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Arc-et-Senans

Arc-et-Senans, prononcĂ© [aʁkes(ə)nɑ̃], est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Doubs, en rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©.

Arc-et-Senans
Arc-et-Senans
La saline royale d'Arc-et-Senans et le village.
Blason de Arc-et-Senans
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Besançon
Intercommunalité Communauté de communes Loue-Lison
Maire
Mandat
Jacques Maurice
2020-2026
Code postal 25610
Code commune 25021
DĂ©mographie
Gentilé Arc-et-Senanais
Population
municipale
1 614 hab. (2020 en augmentation de 2,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 108 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 01â€Č 59″ nord, 5° 46â€Č 45″ est
Altitude Min. 226 m
Max. 292 m
Superficie 14,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Vit
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Arc-et-Senans
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Arc-et-Senans
Liens
Site web arc-et-senans.com

    Elle abrite la saline royale d'Arc-et-Senans de Claude-Nicolas Ledoux, architecte français, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1982.

    GĂ©ographie

    Arc-et-Senans est un gros bourg du Doubs peuplĂ© de 1 580 habitants (chiffre Insee 2014). Il se situe entre la riviĂšre la Loue et la forĂȘt de Chaux Ă  250 mĂštres d'altitude. Le village est assez Ă©tendu et composĂ© de plusieurs hameaux : Arc, Senans et le Vernois ne font pour ainsi dire qu'une seule agglomĂ©ration. Les hameaux du Deffois, du moulin Toussaint, de Roche sur Loue sont sĂ©parĂ©s. La particularitĂ© du Moulin Toussaint est qu'il faut passer par la commune voisine de Cramans sise dans le dĂ©partement du Jura pour y accĂ©der. En effet, Il n'y a pas de pont pour desservir directement ce lieu-dit. La vie Ă©conomique d'Arc-et-Senans est largement tournĂ©e vers le tourisme. La Saline royale attire 150 000 visiteurs par an (annĂ©e 2000). En outre, une petite industrie s'y est dĂ©veloppĂ©e, tournĂ©e principalement vers le bois et dans une moindre mesure la plasturgie. Ajoutons pour finir que la place de l'agriculture n'est pas Ă  nĂ©gliger : il y a encore prĂšs d'une dizaine d'exploitations. Traditionnellement, elle est tournĂ©e vers l'Ă©levage de bovins laitiers et la culture cĂ©rĂ©aliĂšre.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Arc-et-Senans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (74 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), prairies (25 %), forĂȘts (17,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,8 %), zones urbanisĂ©es (8,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Ce serait le Petregium (Roche-sur-Loue) cité dans la Chronique de Saint-Bénigne. Arcum en 1049 ; Sonans en 1275 ; Cenans et Arc en Valoye en 1490 ; Arc en Vallois en 1681[8].

    Histoire

    Des traces d'occupations remontant à l'époque romaine ont été retrouvées, notamment au lieu-dit le Cretot. Des ossements ainsi que des bris de tuiles et de briques sont visibles dans le sol lors de terrassement. L'abbé Letondal, dans son livre Arc et Senans à travers les ùges édité en 1927, relate assez complÚtement l'histoire communale.

    Au xiiie siĂšcle, les villages d'Arc et de Senans appartenaient Ă  deux seigneuries diffĂ©rentes, celles de ChĂąteau Rouillaud et de Roche-sur-Loue, mais appartenaient dĂ©jĂ  Ă  la mĂȘme paroisse (paroisse de Senans, mentionnĂ©e en 1275 dans le compte diocĂ©sain). La commune d'Arc-et-Senans est crĂ©Ă©e en 1790 par regroupement des deux villages et de plusieurs hameaux, peu de temps donc aprĂšs la loi de crĂ©ation des municipalitĂ©s ()[9].

    Pendant la seconde guerre mondiale, un camp d'internement de « nomade » est installé à Arc et Senans[10].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Jean Vaurs
    mars 2008 En cours
    (au 1er juin 2020)
    Jacques Maurice[11] - [12]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    PS Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Les habitants sont nommés les Arc-et-Senanais[13].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[15].

    En 2020, la commune comptait 1 614 habitants[Note 3], en augmentation de 2,15 % par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1981 4281 5011 4101 5941 6571 6811 6051 504
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4911 5331 5281 4251 3541 2901 3121 3061 229
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1791 2041 1791 0601 2001 2011 2681 2901 247
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 3081 2361 2311 3031 2771 3641 4281 4481 562
    2018 2020 - - - - - - -
    1 6181 614-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Labellisée Cité de CaractÚre de Bourgogne-Franche-Comté, Arc-et-Senans dispose d'un riche patrimoine:

    • Le chĂąteau de Roche-sur-Loue Ă©tait Ă  l'origine un chĂąteau fort verrouillant un nƓud de communication et un guĂ© sur la Loue. En 1756, il est entiĂšrement reconstruit par le marquis de Grammont qui entend en faire une rĂ©sidence. C'est le chĂąteau issu de ces travaux que l'on peut voir aujourd'hui. Le corps du bĂątiment est flanquĂ© de deux tours carrĂ©es au toit Ă  l'impĂ©riale. En 1864, AmĂ©dĂ©e Caron le transforme une nouvelle fois et implante une activitĂ© industrielle dans le domaine. Le chĂąteau est une propriĂ©tĂ© privĂ©e, il ne se visite pas. Il est classĂ© monument historique depuis 1974.
    • Le chĂąteau d'Arc est plus rĂ©cent. Il a Ă©tĂ© construit par M. Chaudois en 1751. Le bĂątiment est entourĂ© d'un grand parc de trois hectares protĂ©gĂ© par un mur d'enceinte. Il est classĂ© monument historique depuis 1984.

    Il existait à Arc un troisiÚme chùteau fort, le Chùtel-Rouillaud, mais il a brûlé en 1638. Aujourd'hui, il n'en subsiste que la motte sur laquelle il était bùti.

    • La saline royale - Maison du directeur
      La saline royale - Maison du directeur
    • Le chĂąteau de Roche-sur-Loue.
      Le chĂąteau de Roche-sur-Loue.
    • Le chĂąteau d'Arc.
      Le chĂąteau d'Arc.
    • L'Ă©glise Saint-BĂ©nigne: Construite au XIXe siĂšcle dans le style classique, elle abrite plusieurs tableaux admirables. Notamment dix peintures du XVIIe siĂšcle, classĂ©es aux monuments historiques. Le clocher a Ă©tĂ© reconstruit Ă  l'identique en 1921, Ă  la suite d'un incendie dĂ» Ă  un orage. L'Ă©glise possĂšde deux orgues.
    • La chapelle d'Arc a Ă©tĂ© construite grĂące aux dons des paroissiens et consacrĂ©e en 1913. Elle est dĂ©diĂ©e au SacrĂ© CƓur. Le clocher a Ă©tĂ© refait, il y a prĂšs de 25 ans : les agriculteurs ont financĂ© les travaux en donnant le produit de la vente rĂ©cente de la laiterie. Une rĂ©novation complĂšte de l'Ă©difice a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 1997 par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles.
    • La chapelle de la Grotte des Essarts[19] a Ă©tĂ© construite aprĂšs l'Ă©pidĂ©mie de cholĂ©ra de 1854. L'abbĂ© Coutteret avait fait le vƓu d'Ă©difier ce monument, si la Vierge Marie protĂ©geait la paroisse. C'est un Ă©difice en pierre de taille situĂ© sur un promontoire naturel, dominant le village et la saline royale. Une procession est organisĂ©e chaque . En 2006, la procession s'est effectuĂ©e de nuit Ă  l'aide de flambeaux, la chapelle Ă©tant illuminĂ©e pour l'occasion, grĂące Ă  un groupe Ă©lectrogĂšne. La commune a rĂ©novĂ© cette chapelle par le biais d'une souscription.
    • La portiĂšre Ă  radeaux du moulin de Toussaint[20] construite en 1856 et restaurĂ©e en 2011. Il s'agit d'un passage crĂ©Ă© dans la partie haute d'un barrage pour laisser passer les radeaux de bois flottant, mode de transport des agrumes utilisĂ© du Moyen Âge jusqu'Ă  la fin du XIXe siĂšcle[21]. Le reste du temps, ce passage est fermĂ© par un systĂšme amovible constituĂ© d'une poutre que l'on soulĂšve grĂące Ă  des cordes tirĂ©es par des cabestans et des planches de bois verticales appelĂ©es aiguilles[22].

    Arc-et-Senans possÚde également une gare ferroviaire SNCF desservie par des TER de la région Franche-Comté.

    • L'Ă©glise Saint-BĂ©nigne.
      L'Ă©glise Saint-BĂ©nigne.
    • La chapelle d'Arc.
      La chapelle d'Arc.
    • La chapelle de la grotte des Essarts.
      La chapelle de la grotte des Essarts.
    • La portiĂšre Ă  radeaux du moulin de Toussaint.
      La portiĂšre Ă  radeaux du moulin de Toussaint.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Poupet (1512-1564), militaire et diplomate au service de Charles Quint, seigneur d'Arc et Senans
    • Claude-Nicolas Ledoux.
    • RenĂ© Caron, 1861-1930, administrateur de la Banque de France, dĂ©putĂ© du Doubs de 1919 Ă  1924, membre de la commission de l'agriculture et de celle de l'Ă©conomie et des finances, prĂ©sident du conseil d'administration de l’Eclair Comtois, prĂ©sident de l'Union des catholiques de Besançon, prĂ©sident de l'Union des Syndicats Agricoles du Doubs, prĂ©sident de l’Union des Caisses Rurales et OuvriĂšres de France, vice-prĂ©sident de la caisse rĂ©gionale de Bourgogne et de Franche-ComtĂ©, vice-prĂ©sident de l’Union Agricole du Centre Est, vice-prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© ForestiĂšre de l’Est, administrateur de la succursale de la Caisse Ă©pargne de Besançon Ă  Arc-et-Senans, membre de la chambre syndicale de l'union centrale des syndicats des agriculteurs de France, membre de la chambre d’agriculture de Besançon, membre de l’AcadĂ©mie des Sciences, Arts et Belles Lettres de Besançon, chevalier de l'ordre pontifical de Saint GrĂ©goire le Grand. Il Ă©pousa Anne Marie Jacquard et Ă©tait le fils d'AmĂ©dĂ©e Caron, ingĂ©nieur des Arts et Manufactures, sous-directeur de l'École Centrale, industriel et propriĂ©taire foncier, et d'Anne Alexandrine Nicolas de Meissas.
    • Le pĂšre Jean-François Rigaud, nĂ© en 1834 dans une famille d'agriculteurs du village. Il intĂ©gra les Missions Ă©trangĂšres de Paris et devint prĂȘtre en 1861. Il partit en mission dans le Sichuan oriental (Chine actuelle). Il a Ă©tĂ© tuĂ© le .
    • Joseph-Auguste Chevalier, nĂ© le . Il est ordonnĂ© prĂȘtre en 1837 et intĂšgre les Missions Ă©trangĂšres de Paris. Il effectua sa mission en Inde. Le , il fut nommĂ© Ă©vĂȘque d'HiĂ©rapolis et vicaire apostolique du MaĂŻssour. Il meurt le d'une pleurĂ©sie et est enterrĂ© dans le chƓur de la cathĂ©drale de Bangalore en Inde.
    • Le pĂšre Pierre Poncet, nĂ© Ă  Arc-et-Senans le . Il fit ses Ă©tudes secondaires Ă  l'Ă©cole de la maĂźtrise de la cathĂ©drale de Besançon, puis entre au grand sĂ©minaire de cette mĂȘme ville. En 1953, il fit son service militaire et demanda, en 1954, son admission aux Missions Ă©trangĂšres de Paris. En 1956, il fut de nouveau convoquĂ© par l'armĂ©e, pour aller en AlgĂ©rie, servir comme sous-lieutenant pendant quelques mois. Revenu Ă  la rue du Bac Ă  Paris - siĂšge des Missions Ă©trangĂšres de Paris -, il y fut ordonnĂ© prĂȘtre, le et reçut sa nomination pour le vicariat apostolique de Huáșż (Centre ViĂȘt Nam). Il mourut Ă  Huáșż d'une rafale de mitraillette le , ainsi qu'un autre missionnaire, le pĂšre Cressonnier.
    • Bernard Jobin, artiste.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    8. Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du dĂ©partement du Doubs, t. 1, Besançon, CÊTRE, .
    9. « Histoire d’Arc et Senans » (consultĂ© le ).
    10. Jean-Luc Leleu, Françoise Passera et Jean Quellien, La France pendant la seconde guerre mondiale, Fayard, , 333 p. (ISBN 978-2-213-65461-4), p. 203
    11. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    12. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    13. « référence du gentilé ».
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. pdelsalle, « Arc-et-Senans », sur Dictionnaire de la Ferme générale (1640-1794) (consulté le ).
    19. Grotte des Essarts
    20. http://www.valdamour.com/fichiers/sentiers-pdf-6-1405496868.pdf
    21. « La confrérie des Radeliers de la Loue fait vivre la tradition du flottage », sur Le blog de la Loue et des riviÚres comtoises, (consulté le ).
    22. https://radelier-de-la-loue.asso-web.com/49+portiere-a-radeaux-du-moulin-toussaint.html
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