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VĂ©traz-Monthoux

VĂ©traz-Monthoux (prononcĂ© [vetʁa mɔ̃tu] ; mais le -az ne se prononce pas traditionnellement[Note 1]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Savoie, en rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes. Elle fait partie de l'agglomĂ©ration du Grand GenĂšve. Elle est nĂ©e de la fusion des communes de VĂ©traz et de Monthoux au XIXe siĂšcle.

VĂ©traz-Monthoux
VĂ©traz-Monthoux
Panorama.
Image illustrative de l’article VĂ©traz-Monthoux
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes
DĂ©partement Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Annemasse - Les Voirons Agglomération
Maire
Mandat
Patrick Antoine
2020-2026
Code postal 74100
Code commune 74298
DĂ©mographie
Population
municipale
9 360 hab. (2020 en augmentation de 14,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 316 hab./km2
Population
agglomération
193 881 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 10â€Č 30″ nord, 6° 15â€Č 20″ est
Altitude Min. 400 m
Max. 573 m
Superficie 7,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine GenÚve (SUI)-Annemasse (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction GenÚve (SUI)-Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Gaillard
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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VĂ©traz-Monthoux
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VĂ©traz-Monthoux
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VĂ©traz-Monthoux
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VĂ©traz-Monthoux
Liens
Site web vetraz-monthoux.fr

    GĂ©ographie

    Massif du Mont-Blanc depuis VĂ©traz-Monthoux.
    La colline de VĂ©traz-Monthoux vue de Lucinges.

    Vétraz-Monthoux est une commune située dans le département de la Haute-Savoie, dans l'agglomération d'Annemasse, non loin de GenÚve.

    Sa position sur une colline, entre la vallée de l'Arve et le plateau d'Annemasse et dominée par le Haut-Monthoux, lui donne une physionomie particuliÚre. L'habitat se divise grosso modo en trois zones : le chef-lieu (qui inclut aussi une partie basse jouxtant Annemasse), Haut-Monthoux et Bas-Monthoux.

    La colline de Monthoux culmine Ă  571 m[4].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    VĂ©traz-Monthoux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de GenĂšve (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 35 communes[8] et 193 881 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de GenĂšve (SUI)-Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11] - [12].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (59,6 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (45 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (50,3 %), terres arables (17,5 %), forĂȘts (13,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,2 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    VĂ©traz-Monthoux provient de l'union des communes de VĂ©traz et de Monthoux, en 1818[14].

    Le nom Vétraz (Vitraz en 1203) viendrait du latin Vitrius, dérivé de Victor/Victorius, avec le suffixe -acum pour désigner un nom de lieu (Vitriacum)[15].

    En arpitan, le nom de la commune s'Ă©crit VtrĂą, selon la graphie de Conflans[16].

    Histoire

    Histoire de Monthoux

    Au Moyen Âge, Monthoux est le chef lieu d'un mandement qui s'Ă©tend sur les paroisses de Haut et Bas-Monthoux, Annemasse, Cranves-Sales et VĂ©traz.

    Le premier document oĂč se trouve mentionnĂ© Monthoux (« Montheus ») est une charte de 1142 signalĂ©e par AmĂ©dĂ©e de Foras dans l’armorial et nobiliaire de Savoie : « Guillaume Ier, quatriĂšme comte de GenĂšve, fils d’AmĂ©dĂ©e Ier, dĂ©jĂ  mentionnĂ© par son pĂšre dans la charte de Monthoux en 1142 ». À partir de 1245, la liste des seigneurs de Monthoux est connue.

    À cette date, le chĂąteau appartenait Ă  la maison de Faucigny ; Aimon II de Faucigny est citĂ© dans une bulle du pape Innocent IV, datĂ©e de Lyon du 15 des calendes de au sujet du chĂąteau et de la chapelle de Monthoux.

    Le chùteau de Monthoux changea plusieurs fois de propriétaires entre 1245 et le début du XVIe siÚcle. Amédée de Viry se porte acquéreur du chùteau entre 1484 et 1504. Il passe ensuite à Armand Goyet, en 1505 puis est racheté par Amédée de Viry en 1510, passe à Michel de Viry en 1525. Vendu à Antoinette du Saix en 1528, il est racheté par Michel de Viry en 1532.

    Par acte fait Ă  Coppet, au chĂąteau du lieu-dit, le , le seigneur Michel, baron de Viry et dame Pauline de Vergy, sa femme, vendent Ă  Noble Michel Guillet, tant en son nom que de Noble Jehan Guillet, son frĂšre, le chĂąteau et mandement de Monthoux, avec ses fidĂ©litĂ©s, censes, hommages, servis, tailles, usages, tributs, fruits, fiel et direct domaine, moulins, batteurs, cours d’eau et autres artifices, pasqueraiges, alpages, droits et actions, et toutes choses appartenantes et dĂ©pendantes dudit chĂąteau pour le prix de 1400 Ă©cus d’or et 600 Ă©cus d’or pour droit de rachat et aussi les droits de racheter les dĂźmes qui se trouvent prĂšs de Collonges des Nobles Georges et Antoine de Livron.

    En janvier-, les Bernois s’emparent de Monthoux (7e siĂšge). Ils vendirent le chĂąteau au baron de Viry mais celui-ci ne le conserva pas longtemps ; il fut obligĂ©, par le Conseil de Berne, de le restituer aux Nobles Guillet avec tout le bien qu’il leur avait pris. Le de la mĂȘme annĂ©e, le seigneur Michel, Baron de Viry et Pauline de Vergy, font Ă  ChambĂ©ry un accord avec Nobles Michel et Jehan Guillet. Ils sont convenus que pendant deux ans, il sera loisible aux mariĂ©s de Viry de racheter le mandement de Monthoux moyennant la restitution de 2600 Ă©cus d’or. Cet accord n’empĂȘche pas un long procĂšs entre les deux parties devant le Parlement de ChambĂ©ry.

    L’arrĂȘt du dĂ©boute le seigneur de Viry pour le rachat de la terre de Monthoux qui s’étend depuis l’eau de la Menoge jusqu’à Möellesulaz, de l’Arve jusqu’à l’eau de la Chanfousaz, et depuis Petrousaz jusqu’au mandement de Gaillard, partie de Ville-la-Grand (acte de reconnaissance du des frĂšres Guillet, seigneurs de Monthoux envers Jacques de Savoie-Nemours). Le , Michel Guillet, seigneur de Monthoux obtient de Jacques de Savoie, duc de Nemours et de Genevois, l’autorisation de faire une foire annuelle Ă  Monthoux le lendemain la NativitĂ© de Notre-Dame, le .

    Le , les Genevois s’emparent de Monthoux et y mettent une garnison (8e siĂšge). Charles Emmanuel, duc de Savoie rentre du PiĂ©mont, libĂšre Monthoux Ă  la fin aoĂ»t. Un traitĂ© de paix est signĂ© Ă  Nyon le . Le duc laissant en Savoie son fils naturel, Don AmĂ© en qualitĂ© de lieutenant-gĂ©nĂ©ral, retire ses troupes mais aussitĂŽt les Genevois reprennent l’offensive. Le , les Genevois assiĂšgent Monthoux. La garnison composĂ©e essentiellement de paysans ne se rendit pas et la place ne pĂ»t ĂȘtre prise. Le , les Genevois envoient six compagnies d’infanterie et deux de cavalerie avec six piĂšces de canon. AprĂšs avoir tirĂ© 35 coups, et fait une brĂšche, elles entrĂšrent dans la place le Ă  4 heures du soir. La garnison, soit 36 hommes fut passĂ©e au fil de l’épĂ©e. Le chĂąteau fut vidĂ© et dĂ©moli (9e et dernier siĂšge de Monthoux).

    Les seigneurs de Monthoux furent par la suite activement et trĂšs honorablement mĂȘlĂ©s aux ducs de Savoie pendant deux siĂšcles.

    Plus prĂšs de nous, aprĂšs neuf gĂ©nĂ©rations de possession de Monthoux, la famille Guillet de Monthoux va s’éteindre avec Othon Guillet de Monthoux, nĂ© en 1762, mort en 1841. Il avait Ă©pousĂ© Elisabeth Willelmine de BudĂ© dont il eut quatre filles.

    L’aĂźnĂ©e, Augustine-Elisabeth, Ă©pousa Alexis, Gabriel, Joseph Foncet de Montailleur, major dans les armĂ©es du roi, chevalier de Malte, chevalier des Saints Maurice et Lazare, comte de Marcossey. Augustine-Elisabeth fut l’hĂ©ritiĂšre de l’assiette de l’ancien chĂąteau de Monthoux.

    Elle voulut perpĂ©tuer le souvenir de ses ancĂȘtres ainsi que celui du chĂąteau qui par sa situation sur la frontiĂšre a jouĂ© un certain rĂŽle dans notre histoire savoyarde. Elle dĂ©cida alors de faire construire une chapelle sur l’emplacement de l’ancien donjon ainsi qu’une maison d’habitation avec dĂ©pendances. La construction de la chapelle fut achevĂ©e en 1863 annĂ©e oĂč furent transfĂ©rĂ©es dans la crypte les dĂ©pouilles de la famille de Monthoux. Elle mourut en 1875, sans hĂ©ritier direct. Ses biens passĂšrent Ă  ses neveux qui, pour respecter ses derniĂšres volontĂ©s, vendirent en 1893 la chapelle, la maison et dĂ©pendances ainsi que le jardin Ă  la bourse des Pauvres Clercs du diocĂšse d’Annecy.

    PĂšlerinage

    Au Moyen Âge, avant le XVIe siĂšcle, la paroisse, qui possĂšde des reliques, est le lieu d'un pĂšlerinage en faveur de saint Albin ou Aubin, censĂ© pouvoir guĂ©rir les enfants rachitiques ou infirmes[17]. Il s'effectuait dans une chapelle situĂ©e hors de l'Ă©glise, et rayonnait sur toute la partie nord des Alpes[18].

    PĂ©riode contemporaine

    Entre 1780 et 1837, VĂ©traz-Monthoux fait partie de la province de Carouge, division administrative des États de Savoie, avant d'ĂȘtre rattachĂ©e Ă  la province du Faucigny (1837-1860).

    En 1803, la paroisse de Monthoux s'unit Ă  celle de VĂ©traz[14]. En 1818, VĂ©traz et de Monthoux fusionnent pour former la nouvelle commune de VĂ©traz-Monthoux[14].

    Lors des dĂ©bats sur l'avenir du duchĂ© de Savoie, en 1860, la population est sensible Ă  l'idĂ©e d'une union de la partie nord du duchĂ© Ă  la Suisse. Une pĂ©tition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et rĂ©unit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 55[21] ou 112 pour la commune, parmi elles 2 membres du conseil syndical[22]. Le duchĂ© est rĂ©uni Ă  la suite d'un plĂ©biscite organisĂ© les 22 et oĂč 99,8 % des Savoyards rĂ©pondent « oui » Ă  la question « La Savoie veut-elle ĂȘtre rĂ©unie Ă  la France ? »[23].

    En 1868, le hameau de Rosse est uni à la commune de Cranves-Sales, par décret du [14].

    En 1975, le diocĂšse d'Annecy cĂšde les biens de Monthoux Ă  la commune de VĂ©traz-Monthoux.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Depuis 1944, sept maires se sont succĂ©dĂ© Ă  la tĂȘte de la commune :

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 mai 1953 Marius Lamouille
    mai 1953 1988 Albert Roguet
    1988 mars 1989 Roger Brand
    mars 1989 juin 1995 Fernand Doucet Ancien secrétaire général de mairie
    juin 1995 mars 2001 Bernard Dentand DVD Industriel
    mars 2001 mai 2020 Michelle Amoudruz
    Fille d'Albert Roguet
    DVD puis UMP-LR Retraitée de la fonction publique
    5e vice-présidente d'Annemasse Agglo
    mai 2020 En cours Patrick Antoine DVD Chef d'entreprise dans l'immobilier.

    Vice-prĂ©sident d’ANNEMASSE AGGLOMÉRATION chargĂ© du tourisme, de l’attractivitĂ© du territoire, de la dynamisation des centres-villes et centres-bourgs. PrĂ©sident de l'Office de Tourisme Les Monts de GenĂšve

    Les données manquantes sont à compléter.

    Économie

    Les deux bassins d'emploi importants liĂ©s Ă  la commune sont GenĂšve et Annemasse. VĂ©traz-Monthoux compte environ 5 000 actifs, dont prĂšs de 50% de frontaliers. Le taux de chĂŽmage se situe autour de 5 %.

    Les secteurs industriel et artisanal sont fortement représentés sur le territoire de la commune, aux dépens des services et des commerces[24].

    Une importante exploitation agricole perdure, La Ferme de Corly, dont la spécialité est la fabrication de yaourt à partir de lait produit sur place.

    Population et société

    Ses habitants sont appelés les Vétraziens[14].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 9 360 habitants[Note 5], en augmentation de 14,15 % par rapport Ă  2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    3213483547008731 0621 088903996
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    907858900899813765743744705
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    7519641 0781 0041 0021 3461 9112 2312 908
    1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 -
    3 4134 3115 2976 1416 2627 5628 9009 360-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune de Vétraz-Monthoux est située dans l'académie de Grenoble. Elle comporte trois groupes scolaires : Françoise-Dolto, René-Cassin et Le Petit Prince.

    Santé

    La commune accueille la clinique Pierre de Soleil (soins de suite et de réadaptation), Rouge Cargo (établissement dédié aux adolescents), le centre médico-psychologique adultes Joseph-Daquin et l'association Nous Aussi (prise en charge et accompagnement de personnes porteuses de handicap).

    MĂ©dias

    La télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le patrimoine de la commune se partage entre les deux anciennes paroisses :

    VĂ©traz
    Monthoux
    Autres patrimoine
    • PĂšlerinage de saint Albin ou Aubin
    • Une ancienne demeure d'Alain Delon.

    Personnalités liées à la commune

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune de Vétraz-Monthoux bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[34]. Une deuxiÚme fleur a été attribuée à la commune en 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 128-130 « VĂ©traz-Monthoux ».

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le -az final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la premiĂšre syllabe[1] - [2] - [3].
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Cette pĂ©tition rĂ©unit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19] - [20].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. Henri DĂ©nariĂ©, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges,‎ (lire en ligne) (Article publiĂ© dans le numĂ©ro 13 de La Voix des Allobroges, Ă©tĂ© 2007)
    2. Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
    3. « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
    4. site de la ville
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de GenÚve (SUI)-Annemasse (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de GenÚve - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    14. « Vétraz-Monthoux », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
    15. Voir
    16. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou
      .
    17. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec GenÚve de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, présentation en ligne), p. 198.
    18. Roger Devos, Vie et traditions populaires savoyardes : Faucigny, Genevois, Tarentaise, Maurienne, Combe de Savoie, Éditions Horvath, , 191 p. (ISBN 978-2-7171-0519-3), p. 20.
    19. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie Ă  France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
    20. Paul Guichonnet (prĂ©f. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie Ă  la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
    21. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec GenÚve de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, lire en ligne).
    22. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, GenÚve, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 15.
    23. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
    24. site de la ville
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 128, « VĂ©traz Â».
    30. Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 128-130, « Monthoux Â».
    31. Georges Chapier, Chùteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 35-38.
    32. https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/07/25/en-haute-savoie-un-gisement-de-vacanciers-venus-des-emirats-arabes-unis_6089462_4500055.html
    33. [PDF] http://www.auvergne-rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/formulaire-87.pdf
    34. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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