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Îles Saint-Paul et Amsterdam

Les Ăźles Saint-Paul et Amsterdam[1] - [2], anciennement Ăźles Saint-Paul et Nouvelle-Amsterdam[3], forment un district des Terres australes et antarctiques françaises composĂ© des Ăźles Saint-Paul et Amsterdam distantes l’une de l’autre de 91 km. Ce district est situĂ© dans le Sud de l'ocĂ©an Indien Ă  l’extrĂ©mitĂ© sud-ouest de la plaque australienne, Ă  environ 1 325 km au nord-nord-est des Ăźles Kerguelen. La population est d’environ vingt-cinq personnes en hiver et cinquante personnes en Ă©tĂ©[4].

Îles Saint-Paul et Amsterdam
Relief cĂŽtier de l'Ăźle Saint-Paul.
Relief cĂŽtier de l'Ăźle Saint-Paul.
Carte topographique détaillée du district.
Carte topographique détaillée du district.
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
Localisation Océan Indien, Plaque australienne, Continent antarctique
CoordonnĂ©es 38° 16â€Č 10″ S, 77° 32â€Č 30″ E
Superficie 66 km2
Nombre d'Ăźles 2
Île(s) principale(s) üle Saint-Paul, üle Amsterdam
Point culminant Mont de la Dives (881 m sur Amsterdam)
Administration
Statut District des TAAF

Territoire d'outre-mer Drapeau des Terres australes et antarctiques françaises Terres australes et antarctiques françaises
DĂ©mographie
Population 25 hab. (2006)
DensitĂ© 0,38 hab./km2
Plus grande ville Martin-de-ViviĂšs
Autres informations
DĂ©couverte 18 mars 1522, par Magellan
Fuseau horaire UTC+05:00
Géolocalisation sur la carte : océan Indien
(Voir situation sur carte : océan Indien)
Îles Saint-Paul et Amsterdam
Îles Saint-Paul et Amsterdam
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăźles Saint-Paul et Amsterdam
(Voir situation sur carte : Ăźles Saint-Paul et Amsterdam)
Îles Saint-Paul et Amsterdam
Îles Saint-Paul et Amsterdam

GĂ©ographie

Les deux Ăźles sont de tailles trĂšs diffĂ©rentes, en effet l’üle Amsterdam a une superficie de 58 km2 contre km2 seulement pour l’üle Saint-Paul.

Toutes deux sont des volcans actuellement inactifs, partie Ă©mergĂ©e d’un Ă©troit plateau continental entourĂ© de fonds de plus de 3 000 mĂštres. L’üle Amsterdam forme une ellipse dont la partie occidentale s’est effondrĂ©e pour laisser place Ă  une falaise de 400 mĂštres de haut. L’üle Saint-Paul est caractĂ©risĂ©e par un grand cratĂšre central oĂč la mer a pĂ©nĂ©trĂ©. Le cratĂšre s'est ouvert sur la mer lors de la derniĂšre Ă©ruption en 1792[5].

Le climat est de type océanique tempéré mais trÚs venteux. Situées au-dessus de la zone dite de convergence antarctique, séparation des eaux chaudes de l'océan Indien et froides de l'océan Austral, les ßles ne connaissent pas de neige ou de gelée.

Aucune population rĂ©sidente ne vit sur ces Ăźles mais une base scientifique permanente, la base Martin-de-ViviĂšs, est installĂ©e sur Amsterdam et accueille sans discontinuer depuis 1949 des missions successives qui comptent entre 23 et 35 personnes selon la saison. Il n’y a en revanche pas de prĂ©sence humaine permanente sur l’üle Saint-Paul, qui n’est visitĂ©e que lors de brĂšves expĂ©ditions scientifiques ou Ă©cologiques. L'Ăźle est de fait une rĂ©serve intĂ©grale de biodiversitĂ©[6] .

Les deux ßles sont protégées au sein de la Réserve naturelle nationale des Terres australes françaises. Cette protection couvre tant leurs espaces terrestres que leurs eaux territoriales respectives[6].

Climat

Martin-de-ViviÚs a un climat de type Cfb (océanique) avec comme record de chaleur 26,4 °C le et comme record de froid 2 °C le . La température moyenne annuelle est de 14,1 °C.

Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 14,5 14,9 14,4 13,3 11,8 10,5 9,7 9,5 9,8 10,2 11,4 13,2 11,9
Température moyenne (°C) 17,1 17,5 16,8 15,5 13,7 12,4 11,7 11,5 11,9 12,5 13,8 15,7 14,1
Température maximale moyenne (°C) 19,7 20,1 19,2 17,6 15,7 14,3 13,5 13,5 14 14,7 16,1 18,2 16,3
Record de froid (°C) 9,4 8,8 7,8 6,4 3,8 3,7 2 2,8 4 4,4 4,9 7,8 2
Record de chaleur (°C) 26,4 26 25 24 21 19 19 20 19 19 21,3 26 26,4
PrĂ©cipitations (mm) 76,5 66,4 98,7 102,3 123,9 118,6 101,1 87,1 87,8 88,7 82,2 78,2 1 110,2
Source : meteostats-bzh[7]

Environnement

Prairies tempérées des ßles Saint-Paul et Amsterdam
ÉcorĂ©gion terrestre - Code AT0802[8]
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Relief cĂŽtier de l'Ăźle Saint-Paul.
Conservation
Statut[10] :
Critique / En danger
EspÚces menacées[11] :
5
Ressources web :

Les eaux environnantes sont riches en poisson et en langouste (Jasus paulensis (en)). Le gouverneur des TAAF fixe chaque annĂ©e par dĂ©cret un quota trĂšs prĂ©cis avec zones de pĂȘche, techniques, types et quantitĂ©s de prise pour les eaux territoriales et la zone Ă©conomique exclusive. En 2005, deux armements rĂ©unionnais avaient le droit de pĂȘcher, en alternance et avec un seul navire, dans les eaux des deux Ăźles.

La végétation naturelle des ßles est de type herbeux, plus ou moins dense, le Fonds mondial pour la nature définit cette écorégion terrestre comme les « prairies tempérées des ßles Saint-Paul et Amsterdam ».

L’üle Amsterdam est la seule Ăźle des TAAF oĂč se trouve une espĂšce d’arbres, Phylica arborea, plus prĂ©sent sur le versant est de l’üle. La faune habituelle des Ăźles subantarctiques de l’ocĂ©an Indien est prĂ©sente sur les Ăźles. Une population importante d'otaries (Arctocephalus tropicalis) frĂ©quente les cĂŽtes des deux Ăźles et s’y reproduit. De nombreux oiseaux marins viennent Ă©galement nicher Ă  terre, dont en particulier sur Amsterdam, une espĂšce endĂ©mique : l'Albatros d'Amsterdam (Diomedea amsterdamensis).

Sur les deux Ăźles, des introductions volontaires ou accidentelles d’espĂšces exogĂšnes (souris, rats, lapins, chats, bovins) ont fortement perturbĂ© la faune et la flore locales[12] :

Île Amsterdam

Sur Amsterdam vivait jusqu’en 2010 un troupeau d’environ 600 vaches sauvages, descendant d’un Ă©levage tentĂ© au XIXe siĂšcle et ayant pratiquement fait disparaĂźtre l'unique espĂšce d'arbre, Phylica arborea. « D'autre part, le sol de la zone pĂąturĂ©e est fortement dĂ©gradĂ©, laissant la roche affleurer par endroits[12] ». À partir de 1987 (quand vivaient 2 000 animaux), une rĂ©gulation du cheptel fut instaurĂ©e (par abattages rĂ©guliers), et les bovins cantonnĂ©s sur un peu plus de 20 % de l’üle par une barriĂšre de barbelĂ©s, maintenant un statu quo. La zone rĂ©servĂ©e au bĂ©tail reprĂ©sentait 12 km2 sur les 58 km2 de l’üle. GrĂące Ă  cette barriĂšre, le dĂ©clin de la population de Phylica arborea a Ă©tĂ© stoppĂ©, et les zones qu’il recouvre sont en augmentation, bien qu’elles ne reprĂ©sentent toujours qu’un trĂšs faible pourcentage du peuplement originel.

En 2010 fut dĂ©cidĂ© l’abattage progressif du troupeau et le dĂ©montage de la barriĂšre devenue inutile. L’annĂ©e suivante, il ne restait plus qu’une vache ayant temporairement Ă©chappĂ© Ă  son sort avant d’ĂȘtre repĂ©rĂ©e par le personnel de la base. Aujourd’hui, l’üle est dĂ©barrassĂ©e de ses bovins.

« D’autres mammifĂšres terrestres ont Ă©tĂ© introduits :

  • les souris qui semblent adopter un rĂ©gime alimentaire exclusivement vĂ©gĂ©tarien.
  • les rats qui consomment des Ɠufs et des jeunes poussins en Ă©tĂ© mais deviennent vĂ©gĂ©tariens en hiver.
  • les chats qui se nourrissent principalement aux dĂ©pens des oiseaux, des souris et des rats[12] ».

« ApportĂ© sur l’üle en 1977, le bec-rose (Estrilda astrild), passereau de l’üle de La RĂ©union, est le seul oiseau introduit de l’üle[12] ». L’oiseau ne semble pas ĂȘtre invasif, et sa population reste raisonnable.

Île Saint-Paul

À Saint-Paul, une population de rats estimĂ©e entre 50 000 et 100 000 individus Ă  la fin des annĂ©es 1990 y avait considĂ©rablement rĂ©duit la population d’oiseaux marins en s’attaquant Ă  leurs nids. L’üle a Ă©tĂ© entiĂšrement dĂ©ratisĂ©e en 1999. Depuis la population d’oiseaux maritimes se reconstitue progressivement[12].

Histoire

L’histoire des Ăźles Saint-Paul et Amsterdam est liĂ©e par leur proximitĂ©. L’üle Amsterdam est mentionnĂ©e dans le journal de l’expĂ©dition de Magellan - Elcano aperçue le par le deuxiĂšme chef de l’expĂ©dition, le Basque de Getaria (Guipuscoa) Juan SebastiĂĄn Elcano, lors de son voyage de retour en Espagne depuis les Ăźles Philippines[13].

L’üle Saint-Paul a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1559 par les Portugais. L’üle a Ă©tĂ© cartographiĂ©e, dĂ©crite en dĂ©tail et peinte par des membres de l’équipage de la nau SĂŁo Paulo, parmi lesquels le PĂšre Manuel Álvares et le chimiste Henrique Dias. Álvares et Dias ont correctement calculĂ© la latitude comme 38 ° Sud. Le navire Ă©tait commandĂ© par Rui Melo da CĂąmara et faisait partie de l’Armada portugaise de l’Inde commandĂ©e par Jorge de Sousa. En 1599, le gĂ©ographe Evert Gysberths indique sur un portulan une Ăźle par 38°S avec la mention « T.q. descrobio o nao S. Paulo » (terre qu’a dĂ©couverte le navire Saint Paul)[14].

Les deux Ăźles sont observĂ©es Ă  plusieurs reprises, et quelquefois confondues, par des navigateurs au dĂ©but du XVIIe siĂšcle. Elles se trouvent non loin de la route entre Le Cap et les Ăźles de la Sonde donc sur l’ancienne route maritime reliant l’Europe aux Indes. Les navires de la V.O.C. devaient les reconnaĂźtre avant d’obliquer vers le nord-est en direction du dĂ©troit de la Sonde et de Batavia[15]. Le gouverneur hollandais van Diemen donne Ă  l’üle Amsterdam le nom de son navire, Nieuw Amsterdam, en 1633. Mais c’est un autre Hollandais, le navigateur Willem de Vlamingh, Ă  la recherche d’un navire perdu qui fut en 1696 le premier Ă  y dĂ©barquer (ainsi qu’a priori sur l’üle Saint-Paul).

Un siĂšcle plus tard, un navigateur hollandais, Harwick Claesz de Hillegom, aperçoit l’üle dont il estime la latitude Ă  38°50'S. Pensant ĂȘtre le premier Ă  la dĂ©couvrir, il lui donne alors le nom de son navire, Zeewolf. L’amiral d’Entrecasteaux en route pour le Pacifique Ă  la recherche de La PĂ©rouse Ă  bord de La Recherche et de L’EspĂ©rance s’arrĂȘte Ă  Amsterdam en 1792. Un premier relevĂ© de la cĂŽte orientale est alors effectuĂ©.

En 1793 un navire anglais commandĂ© par Lord Macartney en route pour la Chine dĂ©barque sur l’üle Saint-Paul. Il y trouve un marin brestois abandonnĂ© par un navire amĂ©ricain. Il dresse une carte de l’üle mais la confond avec l’üle Amsterdam.

Puis les deux Ăźles ne sont plus frĂ©quentĂ©es que par des pĂȘcheurs de la RĂ©union, des chasseurs d’otaries ou de baleines amĂ©ricains ou anglais et des naufragĂ©s. En , Amsterdam et Saint-Paul reçoivent la visite de la corvette française HĂ©roĂŻne commandĂ©e par Jean-Baptiste CĂ©cille.

En 1842, elles Ă©veillent l’intĂ©rĂȘt du Polonais Adam MierosƂawski (pl), capitaine du Cygne de Granville. Le capitaine MierosƂawski a passĂ© son diplĂŽme de capitaine au long cours sous le nom de son frĂšre Pierre Louis Adam MierosƂawski, en utilisant le passeport français de ce dernier. En 1843, Adam MierosƂawski propose au gouverneur de l’üle Bourbon (RĂ©union), le contre-amiral Bazoche, la prise de possession de ces Ăźles dĂ©sertes. En absence de navire de guerre en rade, Bazoche fait appel au trois-mĂąts L'Olympe, commandĂ© par Martin Dupeyrat. Le capitaine Dupeyrat et son bateau vont ramener Adam MierosƂawski sur ces Ăźles. Le capitaine MierosƂawski est mandatĂ© par le gouverneur de Bourbon, par l’arrĂȘtĂ© du , pour assumer le commandement de ces Ăźles aussitĂŽt la prise de possession au nom de la France.

Entre-temps le Royaume-Uni conteste cette prise de possession. Pour Ă©viter les problĂšmes et au vu de la pauvretĂ© des deux Ăźles, la France envoie une dĂ©pĂȘche Ă  l’amiral Bazoche demandant le rappel de la garnison. MierosƂawski le conteste (il menace mĂȘme de hisser le drapeau polonais!). Il commence alors Ă  nĂ©gocier avec Bazoche, un ami, Adolphe Camin et d'autres interlocuteurs de la RĂ©union avec qui ils fondent une sociĂ©tĂ© par actions en 1845 pour l'exploitation des deux Ăźles et la crĂ©ation d'Ă©tablissements sur place. L'Ăźle Saint-Paul, oĂč est alors installĂ©e une pĂȘcherie, compte pendant la pĂ©riode qui suit jusqu'Ă  40 habitants, mais privĂ©e de son fondateur et dĂ©sertĂ©e peu Ă  peu par les pĂȘcheurs, l'entreprise s'interrompt en 1853.

En janvier 1871, le Réunionnais Heurtin et sa famille débarquent à l'ßle Amsterdam et tentent un élevage de bovins et la culture de la terre. C'est un échec. Ils retournent à la Réunion six mois plus tard mais abandonnent les bovins qui vont s'acclimater à l'ßle et retourner à l'état sauvage. En septembre 1874, une mission astronomique française à bord du navire Le Fernand fréquente les deux ßles. Elle débarque sur l'ßle Saint-Paul pour observer le passage de Vénus devant le soleil. La fin de la mission a lieu en . Lors de cette mission, le géologue Charles Vélain débarque à Amsterdam et publie en 1878 les premiÚres données géologiques des deux ßles [16].

En octobre 1892, le navire de guerre français le La Bourdonnais reprend possession des deux ßles au nom de la France. En 1893, un autre navire, L'Eure, de retour de mission des ßles Kerguelen, confirme cette prise de possession.

En 1924, les Ăźles Saint-Paul et Amsterdam sont rattachĂ©es Ă  Madagascar, alors colonie française. Peu avant l'indĂ©pendance de Madagascar, en 1960, les deux Ăźles en sont dĂ©tachĂ©es et, de ce fait, restent françaises tout comme les Ăźles Éparses.

Administration

Drapeau des TAAF.
Logo des TAAF.

Les Îles Saint-Paul et Amsterdam font partie des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Les TAAF sont placĂ©es sous l'autoritĂ© de l'administrateur supĂ©rieur qui exerce les fonctions de chef du territoire[17] et jouit du rang de prĂ©fet.

Les Îles Saint-Paul et Amsterdam sont aussi un district des TAAF[18].

À ce sujet, un chef de district y est le reprĂ©sentant du prĂ©fet des TAAF, l’administrateur supĂ©rieur. Un des rĂŽles des chefs de district dans les TAAF est de diriger les bases australes et antarctiques. Dans le cas des Îles Saint-Paul et Amsterdam, c’est plus particuliĂšrement autour de la base Martin-de-ViviĂšs situĂ©e sur Amsterdam que le chef de district exerce son autoritĂ©[19].

De plus, les Îles Saint-Paul et Amsterdam, comme les autres territoires d’outre-mer, sont associĂ©es Ă  l'Union europĂ©enne, en tant que pays et territoires d'outre-mer (PTOM)[20].

Enfin le budget du district est liĂ© au budget gĂ©nĂ©ral des TAAF qui reprĂ©sente actuellement 26 millions d’euros[20].

Notes et références

Notes

    Références

    1. [PDF] Entités politiques souveraines ou dépendantes sur le site du Conseil national de l'information géographique.
    2. Le district de Saint-Paul et Amsterdam sur le site des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF).
    3. « Code des collectivités d'outre-mer (COM) », INSEE (consulté le )
    4. « Subantarctique - Institut polaire français Paul-Emile Victor », sur Institut polaire français Paul-Emile Victor (consulté le ).
    5. « Présentation des ßles Saint-Paul et Amsterdam », sur amaepf.fr (consulté le )
    6. « Décret no 2006-1211 du 3 octobre 2006 portant création de la réserve naturelle des Terres australes françaises » [PDF], sur TAAF.fr.
    7. Le climat à Martin de ViviÚs (en °C et mm, moyennes mensuelles 1971/2000 et records depuis 1973), meteostats-bzh.
    8. (en) D. M. Olson, E. Dinerstein, E. D. Wikramanayake, N. D. Burgess, G. V. N. Powell, E. C. Underwood, J. A. D'Amico, I. Itoua, H. E. Strand, J. C. Morrison, C. J. Loucks, T. F. Allnutt, T. H. Ricketts, Y. Kura, J. F. Lamoreux, W. W. Wettengel, P. Hedao et K. R. Kassem, « Terrestrial Ecoregions of the World: A New Map of Life on Earth », BioScience, vol. 51, no 11,‎ , p. 935-938.
    9. (en) G. Kier, J. Mutke, E. Dinerstein, T. H. Ricketts, W. KĂŒper, H. Kreft et W. Barthlott, « Global patterns of plant diversity and floristic knowledge », Journal of Biogeography, vol. 32,‎ , p. 1107–1116 (DOI 10.1111/j.1365-2699.2005.01272.x, lire en ligne), donnĂ©es et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
    10. (en)World Wildlife Fund, « WildFinder: Online database of species distributions », , données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
    11. (en) J. M. Hoekstra, J. L. Molnar, M. Jennings, C. Revenga, M. D. Spalding, T. M. Boucher, J. C. Robertson, T. J. Heibel et K. Ellison, The Atlas of Global Conservation : Changes, Challenges, and Opportunities to Make a Difference, Berkeley, University of California Press, (lire en ligne), données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
    12. « Le problĂšme des espĂšces introduites », sur le site de l'Institut polaire français Paul-Émile-Victor (consultĂ© le ).
    13. Description gĂ©ologique, presqu’üle d'Aden, Ăźle de la RĂ©union, Ăźles Saint-Paul et Amsterdam, Ch. Velain, Paris 1878, p. 215
    14. Ch. Velain, op. cit., p. 217
    15. Catalogue de l’exposition « L’ñge d’or des cartes marines », Seuil/BNF, , p. 233
    16. Ch. Velain, op. cit.
    17. « Le préfet, administrateur supérieur des TAAF », sur TAAF.fr (consulté le )
    18. « District de Saint-Paul et Amsterdam », sur TAAF.fr (consulté le ).
    19. « Le chef de district », sur TAAF.fr (consulté le )
    20. « Présentation générale des TAAF », sur TAAF.fr (consulté le )

    Annexes

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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