Accueil🇫🇷Chercher

Vançais

Vançais est une commune française, située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Vançais
Vançais
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Maire
Mandat
Line Bonnet
2020-2026
Code postal 79120
Code commune 79336
Démographie
Population
municipale
229 hab. (2020 en diminution de 6,15 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 05″ nord, 0° 03′ 09″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 139 m
Superficie 16,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Celles-sur-Belle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vançais
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vançais
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Voir sur la carte topographique des Deux-Sèvres
Vançais
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Vançais

    Géographie

    Vançais, du canton de Lezay, se situe à 40 kilomètres au sud-est de Niort, et à 36 kilomètres de Poitiers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 848 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lezay », sur la commune de Lezay, mise en service en 1952[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 931,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vançais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (4,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vançais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive du Sud. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vançais.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 71,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Toponymie

    La localité de Vançais est déjà notable vers 980 sous le nom « Villa Vonsiacus », puis diverses formes suivirent : Vancaium vers 1250, Vonçay en 1295, Vensay en 1407, Vançay en 1454, Vansay en 1697, Saint Martin de Vançay vers 1782.

    Histoire

    L'importance de Vançais comme station préhistorique est soutenue, avec les nombreux outils issus de la pierre polie qui y furent retrouvés (une soixantaine de haches, une douzaine de percuteurs en silex, autant de polissoirs en silex et en grès, et des pointes de flèches en grand nombre).

    Cette place était traversée par la voie romaine ralliant Limoges à Nantes.

    Histoire de l'église

    L'église de Vançais, datant de la fin du XIIe siècle est sous le patronage de saint Martin. Sa toiture en dalles posées sur des reins, eux-mêmes reposant sur des voûtes, représente bien le style de la région. Au sol, on peut encore voir des dalles funéraires portant les noms des seigneurs des villages alentour. Le XVIIIe siècle fut marqué par la refonte de la cloche, et bon nombre de réparations sur cette même église.

    Histoire du protestantisme

    Comme une grande partie du sud du Poitou, Vançais fut un village en grande partie protestante. La population protestante de Vançais a souffert de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, période où la paroisse était constituée de près de 450 protestants. Des dragonnades y ont également eu lieu avec l'histoire du fermier Rimbault, qui aurait été battu, blessé à l'épée et emmené de force à l'église. Comme il refusait de renier sa religion, il fut lâché, les chiens furent aussi lâchés après lui, et il mourut de ces différentes blessures. Mais on retient de cette période principalement Marie Robin, une prêcheuse protestante surnommée la « Robine de Vançais » qui faisait partie des assemblées du désert après la révocation de l'Édit de Nantes. On trouve aujourd'hui dans le hameau de Bois le Bon une stèle à son nom.

    Au moment de la Révolution française, catholiques et protestants restèrent unis dans le petit village pour la patrie.

    Anecdote historique : la pierre à l'Allemand

    Un voyageur allemand trouva la mort là où fut érigée cette pierre (année imprécise, l'homme était en possession de monnaie datant d'Henri IV), son chien resta avec lui et mourut aussi, sur la route du hameau Taizé. La pierre aurait été saccagée en 1723 par des protestants (selon les notes du curé présent en 1783, quand la tombe fut fouillée pour en apprendre davantage sur cette histoire), et remplacée par une croix en bois plus banale, bénite par l'évêque de Beaupoil. Les protestants ont toujours démenti, et aucun récit objectif sur le sujet n'existe. Le site a été réaménagé avec l'authentique pierre en 1990.

    Histoire locale : le Marais

    Un marais — s'étendant de Lezay à Bonneil aux Mouges, mais aussi à Sainte-Soline et bien sûr à Vançais — s'inondait chaque année et son dessèchement était impossible. C'est à la fin du XVIIIe siècle que les routes furent rehaussées et que fut mis en place un écoulement ingénieux. On peut d'ailleurs rapporter ces routes rehaussées au brouillard qui aurait duré sept semaines à partir de , ce qui rendit mauvaises les récoltes.

    Dépendance géopolitique

    Vançais dépendait de l'archiprêtré de Rom, la chatellanie et sénéchaussée de Lusignan, et l'élection de Poitiers

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 En cours Danielle Sannier[26]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2020, la commune comptait 229 habitants[Note 8], en diminution de 6,15 % par rapport à 2014 (Deux-Sèvres : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    640748701795823760777749767
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    750728747754749709691664643
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    648644619518489525529491475
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    463417375345282253262260266
    2015 2020 - - - - - - -
    232229-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Une économie principalement tournée vers l'agriculture.

    On retrouve quelques chambres d'hôtes dans les hameaux alentour.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Imprimé des Imprimeries Pairault de Lezay datant de 1973 « Vançais notes d'histoire locale ».

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lezay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vançais et Lezay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lezay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vançais et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Vançais », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.