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BĂ©narville

Bénarville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

BĂ©narville
BĂ©narville
La mairie.
Blason de BĂ©narville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté de communes Campagne de Caux
Maire
Mandat
Isabelle Geulin
2020-2026
Code postal 76110
Code commune 76076
DĂ©mographie
Gentilé Bénarvilais
Population
municipale
267 hab. (2020 en augmentation de 4,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 61 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 40â€Č 25″ nord, 0° 29â€Č 33″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 136 m
Superficie 4,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Entrée de Bénarville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 937 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  60 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bénarville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (91,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (82 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,2 %), forĂȘts (8,2 %), prairies (1,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous la forme latinisée Bernartvilla en 1195[21].

    Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom du propriétaire, comme c'est le plus souvent le cas. Il s'agit de l'anthroponyme Bernard, d'origine germanique[21].

    Remarque : le [r] devant consonne s'est gĂ©nĂ©ralement amuĂŻ en Normandie et en toute position dans le pays de Caux, d'oĂč le nom de famille BĂ©nard, Besnard frĂ©quent dans cette province.

    Histoire

    Au XIIIe siĂšcle, le seigneur de la paroisse est Matthieu d'Abetot, chevalier ou Ă©cuyer.

    L'histoire de la paroisse semble liĂ©e Ă  celle de la famille de Bois-RozĂ©. À l'origine, il existe sans doute un site fortifiĂ© et un domaine seigneurial relevant des sires de Tancarville Ă  l’époque ducale, et tenus par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans.

    Au milieu du XVIe siĂšcle, le domaine appartient Ă  Pierre Martel, sieur de Boscrosay.

    En 1596, le titulaire de la seigneurie est Charles de Goustimesnil. Ce capitaine ligueur opÚre en pays de Caux et arme depuis Saint-Valery des navires contre Henri IV. En 1592, il prend d'assaut avec une poignée d'hommes la forteresse de Fécamp qu'il remet au roi l'année suivante. Ce dernier lui accorde titres, rentes et biens de seigneurs ligueurs en pays de Caux.

    La paroisse est érigée en commune en 1869 par détachement de Tocqueville-les-Murs[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 2014[23] Philippe Clément-Grandcourt UMP Artisan
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Goderville (1975 → 2015)
    mars 2014 juillet 2015 Patrick Deplanque[24] DĂ©missionnaire
    juillet 2015[25] En cours
    (au 11 août 2020)
    Isabelle Geulin RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[26] - [27]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29].

    En 2020, la commune comptait 267 habitants[Note 8], en augmentation de 4,71 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1872 1876 1881 1886 1891
    288280280362402349353381359
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    346305287277237236240228228
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
    208181169171190213193232237
    2012 2017 2020 - - - - - -
    243265267------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est dotée d'une école primaire, avec un terrain multisports et un restaurant scolaire avec salle polyvalente.

    • École.
      École.
    • Terrain multisports.
      Terrain multisports.
    • Rrestaurant scolaire avec salle polyvalente.
      Rrestaurant scolaire avec salle polyvalente.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Germain. Cette Ă©glise est abandonnĂ©e quand BĂ©narville est rĂ©unie Ă  Tocqueville-les-Murs au dĂ©but du XIXe siĂšcle. Elle est complĂštement remaniĂ©e en 1880[22].
    • La maison forte du Bois-RozĂ©[32]. En brique et calcaire, de plan rectangulaire Ă  deux tourelles d'angle, elle est remarquable par les dispositions dĂ©fensives de son Ă©tage, invisibles de l'extĂ©rieur (sas d'entrĂ©e et salles de garde Ă  canonniĂšres), et accessible uniquement par une passerelle extĂ©rieure. La partie supĂ©rieure, ravagĂ©e par un incendie, a Ă©tĂ© en partie arasĂ©e (toiture moderne). Selon la tradition, cette maison forte fut construite (ou modifiĂ©e) par Charles de Goustimesnil, capitaine ligueur ralliĂ© Ă  Henri IV en 1593. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [33].
    • Le monument aux morts.
    • L'Ă©glise Saint-Germain.
      L'Ă©glise Saint-Germain.
    • La maison forte du Bois-RozĂ©.
      La maison forte du Bois-Rozé.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    HĂ©raldique

    Armes de BĂ©narville

    Les armes de la commune de BĂ©narville se blasonnent ainsi :

    ÉcartelĂ© : au 1er de gueules Ă  la tour d'or, maçonnĂ©e de sable, ouverte et ajourĂ©e du champ, au 2e d'argent Ă  la tĂȘte d'aigle de gueules, au 3e d'argent Ă  la rose de gueules pointĂ©e de sinople, au 4e de gueules au marteau d'or.

    Adopté le 5 février 2010.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bénarville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bénarville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 41.
    22. Le Patrimoine des Communes de Seine-Maritime, Flohic Editions, (ISBN 2-84234-017-5).
    23. « Quarante-trois ans Ă  la mairie », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Patrick Deplanque, maire, a eu le plaisir d’offrir le diplĂŽme de maire honoraire, signĂ© du prĂ©fet, Ă  Philippe ClĂ©ment-Grandcourt qui a exercĂ© du 19 mars 1977 au 28 mars 2014 ».
    24. « BĂ©narville : le maire est aussi un marionnettiste ! », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    25. « BĂ©narville : Isabelle Geulin a Ă©tĂ© Ă©lue nouvelle maire de la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Vendredi a eu lieu l’élection du maire et des adjoints suite Ă  la dĂ©mission de l’ancien maire Patrick Deplanque ».
    26. « Municipales 2020 Ă  BĂ©narville : « Une mĂȘme volontĂ© » de poursuivre pour la maire sortante : Isabelle Geulin souhaite conserver son Ă©charpe tricolore. Elle repart en campagne avec une liste en partie remaniĂ©e », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. « Municipales 2020. Isabelle Geulin a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue Ă  BĂ©narville lors du conseil d’installation : La maire sortante, Isabelle Geulin, 52 ans, a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue pour un troisiĂšme mandat », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « La maire sortante, Isabelle Geulin, 52 ans, a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue pour un 3e mandat dont un premier en tant qu’adjointe et un second comme maire ».
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Philippe Seydoux, Chñteaux du Pays de Caux et du Pays de Bray, Paris, Éditions de la Morande, , 128 p. (ISBN 2-902091-17-6), p. 32.
    33. Notice no PA76000001, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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