Étrun
Étrun est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Strumensiens.
Étrun | |||||
La Chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié, monument historique. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CU d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Michel Mathissart 2020-2026 |
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Code postal | 62161 | ||||
Code commune | 62320 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Strumensiens | ||||
Population municipale |
316 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 142 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 54″ nord, 2° 42′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 107 m |
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Superficie | 2,22 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Arras (banlieue) |
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Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-1 | ||||
Législatives | 2e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | etrun.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 108 712 habitants en 2019.
Géographie
La commune d'Étrun, située dans la vallée du Gy, se trouve dans le sud-est du département et à 7 km au sud-est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le Gy, d'une longueur de 8,09 km, qui prend sa source dans la commune de Montenescourt et se jette dans la rivière Scarpe au niveau de la commune de Duisans[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 hectares et d'une altitude variant de 60 à 115 mètres, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[3].
Urbanisme
Typologie
Étrun est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[7] et 87 215 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (11 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale D 939 qui relie Le Touquet-Paris-Plage et Arras[14].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 8 km, au nord-ouest, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[15].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Stroms au IXe siècle ; Estrum en 1053 ; Estrom en 1104 ; Strummum en 1115 ; Strumum en 1135 ; Struem en 1141 ; Stroem en 1155 ; Estruhem en 1179 ; Strumh en 1180 ; Struhem, Strumæ au XIIe siècle ; Estruem en 1227 ; Estroem au XIIIe siècle ; Estrem en 1302 ; Estrein en 1315 ; Estrain-l’Abbie en 1324 ; Estren en 1326 ; Struen en 1332 ; Estreun en 1363 ; Estrehem en 1402 ; Estrumes en 1403 ; Estroen en 1442 ; Estrunæ en 1551 ; Estrun au XVIIIe siècle[16], Etrun en 1793 ; Etrun et Étrun 1801[17].
Étymologie
Toponyme dérivant du germanique strom, « cours d'eau »[19].
Histoire
La commune est installée sur l'emplacement d'un ancien oppidum (agglomération fortifiée celtique) dont on peut encore discerner les remparts dans la topographie. Il s'agissait vraisemblablement de la capitale des Atrébates, peuple gaulois occupant le Sud-Est du Pas-de-Calais[20].
En 881, Louis le gros fait construire un retranchement où « il ne put trouver quelqu'un à qui confier cette forteresse pour la défendre[21] »
L'histoire de cette commune est marquée par la vie de l'abbaye des Dames d'Étrun. Pour être admises à l’abbaye bénédictine d’Étrun, les religieuses devaient faire la preuve de huit quartiers de noblesse, quatre paternels et quatre maternels. Toutes issues de la haute noblesse, les dames et demoiselles de l’abbaye d’Étrun recrutaient leurs servantes dans les familles bourgeoises et nobles de moins grande richesse.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[17].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton d'Arras-1. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1991, rattachée au canton de Dainville[17].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[24].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Strumensiens[19].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2020, la commune comptait 316 habitants[Note 6], en diminution de 1,86 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 154 hommes pour 156 femmes, soit un taux de 50,32 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Site classé
Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[30].
Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du : les parcelles suivantes au lieu dit le bois du mont César : 23, 26 à 29, 30p, 32, 33 section A 5[31].
Monuments historiques
- La Chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques, par arrêté, depuis le [32].
- Sur le dessus de la porte on peut lire : « … trois demoiselles religieuses d'Etrun … l'an 1624 ont fessé batard ces chapelle de Notre Dame de Pitié … »
- La légende dit que trois religieuses ont été emmenées par un cheval emballé et qu'elles ont juré qu'elles bâtiraient une chapelle à l'endroit où le cheval s'arrêterait.
- Il semble que la route de Saint-Pol à cette époque passait à cet endroit, son tracé fut rectifié ultérieurement.
- La maison de campagne de monseigneur de la Tour-d'Auvergne est une propriété, comprenant une partie de l'oppidum gaulois, qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le et le [33] et où subsistent des vestiges de l'ancienne abbaye des Dames[34] - [35].
Autres monuments
- L'oppidum d'Etrun est un site fortifié d'une superficie de 42 ha. C’est le seul connu sur le territoire des Atrébates dont il fut sans doute le chef-lieu. Il a une forme ovale de 840 x 560 m. Son rempart haut de 7 à 8 m n’est conservé que dans ses parties orientale et occidentale. L’intérieur du site n’a pas fait l'objet de véritables fouilles archéologiques. Les objets mis au jour sont datés de l'âge du fer (La Tène) : quelques monnaies et céramiques[36].
- Le monument aux morts[37].
- L'église Saint-Nicolas. Cette église est le seul vestige de l'abbaye bénédictine de femmes de la haute noblesse, fondée au XIe siècle[38]. Cette église héberge 13 éléments patrimoniaux répertoriés dans la base Palissy dont cinq sont classés au titre d'objet des monuments historiques[39].
- Le cimetière militaire de Duisans, situé sur le territoire de la commune à deux kilomètres à l'ouest.
- L'église Saint-Nicolas.
Héraldique
Blason | Parti : au 1er parti émanché de trois pièces de sable et d'or, au 2e d'azur à la crosse contournée d'or tenue par un dextrochère de carnation, mouvant de l'émanché et brochant sur le tout[40].
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Détails | Armes de l'abbaye bénédictine des Dames. Adopté par la municipalité en 1968. |
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Pour approfondir
Bibliographie
- B. Lesueur de Moriamé, Histoire d'Etrun : l'abbaye, la commune, Arras : impr. Repesse-Crepel, 1899. Texte en ligne disponible sur NordNum
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Étrun » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Gy (E2010660) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- Delmaire R., Carte archéologique de la Gaule : Le Pas-de-Calais (62/2), Paris : Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 608 p.
- Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 14.
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Étrun (62320) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Articles L. 341-1 Ã 22 du code de l'environnement
- « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Notice no PA00108274, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Mémoires des antiquaires de France : 1817-1869, Volume 5 - éditeur Fournier, 1823 - A lire
- Notice no PA00108275, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bases de données Ministère de la culture.
- http://www.oppida.org/page.php?lg=fr&rub=00&id_oppidum=53
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Église Saint-Nicolas / Ancienne abbaye des Dames d'Etrun », sur patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
- « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).