Anhiers
Anhiers est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Anhiers | |||||
Le cimetière, et en arrière-plan, la fosse no 2 de la Compagnie des mines de Flines. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat |
Nadine Mortelette Vahe 2020-2026 |
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Code postal | 59194 | ||||
Code commune | 59007 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Anhiersois | ||||
Population municipale |
892 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 522 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 27″ nord, 3° 09′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 22 m |
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Superficie | 1,71 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orchies | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Anhiers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[17] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), zones urbanisées (22,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes 16, 17 et 118 du réseau de transport Évéole. Ces lignes de bus sont accessibles gratuitement depuis le .
Histoire
Mentionné pour la première fois en 1076, sous le nom de Anherium, le village appartient à la collégiale de Saint Amé de Douai de 1094 jusqu'à la Révolution. Le village tire également profit de la fondation de l'abbaye de Flines toute proche et bénéficie de la protection des châtelains de Raches.
À la fin du XIXe siècle, la découverte de charbon dans le sous-sol entraîne, en 1893, la constitution de la Société Houillère de Flines-lez-Raches dont une partie de la concession se trouve sur le territoire de la commune. Le village connaît alors une poussée démographique et une période de prospérité qui voit la construction de la mairie, de l'école et d'une église.
Après la fermeture des installations houillères, la construction d'un lotissement sur les friches industrielles a permis le maintien sur la place de la population de la commune. Anhiers conserve aujourd'hui un caractère rural tout en bénéficiant de l'implantation des zones industrielles toutes proches.
Politique et administration
Situation administrative
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 618 inscrits, dont 313 votants (50,65 %), 9 votes blancs (2,88 %) et 302 suffrages exprimés (96,49 %). Tous les sièges sont pourvus dès le premier tour, ce qui inclut également la maire sortante Nadine Vahé-Mortelette. Celle-ci récolte 292 voix, tous les autres candidats en ont obtenu plus[24] - [25].
Administration municipale
Liste des maires
Maire de 1802 Ã 1807 : Deregnaucourt[26] - [27].
Identité | Période | Durée | Étiquette | Fonction | |
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Début | Fin | ||||
Constant Larose (d) (années 1830 - ) | années 1870 | (mort en cours de mandat) | |||
François Caby (d) | (démission) | 5 ans et 10 mois | |||
François Cuisinier (d) | (démission) | 7 mois | Maire par intérim (d) | ||
Louis Broutin (d) | 1 mois | Maire par intérim (d) | |||
Nicolas Jeanbaptiste Delmer (d) | 2 ans et 1 mois | ||||
François Caby (d) | 3 ans et 3 mois | ||||
Augustin Coulmont (d) | 8 ans | ||||
Henri Wacquez (d) | 4 ans | ||||
Paul Cuisinier (d) | XXe siècle | ||||
Robert Dujardin (d)[28] ( - ) | (révocation (en)) | 2 ans | Parti communiste français | ||
Louis Noé (d)[29] | Président de la délégation spéciale (d) | ||||
Robert Dujardin (d) ( - ) | 32 ans | Parti communiste français | |||
Christiane Leblanc (d)[30] | 18 ans et 3 mois | ||||
Achille Delporte (d)[31] - [32] - [33] ( - ) | 18 ans et 9 mois | Parti communiste français | |||
Nadine Vahé-Mortelette (d)[34] - [35] - [36] (née le ) | En cours | 9 ans et 4 mois | Parti communiste français |
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 892 habitants[Note 8], en diminution de 3,78 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 447 hommes pour 447 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Anhiers fait partie de l'académie de Lille.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jean-Baptiste reconstruite dans les années 1980.
- La fosse no 2 des mines de Flines puis d'Aniche a été classée le au patrimoine mondial de l'Unesco[43].
Héraldique
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Les armes d'Anhiers se blasonnent ainsi : « Coupé d'or sur azur, à trois fleurs de lis de l'un en l'autre. » |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Anhiers et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Anhiers et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Élections municipales, Anhiers », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 30.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Anhiers », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 8.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
- « Notice Dujardin Robert », Le Maitron,
- Patrick Oddone, Les autorités municipales du Nord-Pas-de-Calais au Journal Officiel (septembre 1939 - août 1944), vol. 76, Université Lille-I, , 79 p. (ISSN 0035-2624 et 2271-7005, OCLC 436643484), chap. 306, p. 573
- A. DÉ., « À Anhiers, les électeurs ont choisi une femme pour succéder à Achille Delporte », La Voix du Nord, : « À 54 ans, cette mère de trois enfants qui milite au Parti communiste « depuis une dizaine d’années » va donc présider aux destinées du village comme Christiane Leblanc avant elle de 1977 à 1995. Cette dernière avait siégé en tant que maire durant trois mandats. »
- « Quel avenir pour la fosse d’Anhiers et son chevalet centenaire en béton ? », La Voix du Nord, : « Achille Delporte, le maire, estime que la commune n’a pas les moyens de se lancer dans une telle entreprise… et tourne ses regards vers la communauté d’agglomération. »
- Nicolas Foissel, « Anhiers : la commune dit adieu à Achille Delporte, son ancien maire », L'Observateur du Douaisis, : « Nombreux sont les sourires qui ont accompagné le souvenir de celui qui fut le premier magistrat de la commune de 1995 à 2004, dans la petite église Saint-Jean-Baptiste. »
- B. D., « Achille Delporte, ancien maire d’Anhiers, est décédé », La Voix du Nord, : « Achille Delporte, ancien maire d’Anhiers est décédé ce jeudi à l’âge de 83 ans. Ses obsèques seront célébrées lundi après-midi. Il a été le premier magistrat de la commune durant dix-neuf ans, de 1995 à 2014. »
- Q. V., « Anhiers : un ancien site minier, classé à l'Unesco, menace de s'effondrer », France 3 Hauts-de-France, : « « Dans deux ans, l'Unesco va revoir tous ses sites, donc s'il est toujours dans cet état, je pense que l'Unesco l'enlèvera de son patrimoine » déplore Nadine Vahé-Mortelette, maire sans étiquette d'Anhiers. »
- Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :
« Anhiers. Nadine Mortelette, 59 ans, est aide-soignante et maire depuis 2014. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Anhiers : Parti communiste »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Anhiers (59007) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur https://whc.unesco.org/, Unesco .