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Alpha Ursae Minoris

Alpha de la Petite Ourse
Étoile polaire ‱ Polaire ‱ Polaris ‱ Étoile du Nord

α Ursae Minoris
Étoile polaire (Polaris)
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Polaris vue par le TĂ©lescope spatial Hubble.
Données d'observation
(Ă©poque J2000.0 – Ă©quinoxe 2000[1])
Ascension droite 02h 31m 49,095s[1]
DĂ©clinaison +89° 15â€Č 50,79″[1]
Constellation Petite Ourse
Magnitude apparente +1,97

Localisation dans la constellation : Petite Ourse

(Voir situation dans la constellation : Petite Ourse)
Astrométrie
Vitesse radiale –16,42 ± 0,03 km/s[1]
Mouvement propre Όα = 44,48 ± 0,11 mas/a[2]
ΌΎ = –11,85 ± 0,13 mas/a[2]
Parallaxe 7,54 ± 0,11 mas[2]
Distance 431 ± 27 al
(132 ± 8 pc)
Magnitude absolue −3,65
Caractéristiques physiques
Masse 4,5 M☉
Rayon 46 ± 3 R☉
Gravité de surface (log g) 2,2
LuminositĂ© 2 440 L☉
TempĂ©rature 7 000 K
Métallicité 112 %
Âge 7 Ă— 107 a

Autres désignations

Polaris, α UMi, 1 UMi (Flamsteed), WRH 39, STF 93 A, AAVSO 0122+88, ADS 1477A, AG+89 4, BD+88°8, CCDM J02319 +8915 A, CSI+88 8 1, FK5 907, GC 2243, GCRV 1037, GEN# +1.00008890 A, GSC 04628-00237, HD 8890, HIC 11767, HIP 11767, HR 424, IDS 01226+8846 A, IRAS 01490+8901, JP11 498, 2MASS J02314822+8915503, N30 381, PLX 299, PLX 299.00, PMC 90-93 640, PPM 431, ROT 3491, SAO 308, SBC7 51, SBC9 76, SKY# 3738, TD1 835, TYC 4628-237-1, UBV 21589, UBV M 8201

Alpha Ursae Minoris (α Ursae Minoris / α UMi, selon la dĂ©signation de Bayer) est l’étoile la plus brillante de la constellation de la Petite Ourse. Elle est connue pour correspondre avec une bonne prĂ©cision Ă  la direction du pĂŽle nord cĂ©leste, ce qui lui vaut l’appellation commune d’Étoile polaire ou plus simplement de Polaire. Sa distance angulaire au pĂŽle cĂ©leste est aujourd’hui d'environ 0°45'. Du fait de cette propriĂ©tĂ© cruciale pour le repĂ©rage, en particulier dans le contexte de la navigation, toutes les civilisations ou presque lui ont donnĂ© un nom traditionnel. On trouve ainsi le nom traditionnel d’origine latine Polaris, mais Ă©galement bien d’autres.

Le systĂšme Polaris

Alpha Ursae Minoris est une étoile multiple dont les cinq composantes sont : l'étoile principale, Alpha Ursae Minoris Aa (α UMi Aa), une supergéante ; deux compagnons proches, Alpha Ursae Minoris Ab (α UMi Ab) et Alpha Ursae Minoris B (α UMi B)[3] ; et deux composantes éloignées, Alpha Ursae Minoris C (α UMi C)[4] et Alpha Ursae Minoris D (α UMi D)[5].

α Ursae Minoris B a été découverte par l'astronome William Herschel[6] - [7] en 1779[7]. Elle forme, avec α Ursae Minoris A, une binaire visuelle[7].

α Ursae Minoris C et α Ursae Minoris D ont été découvertes par l'astronome américain Sherburne W. Burnham en 1894[6].

L'Ă©toile polaire du nord terrestre

Du fait de sa position quasiment confondue avec la direction de l'axe de rotation terrestre, toutes les autres étoiles du ciel paraissent tourner autour d'elle, et dans l'hémisphÚre nord elle ne se couche jamais, tandis qu'elle n'est jamais visible dans l'hémisphÚre sud.

Bien que le processus soit imperceptible Ă  l'Ă©chelle d'une vie humaine, le pĂŽle nord cĂ©leste change en fait de position au fil des siĂšcles du fait de la prĂ©cession des Ă©quinoxes, c'est-Ă -dire un lent changement de la direction de l'axe des pĂŽles terrestres sur un cycle de pĂ©riode environ 25 800 ans[8].

Le pÎle nord céleste continue à s'en approcher, à notre époque, jusqu'à atteindre une direction au plus proche de celle de Polaris le [9], aprÚs quoi il s'en éloignera pendant les millénaires suivants, jusqu'à en devenir distant d'environ 45°, au maximum. Puis, il sera destiné à s'en rapprocher de nouveau, petit à petit.

Il y a 4 800 ans, l'Ă©toile polaire Ă©tait Thuban (α Draconis) ; dans un futur lointain, ce sera VĂ©ga (α Lyrae).

L'utilitĂ© de Polaris comme aide Ă  la navigation (elle s'appelle aussi Stella Maris, Ă©toile de la mer) est attestĂ©e depuis les plus anciennes Ă©critures assyriennes. Il est facile de trouver Polaris en suivant la ligne tracĂ©e Ă  partir de ÎČ Ursae Majoris (Merak) Ă  travers α Ursae Majoris (Dubhe), les deux Ă©toiles au bord droit de la « casserole » caractĂ©ristique de la Grande Ourse. On peut aussi, Ă  l'opposĂ©, suivre la portion droite de la pointe centrale du « W » de CassiopĂ©e.

À notre Ă©poque, Polaris n'a pas d'Ă©quivalent au voisinage du pĂŽle sud cĂ©leste ; l'Ă©toile la plus proche du pĂŽle sud cĂ©leste, σ Octantis, est trĂšs peu lumineuse. Cependant la Croix du Sud pointe vers le pĂŽle sud et est utilisĂ©e pour le repĂ©rer (quoiqu'avec moins de prĂ©cision qu'avec Polaris pour ce qui concerne le pĂŽle nord).

Distance

La parallaxe stellaire est la base de définition du parsec, qui est la distance entre le Soleil et un objet astronomique qui a un angle de parallaxe de une seconde d'arc (1 ua et 1 pc ne sont pas à l'échelle, 1 pc = environ 206265 ua).

Beaucoup d'articles rĂ©cents situent la distance de Polaris Ă  environ 433 annĂ©es-lumiĂšre (133 parsecs)[10], en accord avec les mesures de parallaxe du satellite astromĂ©trique Hipparcos. Les mesures de distance plus anciennes Ă©taient souvent lĂ©gĂšrement plus faibles, et des recherches rĂ©centes basĂ©es sur une analyse spectrale Ă  haute rĂ©solution suggĂšrent qu'elle pourrait ĂȘtre jusqu'Ă  100 annĂ©es-lumiĂšre plus proche (Ă  323 al, soit 99 pc)[11]. Polaris est la variable cĂ©phĂ©ide la plus proche de la Terre et ses paramĂštres physiques sont d'une importance critique pour l'ensemble des Ă©chelles de distance en astronomie[11]. C'est aussi la seule avec une masse mesurĂ©e dynamiquement.

SĂ©lection d'estimations de distance de Polaris
Année Distance, al (pc) Notes
1993 433 al (133 pc) Hipparcos[2]
2006 330 al (101 pc) Turner[12]
2008 359 al (110 pc) Usenko & Klochkova[13]
2013 323 al (99 pc) Turner, et al.[11]
2014 >=385 al (>=118 pc) Neilson[14]
2015 346 al (106 pc) Fadeyev[15]

Le satellite Hipparcos a utilisé la parallaxe stellaire pour faire des mesures entre 1989 et 1993 avec une précision de 0,97 milliseconde d'arc (970 microsecondes d'arc), et il a obtenu des mesures précises des distances stellaires jusqu'à 1000 pc de distance[16]. Les données d'Hipparcos ont été ré-examinées avec des techniques de correction d'erreur et des techniques statistiques plus avancées[2]. Malgré les avantages de la technique astrométrique d'Hipparcos, l'incertitude de ses données pour Polaris a été soulevée et certains chercheurs ont mis en doute la précision d'Hipparcos lors de la mesure de céphéides binaires comme Polaris[11]. Le traitement des données d'Hipparcos spécifiques à Polaris ont été réexaminées et réaffirmées mais il n'y a toujours pas d'accord global sur la distance[17].

La future avancĂ©e majeure dans les mesures de parallaxe de haute prĂ©cision viendra de Gaia, une mission spatiale d'astromĂ©trie lancĂ©e en 2013 et conçue pour mesurer les parallaxes stellaires jusqu'Ă  une prĂ©cision de 25 microsecondes d'arc (ÎŒas)[18]. Il n'Ă©tait pas prĂ©vu que Gaia soit capable de faire des mesures sur des Ă©toiles brillantes telles que Polaris, mais il peut ĂȘtre utilisĂ© pour des mesures sur d'autres membres d'associations prĂ©sumĂ©es et Ă  une Ă©chelle de distance galactique. Les radiotĂ©lescopes ont Ă©galement Ă©tĂ© utilisĂ©s pour rĂ©aliser des mesures prĂ©cises de parallaxe Ă  de grandes distances, mais ils nĂ©cessitent la prĂ©sence d'une source radio compacte en association Ă©troite avec l'Ă©toile, ce qui est typiquement le cas pour des supergĂ©antes froides avec des masers dans leur matiĂšre circumstellaire[19]. Gaia a Ă©tĂ© lancĂ© en et a commencĂ© Ă  enregistrer des donnĂ©es en .

Bien qu'il fĂ»t initialement prĂ©vu de limiter les observations de Gaia aux Ă©toiles plus faibles que la magnitude 5,7, des tests rĂ©alisĂ©s lors de la phase de mise en service ont montrĂ© que Gaia pourrait identifier automatiquement des Ă©toiles aussi brillantes que la magnitude 3. Quand Gaia est entrĂ© en opĂ©ration scientifique rĂ©guliĂšre en , il a Ă©tĂ© configurĂ© pour traiter automatiquement les Ă©toiles dans la plage de magnitude 3 – 20[20]. Au-delĂ  de cette limite, des procĂ©dures spĂ©ciales sont utilisĂ©es pour rĂ©cupĂ©rer les donnĂ©es de balayage brutes des 230 Ă©toiles restantes, plus brillantes que la magnitude 3 ; des mĂ©thodes pour traiter et analyser ces donnĂ©es sont en cours de dĂ©veloppement ; et on s'attend Ă  ce qu'il y ait une "couverture complĂšte du ciel du cĂŽtĂ© brillant" avec des Ă©carts-types de "quelques dizaines de ”as"[21].

La détermination de la distance précise de Polaris est importante pour l'échelle des distances cosmiques parce que, jusqu'à ce que de nouvelles données arrivent, elle est la seule variable Céphéide pour laquelle des données précises de distance existent, ce qui a un effet de décalage sur les mesures de distance qui utilisent cette "rÚgle"[22].

Caractéristiques physiques

Polaris est une variable céphéide supergéante, avec deux compagnons plus petits.

Elle avait commencĂ© Ă  se distinguer de toutes les autres Ă©toiles variables en 1899 au moins (premiĂšres mesures prĂ©cises). À cette Ă©poque, sa magnitude apparente (luminositĂ©), variait d'environ un dixiĂšme, sur un cycle de quatre jours, soit une variation d'Ă©clat d'environ 25 %. Puis, l'amplitude de cette variation a commencĂ© de diminuer, lentement d'abord, puis de plus en plus rapidement.

Le journaliste scientifique Serge Jodra[23] - [24] a rĂ©vĂ©lĂ© en un fait bizarre et toujours peu connu des astronomes — ou en tout cas non commentĂ© : en 1994, la luminositĂ© de l'Ă©toile s'est complĂštement stabilisĂ©e. Les variations de luminositĂ© de Polaris semblent toutefois suivre un rythme complexe[25]. Elles ont d’ailleurs progressivement repris et sont en augmentation[26].

DĂ©nominations

Polaris est le nom propre de l'étoile qui a été approuvé par l'Union astronomique internationale le [27]. Parmi les nombreux noms de Alpha Ursae Minoris, il y a celui d'origine grecque Kinosura, ou Cynosura (réminiscence du fait que la constellation initiale dont faisait partie cette étoile était un chien), ainsi que Yilduz, Mismar, Navigatoria, Tramontana, Phoenice (allusion à sa nature circumpolaire), Polyarnaya, et Alruccaba, parfois orthographié Alruccabah ou Al'rukaba[28].

Histoire

Alpha Ursae Minoris, en tant qu'étoile toujours visible de l'hémisphÚre nord et astre le plus brillant de la constellation de la Petite Ourse, est connue depuis la Préhistoire.

Le , la NASA diffuse la chanson Across The Universe Ă  travers la Voie lactĂ©e pour fĂȘter le 40e anniversaire de son enregistrement. La chanson voyagera Ă  la vitesse de la lumiĂšre pendant trois ou quatre siĂšcles pour atteindre sa destination visĂ©e, Alpha Ursae Minoris.

Notes et références

  1. (en) * alf UMi -- Classical Cepheid (delta Cep type) sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg. (consulté le 11 janvier 2015).
  2. F. Van Leeuwen, « Validation of the new Hipparcos reduction », Astronomy and Astrophysics, vol. 474, no 2,‎ , p. 653–664 (DOI 10.1051/0004-6361:20078357, Bibcode 2007A&A...474..653V, arXiv 0708.1752)
  3. (en) alf UMi B sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
  4. (en) alf UMi C sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
  5. (en) alf UMi D sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
  6. (en) James A. Daley, « CCD Imaging of STF 93 C & D », Journal of Double Star Observations, vol. 2, no 2,‎ , p. 51-53 (Bibcode 2006JDSO....2...51D, lire en ligne [PDF], consultĂ© le )
  7. (en) R. Wielen et al., « Polaris: astrometric orbit, position, and proper motion », Astronomy and Astrophysics, vol. 360,‎ , p. 399-410 (Bibcode 2000A&A...360..399W, arXiv astro-ph/0002406, lire en ligne [[GIF]], consultĂ© le )
  8. Marc SĂ©guin et Benoit Villeneuve, Astronomie et astrophysique, Éditions du Renouveau pĂ©dagogique, p. 17.
  9. Jean Meeus, Mathematical Astronomy Morsels, chap. 50, Ă©d. Willmann-Bell, Virginie, 1997.
  10. N. R. Evans, D. D. Sasselov et C. I. Short, « Polaris: Amplitude, Period Change, and Companions », The Astrophysical Journal, vol. 567, no 2,‎ , p. 1121 (DOI 10.1086/338583, Bibcode 2002ApJ...567.1121E)
  11. D. G. Turner, V. V. Kovtyukh, I. A. Usenko et N. I. Gorlova, « The Pulsation Mode of the Cepheid Polaris », The Astrophysical Journal Letters, vol. 762,‎ , p. L8 (DOI 10.1088/2041-8205/762/1/L8, Bibcode 2013ApJ...762L...8T, arXiv 1211.6103)
  12. D. G. Turner, J. Savoy, J. Derrah, M. Abdel‐Sabour Abdel‐Latif et L. N. Berdnikov, « The Period Changes of Polaris », Publications of the Astronomical Society of the Pacific, vol. 117, no 828,‎ , p. 207 (DOI 10.1086/427838, Bibcode 2005PASP..117..207T)
  13. I. A. Usenko et V. G. Klochkova, « Polaris B, an optical companion of the Polaris (α UMi) system: Atmospheric parameters, chemical composition, distance and mass », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society: Letters, vol. 387,‎ , p. L1 (DOI 10.1111/j.1745-3933.2008.00426.x, Bibcode 2008MNRAS.387L...1U, arXiv 0708.0333)
  14. H. R. Neilson, « Revisiting the fundamental properties of the Cepheid Polaris using detailed stellar evolution models », Astronomy & Astrophysics, vol. 563,‎ , A48 (DOI 10.1051/0004-6361/201423482, Bibcode 2014A&A...563A..48N, arXiv 1402.1177)
  15. Y. A. Fadeyev, « Evolutionary status of Polaris », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 449,‎ , p. 1011 (DOI 10.1093/mnras/stv412, Bibcode 2015MNRAS.449.1011F, arXiv 1502.06463)
  16. F. Van Leeuwen, « The Hipparcos Mission », Space Science Reviews, vol. 81, nos 3/4,‎ , p. 201 (DOI 10.1023/A:1005081918325, Bibcode 1997SSRv...81..201V)
  17. F. Van Leeuwen, « The HIPPARCOS parallax for Polaris », Astronomy & Astrophysics, vol. 550,‎ , p. L3 (DOI 10.1051/0004-6361/201220871, Bibcode 2013A&A...550L...3V, arXiv 1301.0890)
  18. Liu, C. A. L. Bailer-Jones, R. Sordo, A. Vallenari, R. Borrachero, X. Luri et P. Sartoretti, « The expected performance of stellar parametrization with Gaia spectrophotometry », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 426, no 3,‎ , p. 2463 (DOI 10.1111/j.1365-2966.2012.21797.x, Bibcode 2012MNRAS.426.2463L, arXiv 1207.6005)
  19. « Radio Telescopes' Precise Measurements Yield Rich Scientific Payoffs »
  20. J. Martín-Fleitas, A. Mora, J. Sahlmann, R. Kohley, B. Massart et al., Enabling Gaia observations of naked-eye stars, vol. 9143, coll. « Proc. SPIE », (DOI 10.1117/12.2056325, arXiv 1408.3039v1)
  21. T. Prusti, « The Gaia mission » (forthcoming article), Astronomy and Astrophysics,‎ (DOI 10.1051/0004-6361/201629272, lire en ligne, consultĂ© le )
  22. Magazine Ciel et Espace, no 292, juin 1994, p. 56-59.
  23. EncyclopĂ©die Imago Mundi, « Les Étoiles (fin de la page) », Imago Mundi, (consultĂ© le )
  24. « Precise radial velocities of polaris: detection of amplitude growth », Lee B.-C. et al, The Astronomical Journal, 135, 2240-2244 (2008).
  25. « L'étoile Polaire n'est pas mourante », MaxiSciences, (consulté le ).
  26. (en) « Table 1: Star Names Approved by WGSN as of 20 July 2016 », Bulletin of the IAU Working Group on Star Names, no 1,‎ (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
  27. (en) N. D. Kostjuk, HD-DM-GC-HR-HIP-Bayer-Flamsteed Cross Index, disponible au Centre de données astronomiques de Strasbourg, voir en ligne.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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