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Ytres

Ytres est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ytres
Ytres
Le monument aux morts.
Blason de Ytres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
André-Marie Lecat
2020-2026
Code postal 62124
Code commune 62909
Démographie
Gentilé Ytriens
Population
municipale
433 hab. (2020 en diminution de 0,46 % par rapport à 2014)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 03′ 56″ nord, 2° 59′ 37″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 133 m
Superficie 4,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Ytres
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Ytres
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Ytres
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Ytres

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Paysages

    La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [1]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Ytres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9 %), zones urbanisées (9,7 %), forêts (7,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 194, alors qu'il était de 185 en 2014 et de 184 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 86 % étaient des résidences principales, 4,1 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ytres en 2019 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,1 %) inférieure à celle du département (6,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,4 % en 2014), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Ytres en 2019.
    Typologie Ytres[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 86 85,9 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,1 6,4 9,7
    Logements vacants (en %) 9,8 7,7 8,2

    Transports

    La commune était desservie, de 1879 à 1955, par le chemin de fer de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin qui reliait les communes de Vélu - Bertincourt (Pas-de-Calais) et de Saint-Quentin (Aisne) via le département de la (Somme).

    Le canal Seine-Nord Europe (CSNE), reliant l'agglomération parisienne avec le réseau fluvial du Nord de la France et du Benelux et dont l'ouverture est prévue en 2030, traverse le territoire de la commune[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes HItinera ; Itra (1103.) ; Yttres (1424.) ; Ittre (1452.) ; Ytre (1569.) ; Yttre (1753.) ; Itre (1757.) ; Itres (1765.)[11] ; Ytres.

    Histoire

    Moyen Âge

    Ytres doit son origine et son développement à une église fondé en 691 à Honnecourt.

    En 1077, un droit d'octroi est instauré de Ytres à Ginchy : une obole pour une brouette chargée, un denier par bête chargée au col, deux sous par charrette portant marchandises attachées par une corde.

    Supplantant les ressources agricoles, les mulquiniers tissant dans les caves participèrent de l'essor du village. Ainsi, une fileuse gagnait 10 sols par jour et un tisserand 20 à 25. Le village n'a cessé de jouir d'une organisation démocratique. Appelés par la cloche les hommes se groupaient à la principale porte de l'église au sortir de la messe et s'entendaient alors concernant les emprunts, les procès, les impôts, la milice, etc.

    Révolution française et Empire

    À la Révolution française, comme dans toute la France, la tenue des registres d'état civil est retirée à la paroisse et confiée à la municipalité.

    Le , le marquis de Folleville, seigneur d'Ytres est jugé et guillotiné. Les trois filles du comte de Soyecourt cédent à leurs fermiers leurs terres, bois et moulin.

    La rue Neuve serait ainsi issue du don de mademoiselle de Soyecourt qui aurait distribué aux habitants les plus pauvres des parcelles de 10 ares pour construire leurs maisons.

    Époque contemporaine

    • Ytres au tout début du XXe siècle
    • Vue générale
      Vue générale
    • Rue de l'église.
      Rue de l'église.
    • Pont du Vélu sur le canal
      Pont du Vélu sur le canal
    • Cheminots en gare d'Ytres-Etricourt
      Cheminots en gare d'Ytres-Etricourt

    Première Guerre mondiale

    Lors de la Première Guerre mondiale, Ytres n'est régulièrement occupée par les Allemands qu'au début d'. L'endroit devient un centre de ravitaillement pour l'occupant.

    Avant d'abandonner le village, fin , les Allemands font sauter l'église, la mairie et des fermes.

    • Ytres pendant la Première Guerre mondiale
    • Travailleurs chinois déchargeant un train (1918)
      Travailleurs chinois déchargeant un train (1918)

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[12] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [13].

    Le , Lucien Raison et Joseph Mouton osent aborder les ruines où erre encore un officier anglais.. Quelques jours plus tard Louis Théry les rejoint. En ce qui concerne le ravitaillement de l'immédiate après-guerre, le pain est fabriqué à Équancourt par un certain M. Carré qui y avait trouvé un four en état de marche. Les familles revenues dans des baraques ou maisons semi-provisoires accélèrent la renaissance du village.

    Depuis la Guerre 14-18

    Un service d'eau à demeure est créé en 1921, d'électricité en 1928.

    En 1970, la commune est transférée de la Somme au Pas-de-Calais (décret du )[14].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune initialement située dans le département de la Somme est rattachées au Pas-de-Calais par décret du [15]. Elle fait désormais partie de l'arrondissement d'Arras[14]

    Elle faisait partie de 1801 à 1970 du canton de Combles. Lors du changement de département, en 1971 elle est rattachée au canton de Bertincourt[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bapaume[14]

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Intercommunalité

    Ytres était membre de la communauté de communes du canton de Bertincourt, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010, qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Sud-Artois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1800 mars 1819 Jean Pierre Sailly Démissionnaire en mars 1819
    Émile Magniez[16]
    (1799-1865)
    Droite Propriétaire-agronome,
    Député de la Somme (1848 → 1849)
    Conseiller général de Combles (1848 → 1852)
    Victor Magniez[17]
    (1799-1865)
    Centre gauche Propriétaire, cultivateur, fils d'Emile Magniez
    Député de la Somme (1871 → 1882)
    Sénateur de la Somme (1882 → 1890)
    Conseiller général de Combles (1864 → 1990)
    Conseiller d'arrondissement,
    Émile Magniez[18]
    (1876-1919)
    Radical-socialiste Avocat, propriétaire, docteur en droit, fils de Victor Magniez
    Député de la Somme (1910 → 1919)
    Conseiller général de Combles (1903 → 1919)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 août 2006 Jean Bancourt Démissionnaire
    août 2006 mai 2020 Henri Bassez[19] - [20] - [21]
    mai 2020[22] - [23] En cours
    (au 17 avril 2022)
    André-Marie Lecat Agriculteur retraité

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2020, la commune comptait 433 habitants[Note 3], en diminution de 0,46 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0091 0529579931 1751 1711 1131 1451 087
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0601 1161 1021 0321 0551 007961851886
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    844816982534614588522449449
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    438442396354361393413421437
    2018 2020 - - - - - - -
    435433-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 224 hommes pour 211 femmes, soit un taux de 51,49 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,0
    7,6
    75-89 ans
    7,6
    14,7
    60-74 ans
    14,7
    23,2
    45-59 ans
    24,2
    16,5
    30-44 ans
    17,1
    16,1
    15-29 ans
    15,2
    21,4
    0-14 ans
    21,3
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le souterrain du canal du Nord de Ruyaulcourt à Ytres. Il est souterrain sur 4,350 km de Ruyaulcourt à Ytres et 1,060 km à La Pannerie. Le souterrain de Ruyaulcourt comporte à chaque extrémité une section à voie unique de 1 600 m et en gare centrale une section de 1 150 m à double voie permettant le croisement des bateaux, cette gare centrale est munie d'un système de ventilation à partir d'un puits de 40 m de haut sur m de diamètre foré au milieu de sa longueur, ce système débouche à Ytres sur un poste de ventilation équipé de deux turbines (une de secours) dont les pales tournent soit en aspiration soit en refoulement, selon que les bateaux arrivent ou sortent de la gare centrale, afin d'éliminer le gaz d'échappement et de ventiler la sortie des péniches du tunnel.
    • L'ancienne halte de chemin de fer, route de Léchelle, et la gare d'Ytres-Étricourt, sur la ligne allant de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin de 1880 à 1955.
    • Le monument aux morts[29].
    • L'ancienne halte sur la route de Léchelle.
      L'ancienne halte sur la route de Léchelle.
    • L'ancienne gare.
      L'ancienne gare.

    Personnalités liées à la commune

    Jean de Belleforière est le plus ancien seigneur connu. Lui succéda en particulier Charles-Maximilien, baron d'Ytres, qui se distingua en 1668 à la bataille de Lens

    Héraldique

    Blason de Ytres Blason
    Écartelé :
    au 1) et 4) d'argent fretté de six pièces de gueules,
    au 2) et 3) de sable semé de fleurs de lys d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Ytres », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « La carte du canal Seine-Nord Europe », sur canal-seine-nord-europe.fr (consulté le ).
    11. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 425.
    12. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    13. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
    14. « Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2022) », sur https://www.insee.fr (consulté le ).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Emile Magniez (1799-1865) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    17. « Victor, Henri, Emile Magniez (1835-1890) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    18. « Emile Magniez (1876-1919) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    19. Jean Najda (CLP), « Le Bilan des maires - Ytres: Les travaux prioritaires ont été réalisés, mais il reste à faire! : Élu conseiller municipal en mars 1971 puis adjoint en 1977, Henri Bassez est élu maire en 2006, succédant à Jean Bancourt qui avait souhaité cesser ses fonctions », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. Réélu pour le mandat 2014-2020: « Ytres: Henri Bassez réélu pour un second mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    21. « Ytres : l’ancien maire, Henri Bassez, est décédé : Henri Bassez, maire de la commune de 2006 à 2020, est décédé samedi à l’âge de 81 ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ytres (62909) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    29. « Ytres (62909) », sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France - Belgique - Autres pays, (consulté le ).
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