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Audouville-la-Hubert

Audouville-la-Hubert (prononcer /oduvil:laybɛʁ/) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 76 habitants[Note 1].

Audouville-la-Hubert
Audouville-la-Hubert
L'Ă©glise Sainte-Honorine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté de communes de la Baie du Cotentin
Maire
Mandat
Dominique Mesnil
2020-2026
Code postal 50480
Code commune 50021
DĂ©mographie
Population
municipale
76 hab. (2020 en diminution de 5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 24â€Č 38″ nord, 1° 14â€Č 30″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 22 m
Superficie 6,40 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Carentan
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Audouville-la-Hubert
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Audouville-la-Hubert

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 764 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 913,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă  38 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Audouville-la-Hubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16].

    La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (96,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (60,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (3,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Aldulfivilla vers 1040[24], Aldulvilla au XIIe siÚcle.

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale dont le premier élément Audou- représente un anthroponyme[24] - [25].

    C'est peut-ĂȘtre le nom de personne scandinave AldulfR[26], anglo-saxon ou germanique continental Aldulfus[24] - [25] (comprendre Aldulf, la dĂ©sinence -us est destinĂ©e Ă  latiniser dans des textes rĂ©digĂ©s en latin mĂ©diĂ©val), d'oĂč le sens global de « domaine rural d’Aldulf ».

    Remarque : un Aldulfi curtis est mentionnĂ© en 843 en Picardie (Tessier, Actes de Charles le Chauve)[24], peut-ĂȘtre Audecourt Ă  Viry-Noureuil. Il s'agit dans ce cas du nom de personne germanique continental[24].

    Le dĂ©terminant -la-Hubert est un ajout postĂ©rieur, Ă©voquant le nom du seigneur local. Il apparaĂźt au XIVe siĂšcle. Il a servi Ă  distinguer cette paroisse de celle d’Audouville-Haveron, aujourd'hui Saint-Martin-d'Audouville[24].

    Le gentilé est Audouvillais.

    Histoire

    En 1050, Guillaume le BĂątard donna l'Ă©glise d'Audouville Ă  l'abbaye de Saint-Wandrille[27].

    Au XIIe siĂšcle, la paroisse relevait de l'honneur de NĂ©hou[28].

    Cette commune a Ă©tĂ© lourdement touchĂ©e par les combats de la bataille de Normandie. Jouxtant Saint-Martin-de-Varreville abritant de puissantes fortifications de la Wehrmacht et garnison du Ost-Bataillon 795 composĂ© entre autres de Hiwi gĂ©orgiens, elle a reçu 3 000 bombes dans la nuit du au . Des unitĂ©s de la 101e division aĂ©roportĂ©e amĂ©ricaine dans le cadre des opĂ©rations Albany et Boston y ont livrĂ© des combats soutenus. Le , au matin, trente prisonniers allemands de la 709e division d'infanterie allemande sont hĂątivement exĂ©cutĂ©s par des parachutistes amĂ©ricains[29] Ă  la ferme de la Herguerie.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1793 1800 Jacques Fergeaux
    1800 1822 Étienne PrĂ©fosses
    1823 1848 Louis LĂ©onor Maine
    1848 1891 Antoine Brohier
    1891 1900 Louis Artu
    1900 1915 Alcindor Brohier
    1915 1919 Bienaimé Scelles faisant fonction
    1919 1925 Bienaimé Scelles
    1925 1975 Pierre Scelles
    1975 1989 Bernardin Birette
    1989[30] mars 2014 Bernard Leconte SE Agriculteur
    mars 2014[31] mai 2020 Pascal Leconte SE Enseignant
    mai 2020[32] En cours Dominique Mesnil SE Retraité SNCF
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel, J.-N. Noury et J.-J. Breguet[33].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 76 habitants[Note 8], en diminution de 5 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    226236248249259301305245242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    197212217210214200196188176
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    169165192162163165154138135
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    161128129939783736857
    2014 2019 2020 - - - - - -
    807576------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et CrÚme d'Isigny[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Honorine[Note 9] (XIe, XIIIe – XVIIIe siĂšcles), d'origine romane refaite au XVe et XVIe siĂšcles, avec un retable en bois du XVIIe. L'Ă©glise qui est rĂ©pertoriĂ©e Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel depuis 1986[39], abrite une chaire Ă  prĂȘcher (XVIIIe), un maĂźtre-autel et ses deux anges adorateurs (XVIIIe), ainsi qu'un groupe sculptĂ© la Visitation (XVe), classĂ©s au titre objet aux monuments historiques[40], ainsi que des inscriptions funĂ©raires.
    • Ses plages du dĂ©barquement (Utah Beach).
    • La Vierge qui veille sur le carrefour.
    • Ferme-manoir de la Cour d'Audouville (XVIe – XIXe siĂšcles)[41] avec armoiries sur la porte charretiĂšre du XVIe siĂšcle. La demeure est rĂ©pertoriĂ©e Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[42].
    • Ferme-manoir de Pierreville (XVIIe siĂšcle).
    • Ferme-manoir d'Aigremont (XVIIe siĂšcle).
    • Ferme-manoir de Plat-Marais.
    • Redoute (1689) dite d'Audouville (actuellement sur Sainte-Marie-du-Mont mais situĂ© Ă  sa construction sur Audouville) ; l'une des quinze redoutes de Vauban sur la cĂŽte Est du Cotentin. Elle Ă©tait armĂ© de trois canons. DĂ©sarmĂ©e Ă  la RĂ©volution, elle est rĂ©armĂ©e par NapolĂ©on[33].
    Pour mémoire
    • Motte. Elle nous est connue par un aveu du de Bernardin François Cardo, marquis, mentionnant « 
En laquelle paroisse j'ai manoir avec droit de motte
 »[43].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 13-14.
    • RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 63

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    The Horror of D-Day : A New Openness to Discussing Allied War Crimes in WWII [archive] - Der Spiegel, 4 mai 2010 (part 1)

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. La seule Ă©glise sous ce vocable de la Manche.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Audouville-la-Hubert et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Audouville-la-Hubert et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 71.
    25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune en Normandie, Presses universitaires de Caen, 1993.
    26. AldulfR sur le site de Nordic Names (lire en anglais)
    27. Delattre 2002, p. 13.
    28. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siĂšcle) : Étude historique et topographique », dans ArchĂ©ologie mĂ©diĂ©vale, t. 12, (lire en ligne sur PersĂ©e.), p. 184.
    29. (en) The Horror of D-Day : A New Openness to Discussing Allied War Crimes in WWII - Der Spiegel, 4 mai 2010 (part 1).
    30. « Bernard Leconte, maire, ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Pascal Leconte, nouveau maire de la commune », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    32. « Dominique Mesnil, nouveau maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    33. Gautier 2014, p. 63.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. AOP Beurre d'Isigny et CrĂšme d'Isigny
    39. « Église paroissiale Sainte-Honorine ».
    40. ƒuvres mobiliĂšres classĂ©es Ă  Audouville-la-Hubert.
    41. Norbert Girard et Maurice LecƓur, TrĂ©sors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions IsoĂšte, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 159.
    42. « Manoir de la Cour ».
    43. Delacampagne 1982, p. 200.
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