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Yville-sur-Seine

Yville-sur-Seine est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie.

Yville-sur-Seine
Yville-sur-Seine
Le château d'Yville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
vacant
2022-2026
Code postal 76530
Code commune 76759
Démographie
Gentilé Yvillais, Yvillaises
Population
municipale
437 hab. (2020 en diminution de 8 % par rapport à 2014)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 03″ nord, 0° 52′ 47″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 60 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barentin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Yville-sur-Seine
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Yville-sur-Seine
Liens
Site web http://www.yville-sur-seine.fr/

    Géographie

    Située en bord de Seine, elle fait partie du Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Situation

    Commune du Roumois bordée par la Seine.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux et le pont Gustave-Flaubert à Rouen.

    Un bac permet de rejoindre Le Mesnil-sous-Jumièges.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 808 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumièges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 23 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Yville-sur-Seine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,3 %), terres arables (22,5 %), eaux continentales[Note 8] (13,2 %), mines, décharges et chantiers (11,6 %), prairies (5,8 %), forêts (3,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Wit villam vers 1025 ; Vuitvilla[m] (lire Witvilla) vers 1080 ; Wiville en 1172-1178 ; Wivillam en 1216 ; Wivilla en 1221 ; Wiville en 1226 ; Huivilla vers 1240 ; Wyvilla en 1254 ; Yvilla en 1265 ; Yville en 1277 ; Iville en 1307 ; Iville en 1431 ; Iville 1857 ; Yville-sur-Seine en 1953[21] - [22].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural »[22] (d'où vilain, paysan médiéval). Il est généralement précédé d'un anthroponyme de type germanique ou, en Normandie, de type scandinave ou anglo-saxon.

    Quelques toponymistes ont suggéré le nom de personne germanique Wido > Guy pour expliquer l'élément Wit- > Y-[22]. François de Beaurepaire propose également de rapprocher Yville-sur-Seine d’Iville (Eure, Yvilla 1181), ainsi que de Vitot (Eure, Witot 1035 - 1047) et Ymare (Seine-Maritime, Wimara vers 1240)[22]. On note qu'il existe également quelques autres microtoponymes Iville / Yville, dont un hameau à Héronchelles (Seine-Maritime, Yville 1505). Pour expliquer Iville, François de Beaurepaire propose aussi le nom de personne anglo-saxon Hwita[23], sans tenir compte de l'existence de l'anthroponyme vieux danois Hwit, variante du vieux norrois Hvítr « le Blanc »[24], alors qu'il note la proximité géographique entre Iville et Vitot (km), toponyme dont le second élément -tot représente l'ancien scandinave topt, toft « emplacement, établissement, ferme ». Il compare avec les paires Hattenville / Hattentot ou Cideville / Cidetot et suppose qu'il s'agit d’un même et unique personnage qui est à l'origine du nom en -ville et du nom en -tot.

    Remarque : l’effacement du W- s'est souvent produit dans la partie occidentale de la Normandie devant [i], [ɛ], [e][22] cf. Igoville (Eure, Wigovilla XIIe siècle) et on le constate pour Yville, déjà à partir de la seconde moitié du XIIIe siècle. Le nom de personne germanique occidental Wido > Guy semble avoir été peu employé dans la toponymie normande et comme nom de baptême dans la Normandie ducale, c'est pourquoi son association avec -tot et -mare, tous deux appellatifs d'origine scandinave, est peu probable.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1813 G. de Gerville
    1852 Pierre Testu
    Les données manquantes sont à compléter.
    1890 1892 Isidore Mutel
    1892 1919 Gabriel de Maurès de Malartic
    1919 1920 Auguste Souchet
    1920 1971 Arnauld de Maurès de Malartic
    1971 1972 Georges Degon
    1972 1977 Alphonse Neveu
    1977 1989 Georges Carpentier
    1989 1991 Jérôme Blin
    1991 1995 Georges Carpentier
    1995 2008 François Le Gallo
    2008 2014 Bernard Catti[25] Chargé de communication à l’Ademe
    Vice-président de la CREA (2010 → 2014)
    2014 2018 François Le Gallo Démissionnaire
    avril 2018[26] octobre 2022[27] Nadine Bienfait-Loisel Réélue pour le mandat 2020-2026[28]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

    En 2020, la commune comptait 437 habitants[Note 9], en diminution de 8 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550610547481441437464461460
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    436453432384408410381367332
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    307325321275293238273311268
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    297280240388414433431477457
    2020 - - - - - - - -
    437--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Gilbert Fromager, Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, , 163 p. (ISBN 978-2-9501653-0-5), p. 149-155
    • Gilbert Fromager, Le Canton de Duclair 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 978-2-9501653-1-2), p. 194-197
    • « Yville-sur-Seine », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 450-451

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jumièges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Yville-sur-Seine et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jumièges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Yville-sur-Seine et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 1083 (lire en ligne)
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
    23. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 132 - 211.
    24. Site de Nordic Names : étymologie de Hwit
    25. Thomas Blachere, « A Yville-sur-Seine, le maire est "un peu l'homme à tout faire" : Une fois par mois, nous donnons la parole aux maires des plus petites communes de la Crea. Entretien avec Bernard Catti, maire d’Yville-sur-Seine, 470 habitants », Tendance Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Yville-sur-Seine : une première cérémonie de vœux pour la maire Nadine Bienfait-Loisel : Nadine Bienfait-Loisel, qui a succédé en avril 2018 à François Le Gallo, est revenue sur les premiers mois de son mandat », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « François Le Gallo, après vingt-neuf années passées au service de la commune, dont dix-sept ans en tant que maire, a décidé de céder son fauteuil, tout en restant conseiller municipal, et de savourer pleinement sa retraite. Le 26 avril 2018, Nadine Bienfait-Loisel a été élue maire par le conseil municipal ».
    27. À Yville-sur-Seine, la maire et sa dernière adjointe ont démissionné, des élections partielles à venir
    28. « Municipales 2020. Nadine Bienfait-Loisel réélue à Yville-sur-Seine : La maire sortante repart pour un second mandat entourée d’une équipe renouvelée », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Nadine Bienfait-Loisel, candidate à sa propre succession, a été élue maire à l’unanimité avec 11 voix ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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