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Virson

Virson est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Virson
Virson
Mairie de Virson.
Blason de Virson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté de communes Aunis Sud
Maire
Mandat
Thierry Pillaud
2020-2026
Code postal 17290
Code commune 17480
DĂ©mographie
Gentilé Virsonnais
Population
municipale
757 hab. (2020 en augmentation de 0,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 76 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 08′ 33″ nord, 0° 54′ 02″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 36 m
Superficie 9,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction La Rochelle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Surgères
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Virson
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Virson
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
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Virson
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Virson

    Ses habitants sont appelés les Virsonnais et les Virsonnaises[1].

    GĂ©ographie

    Hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg, la commune comprend notamment les hameaux et lieux-dits suivants : Les Haies (une partie est située sur Bouhet), Le Bois de l'Encens, Les Roulières, Le Préneau, Saint-Vincent, Moulin-Bonnet, Le Moulin des Haies, Tesson, La Grève, La Maison Neuve, Le Moulin de La Grève.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Virson est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), prairies (8,7 %), forêts (3,2 %), zones urbanisées (2,5 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Virson est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[11] - [9].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[12].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[13].

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2014 Georges Delbecque Enseignant
    2014 En cours Thierry Pillaud Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].

    En 2020, la commune comptait 757 habitants[Note 3], en augmentation de 0,93 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    358336353434377434409411468
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    528509500479462449361333323
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    344352355319281296288234254
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    274292285363387435635756758
    2020 - - - - - - - -
    757--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château des Granges

    C’est à partir du XVe siècle que les premières familles seigneuriales viennent s’installer aux Granges de Virson. À l'emplacement de la demeure actuelle, il y aurait eu vers l’an 1400 une maison fortifiée. En 1456, la seigneurie des Granges appartenait à Serrette le jeune de Marchèze et à Guillaume Nephrouet. Il y eut ensuite sept familles qui en furent propriétaires jusqu’à la fin du XVIIe siècle.

    alternative textuelle
    Le château des Granges.

    Le château des Granges fut construit entre 1710 et 1714 par Paul Depont « le jeune » (1661-1744) qui était directeur de la chambre de commerce de La Rochelle. Son père était Paul Depont 1629-1702 qui fut un contemporain de Louis XIV (1638-1715). Paul Depont, qui a bâti sa fortune sur le négoce et l’armement de navires à la Rochelle, aurait procédé au premier achat de la seigneurie des Granges en 1687. De nombreux achats de métairies, de marais salants ont été faits par Paul Depont « le jeune » de 1707 à 1735.

    La famille Depont en sera propriétaire jusqu’à la Révolution de 1789. Le château a ensuite été acheté par la famille Méchain de Saint Pompain. Par mariage avec Marthe Maichin, Charles Lelouis en devint propriétaire. M. Charles Lelouis fut maire de Virson durant 10 ans de 1820 à 1830. Son fils Charles Lelouis, né en 1810, fut aussi maire de Virson durant 26 ans de 1852 à 1880 (26 ans car de 1874 à 1876 le maire fut Isidore Tourneur). Gaston Mantrant, marié à Louise Lelouis (fille de Charles Lelouis fils,) fut aussi maire de Virson de 1884 à 1912 soit 28 ans. De 1880 à 1884, Isidore Tourneur, qui avait déjà été maire pendant deux ans entre 1874 et 1876, redevint maire pendant quatre ans.

    Les Lelouis père et fils ont administré la commune de Virson pendant 36 ans. Gaston Mantrant, le gendre de Charles Lelouis, ayant été maire durant 28 ans, la commune de Virson a été administrée durant 64 ans par la famille Lelouis et le gendre Gaston Mantrant.L’architecture du château est d’une grande pureté. Sur les cartes postales de 1920, on peut voir le grand portail en fer forgé du XVIIIe siècle de la cour d’honneur. Côté est, la porte d'entrée est surmontée d'un fronton triangulaire et l’escalier est à degrés pentagonaux. Sous la toiture à double pente, couverte de tuiles, court un motif sculpté. La façade ouest présente la même disposition et on retrouve le même décor en frise sous la toiture. Côté ouest, la porte qui donne accès au jardin est surmontée d'un fronton semi-circulaire qui ouvre sur un perron muni d'un garde-corps en fer forgé. Les pavillons sont couverts d'ardoise. Cet ensemble architectural que trois générations de la même famille se sont plu à embellir offre un attrait considérable qui en fait une des plus belles demeures de l'arrière-pays aunisien. La chapelle située dans la cour possède une façade monumentale à doubles pilastres doriques supportant un fronton triangulaire en forte saillie. Elle fut édifiée en 1748.

    La grande pièce d'eau qui comporte une île et une petite cascade sont les témoins des magnificences aquatiques qui faisaient la splendeur des Granges de Virson au XVIIIe siècle. Des bâtiments d'exploitation ont été ajoutés au XIXe siècle de chaque côté de la cour d'honneur, donnant une note rustique à cet ensemble classique.

    • La Motte castrale, appelĂ©e Grosse Motte de Tesson

    Au moyen âge, le territoire Ă©tait partagĂ© en fiefs qui Ă©taient placĂ©s sous la protection et la juridiction du seigneur qui les possĂ©dait. La motte de Virson dĂ©pendait du fief de Tesson. Le hameau de Tesson est traversĂ© par un bief jadis alimentĂ© par le ruisseau Le Virson qui servait Ă  faire fonctionner un moulin Ă  eau. Ce bief constitue la limite entre les communes de Virson et de St Christophe. La Motte est situĂ©e Ă  quelques centaines de mètres du hameau de Tesson sur la commune de Virson. Le nom de ce hameau serait celui d’une villa gallo-romaine qui s’appelait Tessium.

    Au sommet de la motte castrale située sur une élévation de terrain que l’on peut voir lorsqu’on emprunte le chemin qui conduit du bourg de Virson à la Grève, il y avait jadis une maison fortifiée en bois (château fort) qui était un lieu d’observation et de défense contre les envahisseurs. Le chemin non communal qui va de Tesson à la grosse motte est appelé Chemin de la Grosse Motte. L’enceinte circulaire qui entourait la maison fortifiée est toujours bien visible sur les photos aériennes.

    Chronologie des événements historiques de la Motte

    1177 : Archives de Surgères - Guillaume III Maingot, grand sĂ©nĂ©chal du Poitou est seigneur de la Motte.

    1260 (vers 1260) : Guillaume Maingot de Surgères aurait fait fortifier la Motte. Au XIIIe siècle on trouve un Maingot et Jocelyn Trinquart fortifient la Motte de Virson. Un autre historien dit que la Motte aurait pu ĂŞtre fondĂ©e sous la Ligue.

    1510 : La Motte de Virson Ă©tait aux mains de Jean Aubin, seigneur de Malicorne, Ă©poux de Louise de Clermont, sĹ“ur d’Odet.

    1535 : La Motte de Virson avait pour seigneur Edmond de Fonsèque, fils du second mariage de Louise de Clermont avec Rodrigue de Fonsèque. Quelques annĂ©es plus tard, elle changea de mains jusqu’en 1553.

    1539 : La Motte de Virson. Le texte a Ă©tĂ© dĂ©chiffrĂ© sur les micro films concernant les fiefs d’Aunis : …hommage lige de 10 livres de devoir Ă  Bonny, aumĂ´nerie d’homme seulement et ce qui est tenu de la baronnie de Surgères et la Motte de Virson.

    1553 : La motte de Virson change de mains. Gabriel Aubert, Ă©cuyer, seigneur de Treilles rendait aveu de sa terre de la Motte de Virson au seigneur de Surgères. Gabriel Aubert possĂ©dait la Motte de Virson Ă  la suite de son mariage avec Catherine Chabot, fille d’Antoine, seigneur de Gressigny.

    1573 : 20 ans plus tard, la seigneurie de la Motte avait fait retour aux Fonsèque et appartenait Ă  Charles de Fonsèque qui la rĂ©unit Ă  nouveau Ă  la terre de Surgères.

     1600 : Au cours des quarante annĂ©es des guerres de religion (1562-1598), la Motte gardait l’entrĂ©e du marais de NuaillĂ© contre les Vandales qui pouvaient s’infiltrer par la rivière.

    1641 : Odet de Clermont, seigneur de Surgères Ă©tait aussi seigneur de la Motte.

    1891 : Le docteur Pineau entreprend des fouilles sur la Motte de Virson

    La conclusion du Dr E.Pineau :

    De tout cela que conclure, sinon qu’en admettant que le double tournois (la pièce de monnaie de 1620) perdu dans les dĂ©blais fut neuf, les deux tiers au moins de la butte Ă©taient Ă©levĂ©s en 1620, ou, plus simplement que c’était lĂ  un ouvrage avancĂ© construit en 1620 ou 1628 Ă  la veille du siège mĂ©morable de la Rochelle ? Une grande ville seule pouvait fournir une aussi grande quantitĂ© de dĂ©bris de tuiles car il ne s’agit pas de dĂ©bris de tuilerie, mais de tuiles ayant servi, ainsi que l’atteste la chaux qui en enduit un grand nombre.

    Source : Bulletin de la Société des archives historiques, revue de la Saintonge et de l'Aunis-Vol XII-Pages 410 et 411-Année 1892

    Commentaire sur les fouilles du Dr Pineau en 1891

    A la lecture de la description des dĂ©bris trouvĂ©s par le Dr Pineau, on peut se demander si les dĂ©bris trouvĂ©s dans le puits de fouille ne seraient pas tout simplement des dĂ©chets jetĂ©s par les habitants des villages environnants (Virson, Tesson) dans un puits existant datant de l’époque fĂ©odale. Outre les fonctions de dĂ©fense d’un territoire (tour de guet), les mottes fĂ©odales, toujours entourĂ©es de palissades, permettaient aux habitants des hameaux voisins de trouver refuge dans un lieu protĂ©gĂ©. Certains vivaient d’ailleurs de manière permanente autour de la motte dans la basse-cour. Pour survivre Ă  un siège de la motte, il fallait de l’eau pour les habitants et les animaux. L’amĂ©nagement d’un puits au centre ou Ă  proximitĂ© de la motte Ă©tait par consĂ©quent nĂ©cessaire. Une motte est gĂ©nĂ©ralement composĂ©e d’un rehaussement important de terre au centre duquel est Ă©levĂ©e une tour ayant fonction de donjon ; un puits est parfois creusĂ© Ă  l’intĂ©rieur.

    • L'Ă©glise Notre-Dame de l'Assomption

    HĂ©raldique

    Blason de Virson Blason
    De gueules au pont isolé d'une arche d'or, maçonné de sable, accompagné en chef d'un épi de blé tigé et feuillé de deux pièces d'or et en pointe d'une rose de jardin tigée et feuillée de deux pièces du même; chapé de vair.
    DĂ©tails
    Création Jean-François Binon. Adopté le 15 juillet 2020.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. « Les risques près de chez moi - commune de Virson », sur Géorisques (consulté le )
    10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    12. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Virson », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    13. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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