ValdrĂ´me
Valdrôme est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
ValdrĂ´me | |||||
Le village (au premier plan) en 2008. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Jean Aramburu 2020-2026 |
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Code postal | 26310 | ||||
Code commune | 26361 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Valdrômois | ||||
Population municipale |
134 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 3,2 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 30′ 18″ nord, 5° 34′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 766 m Max. 1 760 m |
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Superficie | 41,51 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Valdrôme est située au sud-est de Luc-en-Diois. Elle est limitrophe du département des Hautes-Alpes.
Charens | Beaurières Les Prés |
La Bâtie-des-Fonds | ||
Saint-Dizier-en-Diois | N | La Piarre (Hautes-Alpes) | ||
O ValdrĂ´me E | ||||
S | ||||
Valdoule (Hautes-Alpes) | Valdoule (Hautes-Alpes) L'Épine (Hautes-Alpes) |
La Piarre (Hautes-Alpes) |
Relief et géologie
Sites particuliers[1] :
- Col de Rossas
- Col des Quatre Chemins (983 m)
- Col du Charron (1 319 m)
- Col Layard (1 072 m)
- Collet des Guerres (961 m)
- Combe Belle
- Combe des Faures
- Combe Hautoure
- Combe Rioux
- la Pyramide (1 734 m)
- le Duffre (1 760 m)
point culminant de la Commune - le Pilon (1 578 m)
- Montagne de la Sarcéna
- Montagne de l'Aup
- Montagne de Tarsimoure (1 550 m)
- Pas la Lauze (1 521 m)
- Peyre Rousse (1 449 m)
- Ranc de l'Aigle
- Rocher des Abeilles
- Serre des Maures
- Serre des Prorets
- Serre du Charron
- Serre Embouc
- Serre Lacroix
- Serre Marsin
- Serre Piarra
- Testouras (1 112 m)
Michel de la Torre cite deux autres sites[2] :
- Col du Fay ;
- Cascades de Puthaval.
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- la DrĂ´me
- le BĂ©al de Guigouman
- le Béal de Pié Mottet
- le BĂ©al du Collet
- le Doucier
- Ravin de Combe Noire
- Ravin de Guillondrix
- Ravin de la Clape
- Ravin de la Combe
- Ravin du Tac
- Ruisseau de Brézès
- Ruisseau de Jullianne
- Ruisseau de la Doux
- Ruisseau du Ronchet
- Ruisseau de Rossas
- Ruisseau du Villard
Voies de communication et transports
Le territoire communal est traversé par :
- la route départementale 306 (reliant la RD 93 depuis Valence et Luc-en-Diois au chef-lieu de la commune) ;
- la route départementale 106 (reliant Establet à La Bâtie-des-Fonds) ;
- Ă l'ouest, la RD 106a dessert le village de Rossas ;
- au sud, la RD 806 dessert l'ancienne station de ski.
Urbanisme
Typologie
Valdrôme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
La commune est en outre hors attraction des villes[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), terres arables (3,5 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Le village est ramassé au-dessus d'un cirque[2], construit sur un éperon rocheux. Il est desservi par des ruelles parallèles sur trois niveaux et celles-ci sont reliées par des escaliers abrupts appelés « cantons ».
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Bas Brézès
- BĂ©line
- Bobre
- Bois de Basset
- Bois des Prorets
- Bois du Milieu
- Brézès
- Brigadel
- Cabanne Larie
- Champ la Caille
- Champ Sarra
- Chante-Loube
- Clos des Faures
- Clos Laboux
- Combe Belle
- Combinard
- CĂ´tes Abrans
- CĂ´tes de Tarsimoure
- Demieille
- Ferme Lagier
- Font Brochière
- ForĂŞt Domaniale du Val-de-DrĂ´me
- Founissabe
- Fraisse
- Giaudas
- Grange Neuve
- Guigouman
- la Boulège
- la Clape
- la Duque
- la Feissore
- la Garandoune
- la Grand-Draye
- l'Aire d'Angeais
- la Laye
- la Marine
- la Tuile
- la Tuilière
- la Tunette
- l'Aup Froid
- la Valette
- le Berli
- le Bourg
- le Cabanon des Cimes
- l'Échaillon
- le Cheylard
- le Fouzel
- le Lac
- le Passau
- le Pré de l'Église
- les Alléouds
- le Sapey
- les Arbres
- les Bascous
- les Bernardons
- les Buisses
- les Casses
- le Serre
- le Serre de Terrasse
- les Garants
- les Grésières
- les Hugues
- le Signe du Bayle
- les Mairies
- les Morels
- les Orgières
- les Pauvrets
- les PĂ©rouses
- les Rousses
- le Teil
- l'Ubac des Praux
- Maison Forestière du Villard
- Mirabelle
- Moulin Plus Bas
- Pié Bacou
- Piégu
- Pié Mottet
- Pré Cavale
- Pré du Brusc
- Pré Pourri
- Rossas
- Rouchassou
- Ruche
- Serre Martin
- Serre Sauvage
- Station de ValdrĂ´me
- Trénelle
- Vaugelas
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] (voir aussi La Tour, commune de la La Bâtie-des-Fonds pour les mentions du mandement et de la bâtie des Peloux).
- 1206 : Vallis Droma (répertoire de Saint-Ruff).
- 1206 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri Vallis Drome (répertoire de Saint-Ruff).
- 1244 : Vaudroma (J. Chevalier, Hist. de Die, I, 483).
- 1259 : mention de l'Ă©glise Saint-Saturnin (ancien Saint-Pierre) : ecclesia Sancti Saturnini Vallis Drome (visites Ă©piscopales).
- 1347 : apud Vaudromam (Valbonnais, II, 550).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Vallis Drome (pouillé de Die).
- XIVe siècle : mention de la commanderie : preceptoria Vallis Drome (pouillé de Die).
- 1450 : mention de la châtellenie : castellania Vallis Drome (Rev. de l'évêché de Die).
- 1519 : mention de la paroisse : cura Vallis Dromae (rôle de décimes).
- 1562 : Valdroume (Thes. epist. Calvinianus, n° 3637).
- 1616 : mention de la paroisse : la cure de Vauldrome (rôle de décimes).
- 1619 : Vauldrome (rôle de décimes).
- 1644 : Vaudromme et Vaudrome (visites Ă©piscopales).
- 1891 : ValdrĂ´me, commune du canton de La Motte-Chalancon.
Histoire
Préhistoire
Présence préhistorique (fouilles)[2].
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Fief des comtes de Diois qui le morcelèrent par suite d'héritages en vingt co-seigneuries[2].
La seigneurie[11] :
- Au point de vue féodal, le mandement (Valdrôme, la Bâtie-des-Fonts et les Prés) formait originairement deux terres (ou seigneuries) : la plus importante relevait des contes de Diois puis des évêques de Die, l'autre dépendait du fief des dauphins.
- Le fief des comtes de Diois puis des Ă©vĂŞques de Die :
- 1189 : la terre passe (par mariage) aux Algoud de Sault.
- XIIIe siècle : elle est partagée entre les Mévouillon, les Artaud, l'ordre du Temple, les Algoud et les Vétéris.
- 1254 : la part des MĂ©vouillon est acquise par les Ă©vĂŞques de Die.
- 1322 : la part des Templiers est acquise par les Ă©vĂŞques de Die.
- 1370 : la part des Artaud est acquise par les Ă©vĂŞques de Die.
- 1433 : la part des Vétéris est acquise par les évêques de Die, en indivis avec les Reynard (voir La Tour, commune de la La Bâtie-des-Fonds qui donne la date de 1333).
- Dès lors, la terre est partagée en trois co-seigneuries jusqu'à la Révolution. Les évêques de Die en garde le « haut domaine ».
- La part des Ă©vĂŞques de Die.
- La part des Agoult.
- 1476 : elle passe aux Armuet.
- Elle est recouvrée par les Algoud.
- 1603 : vendue aux Armand de Lus.
- 1660 : passe aux Jarente.
- Elle passe (par héritage) aux Ponnat.
- La part des Reynard.
- 1706 : elle passe (par mariage) aux Gallien de Chabons.
- 1750 : passe aux Chevandier.
- Le fief des dauphins :
- Possession des Peloux (voir La Tour, commune de la La Bâtie-des-Fonds).
- Début XIVe siècle : la terre passe aux comtes de Valentinois (voir La Tour, commune de la La Bâtie-des-Fonds).
- Milieu XVIe siècle : elle est acquise par les Reynard.
Au Moyen Âge, on entre dans le village par trois portes dont deux ont disparu : ne reste que le portail Sainte-Catherine. À l'emplacement de l'école actuelle se trouvait la commanderie de Saint-Jean de Jérusalem, étape et hôpital pour les pèlerins se rendant en Terre sainte.
Les habitants se rallient très tôt aux idées de la Réforme. Le temple est construit vers 1600 sur l'emplacement du temple actuel.
1685 : lors de la révocation de l'édit de Nantes, 42 familles émigrent et les Valdrômois connaissent les vexations, les dragonnades et les galères.
Avant 1790, Valdrôme était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église dédiée, tout d'abord à saint Pierre, dépendait premièrement de l'abbaye de Saint-Ruf. Placée ensuite sous le vocable de saint Saturnin, cette église devint celle d'une commanderie de Templiers (fondée en 1226) et passée, en 1312, à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui en fit une commanderie de frères servants dont le titulaire avait, avec les dîmes de la paroisse, celles de la Bâtie-des-Fonts et des Prés.
Valdrôme était aussi le chef-lieu d'un mandement comprenant, avec la paroisse de son nom, celles de la Bâtie-des-Fonts et des Prés, et, antérieurement au XVIe siècle, celle de Saint-Dizier qui en fut alors distraite.
La châtellenie de Valdrôme ne comprenait que la partie du mandement de ce nom qui relevait de l'évêque de Die[11].
De la RĂ©volution Ă nos jours
La Révolution est bien accueillie. Elle permet aux éleveurs, très pauvres, de faire pâturer leurs troupeaux sur les terres du seigneur, devenues biens nationaux.
En 1790, Valdrôme devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Beaumont, Beaurières, Bellegarde, Charens, Fourcinet, Jonchères, la Bâtie-Gramezin, la Bâtie-des-Fonts, Lesches, le Pilhon, les Prés, Saint-Dizier et Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de la Motte-Chalancon[11].
À partir de 1900, une transformation profonde se produit dans les conditions de vie des habitants : les routes s'ouvrent, l'élevage du mouton et la culture de la lavande deviennent plus rémunérateurs.
Le village est connu pour avoir été, au XXe siècle, une vraie pépinière d'enseignants : la religion protestante, basée sur la lecture de la Bible, constitue un moteur puissant contre l'illettrisme.
Valdrôme est l'un des rares villages à ne pas posséder d'église catholique[12].
En 1984, la mairie a tenté de faire de la commune une station de ski : le stade de neige de Valdrôme proposait une dizaine de pistes de ski alpin sur les flancs de La Pyramide (alt. 1 734 m) et environ 25 km d'itinéraires nordiques. Elle est fermée définitivement depuis la saison 2015-2016[13].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].
En 2020, la commune comptait 134 habitants[Note 2], en diminution de 6,94 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Fête : le dimanche après le [2].
Loisirs
- Randonnées pédestres : 250 km de sentiers pédestres sillonnent la cuvette de Valdrôme. Les sentiers à thèmes sont :
- le sentier de découverte de la Sarcéna (livret) jalonné par des totems et des jeux interactifs qui abordent certains sujets sur la faune et la flore (départ à Pré Pourri) ;
- le sentier du Dahu : un livret propose de découvrir les différentes facettes du village sous forme d'enquêtes policières ;
- le sentier panoramique du Ruche, près du village, signale les noms des différents sommets et hameaux du village (dépliant) ;
- la cascade de Putaval, but d'une promenade le long d'un cours d'eau limpide et tumultueux ;
- pour les sportifs : un parcours ombragé de onze obstacles et deux parcours de jogging (5 et 10 km) techniques et variés ;
- des sentiers lavande conduisent sur les domaines de la lavande vraie (dépliant).
Sports
- Cyclisme : sept circuits en étoile autour de la cuvette de Valdrôme, longs de 80 à 103 km, ont chacun leurs particularités (paysages, cols).
- Tir Ă l'arc.
- Vélo tout terrain : Valdrôme dispose d'un centre VTT agréé qui propose dix-huit circuits soit 390 km de sentiers balisés. Ce sont des parcours pour vététistes passionnés de sentiers pentus, techniques et sauvages. Certains sont destinés à ceux qui affectionnent les pentes grisantes, d'autres pour ceux qui préfèrent les beaux sentiers ondulant sur les versants de la cuvette.
Économie
Agriculture
En 1992 : lavande, pâturages (ovins)[2].
- Commerce rural en été[2].
L'activité principale de la commune reste l'agriculture et l'élevage. On trouve des prés (herbe et luzerne) et des céréales dont le seigle, l'orge et principalement le blé.
Il reste aussi quelques champs de lavande (variété différente du lavandin cultivé en Drôme provençale) qui était au XXe siècle, et jusqu'au milieu des années 1980, une activité très importante de la commune (en témoignent les nombreux vestiges d'alambics présents sur la commune).
Historiquement, l'élevage consiste en quelques troupeaux de moutons et brebis (viande), des chèvres (lait, fromage). Depuis la fin des années 1980, on a vu l'installation d'un troupeau de vaches.
On peut aussi citer l'activité forestière, pin et mélèze principalement.
Artisanat
- Une menuiserie (quartier de Rossas).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges d'enceinte du castrum médiéval.
- Château de Vaugelas[2] : maison forte rectangulaire des XVe et XVIe siècles avec deux tours rondes.
- Temple protestant.
- Fontaine[2].
Patrimoine culturel
- Exposition d'art local[2].
Patrimoine naturel
- Flore
La flore locale bénéficie de la convergence des influences alpines et méditerranéennes, offrant une large variété d'essences et de fleurs. La commune est principalement recouverte de forêt abritant des pins, des mélèzes et des sapins en bien moindre quantité. Concernant les feuillus on trouve des fayards, des frênes ainsi que des saules aux alentours des sources et ruisseaux ces derniers servant autrefois à la vannerie.
Liés au anciennes pratiques agricoles, on trouve aussi des tilleuls, noyers, pommiers, pruniers, cognassiers, poiriers.
Parmi les fleurs, la lavande reste l'emblème du pays. Il est facile d'en trouver à l'état sauvage (notamment des pivoines sauvages[2]). Le début du mois d'août est la période des framboises (bois de la Sarcéna, les Casses). En septembre et octobre, les champignons poussent dans les sous-bois (pied-de-mouton, sanguin et petit-gris).
- Faune
Dans les montagnes, on peut croiser des chamois et des marmottes. De nombreux rapaces (milans, aigles, vautours venus de RĂ©muzat) survolent le secteur.
Dans les forêts ou les prés, ce sont les chevreuils, les sangliers ou les lièvres. On trouve aussi des renards et des blaireaux. Des témoignages font état d'une possible présence du loup.
La commune est riche d'une grande variété de papillons.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Valdrôme possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- LĂ©opold Chabal, Autrefois ValdrĂ´me.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr.
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), ValdrĂ´me.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (L'Aire-d'Angeai).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Alléoud).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 402 (Valdrôme).
- « Fiche », sur www.ville.quebec.qc.ca (consulté le )
- « Fermeture de la station de ski de Valdrôme : Nous sommes concernés ! », sur RDWA - Radio Diois 107.5 FM, (consulté le )
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.