a vécu au chùteau d'Estignols.

    Associations

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. SANDRE, « Cours d'eau de la commune d'Aurice » (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Benquet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Aurice et Benquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Benquet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Aurice et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Aurice », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    • « Historia Monasterii Sancti Severii » par Don du BUISSON
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