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ĂŽle Saint-Louis

L’île Saint-Louis est une Ă®le situĂ©e sur le fleuve de la Seine, en plein cĹ“ur de Paris, dans le 4e arrondissement, juste en amont de l’île de la CitĂ©. L’île Saint-Louis comptait une population de 2 323 habitants au [1]. Les habitants de l’île Saint-Louis sont les Ludovisiens[2] ou les Ludoviciens[3].

ĂŽle Saint-Louis
Le sud de l’île Saint-Louis, avec le quai d’Orléans, vu depuis le pont de la Tournelle.
Le sud de l’île Saint-Louis, avec le quai d’Orléans, vu depuis le pont de la Tournelle.
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
Localisation Seine
CoordonnĂ©es 48° 51′ 06″ N, 2° 21′ 23″ E
Superficie 0,11 km2
GĂ©ologie ĂŽle fluviale
Administration
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Paris
Arrondissement 4e
DĂ©mographie
Population 2 323 hab. (2016)
DensitĂ© 21 118,18 hab./km2
Gentilé Ludovisiens ; Ludoviciens
Autres informations
Fuseau horaire UTC+1
GĂ©olocalisation sur la carte : 4e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 4e arrondissement de Paris)
ĂŽle Saint-Louis
ĂŽle Saint-Louis
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
ĂŽle Saint-Louis
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GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
(Voir situation sur carte : ĂŽle-de-France)
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GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
ĂŽle Saint-Louis
ĂŽle Saint-Louis
ĂŽle en France

Situation et accès

Carte du 4e arrondissement de Paris ; l’île Saint-Louis est située au centre, vers le bas de la carte.

SituĂ©e immĂ©diatement en amont de l’île de la CitĂ©, elle est la plus petite des deux avec une superficie de 11 ha. Elle prend la forme d’un parallĂ©logramme de 525 m sur son grand cĂ´tĂ© et de 250 m sur son petit cĂ´tĂ©, orientĂ© dans une direction gĂ©nĂ©rale vers le nord-ouest. Sa plus grande diagonale, entre la pointe nord-ouest (place Louis-Aragon) et la pointe sud-est (square Barye), atteint un peu plus de 700 m.

L’île Saint-Louis est, avec l’île de la Cité, l’une des deux îles naturelles de la Seine subsistant encore de nos jours à Paris (l’actuelle île aux Cygnes est entièrement artificielle).

DĂ©coupage du 4e arrondissement en quatre quartiers administratifs.

Administrativement, l’île Saint-Louis fait partie de l’arrondissement de l’Hôtel-de-Ville mieux connu sous l’appellation de 4e arrondissement, dont elle marque la limite sud-est. L’île Saint-Louis et la partie orientale de l’île de la Cité forment le quartier Notre-Dame ou 16e quartier de Paris, l’un des quatre quartiers administratifs du 4e arrondissement.

Avant 1860, l’île Saint-Louis faisait partie de l’ancien 9e arrondissement de Paris et formait à elle seule l’ancien « quartier de l’Île-Saint-Louis ».
Sous la Révolution, elle constituait l'une des 48 sections révolutionnaires parisiennes baptisée section de la Fraternité.

L’île Saint-Louis est connectée au reste de l’arrondissement sur la rive droite du fleuve par trois ponts, plus un quatrième qui la relie à l’île de la Cité, et au 5e arrondissement, sur la rive gauche, par deux autres ponts.

Ponts

Cinq ponts donnent l’accès à cette île, depuis les rives droite et gauche de la Seine ou depuis l’île de la Cité :

  • Le pont Saint-Louis vu depuis l'Ă®le Saint-Louis en direction de l'Ă®le de la CitĂ©.
    Le pont Saint-Louis vu depuis l'île Saint-Louis en direction de l'île de la Cité.
  • Le pont de la Tournelle, vu depuis l'Ă®le Saint-Louis en direction de la rive gauche.
    Le pont de la Tournelle, vu depuis l'île Saint-Louis en direction de la rive gauche.
  • Partie du pont de Sully reliant l'Ă®le Ă  la rive gauche (arrière-plan).
    Partie du pont de Sully reliant l'île à la rive gauche (arrière-plan).
  • Partie du pont de Sully entre l'Ă®le (Ă  gauche) et la rive droite (Ă  droite).
    Partie du pont de Sully entre l'île (à gauche) et la rive droite (à droite).
  • Le pont Louis-Philippe vu depuis l'Ă®le, en direction de la rive droite.
    Le pont Louis-Philippe vu depuis l'île, en direction de la rive droite.
  • Le pont Marie vue depuis l'Ă®le en direction de la rive droite (Ă  droite).
    Le pont Marie vue depuis l'île en direction de la rive droite (à droite).

Voies

L’île Saint-Louis, vue depuis l’Institut du monde arabe. À gauche, l’île de la Cité.

L’île Saint-Louis est entourée par quatre quais, chacun délimitant grossièrement un quart de l’île :

L’île est traversée en son milieu par la rue Saint-Louis-en-l'Île, unique voie de circulation qui soit parallèle à la Seine (à l’exception des quais).

Carte de l'île Saint-Louis.

Les autres voies de l’île sont toutes perpendiculaires à la rue Saint-Louis-en-l’Île, à l'exception du boulevard Henri-IV. Elles traversent l’île de part en part, sauf trois qui s’arrêtent à la rue Saint-Louis-en-l’Île. Depuis l’amont vers l’aval, on trouve successivement :

  • le boulevard Henri-IV, qui se poursuit entre les deux parties du pont Sully ;
  • la rue de Bretonvilliers, entre le quai de BĂ©thune et la rue Saint-Louis-en-l’Île ;
  • la rue Poulletier, entre le quai de BĂ©thune et le quai d’Anjou ;
  • la rue des Deux-Ponts, entre le pont de la Tournelle et le pont Marie ;
  • la rue BudĂ©, entre le quai d’OrlĂ©ans et la rue Saint-Louis-en-l’Île ;
  • la rue Le Regrattier, entre le quai d’OrlĂ©ans et le quai de Bourbon ;
  • la rue Boutarel, entre le quai d’OrlĂ©ans et la rue Saint-Louis-en-l’Île ;
  • la rue Jean-du-Bellay, entre le pont Saint-Louis et le pont Louis-Philippe.

En outre,

  • la place Louis-Aragon est situĂ©e sur la pointe nord-ouest (pointe aval) de l’île, au-delĂ  du quai de Bourbon.

Transports en commun

L’île Saint-Louis n'est desservie directement par aucune ligne de métro. Les stations les plus proches sont celles de Pont Marie et Sully - Morland, sur la ligne 7, sur la rive droite de la Seine.

La ligne de bus 67 traverse l’île du nord vers le sud le long de la rue des Deux-Ponts et possède un arrêt situé à peu près au milieu de l’île. À l’est, sur le boulevard Henri-IV, les lignes 86 et 87 possèdent un arrêt dans les deux sens, entre les deux parties du pont Sully.

Historique

Origine

L'île aux Vaches et l'île Notre-Dame sur le plan de Vassalieu (1609).

Avant son urbanisation, le site actuel de l’île Saint-Louis est appelé l’île Notre-Dame. Elle est donnée par le roi Charles le Chauve à l’évêque de Paris en 867. Les chanoines de Notre-Dame en récupèrent la propriété peu après. L’île est reliée à la rive gauche du fleuve par une passerelle à l’emplacement de l’actuel pont de la Tournelle[4]. Elle sert essentiellement de zone de pâturage et d’entrepôt, mais également parfois à certaines cérémonies chevaleresques[5].

Au XIIIe siècle, lorsque Paris est fortifié par l’enceinte de Philippe Auguste, un chenal coupe en deux l’île actuelle, alors inhabitée, dans le prolongement des murs d’enceinte. La partie ouest (à peu près les deux tiers) est appelée île Notre-Dame, et la partie est île aux Vaches.

L'île aux Vaches est une île inhabitée essentiellement recouverte de prairies. Elle est réunie à l'île Notre-Dame située immédiatement en aval à la fin du XVIIe siècle, lors de l'opération urbaine qui contribue à former l'actuelle île Saint-Louis[6].

Urbanisation

À gauche sur l'image, l'île Notre-Dame (ie partie occidentale de l'île Saint-Louis actuelle) en 1590 ou 1593 ; à cette époque l'île n'est pas encore lotie. (Musée Carnavalet).
Rue Saint-Louis-en-l’Île en 2007 vue dans la direction du pont de Sully.
ĂŽles Louviers, aux Vaches et Notre-Dame en 1630 (plan de Tavernier).

Des projets d’urbanisation de ces deux îles sont élaborés sous le règne d’Henri IV, mais c’est sous le règne de son fils Louis XIII, sous la régence de Marie de Médicis en 1614, que cette tâche est confiée à Christophe Marie, entrepreneur général des Ponts. Il s’agit alors d’une des premières opérations d’urbanisme d’envergure à Paris. Marie s’associe à deux entrepreneurs, Lugles Poulletier et François Le Regrattier, et est chargé à ses frais de combler le chenal, de construire des ponts pérennes et de renforcer les quais, en échange d’un droit sur le lotissement du terrain.

Malgré l’opposition des chanoines de Notre-Dame, l’île est habitée et couverte de maisons depuis environ 1640[7], les opérations d’urbanisme se poursuivent pendant une trentaine d’années jusqu’à la moitié du XVIIe siècle.

Le chenal séparant les deux îles est comblé par l'entrepreneur Christophe Marie, afin de ne former qu’une seule île. Celle-ci est entourée de quais visant à assurer la stabilité et l’horizontalité de la zone ; leur hauteur permet de maintenir le terrain à l’abri des crues du fleuve. Le plan des rues adopte une forme en damier où les voies de circulation se coupent à angle droit. L’île est structurée par la rue Saint-Louis-en-l'Île, sa principale artère, qui la parcourt pratiquement sur toute sa longueur d’est en ouest.

L’île Saint-Louis voit également la construction d’un nombre important d’hôtels particuliers, qui la font surnommer « l’île des palais ». Le lotissement est pratiquement achevé en 1664[6]. Un certain nombre de ces hôtels sont l’œuvre de l'architecte Louis Le Vau (qui s’y installe d’ailleurs avec sa famille en 1639) et de son frère François Le Vau (lui aussi installé sur l’île). Ce dernier dessine les plans de l’église Saint-Louis-en-l’Île, bâtie en 1644.

Plusieurs ponts sont construits afin de relier l’île au reste de la capitale : le pont Marie est achevé en 1635[8], le pont de la Tournelle en 1656[4]. La liaison entre l’île Saint-Louis et l’île de la Cité, inaugurée vers 1630, s’effondre à plusieurs reprises et sera reconstruite six fois au cours des siècles suivants[9].

Vue aérienne de nord-ouest, l'île Saint-Louis en haut derrière l'île de la Cité.

En 1725, l’île Saint-Louis prend son nom actuel, qu'elle tient du roi Louis IX, surnommé Saint Louis, saint patron et ancêtre de Louis XIII. Selon la légende, il avait l’habitude de venir prier sur l’île aux Vaches et y aurait pris la croix avec ses chevaliers en 1269 avant de partir pour la huitième croisade (expédition qui lui sera fatale : Louis IX meurt de dysenterie sous les murs de Tunis un an plus tard).

Après son urbanisation, le centre de gravité de la capitale se déplace en aval du fleuve et l’île Saint-Louis ne connaît que peu de transformations. Le pont Louis-Philippe relie l’île à la rive droite en 1862[10]. Le pont de Sully est construit à l’est de l’île en 1876 en remplacement de deux passerelles[11].

En 1924, les habitants de l’île, qui se font appeler les Ludovisiens, ont leur journal, Le Sémaphore, « organe de défense des intérêts matériels et spirituels des insulaires »[12].

Le pont Saint-Louis, dernier avatar des passerelles entre les deux îles, est inauguré en 1970[9].

Depuis le début des années 1980, l’île Saint-Louis est un choix privilégié pour les résidences secondaires ou pieds-à-terre à Paris. À l’intérieur de l’île, les appartements de petites surfaces ont été majoritairement transformés en résidences secondaires[13].

L'hôtel Lambert, un des plus beaux hôtels particuliers de l'île, est racheté par Abdallah Ben Abdallah-Al-Thani, de la famille princière du Qatar, puis, en 2022, devient la propriété de l'homme d'affaires français Xavier Niel[14]. Il connaît un important incendie en .

DĂ©mographie

En 2016, l’île Saint-Louis compte 2 323 habitants[1]. Avec 21 118 hab./km2, la densitĂ© de population de l’île est un peu infĂ©rieure Ă  la moyenne parisienne.

Le tableau ci-dessous résume l'évolution de la population de l'île depuis 1800 (chiffres manquants pour les recensements de 1861 à 1990)[15] - [16] - [17] - [1].

1800 1817 1831 1836 1841 1846 1851 1856
4 7035 7786 0786 5487 1417 6258 2969 739
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
--------
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
--------
1954 1962 1975 1982 1990 1999 2007 2013
-----2 9842 4652 323

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Le clocher et l’horloge de l’église Saint-Louis-en-l’Île.

L’île Saint-Louis est à vocation résidentielle, commerciale et hôtelière. Elle accueille un certain nombre d’hôtels particuliers en bord de Seine.

Parmi les hôtels de l’île en bord de Seine, on peut citer :

La seule église de l’île est l’église Saint-Louis-en-l'Île, œuvre de l’architecte François Le Vau, frère cadet de Louis Le Vau.

La pointe amont de l’île est occupée par le square Barye, qui contient un monument au sculpteur Antoine-Louis Barye.

Le glacier Berthillon, dont les sorbets sont réputés être les meilleurs de Paris, est installé au 29-31, rue Saint-Louis-en-l'Île.

Personnalités

Dès avant la constitution de l'île Saint-Louis, Denis Martinot (le jeune), maître horloger, demeure « en l'île Notre-Dame, enseigne Saint-Nicolas »[18] (voir Île Notre-Dame).

Lieux de culture

L'entrée du théâtre de l'île Saint-Louis.
La devanture d'un fleuriste de la rue Saint-Louis-en-l'ĂŽle.
  • Le théâtre de l'ĂŽle-Saint-Louis, situĂ© quai d'Anjou, offre une petite salle Ă  l’italienne et programme des crĂ©ations contemporaines et des concerts.
  • La galerie L'ĂŽle aux Images, situĂ©e rue Saint-Louis-en-l'ĂŽle, propose des photographies de collection et des lithographies originales d'Ă©poque.
  • La librairie Ulysse, situĂ©e rue Saint-Louis-en-l'Ile, est la première au monde Ă  s'ĂŞtre spĂ©cialisĂ©e dans les pays et les voyages en 1971[43].

L'île dans les arts

L'île de la Cité et l'île Saint-Louis, vues du pont d'Austerlitz
Stanislas LĂ©pine, vers 1880
Musée Carnavalet, Paris.

Dans la chanson

Dans la littérature

Références

  1. INSEE, « Population en 2016, Recensement de la population - Base infracommunale (IRIS) » (consulté le )
  2. Frédéric Vitoux, Mes îles Saint-Louis, Chêne / Hachette, 1981, 172 pages, (ISBN 2-85108-291-4) , page 135 in « chapitre S Sémaphore ».
  3. Pierre Gervasoni, « Une plaque pour « Monsieur Henri », célèbre « Ludovicien » » in Le Monde sur papier daté du jeudi 24 septembre 2015, page 24.
  4. « Pont de la Tournelle », Ville de Paris (consulté le )
  5. « Histoire de l’Île Saint-Louis », marais.evous.fr (consulté le ).
  6. « L’Île Saint-Louis », Ville de Paris (consulté le ).
  7. Nomenclature des rues de Paris Ă©dition de 1816 page 36
  8. « Pont Marie », Ville de Paris (consulté le )
  9. « Pont Saint-Louis », Ville de Paris (consulté le )
  10. « Pont Louis-Philippe », Ville de Paris (consulté le )
  11. « Pont de Sully », Ville de Paris (consulté le )
  12. « L’île Saint-Louis », Les Annales politiques et littéraires, 15 juin 1924, sur RetroNews.
  13. « Que cachent ces résidences secondaires au cœur des capitales ? », sur franceculture.fr, (consulté le ).
  14. « Xavier Niel rachète un hôtel particulier de Paris à un prince qatari », Le HuffPost, 22 février 2022.
  15. Préfecture de la Seine, « Recherches statistiques sur la ville de Paris et le département de la Seine, Tome VI » (consulté le )
  16. [xls] INSEE, « Population par âge (1999) - Données par IRIS (département 75) » (consulté le )
  17. INSEE, « Données infra-communales - Population (2007) France - IRIS » (consulté le )
  18. Vente par Denis Martinot à Philippe Bourdet d’une boutique située sur le quai Neuf, en date du 20 juillet 1639, Archives nationales MC/ET/XXIV/415 fol. XXXVIII et ss., notice en ligne.
  19. Philippe Durant, Le petit Guy Bedos illustré par l’exemple, Nouveau Monde éditions, 2019 (ISBN 978-2-38094-105-0).
  20. Enclyclopédie de la musique, 1958.
  21. Marius Boisson, Le Quai d’Orléans et l’île Saint-Louis, Paris, 1931.
  22. Christiane P. Makward et Madeleine Cottenet-Hage, Dictionnaire littéraire des femmes de langue française, Karthala, 1996 (ISBN 2-86537-676-1).
  23. Georges Lefranc, Histoire du Front Populaire, 1965.
  24. Sophie Delassein, La Vie avec Moustaki, Éditions du Moment, 2014 (ISBN 9782354172879).
  25. Jacques Arnal, Jean-Pierre Imbrohoris, Boulevard de la Mondaine, Filipacchi, 1988.
  26. Jacques Hillairet, L’île Saint-Louis, Éditions de Minuit, 1967.
  27. Odile Ayral-Clause, Camille Claudel, sa vie, Éditions Hazan, 2008.
  28. Natacha Henry, Marie Curie et Bronia Dluska. Les sœurs savantes. Deux destins qui ont fait l’histoire, La librairie Vuibert, 1996 (ISBN 978-2311100297).
  29. Frédéric Vitoux, Au rendez-vous des mariniers, Fayard, 2016 (ISBN 978-2213699127).
  30. Gilles Gaetner, Le roman d’un séducteur : les secrets de Roland Dumas, JC Lattès, 1998 (ISBN 978-2709619349).
  31. Renaud Capuçon, Mouvement perpétuel, Flammarion, 2020 (ISBN 978-2-0815-1757-8).
  32. « Brigitte Fontaine, promenade dans l’île Saint-Louis », Télérama, 25 novembre 2013.
  33. Jean Robin, René Guénon : par la voie gauche et grâce à la puissance noire, Dervy, 2021 (ISBN 979-10-242-0449-9).
  34. Catherine Cessac, Elisabeth Jacquet de La Guerre : une femme compositeur sous le règne de Louis XIV, Actes Sud, 1999 (ISBN 978-2742705993).
  35. Claude Mauriac, Le Temps Immobile, passim
  36. Carine Trévisan, Aurélien d’Aragon : un nouveau mal du siècle, Annales littéraires de l’Université de Franche-Comté, 1996 (ISBN 978-2742705993).
  37. Marry Bromberger, Le destin secret de Georges Pompidou, Fayard, 1965.
  38. Danielle Moreau, 80 ans et toujours fringants, Michel Lafon, 2013 (ISBN 978-2848685113).
  39. Josyane Savigneau, « La journaliste Claude Sarraute, grande plume du « Monde », est morte », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  40. Jacques Sanchez, Les bonnes chansons ne meurent jamais, Flammarion, 2015 (ISBN 978-2081242531).
  41. Jean Cassou, Une Vie pour la liberté, Robert Laffont, 1981.
  42. Béatrice de Andia, Nicolas Courtin, L’île Saint-Louis, Action artistique de la ville de Paris, 1997.
  43. « Librairie Ulysse - PAYS ET VOYAGES », sur www.ulysse.fr (consulté le ).
  44. Jacques Vassal, Léo Ferré, la voix sans maître, Le Cherche-Midi, 2013 (ISBN 978-2749128320).
  45. L’Île Saint-Louis, Léo Ferré, sur youtube.
  46. « Rue Saint-Louis-en-l’île », Benjamin Biolay, sur youtube.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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