Ypreville-Biville
Ypreville-Biville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.
Ypreville-Biville | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Fécamp Caux Littoral Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Amélie Dehais 2020-2026 |
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Code postal | 76540 | ||||
Code commune | 76755 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Yprevillais, Yprevillaises | ||||
Population municipale |
565 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 41âČ 41âł nord, 0° 32âČ 03âł est | ||||
Altitude | Min. 70 m Max. 131 m |
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Superficie | 10,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | FĂ©camp (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de FĂ©camp | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-ypreville-biville.sitew.com/ | ||||
GĂ©ographie
Ypreville-Biville est une commune située dans le département de la Seine-Maritime (région Normandie). La ville d'Ypreville-Biville appartient au canton de Valmont et à l'arrondissement du Havre. Les habitants d'Ypreville-Biville s'appellent les Yprevillais. Elle se situe géographiquement à une altitude de 126 mÚtres environ.
Communes les plus proches d'Ypreville-Biville (toutes en Seine-Maritime) :
- Sorquainvillen, Ă 2,0 km ;
- Limpiville, Ă 2,3 km ;
- Thiétreville, à 2,8 km ;
- Bennetot, Ă 2,8 km ;
- Trémauville, à 3,4 km ;
- Tocqueville-les-Murs, Ă 3,7 km ;
- BĂ©narville, Ă 3,7 km ;
- Thiergeville, Ă 3,9 km ;
- Riville, Ă 4,1 km ;
- Daubeuf-Serville, Ă 4,1 km.
Météo sur Ypreville-Biville : station située à Vittefleur (15,7 km à vol d'oiseau).
- Carte de la commune.
- Entrée d'Ypreville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 59 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ypreville-Biville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (96,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9 %), forĂȘts (3,2 %), prairies (2,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Ypreville : est attesté sous les formes Ypram Villam en 1032 et 1035; Isprevillae vers 1240; In parrochia Beati Michaelis de Yprevilla en 1278[21]; Ecclesia Beati Michaelis de Yprevilla 1315[21]; Yprevilla en 1319[22]; Ypreville en 1517 et 1518[23]; Saint Michel d'Ypreville en 1713[24]; Ypreville en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini); Ypreville-Biville en 1953[25].
Biville : est attesté sous les formes Buie villam en 1052 et 1055; Buevilla entre 1226 et 1254; Buievilla en 1252 et 1255[26]; Buevilla en 1302[26]; Buivilla vers 1240; Buiville en 1319, 1337, 1398 et 1431; Ecclesia de Buyvilla 1374[27]; Buyville en 1433[28]; Ecclesie Sancti Martini de Buivilla en 1434[29]; Biville en 1472[30]; Buyville en 1426[31]; Saint Martin de Biville la Martel en 1713[24]; Buiville en 1648; Biville en 1704; Biville la Martel en 1738 (Pouillés); Biville en 1715 (Frémont); Moulin de Biville en 1757 (Cassini); Biville en 1953[32].
Histoire
Faisait partie de 1973 à 1978 de l'éphémÚre commune de Saint-Michel-en-Caux. Avait été formé en 1825 par fusion des deux paroisses d'Ypreville (Ypram Villam en 1032/35) et Biville-la-Martel (Buie Villam en 1032/35), et devenu en 1973 le chef-lieu de la nouvelle commune de Saint-Michel-en-Caux. 902 habitants en 1851. Possédait trois chapelles, démolies en 1369 et 1738. Les écoles, citées en 1418, étaient à la nomination de l'abbé de Fécamp.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 565 habitants[Note 8], en diminution de 2,08 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Vie associative et sportive
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau de Biville.
- Ăglise Saint-Michel d'Ypreville : clocher carrĂ© XVIIe, nef gothique rĂ©trĂ©cie au XVIIIe, primitivement bĂątie fin XIIe.
- Ruines de la chapelle Saint-Martin à Biville, romane XIe/XIIe: corniche à modillons sculptés, portail XVIIe.
- Tombeaux XIVe dans le cimetiĂšre
- MĂ©morial des morts pour la France dans l'Ă©glise.
- Monument aux morts dans le cimetiĂšre.
- Ăglise Saint-Michel d'Ypreville.
- Ecce Homo, statue du XVIe siĂšcle.
- Chapelle-ruine de Biville.
- MĂ©morial des morts pour la France dans l'Ă©glise.
- Monument aux morts au cimetiĂšre.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune de Ypreville-Biville se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ypreville-Biville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ypreville-Biville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, 7 H.
- Archives de Seine-Maritime, G 3267.
- Archives de Seine-Maritime, G 305.
- Archives de Seine-Maritime, G 737.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 1081.
- Archives de Seine-Maritime, 19 H.
- Archives de Seine-Maritime, G 7 f. 279.
- Archives de Seine-Maritime, G 3267-3268.
- Archives de Seine-Maritime, 7 H.
- Archives de Seine-Maritime, G 1634.
- Archives de Seine-Maritime, G 27-28.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 84.
- Sylvie GesquiĂšre, « Le maire dâYpreville-Biville, Alain Anquetil, jette lâĂ©ponge : Alain Anquetil ne prĂ©side plus aux destinĂ©es du village. Sa dĂ©mission est officielle depuis mardi », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « LâĂ©lu (sans Ă©tiquette) qui prĂ©sidait aux destinĂ©es de la commune depuis 2008, a Ă©galement annoncĂ© quâil ne siĂ©gerait plus au conseil municipal. Un conseil qui lâavait mis en minoritĂ©, Ă la suite de la fronde et de la dĂ©mission fin 2016 de la majoritĂ© de ses membres. En cause : la fiscalitĂ© intercommunale appliquĂ©e Ă un projet de parc Ă©olien dans le village ».
- « Bruno Robert, le nouveau maire dâYpreville-Biville : Bruno Robert, le nouveau maire, succĂšde Ă Alain Anquetil, Ă la tĂȘte dâYpreville-Biville. AprĂšs des mois de turbulences, causĂ©es en partie par le projet Ă©olien, le village semble avoir retrouvĂ© sa sĂ©rĂ©nitĂ© », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Seul candidat pour le poste de premier magistrat, Bruno Robert est Ă©lu, sans suspense. Avec treize voix (deux suffrages se sont portĂ©s sur AmĂ©lie DĂ©hais). ĂgĂ© de 61 ans, ce retraitĂ©, ancien dâExxonMobil, Ă©tait entrĂ© au conseil municipal dâYpreville en 2014. « Jâai Ă©tĂ© le premier Ă dĂ©missionner le 12 dĂ©cembre 2016, rappelle-t-il. CâĂ©tait pour raison personnelle, Ă cause du problĂšme Ă©olien : lâIfer nâavait pas Ă©tĂ© reversĂ© Ă la commune ».
- « Municipales 2020. La premiĂšre adjointe dâYpreville-Biville, tĂȘte de liste : AmĂ©lie Dehais, adjointe dâYpreville-Biville depuis 3 ans, est prĂȘte Ă prendre la relĂšve du maire sortant Bruno Robert, qui ne brigue pas de nouveau manda », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Sylvie Gesquiere, « Municipales 2020. Ă Ypreville-Biville, AmĂ©lie DĂ©hais, une nouvelle maire sur tous les fronts : Elle mĂšne de front son engagement pour sa commune, ses responsabilitĂ©s dans l'Ăducation nationale et sa vie de famille. Rencontre avec AmĂ©lie Dehais, la nouvelle maire d'Ypreville-Biville », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « « Je suis entrĂ©e au conseil municipal en 2014, raconte-t-elle. Alain Anquetil, qui Ă©tait maire Ă ce moment-lĂ , mâavait demandĂ© dâĂȘtre sur sa liste. Il cherchait des femmes. Et mon expĂ©rience en tant quâinstitutrice lâintĂ©ressait (...) Dâabord conseillĂšre municipale, AmĂ©lie DĂ©hais devient premiĂšre adjointe en octobre 2017, aux cĂŽtĂ©s de Bruno Robert, le nouveau maire ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.